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Vinyl and Octavia : University Days [...]

Une fiction traduite par Lostrios.

Chapitre 13

Une nuit sans rêves.

Tandis que Vinyl émergeait des limbes du sommeil, c'était la seule chose à laquelle elle pouvait penser.

Elle n'avait pas rêvé, et elle savait pourquoi. Les deux dernières semaines, chaque nuit avait été empoisonnée avec les même hallucinations : des clefs de sol au milieu des ténèbres, et une jument a ses côtés.

Une grise, pour être précis, terrestre.

Mais cette nuit avait été calme, et c'est avec un grand sourire qu'elle se retourna pour enlacer son amie. Lorsque son sabot ne toucha rien d'autre que les draps, les yeux de la DJ s'ouvrirent, découvrant le lit vide.

Son cœur bondit dans sa poitrine alors qu'elle ressentait une tristesse inimaginable s'écraser sur elle à la remise en question des événements de la veille. "Non." Murmura-t-elle, les yeux humides. "Pas encore, pitié..."

La porte de la salle de bain s'ouvrit, libérant un nuage de vapeur qui roula au sol. Octavia en sortit, sa crinière collée à son poil humide. Elle chantonnait doucement, complètement inconsciente des yeux rouges la regardant depuis le lit.

Enfin, jusqu'à ce que leur propriétaire ne lui saute dessus en l’expédiant au sol.

Octavia dut soudainement gérer une jument radieuse de bonheur, plantée au dessus d'elle. Vinyl se fichait de se mouiller en tenant la jument humide, ou que rester par terre devait probablement rendre inutile la douche que la jument grise venait de prendre. Tout ce que comptait était que Octavia existait, que la nuit qu'elles venaient de passer s'était réellement réalisée, et que son souhait avait été exhaussé.

La violoncelliste ne savait pas tout cela et était donc assez perplexe lorsque Vinyl se recula légèrement pour voir son visage. "J'imagine que je peux m'attendre à ce genre d'accueil tout les matins." Dit-elle à moitié sérieuse.

Pouffant honteusement, la DJ enfin totalement réveillée réalisa ce qu'elle faisait. "Heu, désolée. J'ai un peu... paniqué quand t'étais plus là." Ça avait l'air stupide dit comme ça, mais Octavia ne sembla pas s'en offusquer.

Elle attira Vinyl vers elle et l'embrassa tendrement, espérant que la crainte de la jument blanche disparaîtrait ainsi plus qu'avec des mots. Vinyl soupira au contact de ses lèvres, se détendant immédiatement. Elles restèrent ainsi plusieurs secondes, mais comme toujours elles se séparèrent trop vite. Cette fois, cependant, c'était pour une bonne raison.

Octavia recula, maudissant la chaleur de ses joues. "Heu, Vinyl, je ne veux pas être méchante ni rien, mais tu devrais peut-être te brosser les dents d'abord.

-Oh ! Oui, c'est vrai, désolée !" Dit-elle, se demandant si c'était possible d'exploser de honte.

Qu'est-ce que je pensais ? Je ne suis pas une star de cinéma ! Je suis parfaite dès le matin !

Elle étira les pattes et se précipita dans la salle de bain. Alors qu'elle commençait rapidement à se brosser les dents, elle regardait Octavia se relever et remettre sa crinière en place. Puis, pour son plus grand plaisir, elle vit la violoncelliste lui jeter un regard très ambigu. Elle envisagea un instant essayer de dire "Tu aimes la vue ?" Au travers d'une bouche pleine de dentifrice, mais préféra y renoncer. Elle s'était suffisamment embarrassée pour un seul matin.

Un fois fini, elle bondit dans la chambre avec un immense sourire. "Alors, où est-ce qu'on en était ?" Octavia s'était dirigée vers le lit de Vinyl et essayait de tirer l'une des couvertures.

"Heu, qu'est-ce que tu fais ?

-Je reprends ma couette. Si quelqu'un voit mon lit ainsi, je risque la honte."

Son enthousiasme disparaissant, Vinyl frotta le sol du bout du sabot.

"Alors... tu dors dans ton lit ce soir ?

-Est-ce un problème ?" Octavia fronça les sourcils et s'arrêta pour regarder la DJ.

"Non... pas vraiment... Mais, heu, je pensais que peut-être on aurait pu, heu..." Bégaya-t-elle, regardant partout sauf vers la jument.

"Dormir ensemble ?" Demande doucement Octavia.

Vinyl hocha, mais en voyant le rouge couvrant les joues de son amie, elle ajouta rapidement.

"Je veux dire, seulement dormir ! Je ne voulais pas, heu, autre chose. Sauf si tu le veux. Mais si tu ne veux pas, c’est pas grave ! Je voulais juste dire dormir."

La situation lui glissait entre les sabots maintenant que ce sujet avait été évoqué. Elle ne pouvait s'empêcher de se demander pourquoi ses incroyables talents sociaux avaient récemment commencé à disparaître lorsqu'elle en avait besoin.

"Heu, peut-être que l'on devrait parler de ça ce soir. Il est encore un peu tôt pour discuter de... ce sujet."

En écoutant sa violoncelliste, Vinyl fut brièvement soulagée en se rendant compte qu'elle n'était pas la seule à être très gênée par cette conversation. Octavia se mordit la lèvre.

"Ceci étant dit... J'ai vraiment aimé me réveiller à côté de toi." Elle sourit à ce souvenir. "Tu me serrais et souriais dans ton sommeil. Ça m'a prit une demi-heure pour me libérer de tes pattes."

La DJ gloussa et toussota, pas surprise le moins du monde.

"J'aurai fait ça réveillée ou endormie." Admit-elle.

Pouffant, Octavia laissa la couverture là où elle était, pour s'en occuper plus tard. Elle s'approcha de Vinyl et lui planta un baiser sur la joue.

"Bon, petit-déjeuner ?"

Résistant à l'envie de couvrir le museau de la violoncelliste de baisers, Vinyl sourit.

"Je meurs de faim."

---

Alors que midi approchait et que le petit-déjeuner n'était plus qu'un souvenir, Vinyl dut partir en cours de dessin. Octavia proposa son aide comme modèle, mais apparemment la classe avait changé de sujet d'étude. Mais la licorne ne pût s'empêcher de suggérer qu'elle se souviendrait de la proposition le soir, ce qui avait laissé la violoncelliste rouge, même après la fin de la conversation.

Octavia essaya de faire disparaître son sourire indélébile. Ses joues la faisaient souffrir et elle avait sûrement l'air stupide mais elle ne pouvait rien y faire. Alors qu'elle traversait la cour au milieu du campus, elle sentit une vague de bonheur traverser chaque fibre de son corps.

C'était comme si l'univers avait soudainement décidé d'être gentil avec elle. Après des années de solitude au collège et la pression de sa mère, elle avait atteint le bout de ce tunnel, et la lumière était brillante. Plus jamais elle n'aurait cette voix à l'arrière de la tête lui disant tu es seule, Octavia tard dans la nuit. Elle ne pleurerait plus à l'idée de s'assoir seule à la cantine.

C'était fini.

Et ça ne faisait que commencer.

Elle réalisa qu'elle se dirigeait vers le bâtiment du bureau de Psych. Décidant d'être en accord avec son subconscient, la jument grise entra et s'approcha du réceptionniste. Psych l'avait aidée à détruire les barrières qu'elle s'était construite, et était aussi responsable de son bonheur avec Vinyl. Bon, peut-être un petit peu moins, mais il avait joué un grand rôle, et elle tenait à lui faire savoir.

"Bonjour mademoiselle Octavia ! Comment puis-je vous aider ?" Demanda joyeusement le poney.

"Bonjour, je me demandais si Psych était libre.

-Il l'est très probablement ! Vous n'avez qu'à aller voir directement !" L'étalon sourit, montrant des dents parfaitement blanches.

"M-merci." Octavia monta rapidement les escaliers pour échapper à ce regard gênant et trottina vers le bureau du professeur.

Comme la dernière fois, le personnel s'écartait poliment sur son passage. Elle se demanda intérieurement pourquoi c'était aussi agaçant. Les étudiants étaient censés montrer un certain respect aux adultes à cause d'une certaine hiérarchie, mais peut-être que l'université de Manehattan était un endroit différent qui abolissait ce comportement. Peut-être que le personnel s'en tenait juste à des règles ou directives données par l'établissement ; laisser la place pour les jeunes poneys innovants.

Octavia se rendit soudainement compte qu'elle regardait la porte du bureau depuis trop longtemps, bloquant le passage. Mais jetant un regard aux poneys qui attendaient, elle aurait pu croire qu'ils avaient toute la journée devant eux. Pas un seul ne faisait un mouvement pour la presser.

Marmonnant une excuse gênée, elle entra et referma la porte derrière elle. L'étalon à la crinière frisée lui fit signe joyeusement.

"Hey Octavia ! Je suis content de te voir. Je pense. Si tu as des problèmes alors je ne suis pas content de te voir. Je veux dire, je suis content que tu me choisisses pour t'aider à résoudre ces problèmes. Mais je suis content si tu... n'as pas... de problèmes." Il fronça les sourcils, puis fit un mouvement circulaire avec son sabot comme s'il remontait une horloge. "Hey Octavia !" Répéta-t-il sans rien ajouter cette fois-ci.

"Bonjour Psych." Répondit-il. C'était étrange d'appeler un professeur par son nom mais elle ne s'arrêta pas à ça. Il y avait plus important à dire.

Alors qu'elle s'asseyait en face de lui, il sortit une nouvelle fois son dossier.

"Alors, comment puis-je t'aider cette fois ?" Son expression était étrange, coincée entre son énergie naturelle et son sérieux, inflexible malgré les centaines d'histoires qu'il avait entendu.

"Heureusement, rien." Elle sourit, ce qui le refit tomber dans son expression habituelle.

"J'ai fait exactement ce que vous m'aviez dit de faire." Tout lui revint en mémoire d'un coup, et elle lui expliqua tout ce qui lui passait par la tête.

"Je suis retournée voir Vinyl et je l'ai prise dans mes pattes, elle m'a demandé si ça voulait dire ce qu'elle pensait que ça voulait dire et je lui ai demandé ce qu'elle pensait que ça voulait dire alors que je le savais déjà et elle a commencé à me dire 'tu m'aimes' mais elle était trop lente et j'étais trop excitée alors j'ai dit 'je t'aime' et elle a dit 'aimer aimer ?' et j'ai dit 'aimer aimer' et on s'est embrassées et c'était incroyable !" Elle sautillait légèrement sur son siège, arborant un sourire lui remontant jusqu'aux oreilles. Elle se fichait de savoir à quel point elle avait l'air ridicule.

"C'est fantastique ! Je suis tellement heureux pour vous deux !" Psych pouffa.

"J'ai toujours peur de donner de mauvais conseils, ça fait plaisir de voir que ce n'est pas le cas.

-Au contraire, vos conseils étaient parfaits. C'est pour cela que je suis ici. Je..." Elle prit une profonde inspiration.

"Je suis plus heureuse que je ne l'ai jamais été." C'était un fait qui lui faisait ressentir des émotions extrêmement mélangées. D'un côté elle avait tous ces souvenirs horribles, mais de l'autre elle savait qu'ils étaient finis pour toujours. "Vous m'avez aidée à en arriver jusque ici Psych."

Elle glissa de son siège et contourna le bureau. L'étalon sembla gêné pendant un instant mais se détendit lorsqu'elle le prit dans ses pattes, et il l'entoura à son tour.

Vinyl trouverait sans aucun doute que faire un câlin à un professeur était ridicule, mais même la voix moqueuse de la DJ ne pourrait détruire sa bonne humeur.

"Merci." Murmura-t-elle en reculant et retombant sur ses pattes. A sa grande surprise elle cru voir une larme briller au coin de l'œil de l'étalon, mais il cligna des yeux et il n'y eu plus rien.

"Je fais seulement mon travail, rien de plus." Dit-il avec un grand sourire. Lorsque Octavia se rassît, il perdit son sourire.

"Alors... J'imagine que tu n'as pas de nouvelles de...

-Ma mère ?" Elle secoua la tête. "Non, et je ne vais pas compter les jours avant son appel.

-Je suis content d'entendre ça. Avec un peu de chance, on arrivera à Noël sans entendre parler d'elle.

-Malheureusement, j'en doute... Mais j'arriverai à passer cet obstacle lorsqu'il se présentera." La violoncelliste hocha vigoureusement la tête. Sa mère était suffisamment horrible en face a face, elle n'allait pas tout détruire en y pensant.

"Je peux tout à fait voir le changement d'attitude, et j'adore ça !" Psych éclata de rire et applaudi des deux sabots. "Tu dois vraiment beaucoup aimer être avec Vinyl si tu arrives à changer de façon de penser aussi vite."

Octavia rougi et hocha la tête.

"En effet. Je me sens tellement normale avec elle." Ses yeux s'agrandirent d'un coup. "Pas qu'elle est anormal ni rien ! Je veux juste dire... Je ne me sens pas comme rejetée. Elle m'accepte pour qui je suis sans rien demander. C'est tellement incroyable d'être avec quelqu'un qui me connaît, me connaît vraiment, pas un groupe de poneys qui ont été forcés de travailler avec moi par un professeur qui croit aider." Psych toussota. "Je me souviens avoir regardé tous ces poneys au collège, avec leurs groupes et styles, et je me disais que si je voulais, je pouvais changer pour rentrer dans l'un de ces groupes. Mais je ne l'ai jamais fait.

-Tu n'as pas abandonné le peu de personnalité qu'il te restait." Dit l'étalon en hochant la tête de compréhension.

Octavia acquiesça. "Voilà, exactement. Je me suis résignée à être seule plutôt que d'abandonner qui j'étais. Mais avec Vinyl je peux avoir les deux. Être moi-même et avoir quelqu'un qui pense à moi. C'est littéralement mon rêve qui devient réalité.

-Je suis fier de toi. Octavia. Ton dossier liste quelques choses horribles que ta mère t'a forcée à partager, des choses que seule toi avait le droit de savoir. Et malgré ça, tu arrives à rester fière. J'ai vu des enfants tomber après bien moins que ce que tu as vécu, et pourtant te voilà, heureuse. C'est... admirable."

Après un long moment, Psych secoua la tête violemment et cligna plusieurs des yeux. "Wow, je pense que je n'ai jamais été plus sérieux." Il pouffa. "A ce rythme tu vas détruire ma réputation."

"Toutes mes excuses." La violoncelliste ria. "Et merci, pour ce que vous avez dit." Elle se leva une nouvelle fois et s'étira. "Maintenant, je pense que je vais y aller avant que l'on se retrouve coincés dans une boucle d'admiration mutuelle.

-Ça me paraît sage, en effet. Ces choses ne sont jamais drôles."

Avec un dernier signe du sabot, Octavia sortit et se dirigea vers l'extérieur. Le réceptionniste lui adressa un sourire presque forcé qu'elle rendit nerveusement. Une fois dehors, elle se surprit à prendre un chemin peu emprunté. Il menait à une zone moins populaire du campus, où une série de petites alcôves cachaient des entrées vers des salles de maintenance et d'entreposage.

Sans raison autre que n'avoir rien à faire (et aussi parce-que sa 'curiosité aventureuse' avait considérablement augmenté grâce à Vinyl), elle s'avança jusqu'à ce que quelque chose n'attire son attention. Une voix retentissait plus bas, et elle semblait très affectée.

Octavia ralentit le pas, essayant d'être la plus silencieuse possible jusqu'à ce que la conversation ne devienne audible.

"Non, s'il-te-plait ne raccroche pas..." Renifla une voix familière.

Lyra ? Qu'est-ce qu'elle fait en bas ?

"S'il-te-plait, Bon, écoute moi. Je te promets je suis différente."

La violoncelliste se recula le plus vite possible, essayant d'allier vitesse et discrétion. Cette conversation n'était pas pour elle.

L'intimité de Vinyl avait été la seule qu'elle s'était autorisé à briser, et elle n'avait rien fait de mal. Le téléphone de la DJ ne comportait rien de gênant ou personnel.

Presque en haut du chemin, juste avant de rentrer dans la grande cour, Octavia entendit des bruits de pas derrière elle. Essayant d'avoir l'air aussi normal que possible, elle s'arrêta contre le mur et se frotta le menton comme si elle réfléchissait intensément.

Lyra apparut rapidement, bougeant méchamment les yeux en avançant. Lorsqu'elle arriva à la hauteur d'Octavia, ils lui tombèrent directement dessus.

"Qu'est-ce que tu fais là ?" Demanda-t-elle. Ses yeux étaient encore un peu rouges après avoir pleuré et Octavia ne pût s'empêcher d'avoir un peu de peine.

"Simplement en train de réfléchir aux mystères de l'univers." Elle se frotta le menton encore plus fort pour illustrer son propos.

"Près des entrepôts ?

-... oui." Octavia reposa le sabot par terre et prit rapidement une expression inquiète. "Oh, Lyra, est-ce que ça va ?"

La jument verte lui jeta un regard noir. "Je vais bien. J'ai juste... je vais bien." Elle essaya de s'éloigner mais Octavia se mît sur son chemin.

"As-tu réfléchi à ce que je t'ai dit la dernière fois ?

-Oui... Peut-être.

-Et ?"

Lyra s'arrêta de bouger en regardant aux alentours pour vérifier qu'il n'y avait personne.

"Écoute, je sais que tu essaye juste de m'aider pour une raison ou une autre, mais tu ne veux pas être mon amie, ok ? Crois-moi, tu iras mieux sans moi."

Octavia se demanda si la jument était juste énervée contre elle-même ou contre quelqu'un en particulier. "Qu'est-ce qui te fait dire ça ?

-Laisse-moi seule, ok ? J'essaye de sauver les quelques amis que j'ai encore, pas la peine d'en avoir d'autres." Elle s'avança une fois de plus, sans qu'Octavia ne fasse rien pour l'arrêter.

Se tenant au milieu de la cour en regardant la licorne partir, Octavia se sentit coupable. Elle était là, se complaisant dans sa propre joie, alors que d'autres poneys étaient toujours en train de lutter contre leurs problèmes. Le bonheur ne pourrait jamais être général, pas dans un monde avec autant de vies.

Alors qu'elle se dirigeait vers la salle de cours de Vinyl, elle ne pût s'empêcher de se sentir déprimée par toutes ces pensées.

A quoi bon être heureuse si tout le monde ne l'est pas ?

La licorne blanche sortit en même temps que les autres poneys et bailla quelques secondes. Ses yeux scrutèrent la foule avec ennui jusqu'à se qu'ils s'illuminèrent en tombant sur Octavia. Immédiatement ses oreilles se levèrent et elle commença à sourire en trottant vers la violoncelliste.

"Hey coloc' ! Qu'est-ce que je suis heureuse de te voir !" Dit-elle joyeusement.

Octavia sourit. Voilà la réponse à sa question.

C'est bon d'être heureuse parce qu’elle pouvait le propager.

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ZepyroPony
ZepyroPony : #24116
Camesky23 mai 2015 - #19950

Je dois avouer que c'est vrai ^^ je lis un chapitre et je cherche le commentaire de GhostPonyRider :p
Idem ! :D
Il y a 3 ans · Répondre
Camesky
Camesky : #19950
Lostrios10 octobre 2014 - #5416
Bah disons que les 10 notifs qui t'attendent quand tu rentres du lycée, c'est assez réconfortant à voir, surtout quand tout est autant positif, merci ! :D

Je dois avouer que c'est vrai ^^ je lis un chapitre et je cherche le commentaire de GhostPonyRider :p
Il y a 3 ans · Répondre
Lostrios
Lostrios : #5416
GhostPonyRider10 octobre 2014 - #5401
@Lostrios : Comme t'exagère ! x)
Bah disons que les 10 notifs qui t'attendent quand tu rentres du lycée, c'est assez réconfortant à voir, surtout quand tout est autant positif, merci ! :D
Il y a 3 ans · Répondre
GhostPonyRider
GhostPonyRider : #5401
@Lostrios : Comme t'exagère ! x)
Modifié · Il y a 3 ans · Répondre
Lostrios
Lostrios : #5393
GhostPonyRider10 octobre 2014 - #5392
Toujours aussi adorable et attendrissant ! Les chapitres sont toujours aussi bien composé. Je ne m'en lasse pas ! =D
Ce moment génant où tu te rends compte que les commentaires de GhostPonyRider sont plus interessants que l'histoire. :|
Il y a 3 ans · Répondre
GhostPonyRider
GhostPonyRider : #5392
Toujours aussi adorable et attendrissant ! Les chapitres sont toujours aussi bien composé. Je ne m'en lasse pas ! =D
Il y a 3 ans · Répondre
Lostrios
Lostrios : #1022
Oups, corrigé ! Merci de le signaler :)
Il y a 4 ans · Répondre
Azkyll
Azkyll : #1016
Très bon chapitre, cependant il y a une petite faute de conjugaison : laisses-moi au lieu de laisse-moi (pas de s à la deuxième personne de l'impératif)
Il y a 4 ans · Répondre
Piapiou
Piapiou : #975
Magnifique conclusion pour ce chapitre ^^
Il y a 4 ans · Répondre

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