O'Neill se dirigea à travers la ville tranquillement, ignorant cette fois-ci les poneys qui reculaient. Il ne lui fallu pas très longtemps avant d'entendre un doux bruit de sabots à côté de lui. Baissant les yeux, il murmura : "Salut Freckles."
"Colonel," lui répondit-on aimablement. "Si ce n'est pas trop d'problème, je peux te d'mander de m'appeler Applejack? AJ est très bien aussi. Je dois admettre que je n'aime pas beaucoup ce surnom." Le bord de son chapeau cacha son visage aux yeux d’O’Neill, mais sa voix était ferme et polie.
O'Neill agita vivement une main. "Hé, je me moque de tout le monde. Pourquoi devrais-je faire une exception pour toi ?"
"Parce que je l'ai demandé poliment."
Il se pinça les lèvres, puis poussa un soupir. "D'accord, Applejack."
Elle leva la tête pour qu'il puisse voir son sourire. "J'apprécie, Colonel."
"Appelle moi Jack. Alors, que me vaut le plaisir ?"
Elle haussa les épaules. "Je suis en route pour retourner à ma ferme. Pinkie Pie m’a traînée au Sugarcube Corner pour l'aider à faire des petits gâteaux. Ça m'a pris toute la journée."
“Ah ! Donc c’est toi la responsable."
"Tu peux répéter ?”
"Elle a essayé de commettre une agression par petit gâteau plus tôt."
Applejack laissa échapper un petit rire. "Elle a un de ces caractères, c’est vrai."
Ils marchèrent en silence pendant une minute ou deux puis O'Neill demanda avec désinvolture : "Alors, nous allons avoir des gardes avec nous tous les soirs ?"
Elle cligna des yeux vers lui. "S’cuse-moi ?"
"Aucun de nous n'a été laissé seul pendant plus de quelques minutes à Ponyville. Fluttershy m'a trouvé plus tôt, Pinkie Pie a trouvé Teal'c et maintenant vous m'escortez à travers la ville."
Le poney pencha la tête en fronçant les sourcils, perplexe. "Ouais ? Et alors ?"
O'Neill haussa les épaules. "Donc, ce n'est peut-être qu'une impression, mais on dirait que vous ne nous faîtes pas confiance."
Le visage d'Applejack se tordit en un mélange de confusion et de gêne. "Eh bien, à part le fait que nous venons seulement de nous rencontrer aujourd'hui, nous avons été tous autour de vous parce que nous aimons ça. Ce n'est pas une question de confiance, c'est une question de mieux se connaître, tu sais."
Il grogna. "Mais qu'en est-il d'eux ?" Il désigna un poney au hasard, qui dans la surprise, eut le réflexe de s'esquiver dans une ruelle. "Vous voyez ? Vous et vos amies êtes les seules qui nous aient parlé."
"Et les humains font de même d'où tu viens ?" Elle lui tourna le dos "Mes amis et moi avons plus de facilité avec de nouveaux gens. Ça ne rend pas les autres poneys d'ici un peu plus mauvais, juste « différents ». Elle laissa échapper un accès de colère dans son souffle.
"Des gardes, mais bien sûr. Pas besoin d'être si cynique, Jack."
"Essayez de me dire de ne pas respirer. Ça marche mieux en général."
Elle étouffa un rire. "Tout ce que je veux dire, c'est que nous ne sommes pas là pour vous surveiller. Et je ne pense pas que vous êtes ici pour nous capturer." Elle cogna sa patte avec son flanc, lui souriant. "Détends-toi, tu veux ?"
"Je ne promets rien."
Lorsqu’ils approchèrent du grand arbre de la bibliothèque, la porte s'ouvrit et Carter sortit dans la rue. Elle dut se pencher pour passer sous le montant de la porte, et elle laissa passer un long moment avant de lever les yeux et de sourire. "Hé, Colonel, Applejack. Twilight Sparkle avait raison, c'est un peu juste là-dedans."
O'Neill fut stoppé par Carter, mais Applejack objecta. "Je ferais mieux de rentrer à la maison. Passez une bonne nuit." Avec un sourire pour chacun d'eux, elle continua sa route.
Les humains la saluèrent et la regardèrent partir, puis Carter se tourna vers O'Neill. "Alors, où avez-vous mis en place le camp ? Je pourrais l'utiliser pour faire une pause." O'Neill le lui montra au loin, et elle hocha la tête. "Je vais en informer Daniel.” Elle tira la moitié supérieure de la porte en arrière, mettant sa tête à l'intérieur pour relayer la direction du camp à Jackson. Cela fait, les deux commencèrent à marcher vers le camp.
"Alors, avez-vous trouvé quelque chose de... juteux?"
Carter haussa un sourcil et lui sourit. "Non, pas vraiment. La bibliothèque est assez fascinante et j'ai appris beaucoup de choses sur Equestria." Elle fit une pause, puis fronça les sourcils, songeuse. "Mais très peu d'histoire réelle. La majeure partie rassemble les connaissances appliquées alors que l'histoire remonte il y a seulement quelques centaines d'années." Elle se pinça les lèvres, réfléchissant. "J'ai trouvé un conte qui remonte à il y a environ mille ans cependant, et Twilight m'a renseignée sur certains détails. Elle m’a expliqué brièvement l'histoire de Nightmare Moon et comment Celestia a emprisonné sa soeur Luna pendant mille ans.”
O'Neill la coupa en fronçant les sourcils. "Celestia? La correspondante dont parlait Twilight ? Il y a mille ans ?"
"J'ai trouvé ça bizarre aussi. D'après ce que sait Twilight, Celestia est immortelle. "
Il grogna. Le couple atteignit le camp et ils commencèrent à fouiller dans leurs sacs pour sortir leurs affaires personnelles. O'Neill déposa plusieurs pommes sur son sac et en jeta une à Carter. "Vous pensez qu'elle peut être un Goa'uld?"
Carter attrapa la pomme négligemment d'une main. "Eh bien, c'est ce qui est intéressant. Celestia a emprisonné Luna pour... eh bien, être devenue maléfique, en fait. Comme si elle était devenue une personne complètement différente... ou un poney, je suppose." Elle prit une bouchée de la pomme et elle fit signe de la main. "Puis, l'année dernière cette 'Nightmare Moon' est revenue à Equestria et a essayé de dominer le monde. Twilight semblait un peu réticente à en parler, donc je n'ai pas tous les détails, mais d'après ce que j'ai compris, elle et ses amies ont réalisé une sorte de... je ne sais pas, d'exorcisme sur cette Nightmare Moon, libérant Luna et restaurant sa personnalité d'origine."
Elle haussa un sourcil. "Ça vous dit quelque chose ?"
O'Neill vit son sourcil et se leva une seconde. "Sûr, cela ressemble aux Goa’ulds pour moi."
“Exactement ! Il est possible que Nightmare Moon était Epona essayant de revenir au pouvoir. Ou cela pourrait avoir été une autre créature symbiotique, mais un Goa'uld me semble le plus probable." Elle haussa les épaules. "De toute façon, il semble assez probable qu’Epona soit définitivement morte ou disparue."
"C'est ça le problème avec vous, les optimistes," se plaignit O'Neill. "Vous êtes toujours... optimistes."
Carter lui sourit et termina sa pomme, puis elle commença à déballer son matériel d’arpentage. "Eh bien, tant que nous sommes ici, je pourrais aussi bien faire quelques prélèvements. Je n'ai pas eu l'occasion de recueillir des données sur P5J-924, donc c'est mieux que de rentrer à la maison les mains vides."
O'Neill leva la pomme en reconnaissance. "Amusez-vous bien," lui lança-t-il d'un air impassible. "N'allez pas trop loin."
La soirée était bien avancée lorsque Jackson revint au camp. O'Neill avait son P90 démonté de façon ordonnée devant lui sur une couverture, nettoyant méthodiquement chaque pièce. Il leva les yeux vers Daniel, un soupçon de désapprobation dans sa voix. "Vous êtes en retard !"
Jackson jeta son sac à dos dans le berceau de racines d'un arbre à proximité et s'installa au coin du feu. Il haussa les épaules, penaud. "Je crois que j'ai perdu la notion du temps. Twilight Sparkle dispose d'une bibliothèque incroyable, et je vous jure qu'elle a lu tous les livres de celle-ci."
O'Neill commença à remonter le fusil, en claquant les morceaux ensemble avec légèrement plus de force que nécessaire "Vous n'avez pas de radio alors. Carter et moi étions sur le point d'aller vous chercher."
"...Ah. C’est vrai. Hum... nous avons démonté la radio pour que je puisse montrer à Twilight les principes fondamentaux de la communication radio." Le visage penaud de Jackson s'éclaira. "Elle était très intéressée et elle apprend plus vite que la plupart des étudiants universitaires. Et le contrôle précis qu'elle a avec la télékinésie est vraiment étonnant ! On pourrait penser qu'il est difficile pour eux de manipuler des objets étant donné qu'ils ne disposent pas, vous savez, de doigts, mais je ne pense pas que je pourrais avoir fait un aussi bon travail de remontage. Et je commence à avoir une idée sur le type de force qu'elle emploie. Ils appellent ça la magie, mais cela ressemble plus à une sorte de pouvoir extrasenso-"
Daniel aurait pu continuer pendant un certain temps sur ce ton joyeux si O'Neill ne l'avait pas interrompu avec un soupir très patient. "Avez-vous compris les symboles de la Porte ?"
"Bien. Eh bien... non. Le copain dragon de Twilight a envoyé un mot à la capitale pour obtenir un peu plus de livres. Nous devrions avoir plus de chance demain."
"Il vaudrait mieux. Toute cette histoire commence à me rappeler Abydos." O'Neill fixa l'autre homme avec un regard dur. "Nous devons sortir d'ici avant que vous ne décidiez de tomber amoureux et de rester de nouveau."
Une rougeoiement imprégna le visage de Jackson, mais celui-ci ne répliqua pas. Pendant un temps, le seul bruit dans le camp fut le claquement régulier du métal sur le métal alors que O'Neill finissait de remonter de nouveau son arme. D'ici là, la colère et l'embarras avaient quitté le visage de Jackson, remplacés par une expression que O'Neill reconnaissait et craignait : ce regard lointain d'un théoricien avec trop de temps à dépenser. "Si les deux participants sont des êtres doués de raison, est-ce vraiment de la besti-"
"Ne finissez pas cette phrase, Jackson." Le silence tomba de nouveau pendant plusieurs battements de cœur, brisé par un frisson audible de O'Neill. "Je vais dormir."
O'Neill se réveilla tôt le lendemain matin pour trouver deux poneys debouts devant lui. Il ne les connaissait pas en particulier, mais leur attitude était assez claire. Leurs uniformes d'or poli, leurs mâchoires carrées, et leurs visages sans expression indiquaient qu'ils étaient des gardes. Peu importe le nombre de civilisations qu'O'Neill avait rencontrées, peu importe combien sanguinaires ou douces leurs manières pouvaient être, les gardes avaient toujours l'air grincheux et pas trop souriants. Jackson aurait sans doute appelé ça une constante universelle ou quelque chose comme ça.
Le colonel soupira et se frotta les yeux. "D'accord les gars, je suis debout." Il se redressa en position assise, et les deux gardes prirent de suite quelques mesures de prudence. O'Neill roula des yeux et couvrit un bâillement d'une main, traînant son sac avec l'autre. "Pourquoi ces têtes-là ?" Autour du petit camp, Jackson et Carter étaient déjà réveillés et étaient occupés à faire leurs affaires et à lever le camp.
L'un des gardes répondit, d'une voix nette et forte. "Son Altesse Royale la Princesse Celestia exige votre présence immédiatement. Venez avec nous monsieur."
O'Neill lança au garde un regard larmoyant, moins pour l'ordre que pour avoir manqué la plaisanterie, puis l'éjecta entièrement de son monde. Il fouilla dans son sac jusqu'à récupérer une barre de protéines et une gourde d'eau. En passant au dessus de la cantine, il prit une longue gorgée d'eau, puis il commença à déballer sa barre de protéines. Il déchira l'enveloppe métallique le long de la couture, enlevant soigneusement le bâton nutritif, arôme chocolat.
Les gardes se lassèrent en silence pendant une dizaines de secondes. Alors celui qui avait parlé se racla la gorge et s'avança vers O'Neill, son regard s'intensifia. "Monsieur, quand Princesse Celestia exige une audience, vous ne pouvez pas la faire attendre."
O'Neill ajusta l'emballage entrouvert jusqu'à ce que la barre de protéines ne ressemble à rien de plus qu'une silhouette menaçante avec un grand collier évasé.. Alors seulement, il leva les yeux, donnant à chacun des gardes un regard fixe. "Vous voyez ?" Il fit signe de la barre vers Jackson, qui leva les yeux avec perplexité. "Il est mort assez de fois pour rendre un chat mal à l'aise. Carter là-bas ?" Carter fit une pause dans le remballage son sac lorsqu'il pointa son petit déjeuner vers elle. "Elle a fait sauter un soleil.” La barre pivota jusqu'à pointer vers lui. "Moi ? J'ai tué plus de dieux que vous ne pourriez jamais rencontrer." Il brandit la barre devant le garde qui lui avait parlé, et le poney blindé fit un pas en arrière comme s'il s'agissait d'une arme. "La royauté attendra que j'aie pris mon petit déjeuner." Sa position clairement exprimée, il mordit dans la barre, lui arrachant la tête avec les dents.
Le gardien qui avait parlé fronça les sourcils et grogna dans un souffle, mais l'autre se racla la gorge et lui lança un regard insistant. Ils installèrent tous les deux dans le silence pendant que O'Neill mâchait délibérément sa barre, en fermant les yeux et en faisant le spectacle de savourer chaque bouchée. Jackson secoua la tête et retourna à ses affaires personnelles. “Je souhaite que vous arrêtiez de taquiner les locaux, pour une fois, Jack."
"Applejack m'a demandé d'arrêter d'être si cynique hier soir. Ces deux souhaits ne se réaliseront jamais." O'Neill finit enfin le reste de sa barre, mettant en chiffon l'emballage et le fourrant dans le paquet. Il prit une autre boisson dans la cantine, puis il se leva en poussant un gémissement. Les poneys arpentèrent une place alors qu’il les dominait, mais tout ce qu'il fit, ce fut de prendre son Tac Vest et son arme, le tout en bandoulière. "Très bien, les gars. Emmenez-moi à votre chef." Il sourit un peu à Jackson. "Vous savez, celle qui ne vieillit jamais." Il obtint un roulement d'yeux pour la peine, ce qui étira un peu plus son sourire.
Le groupe entra dans la ville, les deux gardes encadrant les trois humains. Pendant qu'ils approchaient de la bibliothèque, ils pouvaient voir un char d'or finement forgé stationné devant la porte, mais personne d'autre. "Hé, Laurel, Hardy." Bien que les deux poneys échangèrent un regard de confusion, ils jetèrent un regard soutenu à O'Neill. "Où est Teal'c ?"
"Teal'c?"
"Ouais, l'autre membre de notre équipe ? Grand, sombre, beaucoup trop sérieux ?"
Les deux échangèrent un autre regard, puis l’interlocuteur haussa les épaules. "Il n’y a que vous que nous connaissons"
O'Neill soupira et prit une seconde pour rassembler sa patience. "Très bien, alors il est probablement toujours en bas à l’hopital." Il regarda entre les deux gardes. "Alors, dites-lui de venir ici. Vous pouvez prendre sa place pour surveiller le prisonnier "
Le plus bavard hérissa le poil, éclatant de colère sur O'Neill. "Nous ne recevons pas d'ordres de-"
"Hey !" O'Neill aboya de plus fort, l'autorité résonnant dans ce simple mot. "Votre “princesse” veut une audience avec nous. Elle ne comprend pas pourquoi toute mon équipe est là." Il pointa un doigt vers le sol en face de lui pour mettre l'accent et fixa durement le poney plus bas. “Maintenant allez. Trouvez-le."
Les deux gardes hésitèrent un battement de cœur plus longtemps, avec des expressions maussades, ils tournèrent le dos à O'Neill et commencèrent à trotter en bas de la route.
Jackson se glissa derrière O'Neill, en parlant à voix basse. "Vous ne pensez pas que vous êtes un peu dur avec eux ?"
O'Neill répondit assez fermement, bien que sa voix fut teintée d'impatience. "Daniel, quand ai-je jamais laissé des vantards pompeux nous bousculer ?"
"Je dis juste que vous pourriez être un peu plus prudent. À en juger par leur armure et le fait qu’ils apparaissent avec la princesse, ils sont probablement de la garde royale. Leur opinion sur vous pourrait avoir un certain poids."
"Vous pouvez savoir que je m'en fiche."
Jackson échangea un haussement d'épaules avec Carter, et le trio attendit en silence pendant une minute. Une pensée traversa O'Neill et il se tourna vers Jackson en fronçant les sourcils. "Vous n’avez pas dit hier soir que votre amie poney devait expédier des livres ?"
"Ouais ?" Le même froncement de sourcils était sur le visage de Jackson. "Nous allions juste continuer notre recherche aujourd'hui une fois qu’un messager nous aura envoyé les livres."
"Mais maintenant, nous devons rendre visite a la royauté." O'Neill haussa un sourcil. "Ça ne vous semble pas bizarre ?"
Ils retombèrent encore une fois dans un silence pensif jusqu'à ce Teal'c, l'air las, les rejoigne en traînant les pieds. "Bonjour !" cria O'Neill d'une voix trop gaie. "Avez-vous laissé les jumeaux s'occuper de notre nouvel ami ?"
Teal'c fit halte devant le trio et hocha gravement la tête. "Ils n’étaient pas heureux à ce sujet. J’ai précisé que leurs options étaient limitées."
O'Neill approuva de la tête. "C'est bien. Comment ça s’est passé avec les Japonais ?"
Tous trois le dévisagèrent. Même si Carter et Jackson étaient derrière lui, il pourrait sentir leurs yeux sur lui. Teal'c dit enfin à voix haute ce que tous les trois pensaient, parlant prudemment . "À qui faites-vous allusion, O'Neill ?"
Le colonel se tourna, regardant les trois avec une légère gène. "Vous savez." Il agita une main vaguement dans l'air. "Jaffa. Poneys. Japoneys. Japonais."
Excepté un doux gémissement de Carter, le silence austère s'éternisa jusqu'à l'inconfort. Finalement, O'Neill se plaignit : "Eh bien, c'est ce qui arrive quand je suis réveillé sans raison valable." Il se racla la gorge et regarda Teal'c. "Brind'l. Comment ça s'est passé avec Brind'l ?"
Teal'c répondit comme si aucun jeu de mots horrible n'avait en réalité été lâché sur le monde. "Assez bien, Colonel. Il ne nous dira toujours rien de ses camarades, mais je ne pense pas qu'il ait l'intention de continuer à se battre au nom d'Epona."
"Eh bien, c'est quelque chose, au moins. Un à abattre, une poignée de plus à faire." O'Neill hocha brusquement la tête à la porte de la bibliothèque.
"Allons rencontrer son Altesse."
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