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Vinyl and Octavia : University Days [...]

Une fiction traduite par Lostrios.

Chapitre 7

De tout les endroits où elle voudrait être un samedi soir, celui ci n'était pas dans le top 10.

Trébuchant complètement saoule dans les rues de Manehattan, se retenant à Shady Oaks pour ne pas tomber.

Ce n'était même pas dans le top 50.

«Je ne savais pas que tu tenais si mal l'alcool» ironisa-t-il, faisant passer un sabot autour de la nuque de la DJ pour la supporter.

«Tu m’as fais boire plusieurs dizaines de tonneaux, minimum. Ferme là.» répondit Vinyl.

Les deux poneys continuèrent leur étrange démarche le long de la rue. Lentement, l'étalon foncé laissa son sabot dériver le long du corps de Vinyl, jusqu'à le poser sur son flanc. Tout doucement, il commença à tracer des petits cercles dans la fourrure.

«Qu'est-ce que tu fais ?» La licorne blanche le repoussa, mais trébucha et s’écrasa par terre.

Il rit et l'aida à se relever.

«Viens, on rentre à la maison.»

«Où on va déjà ?»

«Chez moi, comme tu l'as demandé»

Elle fronça les sourcils. «Je ne me souviens pas avoir demandé ça.»

«Eh bien tu l'as fait » Shady repassa son sabot autour de la nuque de Vinyl et la poussa sur quelques pas.

«Wow, calme-toi là. Je ne sais pas ce que tu penses qu'il se passe mais ça ne se passe pas.» dit-elle, essayant de paraître la plus sérieuse possible au travers du brouillard qui lui encombrait les pensées.

L'étalon s'arrêta d'un coup de l'aider. «T'es sérieuse ?»

«Euh...ouais.»

«Alors...tout l'argent que j'ai dépensé en boissons...ne sert à rien ?»

Le cerveau ralenti de Vinyl se sentit absurdement coupable, alors qu'elle plaçait un sabot sur l'épaule de Shady (bien que cela puisse autant être pour se retenir de tomber autant que par sympathie.) «Désolé mec. Quand tu m’as proposé d’aller boire, j'ai cru que tu pensais à, tu sais, des vrais potes.»

L'étalon s’affaissa visiblement. «Tu m'as chauffé toute la soirée Vinyl.»

«Mais non !»

Il ricana. «S'accrocher à moi toute la nuit, me tirer sur la piste de dance, enchaîner les shots de tequila sur mon dos, nan, t'es une sainte.»

«J'ai vraiment fait ça ?»

«Plus ou moins.»

«Mince, je suis désolée. Je suis un peu amicale après quelques verres.»

«Peu importe. Tu peux retrouver ton chemin sans moi ?»

«Heu...» Elle regarda les immeubles noirs et les rues impeccablement identiques autours d'elle. «Ouais, t'inquiète.»

Shady se libera de son sabot réconfortant et s'en alla en trottant sans rien ajouter.

Laissée dans sa solitude, la chaleur dans ses veines disparut lentement dans l'air gelé de la nuit. Aussi belle Manehattan était pendant la journée, c'était sérieusement flippant la nuit. Bien sur, il y avait quelques lampadaires, mais ils paraissaient si étouffés par les ténèbres froides qu'ils ne réconfortaient que très peu. Soudain, Vinyl ressentit un tremblement de panique lui courir le long du dos.

J'ai changé d'avis !

«Shady ?» Vinyl se retourna dans la direction que son «ami» avait prise, et n'y vit que sa queue disparaître à un coin de rue. «Shady !» croassa-t-elle. Une nuit pleine de cris lui avait détruit la voix de manière horrible. Elle essaya de galoper après lui, mais ne fit que quelques pas avant de retomber. Le monde se retourna autour d'elle. «Arrêtez... Je veux juste rentrer chez moi...»

Mais sa tête était lourde et elle le ressentit d'autant plus lorsque ce fut la seule chose qui l'arrêta dans sa chute. Ce n'était pas très agréable, mais elle avait connu pire. Bien que, ces fois-là, elle ne rampait pas dans la rue.

Il vient un moment dans toutes les nuits de ce genre où il faut accepter qu'on ne rentrera peut-être pas à la maison.

Elle prit des grandes inspirations pour essayer de se calmer.

Peux pas rentrer toute seule.

Besoin d'aide.

Quelqu'un qui peut prendre soin de moi.

Plissant les yeux pour se concentrer, la licorne sortit son téléphone de son sac.

 

{[APPEL VERS OCTAVIA]}

Alors que la sonnerie commençait, elle laissa tomber son téléphone sur le côté de sa tête, le libérant de sa magie.

Click

«Sérieusement Vinyl, il est tard, même selon nos habitudes.» Bailla la voix angélique de l'autre côté de la ligne.

«Désolée.»

«Est-ce que ça-va ? Tu as l'air enrouée.»

«Ouais, je vais bien. Et toi ?» Pourquoi elle appelait déjà ?

«Mis à part le fait d'être réveillée à cette heure, je vais assez bien.»

«Ouais, évidemment. Tu vas toujours bien.» sourit Vinyl, grattant sa joue contre le sol.

«Eh bien, je suppose que oui. Tu es sûre que tu vas bien ?» Étrangement, la DJ pût entendre Octavia froncer les sourcils.

«Hey, je veux juste dire, parce que je ne te le dirai jamais en face, t'es géniale. Et, et, je pense qu'on devrait se voir plus souvent, parce que... ouais. T'es géniale.»

Une pause.

«Oh ma Célestia, ne me dis pas que tu as bu en continu depuis notre appel de vendredi ?»

«Nan, nan, juste cette nuit. Mais, hey, écoute-moi. Je suis totalement ouverte et tout. J'ai eu des rêves et tout, ok ? Et ils étaient, tu sais, pleins de clés de truc, comme celle de ta cutie mark. Et parfois je te vois dans mes rêves, et on traine et on marche ensemble.»

«Vinyl,»interrompit la violoncelliste, qui avait plus l'air amusée qu'énervée. «Tu devrais aller dormir. Appeler quelqu'un lorsque qu'on est saoule n'est jamais une bonne idée.»

«Je ne peux pas, je ne sais pas où je suis. Mais chut, c'est très important. Je pense. Quand je pense à toi-»

«Tu ne sais pas où tu es ?!» S'exclama Octavia. «Qu'est-ce que tu veux dire ? Es-tu en train de traîner dans les rues ?»

«Ouais, plus ou moins.»

«Ce n'est absolument pas sûr ! Est-ce que tu vois quelque chose de familier ? J'arrive te chercher.»

«Ça serait génial. Heu, rien de familier, mais je crois que je suis dans une rue qui s'appelle 'Rue des myrtilles', ça me fait penser que j'ai super faim alors ça pourrait être...hey, tu peux amener des myrtilles ?»

«Attends, j'ai une carte de Manehattan quelque part.»

«Et de la chantilly aussi. Mélangée avec des pépites de chocolat.»

«Ta rue est adjacente au quartier des boîtes de nuit. Tu es allée dans l'une de ces boîtes ?»

Vinyl ricana «Gamine, s'il te plait. Je suis allée dans toutes les boîtes.»

«Évidemment. Et bien, je pense savoir où tu es. Reste là où tu es jusqu'à ce que je te trouve, ok ?» La violoncelliste avait l'air tellement sérieuse qu'elle réussit à se faire comprendre au travers du délire de Vinyl.

«T'inquiète. Je vais nulle part.»

---

Dès que la conversation s'arrêta, Octavia rangea son téléphone dans un petit sac et courut hors de sa chambre. Les lumières étaient brillantes et lui firent mal aux yeux mais elle continua sans y faire attention.

La violoncelliste déboula dans la cage d'escalier, sauta par dessus les premières marches, dérapa sur le palier et finit en bas en glissant sur la rampe. Sa crinière était détruite, son poil ébouriffé et elle avait oublié son nœud papillon. Mais elle s'en fichait.

Une amie dans le besoin.

Elle avait lu à propos des responsabilités envers un ami, ou un meilleur ami, ou un meilleur ami pour la vie. Dans cette situation, elle était liée par les règles de l'amitié à Vinyl, et devait l'aider à rentrer chez elle.

Ça n'avait pas d'importance que Vinyl se soit infligé cela toute seule ou qu'Octavia ait deux cours dans la mâtiné. C'était les règles et cette jument les suivaient toujours.

C'était, pourtant, la première fois qu'elle avait besoin de se souvenir de ces règles en particulier. C'était une chose de savoir comment se comporter envers un ami, mais si elle n'en avait pas, ce n'était pas très utile.

Plus maintenant !

Les veines pulsant sous la détermination, Octavia chargea au travers du hall et passa la dernière porte. Il faisait froid, très froid, mais elle ne s'arrêta pas de courir. Ses dents claquaient mais elle les força à rester en place. Le village des étudiants était caché dans un coin du campus. L'intérêt était d'être suffisamment près pour aller en cours facilement mais suffisamment loin pour permettre aux élèves de conserver un mode de vie autonome sans être sous la tutelle de l'université.

Un long chemin passait au travers d'une forêt artificielle. Pour une fois la taille de l'endroit ne l'excita pas ; elle se sentit plutôt exténuée d'avance en regardant tout le chemin qu'elle avait à faire. La pensée d'un taxi lui traversa l'esprit, elle ne pourrait jamais courir assez longtemps ! Un moyen de transport était clairement la solution. Non seulement elle sauverait ses jambes, mais en plus le chauffeur saurait exactement où aller. Ce fut une grande déception lorsqu'elle vit les places vides devant les portes de l'université. Là où se trouvait habituellement quelques taxis envieux de vos directions (et de votre argent), ne se trouvait désormais qu'un vieux journal flottant de le vent. Ça serait donc la course jusqu'en bas.

Elle partit avec un petit trot, ayant sagement décidé de conserver de l'énergie. Après tout, elle aurait peut-être besoin de ramener une certaine licorne.

Il n'y avait presque personne dehors à cette heure ci, et ceux qu'elle voyait étaient rapidement évités. Un millier de conseils lui revinrent en mémoire. Ne regarde pas les gens s’ils semblent louches. Change de trottoir pour les éviter quand c'est possible. Souviens-toi, il vaut mieux avoir l'air désagréable que mort. Et pour l'amour de Célestia, ne va pas dans les petites rues Octavia.

Heureusement, le quartier des boîtes de nuit n'était pas vraiment caché. Il était possible de le rejoindre en ne prenant que des boulevards ou des avenues. Un trop petit réconfort dans cette grosse ville froide, elle en fut cependant heureuse. Cela faisait presque cinquante minutes qu'elle était partie et elle transpirait à grosses gouttes. Évidemment, elle s'entraînait régulièrement, autant qu'il le fallait pour rester en bonne santé, mais elle se limitait à un jogging autour du campus et quelques étirements, rien qui ne lui améliorait son endurance donc. Lentement mais sûrement, ses sabots commencèrent à la faire souffrir en touchant le sol.

Vinyl.

La douleur qui lui traversait chaque sabot se transforma instantanément, devenant une force nouvelle la poussant à avancer.

Chaque inspiration dans l'air gelé de la nuit lui apportait une nouvelle bouffée d'énergie.

La violoncelliste avait un but, et elle n'avait simplement pas le temps pour des limitations physiques.

Tournant à un carrefour, Octavia vit immédiatement un signe qui la soulagea.

Rue des myrtilles.

Soupirant, elle oublia la douleur dans ses sabots et courut le long de la rue avec enthousiasme.

Pas étonnant qu'elle ne sache pas où elle était. Tout se ressemblait.

Elle distingua des silhouettes noires au bas de la route, et elle sentit son cœur lui remontait dans la gorge.

Son petit dortoir confortable lui semblait bien loin d'ici.

Elle ralentit sa course, gardant un œil sur le groupe. Il y avait deux étalons, sûrement des lycéens qui avaient fait le mur. Ils ne semblaient pas très forts, mais c'était ce qu'ils entouraient qui emballa son cœur.

Une licorne blanche avec une crinière bleue électrique.

«Hey !» cria-t-elle. «Qu'est-ce que vous pensez que vous faites ?!»

Ils levèrent la tête, légèrement confus, ce qui était un bon signe. Ils n'étaient pas sûrs de qui avait le pouvoir, ce qui pouvait être bénéfique à Octavia.

«Éloignez-vous d'elle ou je vous éviscère !» Elle commença à avancer, espérant qu'ils seraient effrayés et s'enfuiraient.

Ils reculèrent, mais l'un d'entre eux trouva le courage de la défier. «Sinon quoi ?» cria-t-il, sa voix hésitante trahissant sa peur.

«Je connais des arts martiaux ! Il ne restera pas grand chose à vos parents pour vous identifier.» Elle n'avait jamais crié aussi fort, ni était si confiante en un mensonge.

La dernière menace fut suffisante pour tourner les cartes en sa faveur, et les deux étalons s'enfuirent alors qu'elle courait vers Vinyl.

Tandis que la violoncelliste observait la jument inconsciente, elle sentit sa crainte disparaître. La DJ n'était pas blessée à part quelques griffures qu'elle s'était sûrement faite en rampant par terre.

Les lunettes violettes de Vinyl trainaient derrière sa tête, et Octavia réalisa que c'était la première fois qu'elle voyait son amie sans les verres. Si seulement elle était consciente...

«Vinyl, lève-toi. Viens, tu ne peux pas dormir ici.» chuchota-t-elle avec insistance, lui tapotant gentiment la joue.

Elle avait une peau tellement douce.

Enfin, une réponse. «Eurgh, laissez-moi mourir.» grogna la licorne sans même ouvrir les yeux.

«Absolument pas ! Je suis venue depuis mon appartement pour toi, alors t'as intérêt à te lever immédiatement et me remercier.»

Ses yeux s'entrouvrirent très légèrement, mais avec le manque de lumière, Octavia n'était même pas sûre qu'ils la regardaient.

«Hein ? Octavia ?» Bon, ça répondait à sa question.

«Oui, c'est moi. Tu m'as appelée et je suis venue. Maintenant dépêche-toi et bouge-toi le flanc.»

Elle ne pût s'empêcher d'être légèrement énervée par le temps de réaction de la DJ.

Vinyl bougea un sabot, tapotant le sol à la recherche de ses lunettes. Hésitante, elle les fit glisser et releva la tête. «Hey.»

La violoncelliste espéra que son apparence serait une bonne réponse.

«Ok, je me lève.» Avec plusieurs sorts (dont trois complètement inconnus pour Octavia), elle réussit à se relever. Sa crinière était encore plus décoiffée que d'habitude, et son visage faisait ressentir la gueule de bois à mi-chemin de l'agonie.

Inutile de dire que la violoncelliste ne pût s'empêcher de rire. «Oh tu as l'air ridicule.»

«Je pense que si je parle trop je vais vomir.

La jument recula d'un pas.

«Tu peux marcher toute seule ?» demanda-t-elle avec espoir.

«Je peux essayer, mais si je tombe je me rendors.»

Éloignant l'idée d'être recouverte de vomi, Octavia se rapprocha de Vinyl et lui mît une patte autour du cou.

“Viens là, on va te ramener à la maison.»

Elles commencèrent leur étrange démarche. Jamais, même en un million d'années, Octavia n'aurait imaginé faire ça. Sérieusement, il y avait des leçons à apprendre des autres, des poneys moins timides, susceptibles de se mettre en difficulté.

Du moins, c'était ce à quoi elle pensait pour occuper son esprit pendant le long, douloureux retour dans les rues de Manehattan. Alors que les rues s'enchaînaient et que ses sabots se détendaient, Octavia sentit son énergie disparaître. Maintenant que le stress du début était passé et que Vinyl était sauvée, l'heure avancée commença à se faire ressentir.

Ou plutôt l'heure matinale, comme semblait l'indiquer la couleur de l'horizon.

«Oh Célestia, je ne suis pas restait debout si tard depuis...toujours !» murmura-t-elle. Maintenant Vinyl autant qu'elle se maintenait elle-même.

«Tu t'y habitueras.» se fit entendre une réponse enrouée.

«Je n'espère pas. A cette vitesse, je n'arriverai jamais chez moi à temps pour dormir.»

Vinyl ricana. «Viens chez moi. On y est presque de toutes façons.»

«Je- je ne suis pas sûre. Je peux peut-être trouver un taxi, maintenant qu'on est le matin.»

«Octavia. Calme. Tu restes chez moi ce soir. Ce matin. Peu importe.»

«Eh bien...si tu penses qu'il n'y a pas de problèmes.»

«Pas de soucis. Maintenant viens, c'est juste là et je vais souffrir si je ne dors pas rapidement.»

L'appartement était littéralement au coin de la rue et Octavia en fut soulagée. Ce n'était pas le plus bel immeuble, et n'abritait pas les plus riches poneys mais la jument grise s'abstint cependant de tout commentaires, sachant qu'ils n'apporteraient rien de bon.

A l'intérieur de l'appartement, Octavia comprit immédiatement pourquoi la licorne voulait partir. C'était extrêmement petit, une seule pièce (a l'exception de la salle de bain évidemment, qui était encore plus petite). Des cartons contenant toutes les affaires de la DJ recouvraient tout le sol.

«Je comprend que tu ne déballes pas. Moi aussi je détesterai l'idée de vivre ici plus longtemps.» Les mots glissèrent sans qu'elle y réfléchisse, et elle se plaqua un sabot sur les lèvres.

Heureusement, la jument exténuée ne semblait pas avoir entendu. Elle se libéra du support d'Octavia et s'écrasa sur son lit.

«Heu... Où est-ce que je dors ?» demanda la violoncelliste, connaissant d'avance la réponse, ce qui la gênait encore plus.

Comme attendu, un sabot blanc tapota le matelas paresseusement.

«Tu peux te décaler un peu ?»

Un frémissement traversa le corps de la licorne. Elle quittait la réalité, prochaine arrêt : le pays des rêves. Octavia monta sur le lit et essaya de manœuvrer pour ne pas toucher la DJ. C'était sans espoir, il était simplement impossible de l'éviter. En se déplacent très lentement, elle s'allongea et retint son souffle alors que leur ventre se touchaient.

C'était réellement agréable après le froid extérieur.

Vinyl s'endormit rapidement, sa respiration profonde et calme. A chaque fois que sa poitrine se gonflait, elle poussait gentiment contre la violoncelliste.

De la chaleur émanait de la licorne et Octavia de sentit attirée vers elle alors qu'elle s'endormait à son tour.

Je dois rester réveillée ! C'est la première fois que je fais ça, je ne peux pas me ridiculiser.

Mais alors que son corps réalisait que toute l'action était déjà passée et qu'il était temps de se reposer, elle se rendait compte que ses capacités de mouvements étaient sérieusement limitées.

Si calme et chaud.

La violoncelliste posa sa tête contre le nuage blanc, souriant à la chaleur réconfortante. Elle était tranquille ici, calme et sécurisée, relaxant et confortable. Il n'y avait pas besoin de réfléchir. Ses yeux se fermèrent lentement alors qu'elle glissait doucement dans un sommeil libérateur.

Alors que le duo dormait, lié sans véritables raisons ni plaintes, le Soleil perça les nuages matinaux et illumina la ville d'une lumière étincelante.

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Zapfire
Zapfire : #39107
«Éloignez-vous d'elle ou je vous éviscère !» Elle commença à avancer, espérant qu'ils seraient effrayés et s'enfuiraient.

Ils reculèrent, mais l'un d'entre eux trouva le courage de la défier. «Sinon quoi ?

Bah sinon elle t'évicère, hé dukon!
Il y a 2 ans · Répondre
ArthyBrony
ArthyBrony : #20905
Cette fiction est géniale ! :D
Il y a 3 ans · Répondre
constantoine
constantoine : #10550
C'est trop meugnon !
Il y a 3 ans · Répondre
GhostPonyRider
GhostPonyRider : #5385
Un chapitre qui m'a fait battre des records d'apnée ! Et une fin tout en contraste, tellement touchante... C'est beau !! Et je continue, toujours plus motivé, ce petit marathon !
Il y a 3 ans · Répondre
Mangepomme
Mangepomme : #57
J'ai rarement lu quelque chose d'aussi beau
Il y a 4 ans · Répondre

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