Happy heart's warming eve !
'Fin c'est pas maintenant mais...
Vous l'avez sûrement compris grâce à ce MAGNIFIQUE titre, je me pose encore une fois une question.
Est-ce que faire une histoire triste est plus facile que d'en faire une joyeuse, ou qui provoque de la peur, du dégoût ?
Evidemment, j'ai jamais rien écrit, genre, vraiment, et donc je peux pas "témoigner".
MAIS !
J'en ai parlé à quelques membres, et beaucoup m'ont dit avoir commencé par des one-shot tristes, et que
globalement, ça avait bien marché.
Vous vous doutez bien que je ne me limite pas à juste deux trois avis, non !
Aussi mon expérience personnel.
Très souvent, les histoires qui ont provoquées en moi une émotion, bah c'était les histoires tristes. Ué.
J'ai jamais ressenti de la peur en lisant quelque chose, pas non plus du dégout,
de la joie assez rarement, mais de la tristesse, ouais.
D'après vous, est-ce que c'est vraiment plus simple de susciter chez le lecteur de la tristesse qu'un autre sentiment ?
Voici un petit sondage, juste pour voir la majorité !
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Mais Acylius m'a donné une idée. De toute façon, il est validateur, il le verra, même si c'est trop bizarre pour passer.
Mais je ne sais pas si l'inverse marche.
Je vais commencer par dire que pour que quelque chose: un écrit, une oeuvre, une peinture, un film, etc... reste en mémoire il utilise très souvent deux extrêmes: soit l'humour très bien orchestré, soit le choc. Ce sont deux émotions très poussés qui vont forcément laisser une marque dans ton esprit étant donné qu'elles se basent sur une chose soit extrêmement confortable, soit exagérément dégoûtante. Dans les deux cas, le résultat est le même, la personne s'en souviendra, même si ce n'est pas toujours pour de bonnes raisons. Par exemple les nanars dans les films qui sont très très drôle de par leur absurdité non voulu, ou les films gores tels que les suites de Saw bien que tout le reste autour soit assez nul.
A partir de cela je peut dire que ce n'est pas spécialement les fictions tristes qui marquent, mais plus celles qui choquent. C'est assez simple à voir avec les mythes que l'on a retenu et qui sont avant tout d'être des tragédies assez violents, comme celui d’œdipe par exemple.
Après pour ce qui est du "triste"... C'est comme l'humour, ça semble simple à écrire, et pourtant il faut savoir bien doser la chose pour ne pas tomber dans le pathos si cliché qu'il en devient lassant. C'est donc une question d'équilibre qui demande de faire très attention au moindre petit élément, et c'est d'ailleurs avec cet équilibre que l'on comprend pourquoi beaucoup de personnages OC ou Mary-Sue sont haïs. Parce que les histoires sont souvent très proches, avec des morts, des maladies, des viols, des tortures, etc... Bref un panel de cliché si souvent réutilisé qu'il ne provoque plus l'empathie mais bien le ras-le-bol.
Donc là encore... Non ce n'est pas si simple de faire un écrit dit triste.
J'aurais pleins d'autres exemples à t'énoncer mais bon je ne suis pas non plus là pour faire une dissertation, et je pourrais m'égarer en chemin.
Pour rester simple, je dirai que l'expérience de chacun nous rend insensibles ou non aux clichés qui sont utilisés avec des œuvres dites tristes ou tragiques. La question n'aura jamais de réponse vraiment claire parce que c'est en fonction de chaque personne. Etant très émotive je ris très facilement, ou pleure également assez rapidement devant un film ou une scène s'il y a un bon accompagnement musicale. Par contre à l'écrit j'ai plus de mal à ressentir une tristesse assez forte pour en avoir la larme à l'oeil, c'est très rare, mais quand ça arrive je sais que la personne a trouvé un très bon équilibre entre drama et réalité.
En bref, je dirai que ce n'est pas plus facile que d'autres genres, mais on sous-estime bien souvent la difficulté de l'exercice car on peut tomber très rapidement dans le piège de l'accumulation de clichés.
En espérant que mon avis puisse te donner de nouvelles pistes de réflexions.
C'est uniquement mon expérience et chacun peut avoir son avis, mais pour moi la tristesse est moins un sentiment plus facile à provoquer que celui le plus marquant. Cela n'empêche pas les autres d'être efficace, les textes joyeux ou drôles donnent la pêche, les textes effrayants et les textes dégoûtants... je saurais pas mettre de mots dessus, mais ils ont leur utilité aussi. Mais c'est juste mon opinion.
De la tristesse assez rarement; de la joie, jamais; du dégoût, hum pas depuis mon adolescence, je crois qu'à présent je suis blindé; de l'amusement, oui souvent, des textes que je trouve drôle et qui me font rire. Une ou de fois j'ai ressenti de la colère ou de la révolte face à ce qui arrive aux personnages, du genre c'est trop injuste/sale ce qui lui arrive, ça se fait pas. Dans le même genre il m'est arriver un peu plus souvent de de ressentir de l'inquiétude face à ce qui va arriver aux personnage, du genre au non pourvu qu'il/elle s'en sorte.