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REX 14 462

Comment trouver l'inspiration ?

   J'écris surement ce qu'on écrit beaucoup d'autres avant moi !
   Je vais pas vous bassiner avec tout mes méthodes les plus extraordinaire et incroyable, car je ne suis ni médecin, ni psychologue ! (et de plus, tout le monde ne peux pas faire comme tout le monde !)
    1) La page blanche !
Qu'est-ce que la page blanche ? He bien.... c'est un GIGANTESQUE BLANC sur l'écran de votre ordinateur ! (rassuré vous ce n'est pas parce qu'il à planté !)
    C'est ce que redoute tout les écrivains en herbe (et les vrais écrivains d'ailleurs !), ce sentiment de "non-inventiviter", de ne pas savoir où aller où de ne pas savoir comment continuer (et parfois même d'être décourager d'écrire ! (expérience personnel))
    2) Comment y remédier et surtout comment trouver l'inspiration !
    "Inspiration" Un mot inconnue pour certains et précieux pour d'autres. Mais avant tout une "clé" pour tout auteur qui se respecte !
     Pour remédier à la page blanche et donc trouver l'inspiration, je préconise:
-LA MUSIQUEEEEEEEE !(forcément en tant que musicien, je n'y coupe pas !) Mais attention ! Pas n'importe lesquelles ! (je m'explique)
Le type de musique que j’emploie le plus souvent sont relier à des sentiments:
Par exemple ! Pour ma part, j'aime écouter Exile Vilify de The National pour trouver des histoires triste ou avec une pointe d'espoir.
C'est comme ça avec les autres, chaque musique est pour ma part, une histoire à proprement parler (pas forcément grâce aux paroles ! mais plutôt grâce à la mélodie). Donc amateur de musique, cette carte est très bonne à jouer ! Installer vous sur un banc, dans votre lit. Lâchez votre portable et tout le reste. Dites "Merde" et laisser vous porter par votre playlist !!!
 
-L'AIR PUREEEEEEE ! Faites un tour ! Marchez dans votre quartier, au bords d'une rivière, dans une forêt ! Et laissez vous transporter par vos pas et par l’environnement ! Marcher à toujours été un moyen de réfléchir (pour ma part), parler vous à voie haute ! (quand vous êtes tout seul bien entendu)
 
-LES FILMS ET LES LIVREEEESSS ! Amateur de littérature et de bon films, ne mettez pas cette option de côté !
(Bien sûr, n'aller pas relire votre bouquin de 500pages !) Prenez les meilleurs passages ! Ceux qui vous fait: rire, pleurer, stresser, etc... De manière à retrouver cette sensation et à s'en inspirer ! (Et même à partir de là !)
 
-LES SITUATIONS QUOTIDIENNEEEEES !
(je prends un exemple des plus banals)
"Maman ! Je veux pas ranger ma chambre !!!
-Si ! Où tu es priver de dessert !"
 Ah ma mère, toujours à me faire des reproches !! Ben tiens en voilà une bonne source d'inspiration !
 
"Alors que Riki était dans son labo top secret, la diabolique Malake, une méchante de renommer et manique du rangement déboula à l'intérieur avec un cris de fureur:
-Tu vas périr pour ne pas avoir ranger ton laboratoire !!!
   Riki prit sur lui, et tout en sortant deux fusils plasmique se mit à couvert et dit avant d'ouvrir le feux:
-Jamais vous n'aurez mon territoire !!! Et encore moins mes fringues !!!"
 
Ok c'est complètement nul.... (ne me frapper pas !) Mais, voilà comment partir ! Changer les phrases, les situations ! Rendez les dures ! Explosives ! Intensives ! Dramatique... Post-Apocalyptique ! Humoristique !!
 
-C'EST FINIIIIIIII !!! En espérant vous avoir réconforter et donner des idées ! Et surtout n'oubliez pas ! "La dernière chose qui se trouve dans la boite de Pandore est "l'espoir" et c'est ce qui fait vivre l'Homme"
Aller ! A tout le monde !!
R.B
                                                                                            

REX 2 322

Avoir "l'étincelle" ! Et aussi, qu'est-ce que "écrire"

Bon ! Je vais vous raconter comme MOI j'ai eu le "déclic" comme diraient certains pour écrire, et surtout qu'est-ce que c'est "d'écrire" pour MOI.
     C'était une chaude journée d'été, et.... Bon d'accord pour faire clair, j'ai eu cette idée en cours de Physique-Chimie ! (endroit improbable non ?)
      D'autant plus, que rien ne me prédestiner à aimer écrire. Je m'explique: Le Français n'a jamais été mon truc, et pour couronner le tout, je suis Dyslexique (problèmes de syntaxes, fautes de grammaire, fautes d'orthographe). Donc bon, si quelqu'un m'avait dit un jour: "Pourquoi tu te mettrais pas à écrire ?" je lui aurais ris  au nez !
       Pour en revenir à mon déclic, étant un grand rêveur, je passais pas mal de temps à vivre des aventures dans ma tête plutôt qu'a écouter en cours, et puis alors que mon professeur nous enseignait les "Masses Molaires" (c'est du cours de première S ;) ), j'eus comme toujours une nouvelle idée d'histoire, je l'ai donc nourris pendant plusieurs minutes, mais arriver à un moment, je me suis dit: "Mais M**** ! Si je l'a mettais sur papier ?". Car le truc c'était que je la trouvais plutôt pas mal et que j'avais envie de voir mon rêve achevé sur papier (ou plutôt sur Microsoft Word). Au bout d'une semaine je l'avais finit, et auprès de mon entourage ( et même de mon prof de français ainsi que de la Documentaliste), j'eus de très bonne critique !
       C'est là où je veux en venir ! Écrire, n'est pas un métier, ni un moyen de gagner de l'argent et encore moins une corvée ! Écrire, c'est avant tout un moyen de s'exprimer, mais aussi une envie, "une pulsion". Comme je l'ai dit plus haut, ça m'a pris comme une envie d'aller aux toilettes ! Et c'est justement ça qui est fou ! Car depuis, je ne peux pas passer trois semaines sans écrire quelques pages sur tel où tel films et histoire.
       Donc vous l'aurez compris, écrire est une envie soudaine et incontrôlable ! "Une drogue", mais une bonne drogue quand on sait comment s'en servir ! Je vous encourage donc à ne pas laisser vos aventures personnels au fond de votre boite crânienne, mais plutôt à les laisser aller sur quelques pages d'un logiciel de traitement de texte, et peut-être dans un cours de Physique-Chimie, vous aussi aurez cette envie d'aller aux toilettes !
 
Aller à toute !
R.B

NeroQuiet 5 327

Présentation + image


 
Well...
 
En fait, je voulais juste faire un article histoire de mettre un article, me présenter et de dire pourquoi je suis là donc comme on est pas là pour ce prendre la tête, j'attaque : 
 
Pseudo : Nero Quiet (mon pseudo Brony, ailleurs j'utilise Drayke Eternity qui est mon pseudo principale et furry)
 
Age : 29 ans
 
Loisir : je suis un gamer (PC et console), j'aime un peu les petits poneys, le Furry, le manga et le dessin numérique.
je suis artiste amateur / furry et je possède quelques galeries sur Furaffinity.net, Deviantart et j'ai une Page Facebook
 
OC : Mon oc et avatar (en haut de la page), Nero quiet, est un Hybride, fruit de l'union entre un mâle chageling et une licorne. il a l'apparence d'une grande licorne pêche et aux longs crins châtain, mais il à hérité des yeux et des ailes des changelings. Pour finir, concernant sa taille, il est plus petit que Célestia mais un peu plus grand que Luna. Il n'a pas besoin vital de manger de sentiments et s'est toujours retenu de le faire. Peut camoufler ses yeux et ses ailes pour "gommer" ses traits changeling, mais ne peut pas changer totalement d'apparence ou faire d'autre sort. Grande force télékinétique.
ci-dessous ma conception des tailles dans MLP, j'ai bien conscience qu'il s'agit-là d'une vision purement personnel:

 
Comment ai-je connu MLP? : Par hasard via des images et des vidéos, le style graphique m'a tout de suite beaucoup plus. Maintenant je me suis un peu lassé de l'univers, mais j'aime toujours en lire des fanfics ou voir des images (quand je ne l'es fait pas moi-même)
 
Comment ai-je connu MLPFictions.com ? Sur un autre site viens un membre qui en parlait en bien. et Comme je suis friand d'histoires et de fanfics, j'ai suivit certains auteurs venu ici. A la base, je me suis inscrit juste pour lire, et puis j'me dis que peut être je pourrais rejoindre le troupeau de temps à autres et participer un peu.
 
Expérience en Ecriture : Pas grand chose. J'ai écrit des one-shot et une fic il y a longtemps sur l'univers pokémon. Concernant MLP, je dois avoir deux one-shots d'écrit et plein de textes et d'idées, mais je n'ai rien publié pour le moment car j'ai des doutes concernant ma capacité à faire quelque chose de correct.
Pour tout dire, j'ai de grosse lacunes en français (même si j'ai fait des progrès) qui me font hésité à publier quoique ce soit.
 
BREF! 
voilà, c'était juste histoire de, là-dessus, en bon semi-changeling lunatique, je vous salut et retourne dans ma grotte sur mon pc.
 

AxeDay 24 672

Besoin d'Oc's

Je ne sais pas si vous êtes au courant, mais j'écris une fiction nommée the éléments ponies, et j'ai grandement besoin d'Oc's licornes ou poneys terrestres (qui seront transformés en licornes)...Voilà, faites une description physique et mentale courte... Une image sera bien entendu toujours la bienvenue, mais je n'oblige personne. Merci d'avance, et à bientôt !

HortensePony 1 283

Avancements Fictions de HortensePony

Hello !
Comme je suis à plus d'une fiction sur le site et que ces dernières sont suivies par plusieurs personnes, je me suis dis que vous informer de l'avancement des chapitres de mes fictions ne serait pas de trop ! L'article sera soigneusement MAJ au moins une fois par jour. Si vous voyez que rien n'a bougé, c'est que rien n'a été écris/avancé aujourd'hui.
N'oubliez pas d'aller le consulter ~
 
Next Generation - 4 chapitres sur 6 ou 7
Avancement du chapitre 5 : 0%
 
Nina - 1 chapitre sur 3
Avancement du chapitre 2 : 28%
 
Fiction sur les Dazzlings - 0 chapitre sur ?
Avancement du projet : Mise en place du scénario mais pas encore de fin imaginée.
 
Cet article permet aussi de répondre à quelques questions à propos de mes fictions donc hésitez pas à en poser !

Vuld 0 159

La logique (5) - Le raisonnement

Hi'.
Vous allez rire, j'ai voulu écrire cet article en mode "bon allez abrégeons" et après trois heures de rédaction je me suis rendu compte que même moi je 'comprenais plus ce que j'écrivais.
Ouais j'avais voulu simplifier les choses mais wow, je ne suis définitivement pas pédagogue, et maintenant qu'on en est arrivé au tournant, au moment clé, celui où on passe enfin à l'application, ben... pfouuuh... j'ai l'impression qu'il reste encore mille choses à vous introduire avant d'oser le faire.
Laissez-moi vous expliquer.
Dans le second article sur la logique, on avait ce passage :
1) Twilight hésitait. Starswirl avait raison, mais si elle le soutenait elle allait perdre ses amies. Pire encore, elle risquait de perdre Dash ! Mais, se dit-elle, il avait raison !
Notre but désormais, maintenant qu'on a tout l'attirail logique pour, est de traduire cela en termes logiques et, dans la foulée, découvrir comment fonctionne le texte.
Le problème c'est que le résultat c'est ça (fermez vos yeux ça équivaut à un screamer) :
1a) [pqrs][ >( MAIS(p) >( MAIS( >( q s ) >( MAIS( >( q r ) >( p MAIS( p MAIS( ^( >( q r ) >( q s ) p ) ) ) ) ) ) ]
À une ou deux parenthèses près. Autant dire que c'est au-delà de l'illisible et qu'il y a tellement de trucs nouveaux qu'en voyant ça je me suis presque foutu une gifle.
Alors.
 
1. L'hypothèse
Déjà, je suis forcé de revenir sur l'hypothèse. J'avais introduit ce terme dans le second article et dit que c'était "un truc dont on sait pas si c'est vrai mais on fait comme si".
En gros on a "p", qui est une variable, ça vaut donc 10 (ce qui signifie que "ça peut être vrai ou faux"). Si on écrit notre variable toute seule :
1 p
Bah... la ligne 1, là, où on a écrit "p", elle vaut 10. Ah parce que oui, maintenant on va aligner les formules, à raison d'une formule par ligne, qu'on numérote :
1 blababla2 balblabal3 balba4 ...
Et donc là notre ligne 1 vaut 10... ce qui ne veut strictement rien dire à part un haussement d'épaule monumental. Nous, on veut une valeur unique : VRAI ou FAUX. Donc on quantifie :
1 [p][ p ]
Eeeeet... c'est faux. Donc si on voulait faire l'hypothèse "p", en l'introduisant toute seule dès le départ on aurait une énorme erreur 404 "désolé votre variable c'est nawak je peux pas travailler dans ces conditions et je claque la porte".
Quand on raisonne, TOUTES nos expressions, TOUTES nos formules, TOUT doit être vrai.
Donc comment on fait ?
On fait des hypothèses.
C'est ce que je disais à propos de Twilight : elle n'énonce pas des vérités absolues, elle se contente de faire des hypothèses. Elle ne sait pas si Starswirl a raison, elle le suppose, elle part du principe que oui.
Mais alors à quoi ressemble une hypothèse ?
Je pourrais, ici, vous faire "ça ressemble à ça vos gueules" mais je me sens obligé de détailler. Ce qu'on veut, c'est une expression qui soit toujours vraie. Et ça, dans le dernier article (sur les quantificateurs), on connaît :
2) [p][ ≡( p p ) ]
Ça là on l'a dit c'est vrai de toute éternité, ça signifie que "p équivaut à p", "un chat est un chat", c'est le chat de Shrödinger, mort ou vif ça reste un chat. Ce qui signifie que "si c'est un chat alors c'est un chat" ou, en termes bien barbares et effrayants : "l'équivalence contient deux implications".
2a) [p][ >( p p ) ]
La formule en (2a) est toujours vraie également. Si "p équivaut à p" alors forcément, "p implique p". Et vous pouvez calculer les valeurs de vérité d'ailleurs :
2b) >( 10 10 ) = 11( 10 10 )
Pour rappel, donc, "p" vaut 10, ce qui signifie "il est vrai ou faux" et ">" vaut 1011, ce qui signifie "si p et q sont vrais, > est vrai. Si p est vrai mais q est faux, alors > est faux. Etc..." En l'occurrence là on n'a que des p et donc seulement deux cas de figure qui correspondent aux résultats 1 et 1. L'implication vaut donc toujours 1 et la quantification est contente.
Maintenant, si on paraphrase : dans le cas où "p" est faux, l'équivalence nous dit : "si p est faux alors p est faux". Grmf. Nous, on veut faire des hypothèses : on veut faire comme si p était vrai. Alors on paraphrase l'implication : "si p est faux alors p est vrai." Pour le comprendre il faut revenir à la valeur de vérité de l'implication et à son fonctionnement et c'est un brin compliqué et arbitraire.
L'important dans tout ça c'est que oui, >( p p ) est une hypothèse. On fait l'hypothèse que "p", et ça nous permet de dire "p". L'hypothèse est à gauche et à droite on peut mettre tout ce que cette hypothèse permet de conclure. On fait, littéralement, comme si p était vrai (dans les cas où il est faux c'est vrai quand même).
Donc quand Twilight dit "Starswirl avait raison", elle fait l'hypothèse :
1 [p][ >( p p ) ]
Où vous pouvez remplacer "p" par "Starswirl a raison". Elle dit "Si (on prétend que) Starswirl a raison, alors Starswirl a raison." C'est ce qu'on appelle aussi le contrat de lecture dans un texte, ou la suspension de crédulité du lecteur. On fait comme si ce que nous racontait le texte était vrai.
 
2. Les opérations
En logique classique, vous pourriez introduire "p" tout seul, vous appelleriez ça une prémisse et vous vous sentiriez un peu stupide. Enfin je sais pas c'est comme ça que je me suis senti moi, à faire "mais c'est quoi ce truc".
Dans la logique qu'on utilise ici, on travaillera toujours avec des hypothèses, donc avec des >( - - ). Et puisque les hypothèses nous assureront que tout ce qu'on écrit est toujours vrai, on peut se passer des quantificateurs ! Halléluiah !
Donc notre ligne 1 :
1 [p][ >( p p ) ]
On peut la réécrire en :
1 >( p p )
C'est déjà un peu plus lisible. Admettez. Ce n'est pas pour autant que vous devez faire comme si la quantification n'existait pas. Elle est toujours là. Et si vous l'oubliez, je la remets direct. C'est juste pour notre confort personnel mais n'oubliez jamais que tout ça est quantifié.
On va également, pour notre confort personnel, mettre les ">( ... )" en gras, question de bien les voir :
1 >( p p )
Et maintenant... on est libre ! On peut faire ce qu'on veut !
Je l'avais dit à propos des connecteurs, ceux-ci sont composés de trois choses : le symbole, la valeur de vérité et... les règles. Ces règles, dont on n'a pas encore parlé, nous disent ce qu'il est possible de faire avec ce connecteur.
Car oui, un connecteur ne sert pas juste à calculer les valeurs de vérité. Il permet d'opérer. Il permet de modifier les formules, d'en créer des nouvelles, etc...
Je ne vais pas passer en revue ici toutes les règles, il y en a beaucoup trop. Dans les faits je ne vous en montrerai que deux, mais juste par acquis de conscience je préciserai que chaque connecteur a deux règles (et plus si affinités) :- Une règle d'introduction- Une règle d'éliminationChaque règle est alors représentée par le symbole suivi de la lettre "i" ou "e". Par exemple :
2.1 L'introduction de l'implication
">i" signifie "introduction de l'implication", parce que ">" c'est l'implication et "i" signifie introduction. Woohoo. Et comme c'est fait exprès, voyons cette règle.
Déjà, en termes logiques, elle dit ça :
[p][ >( p p ) ]
Ouais ce truc est une vérité vraie, donc tu peux l'introduire quand tu veux. En l'occurrence c'est si courant qu'on se contente d'écrire HYP, tout en majuscules. Parce que c'est une hypothèse et des hypothèses on va en faire à la pelle.
Cela dit, l'hypothèse c'est puissant. Pourquoi ? Parce que :
[p][ >( p T ) ]
Il y a une autre manière de l'écrire mais qui m'obligerait à faire un détour des enfers donc je vous laisse simplement vérifier que ça c'est toujours vrai (T signifie "vrai", ça vaut 1) et je vous l'explique : l'hypothèse dit que "on fait comme si p était vrai", ça veut dire qu'au sein de l'hypothèse "p" équivaut à une vérité absolue du type l'eau ça mouille et tout ça.
Donc, à la place de "T" on peut mettre n'importe quelle vérité vraie. Du genre... une seconde hypothèse ?
1 >( p p )          HYP2 >( p >( q q )) HYP
Et on peut faire ça des dizaines de fois. Les hypothèses s'imbriquent les unes à l'intérieur des autres, ce que j'appelle personnellement un "contexte hypothétique" pour des raisons qui échappent à la logique donc appelez ça juste "une saleté d'équation" si ça vous chante, je ne vous en voudrai pas.
Et vous devriez commencer à comprendre pourquoi je mets les hypothèses en gras, ça peut vite devenir illisible.
À noter que cette règle est encore plus puissante, parce qu'elle permet de faire :
1 >( p p )          HYP2 >( q >( p p ))  HYP
Ouais, l'hypothèse "q" est aussi une hypothèse, elle peut faire la même chose que "p" donc oui, messieurs les logiciens, dans ce système on peut introduire une hypothèse à gauche ou à droite, selon l'humeur. Ça ne vous semble rien vous autres mais ce truc sauve des chatons.
Pourquoi ?
Parce que ~i.
2.2. L'introduction de la négation
Je ne sais pas pourquoi mais "~" m'a toujours fait penser à de la pub' pour les cigarettes. Inexplicable. Anyway non, ce n'est pas un chameau, c'est le symbole de la "négation", le "ne... pas..." et on va donc apprendre à en faire apparaître.
1 >( p ^( q ~(q) ) )
L'expression en ligne 1 est une contradiction. On a fait deux hypothèses contradictoires et constaté, avec la conjonction ^( - - ), que ça faisait un smiley déprimant. Plus sérieusement, là on a abouti à un résultat qui permet de dire tout et son contraire, et même si techniquement la ligne 1 est toujours vraie, bah l'expression à droite elle elle ne l'est pas.
Quand on arrive à un tel cas, cela signifie qu'une de nos hypothèses est fausse.
La question c'est laquelle.
La logique te dit que c'est l'hypothèse dominante. Bon pas la logique classique mais on verra vite que ça importe peu. Pour le moment, et par défaut, la règle dit de prendre l'hypothèse dominante et de lui faire "t'as voulu contradictorer ? Va contradictire sur la Lune !"
1 >( p q )2 >( p ~(q) )3 ~(p)          1,2, ~i
Vous avez fait une hypothèse, elle vous a fait conclure (lignes 1 et 2) à une contradiction, donc en ligne 3 vous pouvez rigoureusement conclure que "p" c'est du foutage de gueule.
Et oui, on est logique, ici c'est le principe du tiers exclu, c'est tout noir ou tout blanc, sans nuance :
[p][ ≡( p ~(~(p)) ) ]
Si vous niez "p", ça donne "~(p)". Mais si vous niez "~(p)", vous retombez sur "p". C'est toujours vrai, nécessairement vrai, indiscutablement vrai et c'est à ça que sert la logique.
Mais là vous vous dites... j'espère... "Attends ça veut dire que si je fais l'hypothèse que Twilight est une bille, que j'arrive à une contradiction, ça prouve sans conteste que dans tous les mondes possibles, même ceux où Twilight n'existe pas, elle est la meilleure ponette ?"
Euh... non ? >( p q ) n'était pas vrai au départ, pour pouvoir y arriver il t'a fallu faire un tas d'autres hypothèses derrière qu'on ne montre pas. Ta contradiction ne vaut qu'à l'intérieur de ces hypothèses, c'est la "portée", la limite de la vérité que tu établis. Avec suffisamment d'hypothèses et de mauvaise foi (patapé humour !), tu peux parfaitement démontrer que Sombra est génial.
 
3. Le MAIS
On a introduit deux règles jusqu'ici, il y en a un paquet d'autres qu'on inscrit à la création du connecteur. Car oui, notre logique permet de créer des connecteurs.
Par exemple le "mais".
En logique classique, le "mais" est réputé non-logique. Quand tu argumentes avec un "mais", tu as déjà quitté les rivages de la raison, tu parles de trucs insensés, c'est fini. Je dois rajouter du sarcasme ? Dans notre logique à nous, rien ne nous empêche de créer un connecteur MAIS( ).
Et on va en avoir besoin :
1) Twilight hésitait. Starswirl avait raison, mais si elle le soutenait elle allait perdre ses amies. Pire encore, elle risquait de perdre Dash ! Mais, se dit-elle, il avait raison !
Que se passe-t-il quand quelqu'un dit "mais" ? C'est un peu mon boulot de linguiste que de répondre à des questions du genre et c'est en fait un boulot que j'ai fait. Avant de disposer de l'outil logique avec lequel je vous bassine depuis cinq articles, la réponse en gros c'était :
mais( p q ) = ( p ET q ) et euh NON-r
On "sentait" que "mais" impliquait que les deux choses dites, que "Starswirl a raison" et que "si Twilight blablabla...", étaient vraies. À cela, on "sentait" également que "mais" sous-entendait une troisième variable, "r", que la partie qui suit, "si Twilight blablabla...", viserait à nier.
Nous, nous dirons que :
[q][ ≡(MAIS(q)[pr][ >(>(rp)>(q>(r~(q)))) ]) ]
Ce qui nous donne un connecteur MAIS( - ) avec une seule variable, et une définition barbare à droite qui dit que si on a >( r p ) alors on peut obtenir >( q >( r ~(q) ) ). Oui c'est un casse-tête chinois mais, surprenamment, ça marche.
1 Starswirl avait raison...1 >( p p )2 Starswirl avait raison, mais...2 >( MAIS(q) >( p MAIS(q) ))3 Starswirl avait raison, mais si elle le soutenait...3 >( MAIS(>( q r )) >( p MAIS(>( q r )) ))4 Starswirl avait raison, mais si elle le soutenait elle allait perdre ses amies.4 idem
Jusque-là on a simplement regardé Twilight introduire des hypothèses. Que Starswirl a raison. Que si elle le soutient elle perd ses amies. On a réécrit le texte en langage logique. Rien ne nous empêche de continuer et de finir la paraphrase, hein :
5 ...6 Starswirl avair raison, mais... mais il avait raison !6 >( MAIS(p) >( MAIS(>( q s )) >( t >( MAIS(>( q r )) >( p MAIS(p) )))))
J'ai mis "t" pour "pire encore" au sens de "c'est pire" mais là il y a toute une histoire d'anaphore et puis flemme quoi... Là on s'est contenté d'écrire le texte tel qu'il "est", le texte pour lui-même, ce que nous dit Twilight. On pourrait l'écrire autrement, il y a un tas de nuances et ce n'est pas ce qui m'intéresse.
Moi, ce qui m'intéresse, c'est la manière dont le LECTEUR lit le texte.
Par exemple, aux lignes 2 et 3, la seule différence est le remplacement de la variable "q" par ">( q r )". Pourquoi ? Parce qu'au stade de "mais", on n'a aucune idée de ce qu'est cette variable, seulement que grammaticalement un truc doit suivre "mais". Même en ligne 4, on ne sait toujours pas ce qu'est "r", on sait juste que quand il y a un "si", à moins de signifier "tellement", alors il faut que quelque chose suive. Le langage aménage de telles places vides qui attendent d'être remplies, définies.
Maintenant, une fois qu'on en est à la ligne 4, est-ce qu'on reste passif ?
Non.
Le lecteur interprète le texte. Et ici en l'occurrence le texte lui dit : "regarde, j'ai mis un 'mais', fais ton boulot". Et le "mais" dit au lecteur ce qu'il doit faire.
5 >( MAIS(...) >( p >( s s )))6 >( MAIS(...) >( p >( s p )))7 >( MAIS(...) >( p >( ... >( s ~(...) ) ) )))
En ligne 5, on a introduit l'hypothèse "s". On ne sait pas ce que c'est, on s'en fout un peu. Ce qui nous importe est que cette hypothèse "s" doit permettre de conclure "p". Ce qui est facile : "p" est déjà une hypothèse. On obtient donc la ligne 6 qui, parce que le "MAIS" le rend possible, nous donne la ligne 7. On a fait une élimination du MAIS.
Le résultat ? Une contradiction. On a forcé le lecteur à faire l'hypothèse "..." et, en même temps, à conclure, puisqu'il a également fait l'hypothèse "s", que ~(...).
Comment on résout la contradiction ? Par l'introduction d'une négation. Quelle est l'hypothèse dominante ? ... okay c'est MAIS(...) et vous pourriez la supprimer, mais vous vous retrouvez à nier le texte. C'est très coûteux. Dans les faits on travaille "à l'intérieur" de l'hypothèse, au niveau de "s". C'est donc en fait "s" l'hypothèse dominante. Et c'est donc elle qui trinque :
8 >( MAIS(...) >( p >( q ~(s) )))
Vous pouvez reprendre la lecture tranquille : avec ce contexte (ces trois hypothèses) vous retrouverez toujours ~(s), c'est sous-entendu. Et c'est ça un sous-entendu dans un texte. Une variable que le texte vous pousse à ajouter par vous-même.
En l'occurrence si on continue la lecture :
9 ...10 ... mais il avait raison !10 >( MAIS(p) >( ... >( p ~(~(s)) )...))
Le texte vous pousse d'abord à nier le sous-entendu, puis à nier cette négation (c'est-à-dire à affirmer le sous-entendu, tiers exclu, tout ça).
 
4. Le sous-entendu
Ce qui m'amène à faire deux remarques.
A) Le contexte
Quand je parle de contexte, dans un texte, je ne parle pas de ce qui est écrit. Je parle de la série d'hypothèses que le texte demande au lecteur de faire pour pouvoir le lire.
B) L'implicite
Ou sous-entendu, c'est ce dont je parlais dans mon article sur la pertinence. Tout le contexte n'est pas noir sur blanc devant les yeux, il y a de l'information que le texte attend du lecteur mais que le lecteur va apporter de lui-même. Le "mais" en est l'exemple par excellence.
Quand Twilight dit "mais si elle le soutenait..." qu'est-ce qu'elle sous-entend ?
Le "mais" fait faire une hypothèse encore complètement inconnue, une sorte de place vide à définir. Tout ce qu'on sait de cette hypothèse, c'est que : 1) elle n'est pas contradictoire avec "p" et 2) elle est contradictoire avec "q". Ce "q" c'est "si Twilight le soutient alors elle perd ses amies". Qu'est-ce qui est contradictoire avec ça ?
Eh bien en fait il y a tout un raisonnement que je résumerais par la contraposée. C'est une règle qui n'est pas liée à un connecteur et qui dit (promis c'est la dernière fois) :
[pq][ ≡( >( p q ) >( ~(q) ~(p) ) ) ]
Cette règle, à la base de quelques sophismes, signifie donc que si elle ne veut pas perdre ses amies, Twilight ne doit pas soutenir Starswirl. Vu qu'autrement elle les perd. C'te logique. Et comme dans sa tête "~(q)", aka "elle ne veut pas perdre ses amies", est vrai, alors "~(p)" l'est également.
Donc quand elle dit "Si je le soutiens je les paume" elle veut dire "je ne vais pas le soutenir". Ce qui pose la question : pourquoi elle le soutiendrait ? Et la réponse est évidemment : "parce qu'il a raison". L'hypothèse que le "mais" dit de créer est donc contrainte, et on peut en définir sa valeur grâce à ça :
s =df "Si Starswirl a raison alors Twilight le soutient."
C'est la règle qu'on avait vue dans le second article (sur les valeurs de vérité) et c'est tout l'enjeu du passage, savoir si elle va le soutenir, aka suivre la règle.
Ce qui signifie que quand je parle du contexte, cela comprend TOUTES les hypothèses implicites, sous-entendues, ajoutées par le lecteur pour l'interpréter, souvent à la demande (volontaire ou non) du texte lui-même.
 
5. Conclusion
Un texte est une série d'hypothèses. Chaque "phrase" demande au lecteur de faire "comme si" c'était vrai. Et si le lecteur fait "c'est nawak" il brise le contrat de lecture.
C'est la différence entre "invraisemblance" -- où bah non désolé j'arrive pas à faire comme si une chute de trois cents mètres était pas mortelle -- et "incohérence".
Dans le second cas, l'incohérence est produite par le contexte, par ce que dit le texte ou ce qu'il fait déduire, par sa logique interne. Parce qu'il a, là j'espère que c'est clair, vraiment sa logique interne.
1) Twilight hésitait. Starswirl avait raison, mais si elle le soutenait elle allait perdre ses amies. Pire encore, elle risquait de perdre Dash ! Mais, se dit-elle, il avait raison !
2) Soudain Pinkie Pie entra lui demander si elle voulait jouer au ballon. Twilight répondit joyeusement que oui et trotta dehors, toute contente.
Ce que voulait dire l'auteur, c'est que Twilight était soulagée de pouvoir se changer les idées et venait de sauter sur l'occasion pour oublier tous ses problèmes. Cette... "invraisemblance"... n'en est pas une. C'est un comportement tout au plus surprenant mais parfaitement possible.
Le problème est que le texte ne le dit pas. Ça n'apparaît pas dans sa logique interne. Et en l'absence de cette information, le texte devient incohérent. On nous disait "regarde c'est grave c'est la fin du monde" et l'instant d'après "way nan c'tait rien !"
Comment résoudre ce problème si courant ?
3a) Soudain Pinkie Pie entra lui demander si elle voulait jouer au ballon. Twilight sauta sur l'occasion pour oublier toutes ses préoccupations, répondit joyeusement que oui et trotta dehors, toute contente.
Ça les auteurs ont tendance à le faire beaucoup : dire les choses noir sur blanc. Ça évite au lecteur de trop cogiter, c'est clair, sans ambiguïté et ça permet aussi de faire des monologues intérieurs sur deux trois paragraphes quand c'est pas des pages...
Ou alors :
3b) Soudain Pinkie Pie entra lui demander si elle voulait jouer au ballon. Twilight sauta sur Pinkie pour lui crier : "oui !" puis trotta joyeusement dehors.
Le texte vous met face à une nouvelle "invraisemblance", c'est un drôle de comportement... et c'est une contradiction pour vous forcer à déduire ce qui la motive. C'est donc un texte qui sous-entend, qui dépend du lecteur et qui, en quelques détails, grâce à sa logique interne, permet de résumer des pavés de pensées sur la pluie et les petites fleurs et autres "je suis une princesse et oh Celestia je sais pas choisir quelle robe mettre aujourd'hui".
On peut se reposer sur le lecteur pour lui faire déduire un tas de trucs, jusqu'à ce qu'il renvoie un gros "je vois pas ce que tu veux dire" qui, là, est un problème de pertinence :
3c) Soudain Pinkie Pie était rose.
Beuh... oui ? Quel rapport avec quoi que ce soit ? Quelle est la variable, le connecteur ? Je fais quoi là ?!
 
Alors oui, on pourrait se passer de la logique pour parler de toutes ces histoires, mais là peu à peu on entre vraiment dans la logique du texte, au sens fort, et on va vraiment commencer à parler de choses concrètes. Toujours en vue d'apprendre le langage logique, hein, les articles sur les questions d'écriture sont à part, mais tout doucement on va découvrir jusqu'à quel point nos textes sont en vérité incroyablement... logiques.
Mais je comprendrais aussi parfaitement que vous préfériez simplement retourner, fanficers,à vos plumes !

Vuld 1 235

La logique (4) -- Les quantificateurs

Hi'.
J'ai un super mal de crâne aujourd'hui, du coup j'ai décidé de me ménager et de faire ce qu'il y avait de plus facile sur ma to-do list, c'est parti pour un nouvel article sur la logique !
0. Rappel
Là je suis censé faire un résumé pour les retardataires mais bon sang... comment résumer quatre articles...
1) Si la pub' de la S5 existe alors si elle te rappelle le Magical et qu'elle ne montre rien de nouveau alors elle te déçoit.
Ouais Hasbro a balancé une vidéo pour annoncer l'arrivée de la S5, sans surprise ce printemps, et je devrais être "joie" à cette idée mais même l'animatic vu y a des mois en dévoilait plus. Et ils sont pas foutus de faire un clin d'oeil correct ("nothing could prepare her for what's to come")...
Cela dit, rappelons ce que sont les "variables" :
2) Si p alors si q et r alors s.
Les quatre lettres là ce sont des variables. On a "abstrait" le contenu et maintenant on veut savoir ce qui est vrai là-dedans. On va donc attribuer des valeurs de vérité :
3) <-.(\>
On ne va donc pas attribuer de valeurs de vérité sinon ça va vous faire peur (les valeurs pour quatre variables font 16 chiffres). Bon là en l'occurrence on a un avantage : la pub' de la S5 existe vraiment et elle ne montre effectivement rien de nouveau. On dira donc qu'elles sont vraies et on réduit tout ça à deux variables :
3a) Si T alors si p et T alors q.3b) Si 1111 alors si 1100 et 1111 alors 1010.
Le "1" signifie vrai et le "0" signifie faux. On veut couvrir tous les cas de figure, c'est-à-dire quand "p" et "q" sont vrais, quand seul "p" est vrai, quand seul "q" est vrai, etc... ça fait quatre cas de figure, quatre chiffres, c'est un rappel pas l'explication complète donc pour le reste merci de retourner à l'article sur les valeurs de vérité.
Maintenant qu'on a nos variables et leurs valeurs de vérité, il ne nous reste plus qu'à réintroduire les "connecteurs" :
4) >( p >( ^( q r ) s ) )
J'ai remis les variables en gras pour vous faciliter la vie. Là on a trois connecteurs, deux fois ">" et une fois " ^ ", donc deux implications et une conjonction, ce sont nos "si... alors..." et notre "et". Ces connecteurs vont nous permettre de calculer à partir des valeurs de vérité :
4a) >( T >( ^( p T ) q ) )4b) >( 1111 >( ^( 1100 1111 ) 1010 ) )4c) >( 1111 >( 1100 1010 ) )4d) >( 1111 1011 )4e) 1011
Okay j'ai triché, je suis passé de quatre à deux variables (si la variable est toujours vraie c'est une constante...) mais l'idée est là, on sait désormais que notre exemple (1) vaut "1011" ou "tu es déçu du moment que tu es déçu". J'ai l'impression de m'être fait avoir là pour le coup...
1. Déclarer les variables
J'avais promis pour cet article qu'on introduirait un nouveau connecteur, et sans doute le plus compliqué, tortueux et malade de toute la logique formelle. Ce connecteur est dans le titre. C'est le quantificateur. Et si vous êtes logicien vous devriez être en train de m'écrire des menaces de mort.
Ce connecteur est tellement basique qu'on ne le considère même pas comme tel, mais inversement il est tellement fondamental que ne pas en parler est suicidaire.
Qu'est-ce qu'il fait ?
C'est lui qui permet de "créer" des variables.
Ouais.
Sans quantificateur tu ne peux même pas travailler. Genre. Mais assez traîné, on veut sa définition. Et sa définition d'un connecteur, on l'a vu, c'est "symbole = valeur de vérité". Donc sa définition c'est :
[ ][   ] = 10
Comme dit, le quantificateur n'est pas considéré comme un connecteur, donc là la définition que je donne est "ad hoc". Mais l'idée c'est ça. Et comme à chaque fois, on va commencer par la valeur de vérité.
1.1 Valeur de vérité
Déjà, contrairement aux autres connecteurs, on ne vous dit pas sur combien de variables porte le quantificateur. Un peu normal vu que c'est lui qui les crée. Cela dit, à strictement parler, il ne porte que sur une seule expression (le connecteur dominant) d'où une valeur de vérité à deux chiffres. J'ai choisi "10" et si vous savez lire les valeurs de vérité désormais ça signifie :
5) "Si l'expression est vraie alors le quantificateur est vrai ; si l'expression est fausse alors le quantificateur est faux."
Mais alors si on reprend notre exemple (1), sa valeur de vérité en (4e) c'est "1011". Elle est vraie ou fausse ? Aaaaah ! Impossible de décider ! On est foutus ! Des siècles de logique pour rien !
Non je déconne : si l'expression n'est pas toujours vraie alors elle est fausse. Cette phrase je suis obligé de vous la mettre en gras, et je vous la répète carrément : si ce n'est pas toujours vrai alors c'est faux. Et je vous le refais carrément en langage logique : >( ~(T) F ) Ce qui est toujours vrai, d'ailleurs.
Donc notre exemple (1) est faux. Ouais, pas de discussion, on n'entre même pas en matière : faux. "Mais dans tel cas il es-" non ta gueule : faux. La quantification est sans pitié, la nuance elle aime pas, c'est du manichéisme primaire.
1.2 Symbole
Qu'en est-il du symbole ? Un connecteur est formé du symbole lui-même, genre ">" ou "~", et de parenthèses (le "contexte"). On a déjà dit que les parenthèses n'indiquaient pas le nombre de variables qu'elles contenaient mais dans l'absolu il n'y aura jamais qu'une expression dedans, donc en gros une seule variable, donc en gros ça c'est réglé.
Par contre le symbole lui-même, "[ ]" euh ça c'est pas normal. Ça c'est une autre série de parenthèses (des crochets en l'occurrence).
En fait, la quantification est formée de deux parties :- le quantificateur- le sous-quantificateurJe ne sais plus si ce sont les bons termes (je pourrais ouvrir le bouquin à portée de bras qui y répond mais flemme) mais on utilisera ceux-là. De toute manière ça fait longtemps que j'ai abandonné les vrais termes techniques.
Le quantificateur est le "[ ]" de gauche. C'est là qu'on va lister toutes les variables qui apparaissent dans notre expression (notre formule logique). Le sous-quantificateur est le "[   ]" de droite. C'est là qu'on place ladite expression. En pratique ça donne :
6) [pqrs][ >( p >( ^( q r ) s ) ) ]
J'ai remis les variables en gras, pour vous aider. À gauche la liste de variables, à droite l'expression (la même qu'en (4) ). Et oui, si l'exemple (4) vaut 1011, l'exemple (6) vaut 0. Parce qu'on l'a dit, si ce n'est pas à 120% vrai, alors c'est faux. Biatch.
Pause.
 
2. Pause
Avec les variables, les valeurs de vérité, les connecteurs et maintenant les quantificateurs on a enfin l'arsenal complet pour raisonner logiquement.
Mais tout ça est, je le sais, abominablement difficile à comprendre. Alors maintenant on va arrêter d'introduire de nouvelles choses et on va se contenter de jouer avec ce qu'on a déjà.
Donc.
2.1 Une variable seule
Disons que quelqu'un me dise "je suis passé chez Marc ce matin". Quelle est la valeur de vérité de ce truc ?
On décide de remplacer l'ensemble par une unique variable : ce sera "p". Notre premier réflexe sera donc d'écrire :
7) p
Quelle est la valeur de ce truc ? Bah on sait pas. C'est une variable. Ça peut être vrai ou faux. Vous pouvez faire confiance au type ou bien jouer à l'inquisition espagnole.
Mais là nous on est logiciens, et désormais les variables ont les quantifie : on les crée, on les introduit, on les annonce, on les peluches à poil ras ! Et là attention :
7a) [p][ p ]
C'est la même chose mais quantifié. La différence ? En (7) on disait "p". Ici on dit "Pour tout p, p." Quelle est la valeur de vérité de "p" ? C'est demander la valeur de vérité d'une variable. C'est variable... Voilà on a bien rigolé donc ouais, ça peut être vrai ou faux, "1" ou "0", donc 10. Et si ce peut être faux, la quantification dit que ce l'est :
7b) 0
Donc quand l'autre vous dit qu'il est passé chez Marc ce matin, il vous MENT ! Ou pas. En fait, ce qu'on est en train d'évaluer c'est si dire "je suis passé chez Marc ce matin" est vrai pour tout le monde, en tout endroit et à tout moment de l'univers (et au-delà). Et là surprenamment bah c'est pas très très très vrai.
2.2 Le vrai
Maintenant j'aimerais faire remarquer quelque chose. (7a) est toujours faux. Ce qui signifie que :
8) ≡( F [p][ p ] )
Ceci signifie que "le faux (F) équivaut à [p][ p ]". C'est ce qu'on vient de dire, (7a) est toujours faux.
Remarquez que l'exemple (8) est quantifié. La variable "p" a son quantificateur et... et il n'y a pas d'autre variable, donc pas besoin de placer une quantification vide.
Mais là la quantification elle est un peu violente ! Si ce n'est pas toujours vrai alors c'est faux... du coup c'est super dur d'avoir une quantification vraie ! Ça ressemblerait à quoi ?
8a) [p][ ≡( p p ) ]
Ceci se lit "pour tout p, p équivaut à p", autrement dit "un chat est un chat". La valeur de vérité de l'équivalence (le "≡") vaut 1001, check ! Si vous calculez, "≡( p p )" donne bien 1111, c'est toujours vrai donc (8a) vaut... 1 ! Woohoo !
Mine de rien là on a quelque chose qui sera vrai dans n'importe quel univers.
N'importe quel univers.
N'IMPORTE LEQUEL.
Vous voyez le chaos de Discord ? Eh ben même dans son chaos, (8a) est toujours vrai. Ou comme dirait Celestia, "mais s'il n'y a pas de règles comment tu pourrais les enfreindre ?" Le chaos a besoin d'ordre, l'ordre a besoin de chaos, aaah cette philosophie...
Bref ! Cela signifie que :
8b) ≡( T [p][ ≡( p p ) ] )
"Le vrai équivaut à blablabla..." bon okay vous ne voyez pas l'utilité...
2.3 Définir la négation
Alors si je vous proposais de redéfinir la négation ? Imaginez qu'on soit dans un monde où la négation n'existe pas. Vala'. On a supprimé la négation. Cadence aimait pas que Shining dise non donc elle a balancé un sort et paf, le connecteur "~" s'est perdu dans les limbes.
Twilight est donc super-contente (parce que "paniquée" impliquerait une négation) et décide d'avoir un sort (parce qu' "apprendre" sous-entend une négation) pour que le monde soit positif. Et elle te sort ça :
9) [p][ ≡( ~(p) ≡( p [q][ q ] ) ) ]
Okay on ne s'affole pas ! Et on calcule tout ça dans l'ordre. Je vous rappelle que là on essaie de sauver- pardon, de "joie-les-fleufleurs" Equestria. Donc :
9a) [p][ ≡( ~(p) ≡( p F ) ) ]9b) [p][ ≡( ~( 10 ) ≡( 10 00 ) ) }9c) [p][ ≡( ~( 10 ) 01 ) ]
En (9a), on ne sait plus (parce que la négation n'existe plus) que [q][ q ] peut être remplacé par "F" (voir l'exemple (8) ). En (9b) on regarde les valeurs de vérité et on résout, en (9c), l'équivalence à droite. Le résultat ?
Mh...
Voyons voyons... on a une équivalence avec, à gauche, un symbole étrange, "~", et sa parenthèse... et à droite... une valeur de vérité...
C'est curieux comme ça me rappelle quelque chose.
Ouais, Twilight Sparkle vient de redéfinir la négation. Et oui, la logique permet de faire ça. Pas de chance Cadence ! Twilight a fait logique sup' et Shining va continuer à pouvoir refuser de porter des tutus roses.
Jusqu'à présent la définition des connecteurs on la présentait comme ça :
~( - ) = 01
Maintenant vous savez que le vrai langage c'est :
[p][ ≡( ~(p) ≡( p [q][ q ] ) ) ]
C'est la même chose, mais forcément la première forme est plus lisible que l'autre. L'autre est juste plus rigoureuse et complète.
Et oui, on peut faire pareil pour TOUS les connecteurs. La démarche est la même : une équivalence avec à gauche notre connecteur et à droite une expression dont la valeur de vérité correspond à ce qu'on veut. Et c'est comme ça qu'on fait les enfa- les connecteurs !
Ce qui signifie aussi que (8) et (8b) sont également des définitions, de "F" et "T" respectivement. Ouais on a défini le vrai et le faux en langage logique. Bon c'est pas très spectaculaire mais ça valait de le mentionner.
 
3. Seconde pause
Je vous ai dit que les logiciens avaient une conception étrange de la récréation ? Ouais je sais ce qui précède était pas exactement la pause que vous auriez voulu mais eh. Vous savez quoi ?
Je viens de me rappeler que dans le tout premier article (sur les variables), on avait cité un passage de texte :
10) "Le rapport des frontières était arrivé quelques minutes à peine après le retour du souverain. Après avoir appris l’évasion, il venait maintenant de prendre connaissance de la débâcle dans l’Empire de Cristal." (Acylius, Dernier Sortilège, ch.14)
Ah ça date ! Un peu comme si ça faisait plus ou moins deux semaines.
Est-ce qu'on peut représenter ce colosse en langage logique désormais ?
Tout d'abord, cherchez les connecteurs.
Pas de "si... alors" ? Pas de "et" ? Pas même une petite négation visible ? C'est horrible ! Si on essaie de réécrire ça en langage logique (on dit "formaliser" siouplait) ça donnera juste une suite de variables ! Et si on a juste une suite de variables on pourra rien calculer !
Rassurez-vous, la science du langage est passée par là.
À minima, vous pouvez décider de tout relier par des conjonctions.
L'idée serait que le texte se contente de mettre côte-à-côte un tas de "phrases". Donc à chaque fois qu'on a deux "phrases", genre "p" et "q", on écrira :
10a) ^( p q )
Et si on a une troisième phrase, genre euh... euh... "r" ?
10b) ^( ^( p q ) r )
Et si on en avait quatre, comme en (10) ?
10c) ^( ^( ^( "Le rapport des frontières est arrivé" "le souverain est revenu" ) "Le souverain apprend l'évasion" ) "Le souverain prend connaissance de la débâcle" )
J'ai viré toutes les nuances surtout pour gagner de la place mais voilà, là on a déjà traduit en termes logiques notre paragraphe de texte. C'est complètement foireux mais on l'a fait.
Ou presque. Petit rappel : la quantification.
On a quatre variables ici, quatre "phrases" (les "propositions") qu'il nous faut introduire, donc quantifier. Ce qui va alourdir l'expression de 50% mais c'est nécessaire :
10d) [pqrs][ ^( ^( ^( p q ) r ) s ) ]
Et voilà, notre paragraphe du chapitre 14 de Sortilège, en termes logiques. Je vous mets l'expression elle-même en gras pour que vous arriviez à la retrouver. Petite larmichette pour l'accomplissement et on passe aux choses sérieuses.
Parce que le texte ne met pas les phrases côte-à-côte.
Vous voulez une preuve ? Très bien. Petit moment de logique de bac à sable : pour que le souverain apprenne la débâcle de blablabla, est-ce qu'il faut que le rapport soit arrivé ?
10e) Le rapport des frontières était arrivé (...) . (...) il [le souverain] venait maintenant de prendre connaissance de la débâcle dans l’Empire de Cristal.
C'est parce que le rapport des frontières arrive que le souverain apprend la débâcle. Ce n'était pas nécessaire, hein : même si le rapport n'était pas arrivé, machin aurait eu mille autres manières de le savoir. Mais le texte nous suggère qu'il y a implication :
10f) [pqrs][ >( ^( p q ) ^( r s ) ) ]
Autrement dit "Si le rapport des frontières était arrivé... alors le souverain venait de prendre connaissance..." le connecteur n'est pas visible mais il est bien présent, bien caché dans le fonctionnement interne du texte.
On pourrait continuer comme ça, à raffiner notre expression parce que bon à ce stade ce n'est toujours pas bien représentatif du fonctionnement du texte. Mais là on fait de la logique, je n'ai pas envie de m'enfoncer dans les considérations "linguistiques" ou textuelles.
Je ferai juste observer deux choses.
La première est que oui, ici dans le texte il est possible d'évaluer si le texte dit vrai. En l'occurrence l'implication doit être respectée : si le rapport est arrivé alors il y a intérêt à ce que le roi soit au courant. C'est un peu ce que nous dit le texte quand même, et oui le texte nous donne, comme ça, des tas de règles à suivre pour le lire -- et affûter nos syllogismes dessus.
La seconde est que (10f) vaut 0. Okay je n'ai pas calculé mais les probabilités pour que l'expression soit toujours vraie sont proches de 0 alors je ne vais pas me fatiguer. Ce qui signifie qu'en l'état, à la manière dont on représente le texte... le texte est toujours faux.
 
4. Troisième pause
Avant de vous laisser, j'aimerais revenir sur l'article précédent (sur les connecteurs), et sur mon fameux et totalement pas polémique d'exemple politique :
11) On défend la Constitution.Si on défend la Constitution alors on respecte le droit international.Donc on défend le droit international.
Est-ce qu'on peut formaliser ce truc ? Oui, facilement :
11a) p>( p q )q
Est-ce qu'on peut évaluer ça ? Euh... en l'état, non. On ne le pourra qu'au prochain article.
Mais, une fois encore : on a oublié de quantifier. Et vous allez voir que ça change tout :
11b) [p][ p ][pq][ >( p q ) ][q][ q ]
Très bien ! Qu'est-ce qu'on a là ? Alors : première ligne, [p][ p ] on a vu (exemple (8) ) que c'était toujours faux. Idem pour la troisième ligne, ce qui nous permet également de dire que la conclusion et l'hypothèse (en termes de syllogisme) sont équivalentes. Woohoo ! Tu conclus la même chose que tu supposais au départ, t'es génial ! Plus sérieusement ça aurait été plus rapide de juste remplacer la variable, pas besoin de règle...
Quant à la règle, au passage... elle est toujours fausse également. Bah oui, quantificateur.
Donc ! On a une hypothèse toujours fausse et une règle toujours fausse qui donnent une conclusion toujours fausse, notre logique est sans faille.
 
Dans le prochain article on parlera (enfin) du raisonnement et on verra comment parer à ce problème de "toutes tes expressions sont fausses", on bannira Discord et on récoltera enfin les premiers fruits de ce long périple au travers des bases de la logique.
On est encore à des kilomètres de pouvoir appliquer ça à nos textes mais eh. De toute manière vous feriez mieux de retourner les écrire, donc, fanficers,à vos plumes !

Pinkie007 26 625

Besoin de OC prêt à mourir.

Comme vous le certainement tous, j'écris une fiction qui se nomme Salem. Et j'ai besoin d'énormément de OC pour faire les prisonniers. Certains mourront dans d'affreuses circonstances et d'autres survivront,  sauvés par nos héroïnes ou encore,  les terrestres seront juges pour condamner les autres.  C'est pas magique, l'amitié? 
Si vous désirez faire partis de mon chef-d'oeuvre,  voici ce que vous avez à faire. 
 
-Race:(licorne, pégase, terrestre)       
-Description physique:(Yeux, crin, crinière)
-Genre :(Jument,étalon, pouliche, poulain)
-Description psychique:(personnalité, travail, entourage)
 
MERCI DE RÉPONDRE DANS LES COMMENTAIRES. JE N'ACCEPTE PAS LES ALICORNES.
 
Smile,
Sugar Blast

Vuld 3 194

Et le Meta' continue !

Hi'.
Pour l'anecdote, cet article a été préparé dès 12h. Ouais.
Bon bah on va pas se mentir hein ! Il est bientôt 18h et pas de Metasigma, et si vous êtes fan comme moi vous vous inquiéterez doublement parce qu'apparemment c'est pas juste du retard, y a bien quelque chose en gestation derrière. Autant dire que je stresse depuis des heures.
J'ai aussi abattu 8 pages de trad' depuis, ce qui sans Meta' derrière est un petit exploit.
Okay non correction, j'ai fait 14 pages, le minimum syndical est fait et Meta' n'est toujours pas là, 20h30, je suis de mauvais poil. Mais l'objectif est toujours de 20 pages et le défi d'en faire 26 pour que la prochaine fois le chapitre soit fini à coup sûr.
Donc :
Va là -> Metasigma (live stream anglais sur SoE)
Ou là -> Chapitre 44 (traduction de FO:E en cours)
Pour l'anecdote, Cesese s'est lui aussi amusé à écrire "live" et je me dis que ça serait sympa' de répandre la pratique, même si avouons-le c'est ennuyeux comme la pluie.
Du coup je teste de mon côté, en notant notamment que c'est au fanficer d'engager la conversation. J'ai donc décidé de déjà dire en début de document à quel page prendre le train puis, à partir de là, commenter à chaque fois que j'ai envie de râler. Et il y en a déjà un sacré florilège.
À mon avis ça ne prendra pas. Regarder quelqu'un écrire est trop plat, peu importe la bonne humeur qu'on mettrait derrière. Ça et bonne chance pour modérer. Mais eh ! J'aime expérimenter et ça ne me coûte rien, voire, ça peut me pousser à traduire encore donc yay !
...
Okay il est 23h15 et des poussières et Meta' va ENFIN démarrer son stream et oh punaise j'ai dormi pendant deux heures tellement j'ai attendu ça, j'ai eu le temps de découvrir Epic Pixel Battle mais pas grave, je saurai enfin le pourquoi du comment et peut-être au moins faire six pages de plus, voire douze si le moral y est. On tient bon !
L'important c'est que FLEX ! et, fanficers,à vos plumes !

EDIT: Okay il y a une bonne et une mauvaise nouvelle.La mauvaise nouvelle c'est que le dimanche c'est mort. Meta' va aller à l'église et en gros bah la probabilité d'un stream (à des heures convenables pour nous autres européens) est à peu près réduite à néant.La bonne nouvelle c'est qu'il va streamer le lundi. Matin pour lui, donc soir pour nous. Et ça ça peut le faire.Ce qui signifie qu'on va essayer de faire six pages ce soir et VINGT MOTHERBUCKIN' PAGES lundi soir ! Parce qu'on est des malades ! On est comme ça ! On FLEXE !
 
EDIT2: Okay Il est 2h du mat' à peu près, j'ai traduit 21 pages, objectif rempli, j'ai sommeil et visiblement je vais remettre ça demain soir (et non, il n'y aura pas d'article pour vous avertir, je reprendrai celui-là. 'Faut pas déconner non plus).La journée a été frustrante as hay, mais au moins le résultat est là. Au passage je laisse mes commentaires de râlage pour demain soir, donc si vous voulez me voir hurler (j'ai vraiment hurlé) en live, ou que vous voulez sentir le pouvoir du flex et de l'Evermore, on se retrouve d'ici moins de vingt-quatre heures.
 
EDIT3: Meta's back! Il est 16h lundi et... trop occupé pour trad'. On se retrouve dans quelques heures.EDIT4: Okay, 18h40 (ouais c'est pour les archives), Meta' va pas tarder à passer de Dark Sleep à SoE donc je m'apprête à m'y remettre. Mais d'abord niom.
EDIT5: Là ! Cette fois c'est bien la fin de cet article.Il est 22h50, 5 pages de plus au compteur, il en reste 54 à faire dont 19 pour ce chapitre ce qui signifie que la semaine prochaine à coup sûr le 44 sera traduit et le minimum syndical est tombé à 11 pages par semaine.Ouais c'est pas les vingt pages que j'aurais espéré faire aujourd'hui mais comme dit Meta' joue à Dark Sleep et n'a pas switché sur SoE, il est motivant mais 'faut pas déconner non plus. On est en semaine, j'ai du boulot, un peu fatigué, bref, à la semaine prochaine.

Cesese 0 190

[MAJ] Pumprocks et GamesDoneQuick

Hey ! Ici Cesese(sesese), et aujourd'hui je voulais vous dire que je bosse toujours sur la fic malgré les devoirs et autres choses (l'esprit est resté ô/*)
Ainsi, si vous voulez voir l'avancement du chapitre 4 (puis des autres chapitres quand j'aurai finit celui-là), vous pouvez venir simplement ici https://derpy.me/PRocks01. J'ai activé le mode "commentaires", donc si quelque chose semble inapproprié / mal orthographié / etc… n'hésitez pas! (je vais pas me vexer quoi)
Bon, et aussi je vais faire un peu de pub tant que j'y suis (Vuld, tu m'as corrompu), car dans 10 minutes au moment où j'écris, http://www.twitch.tv/gamesdonequick vont faire une race sur Dark Souls II. Si vous savez pas qui sont Games Done Quick, c'est des gens qui organisent 2 fois par an (été et hiver) des marathons de speedrun (une semaine non-stop de speedrun, c'est pas rien !) et qui en profitent pour faire des dons à Médecins Sans Frontière. Ces gens sont géniaux, donc je vous conseille vivement de regarder leurs streams.
Voilà, c'était une simple mise à jour sans prétention, pour vous tenir au courant c;
Sur ce, c'était Cesese, signing out.

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