Un récent ralentissement dans l’économie a mis Rarity sur la paille. Les poneys ne peuvent pas se payer ses habits luxueux en ces temps de crise. Pour se maintenir à flot, Rarity est prête à faire n’importe quoi.
L’opportunité vient sous la forme d’une lettre de Photo Finish lui demandant un faire une séance photo pour Playcolt. Une dame distinguée comme Rarity ne se vendrait jamais pour faire la double-page de ce genre de magazine, mais la crise fait qu’elle n’a pas d’autre choix que d’accepter.
Que se passera-t-il maintenant que Rarity est devenue un sex-symbol dans tout Equestria ? Et quoi d’autre est-elle prête à faire pour payer les factures ?
Pour les novices, Spread désigne la double-page centrale où posent les modèles des magazines de charme comme Playboy.
Attention : contient des scènes de sexe détaillées et aussi beaucoup d'amour.
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Personnellement, qu'on ne traduise pas tous les jours des pavés, je m'en porte assez bien. J'en fais pas une maladie de ne pas en avoir quoi. Par contre, j'aurais préféré, plutôt qu'un pavé, avoir ici droit à une fic digne de ce nom.
Oh la la, j'ai pas parlé de préférences, faut pas me faire dire ce que je n'ai pas dit...
Je ne suis pas sûr de l'idée à laquelle tu fais référence en plus.
Nan mais je suis d'accord hein, j'essayais pas de défendre le texte. ^^
Simplement, je trouve intéressant que les lacunes soient finalement les mêmes que celles d'un scénario X. "Oh non, comment vais-je payer mes factures ?" Réponse : du sexe. À partir de là, oui l'auteur force Rarity à accepter tout ce qui lui tombe dessus, et oui introduire des romances par-dessus c'est pas très crédible.
Par contre, quand je faisais référence à la longueur du texte, je défendais le traducteur (juste pour rectifier). Je m'en fiche que la fic soit un chef d'œuvre ou pas, je veux remercier le traducteur pour son travail. On voit pas des pavés traduits tous les jours quoi.
C'est OOC, mal pensé, très moyen...
Bon allez si, faire de l'OC masculin Italian Stallion, ref un peu vaseuse à Stallone, ça m'a fait sourire. Mais tout le reste, que c'est nul.
Effectivement, le texte est long, mais ce n'est pas vraiment une qualité pour moi. Passé un certain point, l'auteur laisse tomber les conséquences directes du porno sur la vie de Rarity pour développer shipping sur shipping, sans qu'ils soient tous liés à la trame. Enfin, je te laisse voir par toi-même !
Et non seulement les personnalités ne sont pas bien rendues, mais les évènements sentimentaux sont précipités et l'auteur part dans un arc hors-sujet dès la deuxième moitié de la fiction. L'histoire, qui était centrée sur Rarity, ses problèmes financiers et sa manière (assez douteuse) de les résoudre, se divise en plusieurs shippings, dont un qui n'a strictement rien à voir avec le problème de base.
Quant à la traduction, j'ai lu la majorité de la fiction en anglais, donc je ne peux pas dire grand chose dessus. J'ai juste vu, comme d'habitude, des "alors que" et assimilés suivis du passé simple au lieu de l'imparfait.
Bref, une histoire à passer, sans aucun doute.