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My little Arcadia : Piracy is magi [...]

Une fiction écrite par AuBe.

Chapitre 11

Chapitre 11

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— … alors il m’a dit « mais les griffons n’existent pas ! », et j’ai dit « ben ils sont drôlement mal élevés pour des trucs qui n’existent pas ! », et il a dit « non ce n’est pas ce que je voulais dire », alors j’ai dit « quoi ? », et il a dit…

Rarity avait renoncé à suivre le babillage incessant de Pinkie Pie. Elle ignorait où la ponette rose puisait son énergie, mais de son côté le seul fait de regarder son amie sautiller dans tous les sens suffisait à l’épuiser.

— Pinkie… souffla-t-elle.
— … « c’est parce qu’on croit que les choses existent qu’elles se mettent à exister », j’ai dit, et il a dit « ce n’est pas comme ça que ça marche », et j’ai dit…
— Pinkie !

La ponette se figea.

— Tu ne veux pas connaître la fin de l’histoire ?
— Je préférerais savoir pourquoi tu jugeais « absolument vital » que je t’accompagne dans cet endroit répugnant, rétorqua sèchement Rarity.

La licorne blanche jeta un regard de dégoût autour d’elle. Vraiment, à mesure qu’avançait son séjour à bord de l’Arcadia, elle avait fini par se convaincre que les humains pouvaient être un peuple raffiné malgré leur ignorance de la magie. Leur « technologie » devait leur permettre de bâtir des villes, peut-être pas aussi somptueuses que Canterlot ou aussi imposantes que Manehattan, mais au moins… décentes !
Mais l’endroit dans lequel Pinkie l’avait conduite était tout sauf décent. Était-ce seulement une ville ? se demanda Rarity. Ces constructions branlantes, faites de morceaux de bois et de métal dépareillés, étaient-elles des habitations ? Et Celestia, comment pouvait-on supporter cette chaleur étouffante et cette horrible poussière rouge qui volait partout ?

— Houlà, je ferais attention si j’étais toi, lui reprocha Pinkie en fronçant exagérément les sourcils. Si les gens entendent que tu trouves leur ville répugnante, ils risquent de se mettre en colère parce qu’ils ont eu beaucoup de mal à construire leur ville ici parce que le sable rouge détruit tout, mais ils se sont obstinés et ils ont construit et reconstruit et finalement ils ont réussi à bâtir une ville et elle n’a pas encore de nom parce que c’est une ville qui vient tout juste d’être construite alors ils l’appellent juste « la Ville » et ils en sont très fiers et ils n’aimeraient pas que tu dises que c’est répugnant et…
— C’est bon Pinkie, je crois que j’ai saisi l’idée.
— Oki doki !

N’empêche que c’était répugnant. Les humains étaient vraiment des barbares.

— Et donc, pourquoi voulais-tu que je t’accompagne ici ? insista Rarity.

Pinkie lui renvoya un clin d’œil complice.

— Pour le dragon, voyons !
— Le…

Rarity stoppa net. D’accord, Pinkie avait habitué ses amies aux pires extravagances, mais là… Et la ponette rose lui annonçait cela comme si elles se rendaient au spa !

— Pinkie, attends ! Comment… Que… Il est hors de question que je parte à la chasse au dragon avec toi, je risque de ruiner définitivement ma mise en plis !
— Oh… Non non non, je ne t’emmène pas chasser le dragon, corrigea Pinkie. Enfin, pas tout de suite… Salut la compagnie !
— B’jour, m’selle Pinkie !

La ponette avait poussé d’un mouvement vif les battants de bois d’une porte qui avait connu des jours meilleurs et était entrée sans hésiter dans… ce devait être un saloon, supposa Rarity, bien forcée de suivre son amie. Aucune pièce du décor ne manquait à l’appel : le bar, le mobilier rustique, les alignements de bouteilles, le vieux piano sur lequel un type probablement sourd massacrait un morceau de musique country, les piliers de comptoir affalés devant une ribambelle de verres, la propreté douteuse et les chapeaux de cow-boy. Applejack aurait adoré cet endroit.

— Vous v’nez déjà vous préparer pour ce soir, m’selle ?

À la mimique interloquée de Rarity, Pinkie répondit d’un sourire éclatant.

— Ben oui, je suis déjà venue hier soir et j’ai organisé une petite fête ici, avec un spectacle et des cotillons et tout, et j’ai fait mes meilleures blagues, tu te rends compte c’était la première fois que les gens assistaient à une fête dans cette ville et pouvaient vraiment s’amuser et rire, alors comme on a besoin d’aide pour attraper un dragon géant, je me suis dit que je pourrais revenir faire quelques spectacles ici en échange d’un coup de patte.

La ponette rose conclut sa tirade d’un haussement d’épaules négligent.

— … mais ils ont dit que ce n’était pas assez cher payé pour un dragon, termina-t-elle.
— Va m’falloir plus que des serpentins, m’selle, grommela l’humain qui les avait saluées à leur arrivée.

Pinkie hocha la tête d’un air entendu.

— No problemo ! acquiesça-t-elle. C’est pour ça que j’ai demandé à mon amie Rarity de venir !… J’ai pensé que tu pourrais faire quelque chose pour rendre la déco du saloon un peu… mieux ? – Pinkie fixa la licorne avec espoir – … Tu pourrais ?

Rarity échangea un regard désolé avec l’humain. La logique de Pinkie et son échelle de valeurs étaient déjà étranges pour qui la connaissait ; elle n’osait imaginer ce qu’en pensaient des extra-équestriens.

— Eh bien… hésita-t-elle (elle ne tenait pas à briser trop brutalement les naïves attentes de son amie). Je suppose que la pièce gagnerait en prestance à l’aide de trois ou quatre tentures brodées de gemmes, mais je ne crois pas…
— Ah ! T’es une marrante, toi ! interrompit l’humain. On trime comme des bêtes à la mine pour en sortir trois fois rien, et tu t’imagines qu’on voudrait broder des pierres précieuses sur des rideaux ?
— Oh, vous avez une mine ? s’étonna Rarity.

L’humain lui adressa une expression identique à celle qu’elle-même réservait parfois (souvent) à Pinkie.

— … et tu t’imagines qu’on s’est installé dans ce trou paumé pour le plaisir, madame licorne ?

L’humain eut un sourire désabusé.

— Il y a du trinium ici, expliqua-t-il. Du minerai énergétique pour les vaisseaux spatiaux. Beaucoup, mais difficile d’accès. On a le matériel pour l’extraire mais son entretien coûte cher et du coup, c’est difficile de dégager des bénéfices pour développer correctement la ville.

Il pinça les lèvres.

— Bien sûr, on sait tous qu’il y a d’autres gisements que du trinium dans le coin, mais la mine principale ne produit que du trinium… Les machines détruisent tout le reste. Et on ne peut pas les régler pour chercher autre chose : c’est le trinium qui nous fait vivre, comprenez ? L’or ou même les diamants ne sont pas aussi rentables. Ça nous aiderait bien en production complémentaire, mais on ne peut pas se permettre de changer notre production principale… Trop aléatoire.

L’humain ponctua la fin de son discours d’un geste fataliste.

— Au final, ’y a pas mal de monde qui creuse au hasard aux alentours de la mine, mais jusqu’à présent ça n’a pas été très concluant.
— Vous creusez au hasard ? répéta Rarity, incrédule.

Quelle drôle d’idée. Pas étonnant que ces rustres restent bredouilles.

— Non, évidemment. On fait des sondages géologiques, mais les meilleurs gisements sont profonds et les veines affleurantes très rares, de très faible concentration et très disséminées. C’est un peu un coup de poker à chaque fois et… Mais je vous embête avec mes histoires de mineur. En tout cas, si vous vous attendiez à trouver des bijoux ou des soieries raffinées, vous vous êtes trompée de planète, madame licorne.

Rarity se redressa de toute sa hauteur, vexée. Elle n’était pas si superficielle. Et elle allait montrer à ces barbares comment une espèce civilisée recueillait les gemmes. C’était son talent, après tout.
Creuser au hasard. Peuh !

— Je ne sais pas si je me suis trompée de planète ou pas, rétorqua-t-elle sèchement, mais je sais que si vous m’emmenez près de votre mine, je pourrai vous indiquer où creuser pour trouver les plus grosses gemmes.
— Vous êtes géologue ?
— Je suis créatrice de mode ! s’indigna Rarity. Ma dernière collection était brodée de diamants et d’émeraudes que je suis allée chercher moi-même dans la montagne, donc je sais de quoi je parle !

L’humain, comme d’ailleurs tous les clients du saloon, la fixait bouche bée. Rarity renifla. Tous des ignares. Elle parlait intelligiblement, pourtant !

— Okay, lâcha finalement l’humain. Ma vieille mère m’a appris à ne pas méjuger de raisonnements extraterrestres a priori loufoques, donc je vais vous guider là-haut.

Il fit une grimace à mi-chemin entre le scepticisme et la moquerie.

— Et si vous me trouvez un diamant, madame, je vous promets que je vous filerai un coup de main, pour vot’ dragon !

———————

— Combien ?
— Un peu moins de cinq kilos, professeur. Le dispositif d’éjection d’urgence s’est déclenché quand les moteurs sont passés en survitesse. On a perdu quatre-vingt-trois pour cent de la capacité.
— Merde. On n’a pas les finances pour renouveler une telle quantité.
— Nope.

Tochiro éteignit son unité de diagnostic technique et fixa le chef mécanicien dans les yeux. Il savait déjà ce que l’homme allait ajouter.

— … mais on a de la chance dans notre malheur, prof. L’Arcadia est tombée juste à côté d’une mine de trinium ! On n’a plus qu’à aller se servir !

Tochiro secoua tristement la tête.

— Mouais… Ça m’embête de dépouiller ces pauvres gens, tout de même.

C’eût été des Illumidas, il n’aurait pas dit non, mais là… Il voulait bien être un pirate, mais pas au détriment de n’importe qui !

— Le captain n’aurait pas hésité, lui, insista le chef mécanicien.

Tochiro retint une grimace. Harlock avait toujours été davantage pirate que lui. Plus inflexible. Plus enclin à écorner la morale lorsque la nécessité l’exigeait. Plus froidement logique. Il n’aurait pas hésité.

Mais lui, il n’était pas Harlock.

———————

L’humain s’appelait « Jorde », ce qui était un nom presque aussi idiot que « Harlock » mais Rarity s’était abstenue à temps d’en faire la remarque.

— C’est là, madame licorne. Vous voulez descendre ?

Rarity ignora le sarcasme suintant de suffisance masculine et s’approcha prudemment. La mine était un trou béant dans lequel le château de Canterlot aurait disparu tout entier, hérissé de grues et de cheminées fumantes, et au fond duquel plongeaient et remontaient d’innombrables câbles métalliques. Cela ressemblait à la bouche du Tartare. Rarity recula tout aussi prudemment qu’elle s’était avancée. Pour rien au monde elle n’aurait voulu entrer là-dedans.

— Je vous remercie, mais c’est inutile, répondit-elle.

Jorde avait parlé de veines affleurantes, non ?
Rarity se concentra. Sa magie n’était pas comparable à celle de Twilight, cependant son talent lui permettait de déceler aisément la présence de gemmes à proximité.

Sa corne se nimba d’une lumière blanche.

— Ah ! Il y en a par là ! s’exclama-t-elle.

Sans une hésitation, la licorne contourna un bloc rocheux.

— Un gros rubis. Juste là.

Elle pointa la corne vers le rocher.

— Si vous voulez bien vous donner la peine de creuser, ajouta-t-elle.

Jorde la gratifia d’un sourcil sceptique et d’un reniflement dédaigneux excessivement malpoli, mais il s’exécuta tout de même. Il ne lui suffit que de deux coups de pioche pour que son expression change du tout au tout.

— Par les huit mille putes de l’enfer ! jura-t-il.
— Un problème, Jorde ? intervint un des badauds qui les avaient suivis.

Les humains semblaient trouver désopilant le fait qu’une licorne puisse prétendre être une meilleure chercheuse de gemmes qu’eux. Jusqu’à présent, ils s’étaient échangé des plaisanteries, lançaient des quolibets plus ou moins élaborés et paraissaient s’amuser tels des poulains devant une attraction comique.

— Non, aucun problème. Pousse-toi. Bordel de putain de merde.

Les rires se turent lorsque Jorde dégagea du rocher un rubis de la grosseur d’une pomme. Un silence de plomb s’abattit sur la foule, tétanisée par la surprise. Rarity se permit un sourire victorieux. Et voilà, elle leur avait cloué le bec, à ces barbares !

La licorne secoua sa crinière avec grâce. Ils en voulaient encore ? Elle serait celle qui leur apporterait la lumière de la civilisation d’Equestria.

— Ce n’était qu’une pierre isolée, déclara-t-elle d’un ton ennuyé. Je pense que je peux trouver une veine un peu plus loin… – Rarity fit de nouveau briller sa corne – … par là, oui… De ce côté…

Elle trotta sur une cinquantaine de mètres en zig-zag, attentive aux vibrations magiques que lui renvoyaient les multiples gemmes camouflées dans le sous-sol. Il y en avait beaucoup, dont certaines qu’elle ne parvenait pas à identifier, mais la majorité était identique aux pierres précieuses d’Equestria. Et notamment…

— Des diamants ! triompha-t-elle.

Jorde la fixait comme s’il s’était trouvé devant la princesse Celestia.

— Où est-ce que je creuse, madame ?
— Oh, où vous voulez. C’est une veine qui commence ici – Rarity montra un rocher à sa gauche – et qui s’enfonce par là – elle pointa une fissure qui serpentait sous ses sabots.

L’humain se mit au travail sans un mot de plus avec une frénésie telle que Rarity dut s’écarter pour éviter les projections de roche. En moins d’une minute, le rocher éventré refléta l’éclat familier d’une rangée de diamants. Un peu trop petits au goût de la licorne blanche, mais si elle en jugeait les expressions des humains cela dépassait leurs rêves les plus fous.

— Que je sois pendu… murmura quelqu’un.

La foule restait à distance respectueuse, comme si les humains hésitaient sur la conduite à tenir. Finalement et après s’être ébouriffé nerveusement la crinière, Jorde lui adressa un regard plein d’espoir.

— Hum… Vous pouvez, euh… en trouver d’autres, madame ?

Rarity ouvrait la bouche pour répondre « bien sûr ! » (ce n’était pas comme si on lui demandait l’impossible non plus), mais elle fut prise de vitesse par Pinkie.

— Pas question ! s’exclama la ponette rose.

Choquée, Rarity se prépara à rétorquer que ce n’était qu’un petit service de rien du tout, aucun problème, mais Pinkie ne lui en laissa pas le temps non plus.

— Monsieur l’humain, tout à l’heure vous avez dit « si vous trouvez un diamant, je vous aide à attraper le dragon », hein ? Hein ? J’ai raison ou pas ?
— Euh… Ouais. C’est juste.
— Donc comme Rarity et moi, on est venu pour attraper un dragon et que maintenant vous êtes d’accord pour nous aider, ben on n’a plus besoin de faire des spectacles ou de chercher des gemmes, n’est-ce pas ?
— Je suppose que c’est logique, convint Jorde.
— Après bien sûr, Rarity peut continuer à vous indiquer où se trouvent les veines de pierres précieuses, mais ça veut dire qu’il va falloir nous fournir quelque chose en échange. C’est le principe du troc, voyez ?

Décontenancé, Jorde cligna plusieurs fois des yeux avant de se reprendre.

— Okay, lâcha-t-il finalement. Crache le morceau, m’selle. Qu’est-ce que tu veux ?

Avec un sourire qui était soudain beaucoup moins festif et beaucoup plus calculateur, Pinkie bondit sur un rocher pour se mettre à hauteur de l’humain.

— Oh, facile, répondit-elle. D’abord il me faut à peu près deux kilomètres de câble de forage, pour le dragon. Je vous en avais déjà parlé. Ensuite… Eh bien, les moteurs de l’Arcadia ont été endommagés lors de notre dernier saut warp et il a été nécessaire de purger une bonne partie des noyaux de trinium. Je vais avoir besoin de votre minerai énergétique pour recompléter les cuves de fission. Cinq kilos. Au cours actuel du trinium, si Rarity vous déniche deux autres veines de diamants, vous rentrez dans vos frais.

Pinkie s’autorisa une pause dramatique. Elle semblait jouer le rôle principal d’une pièce de théâtre qu’elle aurait été seule à connaître.

— … Mais que diriez-vous d’une veine par kilo ? Cinq autres veines de diamants, plus tout ce qu’on trouvera comme pierres précieuses sur le chemin. Ça ne serait pas une super affaire, ça ?

Rarity admira l’expression de totale stupéfaction qui se peignit sur les traits de Jorde, et se fit la réflexion qu’elle devait avoir adopté la même. Nom d’un chien-diamant, quand Pinkie s’était-elle intéressée au fonctionnement des moteurs de l’Arcadia ? Et surtout, comment avait-elle fait pour y comprendre quoi que ce soit ? Et comment connaissait-elle le cours humain de ce minerai énergétique, d’ailleurs ?

— Semble que j’ai eu tort de vous considérer comme une gamine un peu fofolle, m’selle. Z’êtes sacrément vicieuse, en fait !

Pinkie se contenta d’un haussement d’épaules.

— Bah, vous êtes gagnant, non ? Alors qu’est-ce que vous décidez ? On tope là ?

Jorde ne fut pas long à réagir. Il consulta du regard les humains les plus proches dans la foule, puis hocha solennellement la tête.

— M’selle, non seulement je m’engage à vous capturer ce dragon à mains nues s’il le faut, mais si Madame Rarity nous trouve assez de pierres pour sortir cet endroit de la misère, je vous promets qu’on donnera son nom à la ville en son honneur ! Rarityville ! Pas vrai, les gars ?

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AuBe
AuBe : #25971
@Trone : je n'ai jamais cessé d'écrire et de publier. Mais pas sur ce site. L'ambiance "cour de récré" du coin s'est rapidement révélée pénible, du coup j'ai préféré retourner voir ailleurs, où c'est plus sympa. (et maintenant que j'ai fini la fic, je rebalance tout ici d'un coup. J'aime le travail bien fait et les textes achevés)

Quant à la remarque sur les races aliens de l'univers d'Harlock :
- premièrement, la rédaction en POV interne 3eme personne ne m'a pas vraiment laissé l'occasion de développer la réaction du quidam lambda face aux poneys. Parce que quand je suis dans la tête des poneys, ils ont autre chose à faire que de déchiffrer les réactions du quidam lambda, et ensuite parce qu'il n'y a pas d'intérêt pour l'avancée de la fic de s'attarder sur ce que pense le quidam lambda d'un poney.
- et deuxièmement, rien ne ressemble plus à un univers de space opera qu'un autre univers de space opera... mais c'est bien observé de ta part : depuis que j'écris, je n'ai jamais fait évoluer mon pirate dans l'univers qui lui est dédié. La configuration galactique que j'utilise a plutôt tendance à être tirée de Star Trek. Honnêtement, j'estime que ça n'a aucune importance. Les planètes restent des planètes, après tout.
Il y a 3 ans · Répondre
Trone
Trone : #25730
j'y croyais plus a la suite alors c'est un vrais bonheur de voir que tu a continuer.
J'ai beaucoup aimé ses deux chapitre.
Je ne trouve rien a redire si ce n'est un tout petit détail qui vient peut être du fait que je ne connait pas tout sur l'univers d'Harlock.
Dans ce que j'ai vue de la série endless odyssey et Albator 84, les races aliens on toute une forme humanoïde, dons je trouve étrange que l'apparence des poneys ne choque pas plus que ça les personnes qu'ils rencontrent.
Mais ma mémoire peut me jouer des tours cela dit.
Il y a 3 ans · Répondre
rainbownuit
rainbownuit : #25541
Vicieuse? Je vie avec elle le mot est faible croyez moi.
Il y a 3 ans · Répondre
shuryt
shuryt : #25524
J'en est mis du temps à finalement lire cette fic...je l'ai mis de coté depuis le chapitre 1, c'est pour dire ^^'
Se crossover me laissait très perplexe, mais je sais pas, il ma attiré par le culot de mélanger ses 2 univers qui comme le pense si bien harlock, sont carrément sans rapport :P

La fatigue surement ma fait commencer à lire 1 chapitre, puis 2 puis...j'ai tout rush
Dieu que c'était bon à lire.
Les réactions de harlock sont tellement logique par rapport au autre fic "humain rencontre poney" que ça en est plus drôle et plus touchant. Et je trouves que tu as eu une excellente inspiration de faire que les poneys vivent dans le monde d'albator, l'inverse aurait été...foireux je penses :)

Déjà, j'adore ton écriture du mane 6, pour albator, je ne m'en souviens plus du tout de son univers mais j'aime bien les perso.

Coté négatif que j'ai remarqué:
-celestia qui donne à twi un sort pouvant mettre en danger leur planète entière mais qui ne lui dit rien, niveau irresponsabilité et inconscience, c'est balaise là
-pinkie a bien compris ce qu'était un pirate, RD à peine remise de ses blessures a bien compris aussi qu'un pirate était pas aimer et ce que ça induit, mais twilight elle fait des chose complétement...anormal même pour elle.
-elle n'a pas tiliter ce que pirate veux induire (genre la discrétion un minimun quoi, pour une surdoué à la base) et agis avec une irresponsabilité rivalisant presque avec celestia sur le coup, abandonnant ses 3 amis au passage dont elle a l'air dans avoir mais rien à battre.

J'aurais trop de truc à dire mais je vais stopper sur ça...j’attends de pouvoir lire la suite avec impatience. Tu as gagné un fan quand même
Modifié · Il y a 3 ans · Répondre

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