Happy heart's warming eve !
'Fin c'est pas maintenant mais...
Vous l'avez sûrement compris grâce à ce MAGNIFIQUE titre, je me pose encore une fois une question.
Est-ce que faire une histoire triste est plus facile que d'en faire une joyeuse, ou qui provoque de la peur, du dégoût ?
Evidemment, j'ai jamais rien écrit, genre, vraiment, et donc je peux pas "témoigner".
MAIS !
J'en ai parlé à quelques membres, et beaucoup m'ont dit avoir commencé par des one-shot tristes, et que
globalement, ça avait bien marché.
Vous vous doutez bien que je ne me limite pas à juste deux trois avis, non !
Aussi mon expérience personnel.
Très souvent, les histoires qui ont provoquées en moi une émotion, bah c'était les histoires tristes. Ué.
J'ai jamais ressenti de la peur en lisant quelque chose, pas non plus du dégout,
de la joie assez rarement, mais de la tristesse, ouais.
D'après vous, est-ce que c'est vraiment plus simple de susciter chez le lecteur de la tristesse qu'un autre sentiment ?
Voici un petit sondage, juste pour voir la majorité !
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Tout à fait
*Déjà, ça dépend du niveau de concentration sur la lecture. Par exemple, je ne m'immerse pas facilement dans une lecture, aussi, si un personnage que j'apprécie meurt, je vais peut-être, à la limite, lâché un début de larme. En revanche, la plupart de mes films préférés m'ont fait chialés plusieurs fois, même MLP m'a déjà fait me sebtir triste, j'ai même chialé trois fois devant le film (m'en moque des avis, je l'ai adoré et oui, il m'a assez touché pour que j'en chiale), même le dernier Disney m'a fait pleuré deux fois. Donc oui, je semble être du genre à pleurer facilement mais pas devant un livre, et ceux, malgré mon amour de la littérature.
*Ensuite, du personnage. Personnellement, je déteste Rarity et Spike (et j'écris une foc' sur lui, fuck la logique) et j'adoooore Twilight, Luna et Discord (Sans blague pour Twi?) aussi, quand il arive un truc triste à l'un des deux premiers, il faut vraiment que ce soit horrible pour que ça puisse me faire quelque chose. Mais pour les 3 autres... je pense que vous comprendrez mieux pourquoi j'ai chialé devant le film... bref, donc oui, quand il leur arrive un truc mauvais, soit je chiale, soit je me sens tout de même triste. Et ça ben c'est pareil partout, ça dépend de ce que l'on éprouve pour le personnage. Par exemple à la Fin du "Portrait de Dorian Gray" d'Oscar Wilde, j'ai tellement détesté le personnage ee Dorian que j'ai été folle de joie de le voir mourir (Désolée du spoil), pourtant, c'est le personnage principal. En revanche, dans "L'oublié" de Valz, j'ai été triste pour l'oublié, même si, d'un autre côté, il n'était pas si méchant que ça, mais bon...
*Et enfin, tout depend aussi de l'auteur et de son style d'écriture. Il ne faut pas trop détaillé mais sans bâcler non plus, il faut être clair net et précis, il est mieux quand on vit la scène du ressenti d'un proche... enfin, plein de petits trucs qui peuvent faire une énorme différence. Pour moi, je crains toujours le moment où il faut écrire une scène triste, de peur de la raté. Un conseil pour ceux qui seraient dans le même cas que moi: Écoutez de la musique triste ou regardez un film qui vous fait toujours chialé ou presque avant d'écrire, généralement, ça marche pas mal.
Voilà mon ressenti sur la question!
Je pense qu'il est plus important de comprendre comment fonctionnent les sentiments, leurs résultats sur une personne en fonction de leur personnalité, leurs causes.
Derrière cela, il faut aussi comprendre le processus littéraire permettant de faire passer des émotions. Une répétition pour signifier la lassitude, des phrases courtes pour signifier l'excitation, etc. (liste non exhaustive, et il y a tellement de figure de style utilisable chacune pouvant avoir plusieurs utilisation que je ne vais pas m'amuser à les lister.)
Dans l'absolu je suis d'accord avec toi @Luiwen mais l'expérience de situations ou d'émotions ne permet pas forcément d'avoir la bonne manière de les raconter (d'un point de vue strictement littéraire) ou de les inscrire dans une œuvre de fiction, si on doit vraiment chipoter. Avour vécu ne suffit pas pour savoir l'écrire, je trouve.
J'ai pensé à ce raisonnement, mais il y a vite une faille :
Que dire des fanfics sur la folie, et les envies de meurtre ?
Brocco faisait de bonnes fictions sombres, mais il n'a pas vécu ce genre d'événements (en tout cas je ne l'espère pas), il tire son inspiration de Lovecraft.
Donc est-il possible de transmettre les sentiments par "imitation" ?
Bon, soyons plus sérieux, j'étais en train de plaisanter.
Une émotion, qu'importe laquelle, est facile à faire passer à travers l'écrit quand on a en mémoire un événement qui se rapporte à l'émotion donnée ; et attention, un événement que l'on a vécu. Une personne ayant connu une dépression, un moment de désespoir, ou un autre truc du même genre aura effectivement plus d'inspiration et plus de chance d'attrister les autres qu'une personne qui au contraire, n'a pas vécu ce genre de phénomène.
Effectivement, le cliché, que ce soit dans le tragique, dans l'horreur, le s*x*, la romance ou autre ; est présent particulièrement chez ceux qui n'en ont pas subi l'expérience et qui, à travers leurs écrits, en donnent une opinion. Et il est important de rappeler que ce qui impacte le plus est la réalité, et non pas l'image de ce qu'on se fait de la réalité. En effet, l'image de la réalité est une autre manière de désigner ce qu'on appelle un stéréotype. Et justement, le stéréotype a tendance à donner un sentiment de ras-le-bol car ça se réfère à des truc qu'on entend ou qu'on voit souvent.
Par exemple, selon mon opinion à moi, un bon NSFW ne sera sûrement pas réalisé par un puceau ; une bonne romance sera sûrement réalisé plus chez quelqu'un ayant eu des histoires d'amour, des déceptions amoureuses, plutôt que chez quelqu'un qui ne s'est jamais demandé une seule fois dans sa vie ce que pouvait être l'amour ; et enfin, la tragédie, sera mieux réalisé par quelqu'un ayant perdu un être cher pendant son enfance ou une autre bêtise du genre que quelqu'un n'ayant pas réellement connu la souffrance.
Donc pour répondre à ta question : cela dépend de la psychologie et de l'expérience de vie de l'auteur. Certains ont une psychologie adaptée à la transmission de certaines émotions et pas à d'autre ainsi de suite.
C'est un peu triste cette conclusion car elle amène à dire que celui qui fera le mieux pleurer les autres à travers ses ouvrages, c'est celui qui aura le plus souffert pendant sa vie. C'est pessimiste d'avoir ce genre de conviction mais je ne vois pas en quoi ce serait faux, à moins que l'auteur soit un p**ain de génie littéraire.
Déjà, quand tu parles du NSFW, tu as l'air de parler uniquement du côté sexuel. Et c'est loin d'être facile, surtout que toutes les personnes n'ont pas les mêmes fantasmes, et tout le monde n'a pas la même réaction. Je suis plus facilement gênée par une fiction NSFW sexe qu'excité.
Après, le gore est censé être aussi dans le NSFW (pas vraiment sur ce site), et provoquer le dégout est là aussi difficile.
En fait, que ce soit la tristesse, la joie, ou tout autre sentiment, les faire ressentir à son lecteur est difficile. Il faut trouver le bon dosage, trop et le lecteur rejette l'idée car il aura l'impression qu'on insiste trop. Pas assez, et le lecteur tombera à côté.
Bref : plus facile : non. Plus difficile : non plus.
À mon avis, tout dépend de la personnalité de l'écrivain. Si on poserai cette question à Pinkie Pie, elle répondrait surement qu'il est plus facile de faire rire les poneys que de les rendre triste. Alors que si on la posai à un écrivain en période difficile, il vous répondra surement le contraire.
Chaque personne à des points faible et des points fort, et c'est cela qui rend chacun de nos écrits unique.
j'ai répondu "non", parce que ça me paraît exagéré. il y a certainement encore plus facile, rien qu'en pensant au NSFW. plus facile de créer l'excitation que la tristesse
il y a aussi plus dur. à mon avis il est plus difficile de faire rire que de faire pleurer. et je parle pas juste de faire des blagues, je parle de créer des situations comiques, je parle de fics qui sont bâties sur un noyau de comédie et qui marquent vraiment. je crois quand même que les mécanismes du rire sont moins bien compris que ceux du triste en général. essayez de m'expliquer comment on fait rire quelqu'un. ça paraît plus difficile
ce dont je suis sûr par contre, c'est que toutes les bonnes histoires mettent en scène des personnages malheureux, que ça se voie ou pas. les histoires joyeuses, ça n'existe pas, ou alors ça n'intéresse personne. la joie ne peut être admise dans une histoire que parce qu'elle est précédée d'un malheur. et le triste, dans ce cadre, est sans doute plus "facile" parce que le malheur des personnages y est plus évident