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peposims55 13 342

FAQ de "The Bad Girls' Company"

Hey les Cupcakes!
 
Comme promis, voici la FAQ.
 
Par contre, je vais avoir un tout petit problème.
 
C'est que j'ai que 3 questions.
 
Bon, c'est pas grave, je vais quand même les mettre bien sûr avec leur réponse mais si vous en avez encore, posez les en commentaire et j'y répondrai, autrement, vous aurez également droit à un bonus! 
 
FAQ
 


C'est pas un peu risqué de modifier/concevoir des détails sur ta fic à la dernière minute, surtout en te basant parfois sur des commentaires ? (speedangel)

 
Oui c'est risqué mais je n'ai jamais aimé concevoir 15000 ans à l'avance, je préfère écrire sur un "coup de tête", j'ai toujours préférée faire comme ça et puis, quoi de mieux pour un fan de voir ses voeux exaucés? Aussi, bien sûr, je garde une certaine cohérence et ne prends pas non plus tous les souhaits en compte non plus! De plus, je trouve que c'est plus amusant d'imaginer la suite des événements presque en même temps que vous!  
 
Petite anecdote, écrivant souvent au CDI de mon lycée, on peut souvent me voir faire de discrets rires diaboliques en imaginant vos réactions x)
 
        2. Quelles sont tes personnages favoris ? (Raphix03250)
 
Je vais répondre en catégories : 
 
 
 
En général et dans le Mane 6 : Twilight (Pas vraiment une surprise)
Dans les antagonistes : Sombra (Juste, trop classe **)
Dans les Background et autres : Discord (je savais pas trop dans quelle autre catégorie le mettre lui)
Dans les princesses (autre que Twilight donc) : Luna (NEW LUNAR REPUBLIC POWER)
Dans TBGC (La FAQ est sur cette fic' à la base donc bon) : Shay et Edward à égalité (Shay est juste hilarant et Edward trop classe, pour ça qu'ils ont des morts atroces, oui xD)
 
        3. Nous aurions une question qui serait de savoir si tu allais faire une suite logique à tes fics (le passé des trois princesses - TBGC - ?) où feras tu que des One shoots ? (makuta)
 
Alors, comme je l'ai annoncé dans la Note de l'Auteur du dernier chapitre, il y aura un "tome 2" à The Bad Girls' Company. Je verrai peut-être après si je fais d'autres fictions en rapport avec TBGC.
 
 
Bonus
 
 
Voilà qui est fait, votre bonus donc!
"Chapitre 1
 
Voilà 15 ans, 15 ans que nous cherchions à nous venger.
 
Aujourd'hui, je fêtai mes 22 ans, Hope, lui, en avait 19, Blue et Saphir en avaient 20 et Shadow 17. Nous étions tous adultes ou presque. Il était temps de mettre en place notre vengeance mais aussi de sauver Equestria.
 
Comme nos parents l'auraient voulus.
 
Pendant ces 15 longues années durant les quelles Equestria se désagrégeait un peu plus chaque jour, nous avions fait des recherches sur ces « Bad Girls' », « Bad Boys' » et « Mercenaires ». Ils avaient ouverts leur fameuse ville à Equestria et à présents, les humains-poneys comme l'avaient été ma mère et mon oncle se répandaient un peu partout.
 
Ma fratrie, mes cousins-cousines et moi-même vivions dans une maison à moitié en ruine, dans une campagne reculée, non loin de Fillydelphia, endroit assez éloigné de Canterlot, parfait pour se cacher et préparer sa vengeance contre ceux qui avaient massacrés notre famille.
 
Tandis que je terminai d'arranger ma crinière, une voix m'interpella."
 
 
Voilàààà! En espérant qu'il vous ai plus! 
 
Sur ceux, je vous dit à la prochaine! Sûrement pour TBGC 2!

Littera Inkwell 4 310

[live] Débat le 17 Mars 2017

Bonjour,
 
Je sais que ça fait longtemps que je ne suis pas venue vous voir, mais aujourd’hui je viens vous annoncer que nous ferons un live le vendredi 17 mars 2017 de 21h00 à 23h00 dans lequel nous nous pencherons sur un nouveau débat “Les noms des personnages d’MLP”. Désolé de cette longue absence dans live, mais disons que je manquais de beaucoup d’inspiration et c’est grâce à une question que l’on m’a posée que j’ai eu envie d’en refaire un, et surtout de remotiver un peu nos deux présentateurs.
 
Alors ce sujet peut paraître assez vague, mais l’idée n’est pas simplement de faire la traduction des noms des personnages du show. Nous chercherons justement à comprendre comment ceux-ci marchent et comment ils peuvent devenir utiles et servir vos fictions.
 
J’espère que vous viendrez nombreux pour partager vos avis ainsi que pour peut-être même participer au live. Je voudrais surtout que l’on m’explique pourquoi j’ai ce nom… qui l’a choisi ? Si seulement je n’étais pas coincée dans votre monde, j’aurais demandé à mes parents.
 
Nous organiserons aussi certainement une petite lecture ou deux, en espérant que celles-ci vous plaisent, car ce sera une surprise. J’ai hâte de vous voir tous pour qu’on puisse passer un bon moment.
 
Je vous donne donc rendez-vous vendredi de 21h à 23h sur mon picarto https://picarto.tv/mlpfiction
Et comme d’habitude, les replays des Lives sont disponibles sur ma chaîne YouTube
https://www.youtube.com/channel/UCBBtXsLuerC6CAyxhWa4Qyg
PS : encore désolé de mon absence, mais j’espère que cette annonce vous donnera envie de revenir me voir.

Luiwen 4 235

Question/Débat sur la poésie

Hi everypony! Brohoof!
 
J'écris cet article, (qui est aussi mon premier article mais on s'en bat les steaks), dans le but de faire un appel à l'aide à la communauté de bronies et pégasisters écrivains de ce site où on va parler de littérature... plus précisément de poésie.
Nous avons tous une bonne idée, un bel aperçu de ce qu'est la poésie et de ce qu'on peut qualifié de "poétique". Souvent la première chose qui nous vient à l'esprit; est l'écriture en vers. Pour ceux qui n'ont, ou n'avaient pas suivi les cours de français, le vers est une suite de petite lignes contenant tous un nombre égal de syllabes et se terminant avec des rimes. Les rimes sont des heu... bon je ne vais pas tout rabâcher. Le but n'est pas de faire une leçon, un tutoriel ou qoique ce soit d'autre du même genre! Je suis ici pour vous poser un question et à moi-même aussi. Mais je me suis dis que ce serait plus pédagogique d'écrire un article là-dessus.
Donc voici la question: Tant qu'on parle de vers, on comprend pourquoi on dit que c'est de la poésie (ou presque). Mais quand on parle de poésie en prose, qu'est-ce qui fait que c'est poétique?
 
Voilà, la question vous est servie sur un plateau en argent. Justement, je ne sais pas ce qui fait qu'un "poème" en prose puisse être vraiment de la poésie. Après tout, la prose n'est-il pas le style qu'on utilise en général dans les romans? Et quand on lit des romans ou des fictions en prose (et Celestia seule sait combien il y en a sur ce site), on ne parle pas pour autant de poésie. Qu'est-ce qui fait qu'un texte en prose soit de la poésie et pas un autre?
J'ai déjà posé cette question à de nombreuses personnes dans mon entourage (même à des profs de français), et dans la majorité des cas, ils me donnaient des réponses tellement floues qu'on reconnaissait facilement qu'eux-même n'étaient pas sûrs de ce qu'ils racontaient. Donc je suis venu ici pour vous demander la faveur de m'éclairer.
Ensuite, pourquoi je parle de débat alors qu'il s'agit pourtant de répondre à une simple question? Tout simplement parce que je m'attends à des réponses diverses et variées dont la richesse pourrait provoquer des polémiques (et je ne fais pas ça dans des buts trollesques, ne vous inquiétez pas).
Donc voilà, je vous demande votre avis, et serai attentif à tout commentaire. Et même si plusieurs réponses différentes arriveront ici, sachez que rien n'empêche qu'il y ait une part de vérité dans chacune d'entre elle.
So please, enlighten me!

Wellen 15 574

Les OCs stéréotypés sont-ils vraiment mauvais ?

Bonjour / bonsoir.
( Pour ceux qui veulent passer l'introduction avec l'image et sa traduction pour accéder directement au débat, regardez plus bas jusqu'à un truc comme ça : )
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Récemment, une dessinatrice anglophone, wingedwolf94, a postée un image sur les stéréotypes des OCs. La voici :
 

 
Cette image décrit donc les stéréotypes des OCs dans mlp. Pour les moins anglophones d'entre nous, je vais traduire les textes :
Crystal Skelepony :
- Espèce originale, à ne pas réutiliser !
- Essaye un peux trop d'être différent.
- A de jolies couleurs.
- A+ pour la créativité.
- A beaucoup de bouches.
- Probablement dans le vore.
- Vient de Tumblr.
 
Mango Sunshine Blossom Feather :
- 13 ans.
- Vient de Deviant Art.
- A des couleurs flashies.
- "Vous avé vu Cupcakes? O.O C effrayant xD LOL"
- Pure innocent.
- Ne sait pas ce qu'est le clop.
 
Kurono Akuno Buki Nojno Ken Demon Akuma Blood Bane.
- Weaboo ( ????? )
- A un sombre et ténébreux background.
- Un fière anti féministe.
- Doit prouver qu'il a la plus grosse à chaques rp.
- Prétend qu'il sait parler japonais.
- Il porte probablement un costume noir IRL
- Il se débrouille pour dessiner.
 
Human Colors
- Presque toujours un ponysona ( self insert )
- A un nom humain normal.
- Il n'a aucun concept du style.
- Par pitié arrêtez d'en faire.
- C'est troublant / inquiétant
- Il est nu ?!
- La personne derrière est souvent très froide.
 
Ayanne : ( Aryanne est un véritable oc, vous remarquerez tout de suite à quel mouvement elle appartient. Je n'ai aucun lien avec ledit mouvement et me refuse à en parler d'avantage.)
- Le pire oc
- Dépressif
- Vient de 4chan et Reddit
- "C'est de l'humour noir, tu comprendrais pas."
- Vient de comprendre ce que Cuck veux dire et l'utilise dans chaques phrases. ( il y a des limites à ce que je peux traduire tout en restant politiquement correct, cherchez vous même. )
- A probablement 14 ou 36 ans.
- Fait au feutre.
- Ne comprend pas la liberté d'expression.
- Ne peux même pas dessiner la Swatiskas dans le bon sens ( la croix gammée. )
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Donc, pourquoi est-ce que je vous montre cette image et cette traduction ?
Essentiellement parce-que beaucoup de stéréotypes d'oc ont été montrés dans ces images, stéréotypes qui sont malheureusement très souvent utilisés. On ne compte plus les Self Insert avec des personnages trop sombres de la mort qui tue. Cependant, la question d'aujourd'hui est : Est-ce que les stéréotypes sont mauvais ? 
Je veux dire par là, est-ce qu'un self insert ne peux pas être bon ? Pendant un bon bout de temps, je les voyais comme le diable incarné, comme beaucoup de personnes. Mais quel est le mal, au fond ? Mis à part le fait de venir faire nos moralisateurs en disant que 'c'est pas bien de se croire assez intéressant pour être le centre d'une histoire'. Une histoire bourrée de self insert peut avoir du bon et du potentiel ( par exemple "Les élèves de l'Harmonie"). Pareil, une histoire avec un personnage qui s'en prend plein la bouche tout le temps ou qui est sombre et taciturne peut elle aussi être bonne. Je prendrais pour exemple l'une des fictions les plus longue de mlpfictions : Oblivion's King. Même si la fiction souffre de gros défauts, elle a des personnages somme toute bien travaillés alors que pourtant ils s'en prennent plein la bouche tout le long.
Un stéréotype ne serait donc pas forcément mauvais, à condition de bien le développer ? J'aimerais beaucoup avoir vos avis là dessus. 
 

Blackhoof 7 322

Campbell-Snyder, ou le scénario pour tous

Amis du soir, bonsoir. Amis du matin, perlimpinpin.
 
 
Il y a de cela plusieurs années un bizut en écriture discutait via forum avec d’autres auteurs issus de bien des horizons. Réunis tous ensemble, ces romanciers en herbe brainstormaient  beaucoup d’aspects de l’écriture, jusqu’au moment fatidique où le mot « scénario » fut introduit dans un topic.
 
S’ensuivit ensuite une grande découverte qui ne changea strictement rien au monde si ce n’est mon approche des histoires. Et bien que le forum de l’époque se soit noyé dans les profondeurs du net, ses enseignements n’ont pas sombré avec lui, et c’est là que j’interviens. 
 
Parlons scénario, voulez-vous ?
 
NB : le terme « scénario » n’est pas utilisé à son sens cinématographique dans cet article, mais plutôt comme un mot servant de raccourci pour désigner le fil conducteur d’une œuvre.
 
De plus, la définition de ce qu’est exactement une histoire n’est pas présente dans cet article car il s’agit d’un sujet que je n’estime pas totalement maîtriser. En conséquences je préfère me taire plutôt que de dire des choses potentiellement erronées et vous invite à lire cet article : Tutoriel ou comment conquérir la Russie en hiver par monsieur Napoléon.B.
 
 
I) La recette magique
 
 
Quand on parle des derniers films à succès, les blockbusters, on nous cite souvent des noms comme Avengers, Gardiens de la galaxie, Star Trek, le Hobbit, etc. Mais si on pousse dans l’ancienneté, on nous dira Star Wars, Harry Potter, les Disney, James Bond,  Hunger Games etc.
 
Si vous vous amusez à analyser ces films avec d’autres personnes lambda, vous remarquerez que peu jugent leur scénario « mauvais ». La majorité des gens les trouvent « normaux » ou « moyens » voire « pas mal ».
 
Et ça, c’est l’avis des people standards. (Comprenez « peu intéressés ».)
 
Malheureusement malgré notre niveau amateur nous restons des écrivains et donc théoriquement, niveau scénario les conventions veulent que l’on envoie des grenades lorsqu’on nous demande d’envoyer des boules de neige. Alors même si vous êtes un peu long à la détente, votre expérience littéraire vous susurre probablement que ces films ont tous un secret. C’est un peu vrai. Mais c’est aussi un peu faux.
 
Après tout, en se creusant un minimum le crâne, on peut remarquer des grandes ressemblances.
 
On a un héros qui vit sa vie dans un calme relatif (ainsi que dans la routine qui vient avec) mais interviendra ensuite un méchant d’apparence imbattable. Notre protagoniste va alors réunir une bande d’alliés improbables sortant du néant cosmique (ce qui est des fois littéralement le cas), le tout avant d’affronter la plus terrible menace possible. Un combat titanesque aura alors lieu, les gentils vont perdre, mais vont apprendre de leurs erreurs pour finalement mettre le méchant à genou.
 
Et là, n’essayez pas de me faire croire que ce court résumé ne vous rappelle pas au moins une œuvre (film, série, pièce de théâtre, bande-dessinée et j’en passe) à succès. Alors certes le modèle ci-dessus est parfois un poil retouché par des auteurs mais il reste parfaitement reconnaissable par n’importe quelle personne de bonne foi.
 
Parce que je vais vous révéler le fameux secret :
 
Il y a une recette magique pour faire des scénarios de blockbusters.
 
… Mais quelle est cette méthode ? Qui a bien pu créer une telle technique ? Et quand ?
 
 
 II) Les origines
 
 
Nous sommes en 1949, un américain du nom de Joseph Campbell publie un livre dénommé « Le héros aux milles visages ». Personnellement, je n’ai pas lu ce bouquin mais j’en connais le contenu.
 
Notre cher Joseph y affirme en effet que tous les contes, toutes les légendes, tous les mythes, tous les ragots et toutes les blagues carambars proviennent d’une seule, unique et même souche scénaristique.
 
Ce principe est plus connu sous le nom de « monomythe » chez nous.
 
Cette théorie clame que chaque héros suivra un parcours d’épreuve prédestiné. Dans la théorie, le monomythe a pour but de nous faire rêver ou plutôt, d’espérer. Car le héros sera confronté à des épreuves dans un autre univers le confrontant à lui-même, avant de se faire confier un pouvoir et de revenir dans sa dimension.
 
Donc si je devais encore plus résumer, le bonhomme part ailleurs (éventuellement sur les conseils d’un guide), en revient avec un truc « bien » et s’en servira pour faire le « bien » dans son lieu d’origine. Un message idéaliste qui nous fait sous-entendre que l’on peut tous être cool et sympa, et qu’aucune épreuve, aussi dure soit-elle, n’est définitive et insurmontable pour peu que l’on cherche ailleurs. Cette théorie est visible de manière assez flagrante dans bon nombre d’œuvres antiques et reste perceptible même dans celles qui furent ultérieures à cette période.(Notez que cette formule n’est pas si éloignée de mon exemple en début d’article.)
 
Mais revenons à Campbell, son livre est publié en 1949 et plusieurs années plus tard, dans les années 70, connaît un succès non-négligeable pour un jeune inconnu  voulant percer dans le cinéma. Notre bonhomme lit le livre et décide d’en croire le contenu. Et puis bon, autant appliquer ça sur le scénario de son premier film, au mieux c’est le jackpot, au pire, c’est table remise.
 
L’histoire dit qu’il s’appelait George Lucas, son premier film La guerre des étoiles. La suite, vous la connaissez.
 
Véritable blockbuster de son époque, Star Wars excita tous les scénaristes, qui décidèrent de pomper la source de son histoire. Tous les grands studios décortiquèrent le livre et le firent ingurgiter de force à leurs stagiaires en charge des scénarios.
 
Malheureusement, ils avaient déjà un temps de retard. Une entreprise de l’époque maîtrisait déjà parfaitement le sujet et ce, depuis belle lurette.
 
Cette entreprise s’appelait Disney, et ses histoires vous les connaissez.
 
Hollywood deviendra alors une gigantesque usine à scénario préfabriqué, les blockbusters cités au début de l’article le prouvant. Si Disney possédait déjà le monopole du scénario express, désormais la maladie s’étendra jusqu’à gangrener tous les producteurs ne voulant pas quitter leur zone de confort pour faire un film sans risque.
 
 
III) Le scénario Snyder
 
 
Par la suite, un homme dénommé Snyder lira lui aussi le livre de Campbell, mais lui décidera de l’approfondir. Il prendra le livre de son prédécesseur, l’analysera, le condensera, le synthétisera et publier le résultat dans les années 2000.
 
Ce bouquin nous apprend comme faire un scénario de maxi-blockbuster en 15 étapes (on parle donc de film mais je vais transposer la méthode sur des fictions), que voici :
 
1) L’ouverture --- Cela concerne souvent les premier paragraphes d’une fiction, voire le premier chapitre entier. Le but sera d’y donner un ton, une ambiance, voire une idée d’univers. Le champ sémantique et lexical doivent être ajustés à la virgule et à la voyelle près.
 
2) La thématique --- Maintenant qu’on a un environnement vague, on y insert une question morale. Le but est de se préparer à l’apprentissage final tout en introduisant tout doucement l’intrigue.
 
3) Le percuteur --- Cette étape a un but, faire ramener à la réalité. On y met souvent le méchant, une injustice ou n’importe quoi qui nous fera déposer les pieds sur terre. C’est l’annonce quasi-officielle du fil rouge.
 
4) L’exposition --- La première « vraie » scène de la fiction. On y présente personnages et lieux. Cette étape posera les dernières briques qui manquaient à l’univers et au contexte. Ce passage sert à introduire le lecteur dans le héros et de s’y identifier, en montrant qu’il est humain. Le méchant arrive alors.
 
5) L’humanité --- Le héros hésite à partir à l’aventure. Tous les vétérans de la littérature savent que c’est un passage très important pour humaniser le personnage principal. L’objectif est de mettre en avant ses doutes.
 
6) Le point de non-retour --- C’est un second percuteur. Le premier visait à nous redéposer sur terre, le second ramène le héros à la réalité. En général, c’est une mort ou toute autre évènement irréversible et terrible qui poussera le personnage à partir à l’aventure. Le fil rouge est officiellement tissé.
 
7) L’intrigue secondaire --- C’est généralement ici que les protagonistes sont introduits. Ils serviront d’aide au personnage principal, tout en mettant en place un scénario parallèle à l’histoire.
 
8) L’attente --- C’est à cette étape que l’on retrouve ce que l’on a pu nous promettre dans le résumé du texte. Les tags deviennent justifiés et il s’agit généralement d’une bataille saupoudrée d’humour et d’action.
 
9) La machination --- Généralement retrouvée à la moitié de l’œuvre, c’est une victoire (temporaire) des gentils. Le plus souvent, un lieutenant du grand méchant est stoppé, poussant ce dernier à intervenir personnellement. Mais dans tous les cas, les enjeux se renforcent, le ton se durcit, bref, la fiction devient sérieuse.
 
10) Le coup dans le dos --- Les gentils étant donnés victorieux, l’atmosphère est censée se détendre, mais le lecteur n’y arrive pourtant pas… Serait-ce un signe ? Les méchants ne seraient-ils pas en train de se liguer pour écraser les protagonistes ? Une grande offensive serait-elle en train de se préparer ?
 
11) Le blitz --- Tandis que leurs vigilance étaient au plus bas, les gentils se font surprendre par les vilains. Les méchants gagnent sur tous les tableaux, débandade des protagonistes. Et surtout, le héros chute.
 
12) Tout est terminé --- Le héros est aux portes de la mort, on n’espère plus rien pour lui. Une sorte de fin acide semble se profiler tandis que le personnage principal se résigne à mourir.
 
13) Le come-back --- Grâce à ce qu’il a appris depuis le début, le héros se reprend en main. Ses compagnons lui prêtent main-forte et lui prodiguent conseils et assistance. L’intrigue secondaire rejoint la principale, décuplant les enjeux pour le lecteur et permettant au personnage principal de monter un plan pour sauver la situation.
 
14) Le combat final --- Le méchant est directement affronté. Le héros utilise tous les moyens à sa disposition pour faire chuter son adversaire, les valeurs apprises en cours de route prennent alors tout leur sens. Toute la tension accumulée par le lectorat est alors évacuée par cette victoire inattendue. Le gentil a remonté la pente. C’est la victoire.
 
15) Sensation de déjà-vu --- On se retrouve avec un environnement proche de celui de l’exposition, à la seule différence que l’on peut voir de nets changements opérés par le personnage principal.
 
Voiiilà, ça, c’était la méthode Snyder. Vous pouvez remarquer que c’est tellement bien décrit et schématisé que vous pouvez pondre des dizaines de scénarios à la suite, en changeant juste le type d’univers, les enjeux et les noms.
 
Le procédé en lui-même est très précis et le livre de Snyder va même jusqu’à dire entre quelle et quelle minute d’un film doit se situer telle étape ; en tenant compte de la durée relative de l’œuvre bien sûr. Il s’agit donc d’une véritable colonne vertébrale préconçue pour pouvoir être exploité par quasiment n’importe quel scénario, intrigue ou univers.
 
 IV) L’exemple avec le Dernier Sortilège d’Acylius (Spoil)
 
 
Histoire de prouver mes dires j’ai décidé de charcuter une œuvre quelconque et de montrer l’influence des idées de Campbell et Snyder. J’aurais pu désigner un blockbuster mais cela aurait eu autant d’intérêt que de désigner un poisson pour dire « je pense et suis quasiment sûr qu’il a des branchies ».
 
On prendra donc comme exemple un texte issu de ce ficdom, ayant eu un minimum de succès et venant d’un auteur qui s’est fait une place dans la communauté brony. Fort heureusement il se trouve un auteur que j’apprécie et dont j’ai aimé lire une histoire il y a quelques années qui remplit toutes ces conditions.
 
Je vais donc m’attaquer à Acylius et à son Dernier Sortilège.
 
 
 
1) L’ouverture --- Les trois premiers paragraphes du chapitre 0, tout simplement.
 
2) La thématique --- Le moment de l’expérience (chapitre 0 encore), qui nous fait éprouver beaucoup d’empathie pour le pauvre cobaye.
 
3) Le percuteur --- Ici, il s’agit de la découverte de l’identité du prisonnier, toujours au chapitre 0.
 
4) L’exposition --- Le chapitre 1, qui nous situe dans l’espace et dans le temps, par rapport au show.
 
5) L’humanité --- De nouveau durant le premier chapitre, Twilight est dans la cuisine de Canterlot et confie qu’elle s’inquiète pour le voyage et sa mission.
 
6) Le point de non-retour --- Pour cette fiction, deux points de non-retour peuvent être trouvés. Le premier pendant la découverte des dirigeables (chapitre 4), le second lors de la capture de Twilight par l’Ibex Namar (chapitre 5).
 
7) L’intrigue secondaire --- Petite exception ici, car le docteur Ulrich n’apparaît qu’au chapitre 6, donc après la justification des tags durant le chapitre 5.
 
8) L’attente --- Le chapitre 5, où l’Ibex Namar dévoile son plan d’invasion, correspond parfaitement à une justification des tags de l’histoire. Le lecteur quant à lui, a sa guerre servie sur un plateau d’argent.
 
9) La machination --- Au chapitre 6, le docteur Ulrich désobéit aux ordres et donne à Twilight la clé de sa cellule. Le docteur semble rongé par le remord et l’alicorne tient peut-être le moyen d’étouffer la guerre dans l’œuf, en s’échappant de la prison.
 
10) Le [...]
 
Bref, mon objectif n’était pas de vous spoiler l’intégralité de cette fiction mais seulement de vous prouver qu’elle suit malgré elle le shéma élaboré par Snyder. J’avoue avoir eu la flemme de relire en intégralité tout le texte d’Acylius, mais pense d’un autre côté que j’en ai assez montré pour illustrer mon raisonnement.
 
D’ailleurs si vous émettez encore des réserves quant à mes idées je vous invite à essayer de retrouver les 15 points cités plus haut dans une œuvre quelconque ayant eu un minimum de succès. 
 
 
 V) L’utilité de cette méthode
 
 
Alors certes, cette méthode a du négatif. Elle reste avant tout un outil servant à simplifier l’écriture des scénarios et est le plus souvent utilisée comme raccourci d’écriture par pure paresse. Mais rappelez-vous qu’il s’agit avant tout d’un outil, à vous de bien le manier et le résultat ne peut qu’être bon. Bien utilisée, la formule élaborée par Snyder sera bien plus qu’un squelette préconçu soutenant un scénario bancal, elle sera une manière de faciliter votre écriture tout en garantissant une certaine portée à votre histoire.
 
Les récits ayant traversé les époques pour nous parvenir et nous touchant toujours autant ne sont pas un hasard. De l’épopée du roi Arthur à la quête des Skywalker en passant par le panache de Cyrano, toutes ces histoires intemporelles et universelles ont en commun une force transmise par leur intrigue et ce qui en découle.  Ce qui les rapproche ? L’appel de l’aventure, l’apprentissage, la confrontation… des points communs je pourrais en citer d’autres. Ce qu’il faut retenir de toutes ces œuvres c’est que des millénaires de récits divers et variés ont ancré dans notre subconscient une certaine « idée » de comment doit se dérouler une histoire.
 
Campbell et par la suite Snyder furent donc les visionnaires qui permirent à tous d’appréhender ce concept. Pour le meilleur et pour le pire.
 
Pour eux ayant lu/vu Watchmen et cet article, vous remarquerez que ce comics s’insère dans la technique Snyder tout en gardant ses propres particularités. Et ça, c’est un excellent usage de la méthode, l’approfondir.
 
En vérité il n’y a pas de bonne ou de mauvaise méthode d’écrire un scénario, mais celle de Snyder se résume simplement à un raccourci. À vous de décider si prendre ce raccourci vous mène quelque part.
 
Et c’est sur une citation résumant tout mon article que je vous laisse.
 
            « Le secret de l’originalité est de savoir cacher ses sources. »
            Albert Einstein
 
 
Tendrement vôtre, Blackhoof.

Inobi 13 469

[challenge] Et si, le retour. édition Célestia

Bonjour,
Ça fait longtemps qu’il n’y a pas eu de challenge, et je me disais que j’ai le concept des “Et si” qui méritait une deuxième édition. Suite à une longue réflexion pour choisir le meilleur sujet, j’ai finalement joué à pile ou face entre les deux qu’il me restait (ne vous inquiétez pas, le deuxième sujet viendra plus tard), et je viens donc vous mettre au défi.
Le sujet est simple :
Et si la Princesse Celestia prenait une journée de congé sans prévenir personne.
Je pense que le sujet est suffisamment éloquent, et que je n’ai pas grand-chose à expliquer de plus. Je vous laisse vraiment toute liberté sur le pourquoi Celestia décide de prendre congé, et comment elle le fait. La seule chose, c’est qu’elle ne doit prévenir personne, absolument personne. En dehors de ça, vous êtes libre.
Bon quelques règles importantes :

Vous devez faire au minimum 2000 mots, aucun maximum (Essayer d’éviter de m’envoyer l’équivalent de l’encyclopédie quand même)
Pas de sexe (je n’aime pas ça.) Pour le gore, essayez de le limiter au maximum. En cas de scène extrêmement explicite, merci de le préciser.
Essayez de soigner votre orthographe et votre grammaire. Même si je suis assez tolérant avec ça, si la fic est remplie d’erreurs, je risque d’avoir du mal à la lire.

Quant à la contrainte, je vais être d’une très grande originalité en reprenant exactement la même que la session précédente : faire apparaître, ou au moins citer Zecora. Je tiens quand même à vous prévenir que l’utilisation que vous faites de Zecora sera prise en compte dans mon classement.
Maintenant, pour la date de fin, j’ai envie de vous laisser du temps. Je vais donc vous laisser un mois. Vous devrez donc me rendre votre participation le dimanche 2 Avril au soir, sous la forme d’un Google document.
Je vous demanderais juste de vous signaler dans les commentaires si vous comptez participer.Merci à vous, et bon courage.
 
Update : date limite repoussé d'une semaine (anciennement 26 mars).

Aurora 2 323

Critique : Irazure, par Rosycoeur

Bonjour,
Suite à sa demande, je vais critiquer Irazure de Rosycoeur. La fiction est censée contenir le personnage de Rainbow Dash, ainsi qu’un OC, le personnage de Pen. Selon l’auteur, il s’agit d’un cross-over et univers alternatif.
Cette fiction nous raconte l’histoire d’une Rainbow Dash alternative, cette dernière n’ayant pas été épargnée par la vie, qui se retrouve à accompagner Pen, une pégase ayant le pouvoir de voyager entre les dimensions. Ces dernières doivent éviter d’interagir avec les habitants de chaque univers.
L’idée de base est intéressante, mais est aussi risquée. Cependant, ce point de départ permet à l’auteur de raconter plusieurs histoires sans qu’il soit nécessaire qu’il y ait un rapport entre elles, en dehors de la présence des deux protagonistes.
L’auteur ouvre l’histoire avec la description d’un personnage étrange, qui apparemment souffrirait d’une forme de corruption. On ignore son identité, mais un indice est laissé de par la couleur de ses yeux. Nous passons ensuite rapidement sur la Rainbow Dash de cette histoire, qui se révèle être atteinte d’une maladie incurable et handicapante : l’épilepsie. Alors qu’elle se morfond, Pen apparaît dans sa chambre à travers une flaque d’encre. Il s’agit de la base du pouvoir de Pen. Cette dernière prend pitié de la pégase et l’emmène visiter le multivers, tout en ignorant la maladie dont souffre R.D. Pour l’instant, elles ont traversé trois univers différents.
 
Les différents univers sont bien distincts, et certains sont un peu plus intéressants que d’autres. Celui d’où vient Rainbow Dash est une version de l’univers où toutes les mane six se retrouvent séparées, que ce soit par leur travail ou leur famille. Rainbow se retrouve donc seule, à devoir gérer comme elle peut sa maladie, et surtout en pleine dépression. Cet univers n’est pas très original, mais il permet de découvrir l’état d’esprit de Rainbow Dash, et surtout sa volonté de s’échapper à ce quotidien oppressant. On, y voit aussi Pen qui se prend d’affection pour cette pauvre pégase, et surtout saisit l’opportunité d’avoir un compagnon de voyage.
S’en suit un univers où Derpy est une élève de la princesse Cadance, qui semble être l’équivalent de Celestia dans ce monde. Je trouve cet univers un peu quelconque, ne servant qu’à mettre en avant des personnages secondaires. On y apprend cependant que Pen apprécie de retranscrire dans son carnet les évènements de ce monde, aussi simples soient-ils.
Vient l’un des univers qui m’a le plus amusé dans l’idée, l’adaptation du jeu sur mobile. L’explication des règles et surtout les raisons sont bien amenées, et l’idée d’un monde “Pay2Win” change un peu. C’est aussi l’univers où l’on découvre les capacités de création ex nihilo de Pen. Il lui suffit d’écrire une chose dans l’air pour le transformer en élément réel, ici des bits afin d’acheter à manger. Ici Rainbow Dash se permet aussi une petite escapade sans grande conséquence.
On termine sur l’univers Equestria Girl où l’on suit en parallèle l’apprentissage de la marche humain par Rainbow Dash et une petite partie de la vie de Sunset Shimmer après la défaite des Sirènes. On y voit surtout une Pen s’émerveiller devant une Rainbow Dash en apprentissage, et qui à l’air d’avoir besoin de ce genre de moment, car elle aurait vu des mondes bien plus sombre et triste.
Nous n’avons à l’heure actuelle pas d’autre monde. J’aimerais en voir plus, mais surtout j’aimerais que chaque monde soit un peu plus travaillé. Lorsque Rainbow Dash interagit avec des habitants du monde “jeu”, il n’y a aucune conséquence en dehors de Pen qui s’énerve un peu. Pire, le fait que Pen créait de l’argent dans un monde régi par ce dernier pourrait avoir plus de conséquences. Je m’attends à voir des univers bien différents à dans la suite, car j’aimerais être surpris, voir des choses auxquelles je ne m’attendais pas.
 
Pour ce qui est des personnages, j’ai un peu de mal avec certains côtés de ceux-ci.
Nous avons donc ici une Rainbow Dash qui n’a pas pu vivre son rêve de devenir une Wonderbolt à cause de sa maladie. Elle s’est retrouvée isolée suite à des décisions de vie de ses amies. Elle a du mal à accepter cet état de fait, mais quand Twilight s’inquiète pour elle, elle n’arrive pas à accepter l’aide et ne répond pas à la lettre de la licorne violette. Elle est cependant très curieuse, et surtout tenace. Malgré sa maladie, elle continue à s'entraîner à voler, même si on apprend que c’est surtout pour s’oublier dans l’effort. Un élément que je trouve dommage, c’est que sa maladie, en dehors de la situation initial, n’a pour l’instant eu aucune incidence sur l’histoire.
Le personnage de Pen, lui, est assez étrange. Déjà, le fait que ce soit une Rainbow Dash alternative ne sert qu’au début. On oublie très rapidement ce fait, et je n’ai pas eu l’impression que ça ait une quelconque importance en dehors de la surprise initiale. Elle nous est présentée comme une sorte d’archiviste, passant de monde en monde pour recueillir l’histoire de ce dernier. Ses pouvoirs cependant sont extrêmement puissants. Elle est capable d’écrire dans l’air, et surtout, de donner corps à ce qu’elle écrit. Elle est aussi capable de se soigner avec de simples crayons de couleur. Ici elle ne régénère que sa queue, mais les limites ne sont pas clairement définies.
Les interactions entre les deux voyageuses sont mignonnes, et assez naturelles. Cependant on a l’impression que tout est un peu rapide. Pen emmène Rainbow Dash sans vraiment de raison, mais ça n’est pas un énorme problème. En dehors de cette décision discutable, je n’ai pas vraiment de problème avec les personnages, que je trouve au final assez attachants.
 
Pour finir, au niveau de la fiction en générale, j’apprécie beaucoup l’idée, qui me rappelle des vieilles séries comme Sliders ou Code Quantum. Cependant, cette fiction mériterait des chapitres un peu plus longs, avec plus de temps donné à la découverte de l’univers dans lequel les deux voyageuses arrivent. Je trouve aussi que le vocabulaire devrait être un peu plus recherché, l’histoire se concentrant sur une personne censée être une écrivaine plutôt douée. J’ai eu l’impression que l’histoire était très, voire trop, enfantine.
Je reste cependant curieux de voir la suite.

Sonic 11 570

Et maintenant parlons de cette merde


Avant hier j'ai mis un article sur mon prochain chapitre d'anti-bronysisme et bien maintenant parlons de cette merde qui est ma première fic : Une vérité étrange 

 
Beaucoup de choses ont changé depuis le dernier chapitre d'une vérité étrange exemple mon OC ça va entraîner beaucoup de modif à faire et bon de toute façon cette chose à fait le buzz pour être une merde total (oui c'est maintenant que je l'avoue) alors je voulais vous demander je continue la fic ou je l'arrête (je vous avertis même si la majorité voudront probablement que je l'arrête il y a de forte chance que ça continue) alors bon j'ai probablement été connu pour avoir fait cette merde.
 
c'est ça donc mon OC a changé pour ne pas avoir de problème avec sega (seul ceux qui auront lu ma fic comprendrons) parce que sinon pour le scénario pour le troisième chapitre va aussi changer et je vais corriger les fautes au passage.
alors cette fois la prochaine fois que vous me lisez ce sera un chapitre alors à la prochaine fois!!!!

Raxacoricofallapatorius 13 436

Fiction finie d'avance ou non ?

Salut les poneys !
D'ailleurs est-ce que Celestia est un cheval ?

BREF.
 
Après avoir regardé la rediffusion du live-débat Mlp que vous pouvez voir Ici, là, juste là, et plus ici,
je me suis posé la question suivante :
 
Pour un auteur, est-ce que c'est mieux de finir sa fanfiction avant de la publier
ou est-ce que au contraire il faut l'écrire au fur et à mesure ?
 
En effet les enfants, une fanfiction déjà finie à pour qualité le fait que vous n'aurez jamais cette impression d'être "en
retard", car vous n'avez plus qu'à publier vos chapitres ( D'ailleurs, cette article ne s'adresse pas aux one shots ! ) à un rythme donné. Et en plus, comme il a été dit dans le débat, une fiction "hebdomadaire" a tendance à retenir les lecteurs plus longtemps ;) !  Car oui, comme vous avez pu le constater, souvent on voit de moins en moins de lecteurs à chaque chapitre.
 
MAIS ATTENTION !
 
Parce que oui, y a pas que des points positifs l'ami ! Imaginez vous que vous recevez une critique, constructive, qui vous explique les points qu'il faudrait éventuellement changer. Vous, avec votre fanfiction finie, vous n'allez peut-être pas avoir l'envie de modifier vos 20 chapitres suivants, surtout qu'en plus, d'autres critiques vont suivre ! Si ce n'est des critiques que sur la façon d'écrire, c'est ch*ant mais ça peut aller. Mais en revanche, si on vous reproche un trait de caractère à un de vos petits poneys (OverPeté style Marie Sue) et que vous voulez régler le problème, eh bah bonne chance, vraiment ! Parce-que la, faut carrément changer des dialogues, des actions etc. 
 
Ça peut donc en agacer certains qui ne vont plus prendre la peine de lire
les critiques et qui vont se contenter, comme des machines,
de poster leurs chapitres, sans jamais rien changer.
 
Alors, Raxacoricofallapatorius, le mieux c'est de l'écrire au fur et à mesure ?

 
Avant d'argumenter ce point, laissez-moi vous introduire une petite définition :
 
Procrastination : Nom féminin ( latin procrastination, ajournement, de cras demain)
- Tendance pathologique à différer, à remettre l'action au lendemain.
En gros, c'est quelque chose de chiant dont il est difficile de se débarrasser, je parle en connaissance de causes

 
Comme d'habitude, je ne sais pas vraiment. Parce-que oui, quand on l'écrit au fur et à mesure, on a l'avantage
de pouvoir s'améliorer au fil des chapitres ! Là, c'est sûr qu'on peut se dire ; "Bah alors c'est ça qu'il faut faire !"
GROSSIÈRE ERREUR !
 
Forcément, y'a un petit quelque chose qui casse tout ! En écrivant au fur et à mesure, on peut, pour différentes raisons, faire une pause dans les écrits, prendre du retard sur ce qu'on avait prévu puis se dire que les lecteurs attendent et commencent à se lasser. Donc on se dit qu'il faut se dépêcher de finir, alors on écrit un truc qui, parfois, ne nous plaît même pas ! Et donc, au fil des chapitres on perd l'envie, on se dit qu'il faut finir cette fichue fic', même si la qualité baisse. Et croyez-moi, quand un auteur en a marre, ça se ressent dans la Fic'. Les personnes "atteints" de procrastination doivent bien connaître ça...
 
Alors, qu'en pensez-vous ?
Pour vous, quelle est la "meilleure" méthode, s'il y'en a une ?
Quelle est votre méthode ?
 
Je vous laisse débattre ci-dessous, moi, je vais me faire couler un bain !
 

 
 
 Et j'ai même pas fait copier/coller pour la définition !
 
j'ai recopié au clavier ._.

Rosycoeur 9 381

Les changements d'orthographe et de grammaire


(Au cas où)
 
Comme vous le savez, il y a eu plusieurs changements de l'orthographe et de la grammaire ces derniers temps. Des changements qui paraissent parfois si aberrants que beaucoup de gens en sont indignés, crient à l'incompétence de ceux de l'Académie française. Ces modifications ne m'enchantent pas vraiment aussi, mais il vaut mieux tenter d'être objectif, je suppose ?
Dans cet article, je donnerai à chacun des deux camps (contre et pour respectivement) un argument. Oui un. Parce que je suis flemmarde, que je n'ai eu l'idée de cet article qu'aujourd'hui et que j'ai envie de le publier là, même si j'aurait mieux fait d'attendre pour le travailler et tout et tout pour fournir un article entier au lieu d'un morceau qui n'a que le mérite d'avoir des images. Mais tant pis, je fais ce que je veux même si c'est pas bien ?
Et puis, si vous êtes insatisfait, vous pouvez débattre en commentaires. Les débats sont plus enrichissants qu'un article, même s'ils sont souvent démarrés par ce dernier. Bref.
 
Ça devient de plus en plus compliqué...


De base, ces changements servent à faciliter ceux qui sont en difficulté avec la langue française. Personnellement je ne les aime pas trop, mais j'ai plutôt des facilités en grammaire donc je ne sais pas comment vont ceux qui ont du mal.
Le problème, c'est qu'à force de changements, on ne s'y retrouve plus.
Si bien qu'en annulant certaines choses, on finit par avoir des problèmes grammaticaux qui s'ajoutent. Les parents sont anxieux et les professeurs sont complètement déboussolés.
Même si la langue française se montrera plus indulgente tant qu'il y a une explication, ça devient vraiment compliqué. D'ailleurs, je pense que cette possibilité d'accepter certaines choses si justifié est confusante...
 
Le français est une langue vivante !


A quoi en serons-nous si nous avons refusé toute modification de la langue de Molière ?
Au stade actuel, notre façon de parler serait un véritable dialecte si des gens de la Renaissance nous entendaient.
La langue est changeante, c'est normal qu'il y ait peu à peu des modifications. Le contraire ? C'est une langue morte. Et puis, après tout, elle est faite pour être parlée. Et ça, c'est beau.
 
Et donc...
Oui, c'est tout. Ce n'est pas mon meilleur article, et la partie pour est plus courte que la partie contre. Tant pis.
Mais je dois conclure ça par une remarque :

A mon avis, il n'y a personne qui va se plaindre car on ne respecte pas les nouvelles règles. ... au contraire de ceux qui sont atterrés par elles. Mais la résistante opposée par l'enseignement, les parents et les gens en général arrive à conserver les règles originelles.
Et donc sur ce site, que devons nous faire ?
Je ne sais pas.
Quoi, tu n'apportes même pas de réponse ?
Bah, les gens font ceux qu'ils veulent ? C'est comme ceux qui utilisent les termes VO et ceux qui emploient les termes français. Je veux dire, je ne vais pas les en empêcher !
Allez, salut.

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