Je me pose une question chaque soir de week-end. Lors de l'écriture de ma fiction, où donc écrivez vous?
Pour ma part j'écris sur vieux pouf noir à la lumière de lune via me fenêtre accompagnée par mon mac (gloire à toi)
Et vous vous écrivez-où?
Bon ! Je vais vous raconter comme MOI j'ai eu le "déclic" comme diraient certains pour écrire, et surtout qu'est-ce que c'est "d'écrire" pour MOI.
C'était une chaude journée d'été, et.... Bon d'accord pour faire clair, j'ai eu cette idée en cours de Physique-Chimie ! (endroit improbable non ?)
D'autant plus, que rien ne me prédestiner à aimer écrire. Je m'explique: Le Français n'a jamais été mon truc, et pour couronner le tout, je suis Dyslexique (problèmes de syntaxes, fautes de grammaire, fautes d'orthographe). Donc bon, si quelqu'un m'avait dit un jour: "Pourquoi tu te mettrais pas à écrire ?" je lui aurais ris au nez !
Pour en revenir à mon déclic, étant un grand rêveur, je passais pas mal de temps à vivre des aventures dans ma tête plutôt qu'a écouter en cours, et puis alors que mon professeur nous enseignait les "Masses Molaires" (c'est du cours de première S ;) ), j'eus comme toujours une nouvelle idée d'histoire, je l'ai donc nourris pendant plusieurs minutes, mais arriver à un moment, je me suis dit: "Mais M**** ! Si je l'a mettais sur papier ?". Car le truc c'était que je la trouvais plutôt pas mal et que j'avais envie de voir mon rêve achevé sur papier (ou plutôt sur Microsoft Word). Au bout d'une semaine je l'avais finit, et auprès de mon entourage ( et même de mon prof de français ainsi que de la Documentaliste), j'eus de très bonne critique !
C'est là où je veux en venir ! Écrire, n'est pas un métier, ni un moyen de gagner de l'argent et encore moins une corvée ! Écrire, c'est avant tout un moyen de s'exprimer, mais aussi une envie, "une pulsion". Comme je l'ai dit plus haut, ça m'a pris comme une envie d'aller aux toilettes ! Et c'est justement ça qui est fou ! Car depuis, je ne peux pas passer trois semaines sans écrire quelques pages sur tel où tel films et histoire.
Donc vous l'aurez compris, écrire est une envie soudaine et incontrôlable ! "Une drogue", mais une bonne drogue quand on sait comment s'en servir ! Je vous encourage donc à ne pas laisser vos aventures personnels au fond de votre boite crânienne, mais plutôt à les laisser aller sur quelques pages d'un logiciel de traitement de texte, et peut-être dans un cours de Physique-Chimie, vous aussi aurez cette envie d'aller aux toilettes !
Aller à toute !
R.B
Salutation, les poneys!
Aujourd'hui, je vous montre l'avancement de mes fictions en pourcentages. Parce j'aime vous faire réfléchir.
Coeur Manquant, Pouvoir Puissant: 0%
Je vous avais déjà dis que cette fiction était un désastre. Eh, bien je vais la continuer, mais je risque de faire tomber un peu l'intrigue.
Salem:2%
J'ai écrit le début, je sais la fin, mais j'aurais besoin de quelqu'un pour me donner des idées...si ça lui dérange pas d'être spoiler...
L'autre moi du miroir: 60%
Une histoire racontant la vie de deux Pinkie Pie... chacune dans un monde différent. Si quelqu'un est qualifié en dessin, j'apprécierais qu'on m'aide avec la couverture.
Un popcorn pour l'horreur:12%
J'ai rien à dire...
Le prix d'une élection:5%
Vous vous souvenez de ''Apprend moi à voler''?
Ben,c'est un autre volet. Le volet de la peste: Magic Bloom.
Et ça va être du NSFW.
Oui, je suis un monstre.
Maintenant vous savez tout et je vous demande de ne pas me tuer. Si il vous plait de me poser des questions, aller y, mais ne me demandez pas où est passé Potato Sword... Il est dans un monde meilleur.
J'ai reçu une carte de Bora Bora la semaine dernière!Il dit s'être envoyé en l'air, il a peut-être fait du parachute...
Smile,
Sugar Blast
Bonjour.
voici quelque news sur mes fictions.
L’enquête, toujours en cours, chapitres en cours d’écriture.
Souffrance immortelle, Prochain chapitre en cours d’écriture, arriverai d'ici 1 à 2 mois.
Retrouvailles, le village, dernier volet en cours de modification, soyez patients.
Le train, Os. en cours d’écriture. L’histoire nous parlera de poneys qui ont fait des choix qui les poussent à quitter ceux qu'ils connaissent pour l'inconnu.
Un amie pas comme les autres. Histoire sur une licorne qui croise un poney assez étrange.
Voila quelques détails sur la suite, à bientôt.
Le Nautilustra en coure, mais reste en cachér pour le moment.
Bonjour à tous. Bonne nouvelle, on vient de finir la phase de test. Parce que oui, on était en test ^^.
Les deux jours passés nous ont vite confirmé que beaucoup de gens semblaient intéressés par l'idée. Qu'à cela ne tienne on va continuer sur la même lancée.
Donc je vous invite à déjà nous retrouver ce samedi 6 vers 22h pour poursuivre l'expérience qui avait déjà débuté ce vendredi.
Nous ne sommes pas encore sûrs d'aboutir à des séances régulières, c'est pourquoi, pour le moment, je me contente encore d'informer directement via un article de nos prochaines séances.
/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\
Lien de téléchargement pour Teamspeak : http://www.teamspeak.com/?page=teamspeak3
Server Address
hermes.ts3-serveur.com:19784
Server Password
okvomer
/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\
Hi'.
Bronify est lourd. Si vous n'avez pas lu Bronify vous avez désormais une excellente raison de ne pas le faire. Et même si c'est un autre texte qui me pousse à parler du sujet, j'ai choisi un de mes propres récits parce que la lourdeur est l'un des pires crimes de l'écrit du web.
Donc comme d'hab', qu'est-ce que la lourdeur ?
En général quand on parle de "lourdeur" dans un texte on fait référence à la mise en page. La taille des paragraphes. Quand j'écris mes articles, dans l'éditeur de texte je fais en sorte de tourner autour de 4-5 lignes par paragraphe, et même si ça change d'une résolution d'écran à l'autre, ça reste une bonne mesure pour vous éviter, d'une part, de vous manger un pavé, une énorme brique visuelle dans les yeux, d'autre part de n'avoir qu'un truc squelettique modèle "est-ce que t'as seulement essayé ?"
C'est d'ailleurs une raison qui fait que je n'aime pas les dialogues aux nombreuses répliques courtes : c'est squelettique. Et ça donne une mauvaise impression.
J'aime aussi séparer les parties de mon article par des paragraphes plus courts. Yup c'est volontaire.
Autre anecdote amusante : quand j'écris mes paragraphes, surtout sous GoogleDoc où la taille du texte est fixe, je fais en sorte de ne jamais finir le paragraphe sur une ligne qui ne contiendrait qu'un seul mot. En général je fais en sorte de finir la ligne vers le milieu, et de varier un peu (un quart, trois quarts...) pour ne pas lasser l'oeil du lecteur. C'est bête mais je le fais.
Vala'.
Nous ici on va parler d'un autre type de "lourdeur". Car oui, un texte peut être lourd même si les paragraphes sont "allégés", "découpés" ou "aérés". Cette lourdeur vient du contenu, ou de la manière dont on écrit les phrases.
... Okay soyons plus concrets. Est-ce que vous connaissez l'expression "étaler la confiture" ? Les profs' de français le disent parfois à leurs élèves. Ça signifie que la personne n'a presque rien à dire mais le dit avec beaucoup de mots. Le résultat est un texte très lourd et pénible car... ben... on parle beaucoup pour ne rien dire. C'est typiquement ce qu'on fait lors d'une dissertation, parce qu'on nous a dit "fais cinq pages" alors tu fais cinq pages, même si tu pourrais tout dire en deux.
Avant de vous donner un exemple, laissez-moi souligner que cela vaut pour le plan du texte. Vous avez un chapitre où je sais pas moi, Sombra revient pour la x'ième fois envahir Equestria. Au début du chapitre Sombra apparaît, à la fin du chapitre Sombra est sur le trône. Okay. Comment rendre ça lourd ?
Eh bien, par exemple, en répétant cent fois le même schéma. Il rencontre Luna, il la bat. Il rencontre Discord, il la bat. Il rencontre Celestia, il la bat. Il rencontre Discord, il la bat. Il rencontre Twilight, il la bat. Il rencontre un grille-pain, il le bat. Il rencontre ta mère, il la bat... dlgkdsah IL SE PASSE RIEN LÀ ! C'est bon, on a compris, il a gagné ! Pas besoin d'insister, insister c'est lourd.
Autre exemple, en faisant qu'il accède directement au trône. Genre il vient d'arriver, il déglingue tous les poneys en une demi-page, s'assoit sur le trône et passe SEPT PAGES à admirer sa victoire. IL SE PASSE RIEN LÀ ! Ses pensées sont sûrement formidables mais passe à la suite !
L'impression qu'il se passe des trucs n'est pas non plus l'assurance d'éviter la lourdeur. J'avais écrit un texte qui se résumait à "Spike et Rarity se battent" en mode épique. Tout le texte c'était juste ça, ils se bastonnent. Eh bien, même si j'ai fait en sorte de varier les attaques, de changer le décor et ainsi de suite... ben c'était juste du "ils se battent", donc le lecteur s'ennuie. Il ne se passait rien (d'important).
La lourdeur d'un texte peut donc être un contenu trop faible par rapport à sa taille.
Et bien sûr cela vaut pour les phrases.
Oui, une phrase peut être lourde. Même principe, si on met deux lignes à dire "elle se réveille", bah non, non ça ne passe pas.
1) Fluttershy s'arracha à la torpeur languissante de son inconscient, passant d'une sorte de morne somnolence à un soudain enthousiasme vif et spontané à mesure que les pensées se chamboulant dans sa tête frétillaient sous ses paupières encore un peu lourdes.
Okay ouais donc elle se réveille. Je sais pas si on a essayé de dire autre chose, moi passé la première virgule ça a fait "blablabla banalités machin truc plus de blablabla" dans ma tête et j'ai arrêté de suivre. La phrase est un vrai brouillon pour un truc qui se résume à trois mots.
Cela dit :
2) Fluttershy se réveilla. Elle se leva. Elle alla à la fenêtre. Dehors il faisait beau.
C'est... ce n'est pas lourd, mais c'est très pénible. Ici le texte est squelettique. Yup ! On l'a dit au départ, "en faire trop" rend le texte lourd mais ne pas en faire assez rend le texte... basique ? Flemmard ?
Peu importe. L'important est qu'une phrase peut être lourde, faute de contenu pour justifier sa longueur. Mais même si le contenu était au rendez-vous, la phrase peut toujours être lourde. Et cela vaut pour le texte entier, d'ailleurs.
3) Fluttershy saisit au léger bruissement les premiers rayons du soleil grignotant sa patte le poil or et crème s'enfonçant sous le drap, elle frissonna, un grincement, son coeur bondit et l'arracha à l'inconscience.
Riez pas, pendant une période j'avais l'habitude d'écrire de telles phrases. Et encore, celle-là est simple, plus loin on se fera plaisir, avec des "qui" et des participes présents dans tous les sens. Ici en l'occurrence on essaie de dire qu'Angel vient réveiller Fluttershy, mais du point de vue de Flutty', dans le flou du réveil. Ce serait super artistique si on y comprenait quelque chose...
Mais la structure d'une phrase n'est pas forcément l'exemple le plus clair que je puisse trouver. Il y a mieux. Il y a le registre.
4) Fluttershy recouvra l'état d'éveil.
Recouvra ? État d'éveil ? Non là en oubliant les broutilles, la phrase elle fait quatre mots. Quatre. Mots. Mais parce qu'on utilise des termes complètement barrés, bah c'est comme si on venait de me balancer une brique. Non mais sérieux, l'état d'éveil ?!
Je suis forcé d'insister parce que là mine de rien on vient de passer en revue trois manières de rendre un texte lourd :1) Parler beaucoup pour ne rien dire2) Faire des phrases compliquées pour des trucs simples3) Utiliser des mots compliqués pour des trucs simples
Compliquer les choses rend le texte lourd. C'est parfois nécessaire, par exemple pour rendre la scène solennelle et carrément impressionnante, mais la plupart du temps c'est surtout incroyablement hors de propos et ça donne envie de fermer l'onglet et d'aller manger des chips. Ouais j'avais plus d'imagination alors chips.
Compliquer les choses c'est donc, par exemple, utiliser des "périphrases" : utiliser plein de mots pour décrire quelque chose de commun. C'est ce qu'entre chroniqueurs on appelle le "syndrome du pistolet". Parce que quelqu'un avait décrit un pistolet en disant : "Il sortit un étrange objet formé d'un tube de métal blablabla..." et le lecteur est là "non mais c'est un pistolet, on sait." Alors oui rendre l'objet étrange était bien pensé mais un paragraphe pour nous décrire chaque partie du pistolet, non, c'est lourd.
Compliquer les choses c'est aussi utiliser un registre soutenu pour des choses familières.
5) Fluttershy manda son léporidé afin de maniérer la livrée du susdit.
Elle a appelé Angel pour le brosser ! Non, jeter des termes "élevés" ne rend pas ton texte plus cool ! Alors oui, il faut expérimenter, tester les termes qui passent dans tel ou tel contexte, c'est excellent. Mais à moins d'avoir un style particulièrement cynique, ça là, l'exemple (5), c'est une horreur. Et c'est gonflant.
Bon.
Bon.
Reprenons.
Si vous avez suivi, jusqu'à présent on essayait de définir ce qu'était la lourdeur. Au niveau du texte, de la phrase, des mots...
Mais on n'a pas dit comment faire pour repérer la lourdeur. Ni pour l'éviter.
Repérer la lourdeur dans nos propres textes n'est pas évident. Loin s'en faut. Bah oui, si on l'écrit c'est qu'on pense que c'est bien. Et la relecture à chaud n'aide pas. En fait, je ne me rends vraiment compte de la lourdeur qu'après une bonne nuit de sommeil. Le meilleur indice étant si je décroche de mon propre texte.
Un bon plan va en général permettre de voir où la lourdeur va arriver ("étaler la confiture") mais il ne peut rien pour votre style, pour la forme de vos phrases ou le choix de vos mots. Et si vous pensez que "plus c'est compliqué plus c'est artistique" alors vous allez droit dans le mur.
Donc disons que vous soyez comme moi, vos plans sont foireux et vous ne prenez pas le temps de vous relire. Que faire ?
Ma réponse : la paraphrase.
J'en avais déjà parlé à une autre occasion mais lorsque j'analyse un texte, j'ai tendance à d'abord la résumer. C'est ce qu'on a fait pour les exemples (1) à (5) : on a à chaque fois fait une variation de "Fluttershy se réveilla". Cette paraphrase minimaliste, qui tente de simplifier la phrase jusqu'à l'os, offre un repère pratique pour voir ce qui a été fait.
On teste ?
6) Apparemment, Strawberry n'était pas tellement d'accord, alors que Sweetie Belle et Derpy commençaient à sourire, pensant que leurs problèmes pourraient être réglés. (Le règne de la nuit, chapitre 3)
Non, ce texte n'est pas lourd, j'ai juste pris une phrase au hasard dans une fic' au hasard. Bon la phrase est un brin trop longue mais tant mieux, on verra comment la paraphrase nous permet de détecter ça. Donc paraphrasons, vous voulez bien ?
6a) Strawberry n'est pas d'accord alors que Sweetie Belle et Derpy sourient en pensant que leurs problèmes sont réglés.
Comme dit, on essaie de ne conserver que le minimal vital. Toutes les nuances genre "apparemment", "commençaient" ou "pourraient" giclent par la fenêtre.
Oui je sais il faudrait un article entier pour expliquer comment faire ce genre de paraphrase, mais passons.
À partir de l'exemple (6a), qui nous sert de repère, que dire de (6) ? Eh bien, déjà, le vocabulaire est simple. Et effectivement, le vocabulaire devrait être simple. Il y a beaucoup d'atténuateurs un peu partout (toutes les nuances précédemment citées) qui font de cette phrase un gros euphémisme... okay on a vu un effet de style, mais quid de la lourdeur ?
La paraphrase se doit d'être la plus simple possible. Ici, il y a deux parties compliquées : "alors que" et "en pensant". On note pour ce dernier qu'on a rajouté un "en". Pourquoi ? Parce que sa suppression est un effet de style. Croyez-moi sur parole.
La paraphrase nous dit où regarder et en regardant bien on verrait que la phrase mélange deux "propositions". Le problème se produit à "pensant", avec un lecteur qui croit qu'on parle à nouveau de Strawberry. Problème de structure, phrase trop compliquée, il faut clarifier les choses :
6b) Apparemment, Strawberry n'était pas tellement d'accord, alors que Sweetie Belle et Derpy (pour leur part) commençaient à sourire en pensant que leurs problèmes pourraient être réglés.
Mais même alors, le participe présent reste quelque chose d'assez "complexe". Simplifions encore plus :
6c) Apparemment, Strawberry n'était pas tellement d'accord, contrairement à Sweetie Belle et Derpy qui commençaient à sourire à l'idée que leurs problèmes pourraient être réglés.
Notez qu'ici la lourdeur venait de la structure de la phrase. Pour régler le problème, on a rajouté des mots, on a allongé la phrase. La lourdeur n'est donc vraiment pas une question de nombre de mots. Pour le lecteur, la "lourdeur" c'est quand le texte ne lui parle plus.
Là on a eu un exemple de paraphrase mais retentons l'expérience, cette fois avec un cas qu'on a déjà vu, celui de Fluttershy au réveil. Je vous propose le cas (1) :
1) Fluttershy s'arracha à la torpeur languissante de son inconscient, passant d'une sorte de morne somnolence à un soudain enthousiasme vif et spontané à mesure que les pensées se chamboulant dans sa tête frétillaient sous ses paupières encore un peu lourdes.
Paraphrase :
1a) Fluttershy s'arrache à la torpeur de l'inconscient et passe de la somnolence à l'enthousiasme alors que ses pensées frétillent sous ses paupières.
Et maintenant imagine que quelqu'un a lu ta phrase et te demande d'en faire un résumé. Tu lui dirais ça ? Non, tu lui dirais "Fluttershy reprend conscience, ce qui l'enthousiasme et la fait frétiller." Quelque chose comme ça. Ici les termes sont trop compliqués ("torpeur de l'inconscient" est un monstre en soi) et on nous met des adjectifs un peu partout. Autant d'indices qu'on se complique la vie pour rien.
Là je montre une paraphrase assez basique mais le travail de paraphrase va toujours plus loin : je l'ai dit, on veut le minimum vital. Là, en (1a), ce n'est pas le minimum vital. Mais passons.
Et corrigeons.
Face à la lourdeur, le premier réflexe est de supprimer. Couper. Retirer des mots. Genre ici l'auteur frustré qui ne voit pas comment corriger son torchon décide que "tout est nul" et ne laissera que "Fluttershy s'arracha à la torpeur languissante de son inconscient." Point. Voilà, on a supprimé environ deux lignes, problème réglé ? Nope, c'est toujours lourd. Stade auquel l'auteur vous insulte en grec.
De fait, ce que la paraphrase peut nous dire, c'est ce que la phrase contient. En l'occurrence, on veut dire que Fluttershy reprend conscience et que ça l'enthousiasme. Alors plutôt que de vouloir couper dans le lard ou autres pansements sur une jambe de bois...
Pourquoi ne pas réécrire carrément la phrase ?
Maintenant qu'on sait ce qu'on veut dire, essayons de le dire de façon plus fluide, plus légère.
1b) Fluttershy frétilla à la foule de pensées qui venaient de bousculer son inconscient.
Ici plus besoin de mentionner l'enthousiasme de l'éveil : la forme l'évoque pour nous. Phrase dynamique, frétillement, bousculade, etc... Le côté "morne" est lui moins accentué mais le simple emploi du mot "inconscient" contraste avec le ton plus enjoué. Car yup, les termes élevés ont tendance à être assez graves et... pesants. Bref.
La paraphrase, bien appliquée, nous dit ce que la phrase est censée faire. On en dégage les idées principales, puis on reformule. Encore. Et encore. Et encore. Et encore. Et bien sûr on fait avec ce qu'on a, je ne vous demanderai pas d'avoir fait l'université (surtout pas, restez spontanés, pitié) mais corriger la lourdeur ne se fait pas juste en supprimant ou en changeant des mots. En général, la meilleure solution est de reformuler.
Et oui, il faudrait aussi tout un article sur la reformulation, punaise on n'en a jamais fini...
C'est le moment pour un tl;dr ?
La "lourdeur" d'un texte ne se résume pas à son nombre de mots. Ça joue au niveau du texte, de la phrase, du mot... et ce peut être son contenu, sa structure, son registre... Essentiellement, on dit qu'un texte est "lourd" quand il complique les choses pour rien.
C'est souvent un signe de manque de maîtrise mais qui indique des efforts (pour étoffer, développer). Donc on pardonne, mais ça rend la lecture pénible.
Parfois, c'est juste de la flemme, ou "pour faire genre", et là on grogne.
Le meilleur moyen, à part la relecture (pour voir quand nous-mêmes on décroche), est encore la "paraphrase". Résumer le passage le plus possible et, à partir de ce repère, voir si la complication se justifie vraiment. Et si on découvre que c'est lourd, le mieux est encore de "reformuler".
J'ai l'impression de n'avoir toujours qu'esquissé le sujet, notamment parce qu'il faudrait à l'inverse parler de la "fluidité" mais en l'état c'est tout ce que j'ai à dire et je suis super-duper-fatigué donc je vais vous laisser juges et donner comme d'habitude le dernier mot, fanficers,à vos plumes !
Bonsoir à tous, j'ai envie de vous présenter un nouveau concept révolutionnaire encore jamais inventé, la lecture !
Hmm incroyable, comment est-ce possible ?
Aller, plus sérieusement. Je veux vous parler d'une idée de projet qu'on a eu en groupe. Bref, faire des lectures en live. Alors on est loin des projets de lecture audio sur YouTube avec des supports musicaux, des répétitions, etc. Non non non, on parle simplement de se retrouver un soir et de lire une fic qu'on aura déjà choisi et d'en faire la lecture en live.Bien entendu, nous ne sommes pas le groupe le plus sérieux. On veut avant tout faire ça pour s'amuser. Mais on n'oubliera pas de lire la fic et de le faire de manière correcte, je vous rassure.
Voilà. Le projet est lancé pour ce vendredi soir, vers 22h. Ça se passera sur Mumble. On doit juste encore trouver le serveur, mais c'est bientôt fait. On va sûrement s'arranger avec l'équipe de Radiobrony
Bon, j'espère que c'était assez court et que personne n'est parti. Pour faire simple.
Ce vendredi 22h lecture live sur Mumble tout le monde est le bien venu et le mot de passe sera délivré sur cette page une fois qu'on en aura un (s'il y en a un ^^).
Bien entendu, si nous ne trouvons toujours aucune aide en ce qui concerne un Espace Teampeak il faudra reporter la projet à la semaine prochaine. Nous ne sommes qu'en phase de « test » pour le moment je tiens à le rappeler.
/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\
EDIT :
Nous avons fait un changement radical !!!
Alors faites bien attention nous sommes passés sur TEAMSPEAK.
Suite au test fait sur le mumble de Radiobrony, nous avons préférer héberger vers un serveur teamspeak.
Server Address
hermes.ts3-serveur.com:19784
Server Password
okvomer
/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\/!\
Well...
En fait, je voulais juste faire un article histoire de mettre un article, me présenter et de dire pourquoi je suis là donc comme on est pas là pour ce prendre la tête, j'attaque :
Pseudo : Nero Quiet (mon pseudo Brony, ailleurs j'utilise Drayke Eternity qui est mon pseudo principale et furry)
Age : 29 ans
Loisir : je suis un gamer (PC et console), j'aime un peu les petits poneys, le Furry, le manga et le dessin numérique.
je suis artiste amateur / furry et je possède quelques galeries sur Furaffinity.net, Deviantart et j'ai une Page Facebook
OC : Mon oc et avatar (en haut de la page), Nero quiet, est un Hybride, fruit de l'union entre un mâle chageling et une licorne. il a l'apparence d'une grande licorne pêche et aux longs crins châtain, mais il à hérité des yeux et des ailes des changelings. Pour finir, concernant sa taille, il est plus petit que Célestia mais un peu plus grand que Luna. Il n'a pas besoin vital de manger de sentiments et s'est toujours retenu de le faire. Peut camoufler ses yeux et ses ailes pour "gommer" ses traits changeling, mais ne peut pas changer totalement d'apparence ou faire d'autre sort. Grande force télékinétique.
ci-dessous ma conception des tailles dans MLP, j'ai bien conscience qu'il s'agit-là d'une vision purement personnel:
Comment ai-je connu MLP? : Par hasard via des images et des vidéos, le style graphique m'a tout de suite beaucoup plus. Maintenant je me suis un peu lassé de l'univers, mais j'aime toujours en lire des fanfics ou voir des images (quand je ne l'es fait pas moi-même)
Comment ai-je connu MLPFictions.com ? Sur un autre site viens un membre qui en parlait en bien. et Comme je suis friand d'histoires et de fanfics, j'ai suivit certains auteurs venu ici. A la base, je me suis inscrit juste pour lire, et puis j'me dis que peut être je pourrais rejoindre le troupeau de temps à autres et participer un peu.
Expérience en Ecriture : Pas grand chose. J'ai écrit des one-shot et une fic il y a longtemps sur l'univers pokémon. Concernant MLP, je dois avoir deux one-shots d'écrit et plein de textes et d'idées, mais je n'ai rien publié pour le moment car j'ai des doutes concernant ma capacité à faire quelque chose de correct.
Pour tout dire, j'ai de grosse lacunes en français (même si j'ai fait des progrès) qui me font hésité à publier quoique ce soit.
BREF!
voilà, c'était juste histoire de, là-dessus, en bon semi-changeling lunatique, je vous salut et retourne dans ma grotte sur mon pc.
En ce jour du vingt-neuf novembre de l'an de grâce deux mille quatorze, le Renard du Désert, le logicien de l'extrême, le roux doudou en personne, j'ai nomme le goupil Vuld Edone, après une galère de vingt mois d'intenses râlages ponctués de quelques phases de traduction, a finalement terminé la traduction de la plus longue fic de My Little Pony, l'inommable Fallout: Equestria.
Afin de fêter dignement la fin de ce calvaire, le goupil vous invite à participer à un raid sur la personne de Metasigma -que son nom soit sanctifié- sans qui rien n'aurait pu être traduit. Ainsi à l'heure précise de 21:21 (oui, c'est dans dix minutes) le plus de larbins possibles iront hurler dans le chat du Meta'ratho DRILL DRILL DRILL (ne me demandez pas pourquoi, les voies de la logique sont impénétrables) à l'adresse suivante : http://www.twitch.tv/osey889.
Venez nombreux !
Hi'.
Cette fois, ça y est.
Si tout se passe bien, d'ici à dimanche soir, la traduction de Fallout: Equestria (et cette série d'articles) sera enfin terminée.
Il reste 35 pages à traduire, soit un minimum syndical de 9 pages qu'on se fera un plaisir (ah ah) d'exploser. Épilogue à part, il reste un seul chapitre et celui-ci fait 24 pages. Ce sera notre objectif aujourd'hui.
Car yup, Meta' streame le lundi désormais, mais ce lundi il devait bosser et nous a donc promis un bon gros long stream le jour de la Thanksgiving, c'est-à-dire là aujourd'hui, tout de suite. À plus ou moins quelques heures près... je suppose. Avec ou sans lui, d'une manière ou d'une autre, je vais aligner les pages, et si je n'arrive pas à boucler le chapitre ?
Pas grave.
En effet, une surprise de taille est venue me faucher les pattes en début de semaine. Metasigma et quelques-uns de ses potes, dont Osey889, nous concoctent un marathon. Yup. Un marathon, ce samedi, vous savez ce que ça signifie ? ... Ça signifie que ce samedi je serai en famille loin d'internet, mais ! Je vais me dépêcher de rentrer et samedi soir j'abats encore des pages. Entre autres parce qu'il y a minimum six heures de décalage, donc je ne sais pas quand ils commencent mais j'arriverai probablement en cours de route.
Et si le marathon est épique, ce sera ce jour-là, précisément, que cette traduction interminable sera terminée. Dans ta face, la logique.
Donc tl;dr :
Va là -> Osey889 (Meta'rathon)
Et le programme -> Programme
Non vraiment, laissez-moi insister.
Aujourd'hui, on bosse. Aujourd'hui, on essaie d'abattre le plus gros du boulot. Mais samedi, avec ou sans moi, qu'il reste des pages ou pas, ce samedi c'est la FÊTE ! Ce samedi je fête la fin de FO:E et ça se passera là-bas, sur ce marathon improvisé.
Alors pour l'occasion je veux faire un raid.
Je me suis déjà bien repayé pour cette trad'. À travers mes râlages. À travers mes articles. Mais si vous voulez me remercier une dernière fois, alors rendez-moi ce service :
Ce samedi, allez voir le Meta'rathon. Débarquez là-bas. Et là, sans honte, sans retenue, que vous soyez seul, en retard, même si j'y suis pas (encore), même si vous ne pensez pas rester longtemps, balancez, en toutes majuscules, un bon gros "DRILL DRILL DRILL!" Ceci est un message de raid, c'est un rituel de Twitch et peu importe le nombre que vous serez, si vous le faites ce sera déjà beaucoup.
Pour ceux qui ont vraiment du mal avec le texte, je le résume en une image :
Oui je fais avec les images que j'ai.
Et maintenant assez bavassé, on a du texte sur la planche ! Votre cadeau de Noël est quasiment prêt, venez assister au déballage en direct ou venez FLEX ! Faites couler l'encre, répandez le fun, balancez du poney et continuez à demander l'impossible, fanficers,à vos plumes !
EDIT: Il est 22h30 et le chapitre 45 est achevé. L'épilogue fait 11 pages, c'est une formalité. Meta' va revenir en ligne brièvement, j'expédierai encore quelques pages et ensuite, le reste samedi soir.(Je compte sur vous samedi.)
EDIT2: Nous sommes le 29 à 21h40, le Meta'rathon tourne depuis un moment et le point final a été atteint. La traduction de Fallout: Equestria est officiellement terminée. Vala' vala'...
Les créations et histoires appartiennent à leurs auteurs respectifs, toute reproduction et/ou diffusion sans l'accord explicite de MLPFictions ou de l'auteur est interdite. Ce site n'est ni affilié à Hasbro ni à ses marques déposées. Les images sont la propriété exclusive d'Hasbro "©2017 Hasbro. Tous droits réservés." ©2017 MLPFictions, version 1.2.7. Création et code par Shining Paradox, maintien par Sevenn.