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La Vie Ennuyeuse de Dreary Sky

Une fiction écrite par Betshet.

PARTIE II : Étoiles (2)

La paire chercha les deux juments durant un bon quart d'heure, la tâche rendue bien plus ardue par les centaines de poneys déambulant dans les rues. Finalement, ils les trouvèrent au milieu d'une large avenue touristique, criant le nom du dragon et fouillant la foule à sa recherche. En les apercevant, le dragon se précipita vers la licorne à fourrure blanche et à la magnifique crinière violette qui le vit courir vers elle avec une expression soulagée. Elle lui sourit alors qu'il la serrait dans ses petits bras, puis jeta un œil à Dreary, qui se rendit compte qu'il connaissait la jument.

« Oh, merci infiniment d'avoir aidé Spike, monsieur. Il devait être terrorisé, seul dans cette grande ville ! Vous êtes un vrai gentlehorse.

- Je vous en prie, j'ai fait ce que n'importe qui aurait fait, répondit l'étalon, gêné du compliment.

- Non, non, vraiment, je ne sais pas ce qu'il aurait pu arriver à mon petit Spikounet si vous ne l'aviez pas aidé ! Insista-t-elle. Je ne peux décemment pas vous laisser repartir sans vous remercier correctement, monsieur... ?

- Dreary Sky, répondit-il, et non, je ne peux pas accepter...

- Allons, puis-je au moins vous inviter à déjeuner avec nous ? Mon amie et moi souhaitions trouver un bon restaurant en ville avant que nous ne perdions notre jeune ami, et je suis sûre que ce repas sera encore meilleur en bonne compagnie. »

Dreary envisagea un instant d'accepter l'offre de la licorne, l'estomac vide et n'ayant rien d'autre à faire, puis se rappela son problème d'argent.

« Je me vois obligé de refuser, mademoiselle, je n'ai malheureusement pas un sou sur moi pour...

- Enfin, il est évident que je ne peux vous laisser payer si je vous invite, M. Sky. Je vous en prie, acceptez, il ne serait pas correct de ma part de ne pas vous remercier pour votre aide, et cela fait bien trop longtemps que je n'ai pas discuté avec un poney aussi poli et sympathique que vous l'êtes. »

Il soupira. Après qu'elle ait autant insisté, il ne pouvait plus refuser sans paraître rude. Il n'eut d'autre choix que d'accepter à contre-coeur l'offre de la licorne.

« Très bien, si vous insistez... lâcha-t-il, vaincu.

- Parfait ! Oh, mais quelle impolitesse de ma part, s'écria-t-elle, je ne me suis pas présentée...

- Rarity, c'est cela ? Demanda l'étalon, ce qui lui valut un regard surpris de la part de la licorne. N'importe quel habitant de Canterlot connait votre nom et votre travail, ma chère, vous êtes une célébrité dans la capitale. »

La licorne porta un sabot à sa bouche et laissa échapper un petit gloussement.

« Oh, vous me flattez, je ne suis sûrement pas aussi célèbre que vous le dites, mais j'apprécie le compliment, dit-elle, flattée. Vous avez déjà rencontré Spike, continua-t-elle en désignant le dragon, et je me permet de vous présenter Coco Pommel, qui m'accompagne pour mon séjour à Las Pegasus. »

La jument à la fourrure crème et à la crinière bleue s'approcha avec un sourire timide.

« Enchanté, mademoiselle Pommel, salua Dreary avec une courte révérence.

- De même, mais je vous en prie, appelez-moi Coco, demanda-t-elle en rougissant légèrement.

- Uniquement si vous m'appelez Dreary. » enchaîna l'étalon avec un sourire amical.

La ponette terrestre lui rendit son sourire, et Rarity suggéra de se rendre dans le restaurant vers lequel elles se dirigeaient. La compagnie se mit en route, et Rarity demanda pour entamer la conversation :

« Alors, Dreary, vous dites que vous venez de Canterlot, c'est bien ça ? C'est toujours un plaisir de rencontrer un poney distingué de la capitale dans des endroits où les habitants sont, comment dire... un peu rudes, finit-elle en lançant un regard mauvais à un poney qui avait failli la bousculer.

- Exactement, acquiesça-t-il, j'y possède une société d'architecture-maçonnerie avec mon associée, et nous sommes actuellement en charge des réparations du château royal, l'informa-t-il.

- Oh ! S'exclama-t-elle. Vous êtes donc l'associé dont cette chère Sunflower me parle sans cesse ! »

Si la foule autour d'eux ne l'en empêchait pas, Dreary se serait figé sur place.

« Vous connaissez Sunflower ? Demanda-t-il, pris par surprise par l'affirmation de la licorne.

- Ma foi, oui ! Continua-t-elle sans remarquer l'expression incrédule du poney gris. Les princesses en personne m'ont demandé de superviser la reconstruction du palais – enfin, surtout la décoration – et c'est moi qui ai recruté votre société pour se charger des réparations ! Sunflower et moi nous sommes rencontrées à plusieurs reprises pour discuter des détails des travaux, et nous avons fini par devenir de bonnes amies. Cette jument sait comment rendre un après-midi autour d'un thé tranquille et agréable, c'est moi qui vous le dit.

- Et... hésita-t-il, vous dites qu'elle parle de moi ?

- Oh, mon cher, dit-elle avec un gloussement, si vous saviez les éloges qu'elle vous fait ! Elle semble vous tenir en haute estime, Dreary, et maintenant que je vous rencontre en personne, je commence à comprendre pourquoi. »

Dreary rougit au compliment, mais surtout à la mention de la licorne qui le flattait ainsi.

« Cependant, continua Rarity, comment cela se fait-il que je n'ai jamais pu vous rencontrer en personne, si vous êtes l'associé de Sunflower ?

- Oh. » Dreary pausa quelques secondes, cherchant ses mots. « Sunflower et moi avons monté notre société ensemble, certes, mais je lui laisse tout l'aspect marketing et communication. Je préfère me concentrer sur ce que je fais de mieux : construire. » dit-il en pointant sa Cutie Mark.

Rarity parut réfléchir un temps, puis demanda : « Si cela ne vous dérange pas, Dreary, je serais curieuse de savoir comment vous vous êtes rencontrés, Sunflower et vous.

- Vous savez, ce n'est pas une histoire très intéressante. Je –

- Je crois que nous sommes arrivés, Rarity. » interrompit Coco qui s'était arrêtée à quelques pas de là. Elle regardait une grande enseigne de restaurant portant le nom de l'établissement, ainsi que cinq petites étoiles qui firent tressaillir Dreary.

« Mademoiselle Rarity, dit l'étalon d'une voix blanche, bien que j'apprécie grandement votre compagnie, je ne peux décemment pas vous laisser payer pour moi dans un tel restaurant.

- Allons, Dreary, votre courtoisie vous honore, mais je vous assure que cela ne sera pas un problème. » dit Rarity avec un petit rire. Elle sortit d'un de ses nombreux bagages un carnet de tickets qu'elle présenta à son invité. Elle sourit devant son regard interrogateur et ajouta : « Être amie avec une princesse a parfois quelques avantages... »

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« Je n'arrive toujours pas à croire que je mange gratuitement dans l'un des restaurants les plus chers d'Esquestria. » murmura Dreary, plus à lui-même qu'à quelqu'un d'autre.

En effet, en entrant dans l'établissement à cinq étoiles, il avait suffit que Rarity montre son carnet de tickets pour qu'immédiatement le personnel les emmène dans une salle privée, laquelle était au moins aussi grande que la salle principale du restaurant. Après quoi le gérant lui-même était venu leur tendre leurs menus, et le chef cuisinier était apparu peu après pour prendre leurs commandes et leur conseiller les meilleurs plats et vins proposés.

La salle elle-même était spectaculaire, décorée à la mode de Cloudsdale, à grands renforts de nuages et de colonnades, le toit vitré laissant entrer le soleil de midi. Dans un coin de la salle, un espace vert fleurissait joyeusement au bord d'une cascade d'eau calme et silencieuse, et le tout, éclairé par les rayons lumineux venant du plafond, créait une atmosphère tranquille, apaisante, donnant l'impression aux poneys dans la salle de manger à l'extérieur lors d'une belle journée ensoleillée.

« Mon amie Twilight a sauvé le royaume une dizaine de fois depuis son arrivée à Ponyville, je trouve naturel qu'elle puisse bénéficier de ce genre de privilèges. » commenta Rarity en prenant une gorgée de vin – l'un des plus chers du royaume, évidemment.

Dreary regarda le plat devant lui, et hésita à en prendre une bouchée en voyant la qualité de ce qui lui avait été servi. Il se sentait indigne d'une telle nourriture, et s'attendait à chaque fois qu'il osait toucher à son verre à voir le personnel du restaurant venir le jeter dehors en disant que tout cela n'était qu'une erreur. Spike, lui, ne semblait pas avoir ce genre de problèmes, et croquait allègrement dans les énormes gemmes qu'il avait commandées, alors même qu'elles n'étaient présentes nulle part sur le menu. Coco et Rarity mangeaient comme l'indiquait l'étiquette, lentement et par petites bouchées, mais on voyait qu'elles appréciaient le repas autant que le petit dragon, et Dreary en vint presque à oublier sa nervosité. Il se mit finalement à manger aussi, trop affamé pour rester mal à l'aise longtemps.

« Alors, Dreary, entama Rarity en s'essuyant délicatement la bouche du bout de sa serviette, je ne crois pas que vous m'ayez dit la raison de votre présence à Las Pegasus. Seriez-vous en congé ?

- Oh, hum, disons que j'ai pris une pause dans mon travail, histoire de, comment dire, prendre un peu de recul, ce genre de choses, expliqua-t-il vaguement.

- Je vois ce que vous voulez dire, continua-t-elle après une bouchée de son plat. Parfois il est bon de changer d'air pour renouveler l'inspiration. Je fais ça de temps en temps, c'est vital pour continuer à créer de nouvelles collections chaque saison.

- Et vous, mesdemoiselles ? Qu'est-ce qui vous amène dans cette ville ? En vacances également ?

- Je l'aimerais, soupira la licorne, mais non. Certes, nous en profitons un peu, Coco et moi, pour faire du shopping et visiter des amis à Applewood, mais nous sommes ici – et n'allez pas le crier sur tous les toits – pour enquêter pour la princesse Twilight. »

Dreary haussa un sourcil. « Enquêter ? Puis-je demander– »

Il ne le put pas. Alors que le poney terrestre parlait, le sol s'était mis à trembler, et un grondement terrible se fit entendre alors que les trois poneys et le dragon étaient secoués par le tremblement de terre. Par réflexe, Dreary cria « À terre ! » et s' aplatit sur le sol en attendant que la secousse faiblisse. Pendant de longues secondes, tout vacilla dans la salle, les verres se brisèrent sur le sol, la table vibra si fort qu'on eut l'impression qu'elle allait casser, et une pensée horrible traversa l'étalon alors qu'il jetait un œil en direction du plafond de verre. Heureusement, celui-ci tint bon, et le séisme s'arrêta avant que quiconque ne soit blessé.

Même après que le sol ait arrêté de trembler, les trois poneys restèrent à terre un temps, jusqu'à ce que Spike, sortant de sous la table, ne dise : « C'est fini ? »

Lentement, Dreary, Coco et Rarity se relevèrent à leur tour, se remettant de leur frayeur. L'étalon secoua les débris de verre qui étaient tombés sur lui, et constata les dégâts : la table était encore debout, la salle avait encore quatre murs, et le ciel était toujours à sa place. En soi, rien n'avait vraiment changé, malgré l'intensité de la secousse, mais peut-être était-ce lui qui l'avait ressentie pire qu'elle ne l'était. Il avait eu, durant ces quelques secondes mouvementées, l'impression que le monde lui tombait dessus tout entier, et à présent que le choc était passé, il s'aperçut que le plus gros des dégâts se résumait à un peu de verre brisé et une grosse peur.

Rassuré, il se tourna vers le deux juments pour s'enquérir de leur état. Il constata qu'elles ne paraissaient pas blessées, et qu'elles se remettaient elles aussi du choc. Les trois poneys n'osèrent rien dire pendant un moment, contemplant ce qui restait de leur repas tranquille.

Les serveurs, visiblement déjà sur leurs quatre sabots, entrèrent dans la pièce pour vérifier que leurs clients n'avaient rien. Soulagés, il s'enquérirent de leurs souhaits, et Rarity, après avoir sorti un petit miroir pour recoiffer rapidement sa crinière sophistiquée, fit savoir qu'elle comptait continuer son repas. En moins d'une minute, leurs chaises avaient été remises en place, leur nappe changée, leurs plats remplacés par des nouveaux, et ils purent reprendre leur repas comme si rien ne s'était passé.

Dreary, toujours un peu secoué, remarqua cependant que les serveurs semblaient étrangement habitués à ce genre de choses.

« Est-ce qu'il y a souvent des séismes dans la région ? Demanda-t-il, la voix un peu faible.

- C'est le cas, lui apprit Rarity, mais ça ne devrait pas l'être. Las Pegasus n'avait jamais souffert de problèmes de ce genre avant il y a un mois : depuis, il ne se passe pas un jour sans que la ville entière ne soit secouée par un tremblement de terre comme celui que nous venons de subir. » Elle soupira, et sortit de nouveau son miroir pour continuer à se recoiffer.

Spike prit le relais : « C'est sur ce phénomène que nous sommes censées enquêter. Ces derniers temps, une vague de problèmes similaires à ceux de cette région ont commencé à apparaître un peu partout à Equestria, et ce presque en même temps. C'était un peu gros pour une coïncidence, donc Twilight a émis l'hypothèse que la source de ces phénomènes était magique, et nous a dispersés aux endroits où ils étaient les plus forts.

- "Nous" ? demanda Dreary.

- Les six représentants de l'harmonie, précisa Rarity. Applejack est à Appleloosa pour des problèmes de sécheresse inhabituels, Rainbow Dash tente de maîtriser le climat qui semble devenir fou, Pinkie aide Zecora à contenir les monstres de la forêt d'Everfree qui sont surexcités, Fluttershy rend visite aux breezes qui sont des créatures magiques bien plus proches de la nature que les licornes pour avoir des conseils, et Twilight est allée au Nord pour aider Cadance avec ses problèmes de chiens, tout en cherchant avec elle et Célestia la raison de toutes ces perturbations.

- Mais attendez, j'ai rencontré Pinkie Pie et la princesse il y a dix jours ! dit l'architecte, désorienté.

- Il nous a fallu un moment pour nous organiser, l'informa la licorne. Nous ne nous sommes séparées qu'hier – à part Rainbow Dash qui luttait déjà contre le climat depuis un temps – le temps de rassembler nos informations et de mettre en place un plan d'action. Nous sommes arrivés en ville ce matin. »

Dreary prit un temps pour assimiler les informations qu'on venait de lui fournir. Il se rappelait effectivement Spitfire lui parlant du climat devenu fou, et s'était déjà fait la réflexion que le comportement des Chiens Adamants était étrange, même s'il n'avait pas poussé son raisonnement plus loin. Ainsi, tous ces évènements seraient liés ?

« Qu'est-ce qui se passe à Equestria, au juste ? Demanda l'étalon, pensant à voix haute.

- Nous n'en savons rien, soupira Rarity en secouant la tête. Mais si quelqu'un peut le découvrir, c'est bien Twilight. Et nous sommes chargés de lui rapporter le plus d'informations possibles sur ces phénomènes pour qu'elle puisse y travailler. »

Dreary hocha la tête, convaincu que les princesses trouveraient vite une solution au problème.

« Mais assez parlé de ces choses fâcheuses, continua Rarity, changeant de sujet. Après tout, ce n'est pas parce qu'Equestria est sans dessus-dessous que l'on ne peut pas profiter de notre séjour tous frais payés à Las Pegasus.

- D'ailleurs, Coco, demanda Dreary, curieux d'en savoir plus sur la jument qui accompagnait la licorne, quelle est la raison de votre voyage ? Ne faites-vous qu'accompagner Rarity, ou avez-vous aussi des affaires à régler ici ?

- Oh, répondit la ponette terrestre, surprise de l'intérêt que lui portait l'architecte, j'avais quelques clients à visiter à Applewood, et j'ai profité du fait que Rarity s'y rendait également pour lui proposer un voyage à deux.

- À trois ! Intervint Spike, toujours en train de dévorer son assiette de gemmes, re-remplie après le séisme.

- Pardon, Spike, à trois, corrigea Coco avec un sourire.

- Oui, Coco est également couturière, voyez-vous, précisa Rarity, et elle travaille actuellement sur la commande d'une star du cinéma qui veut un grand nombre de costumes pour son prochain film.

- Vraiment ? Félicitations. »

La jument rougit légèrement au compliment.

« Ce n'est pas grand chose, dit-elle, gênée, et je ne fais que suivre les directives du designer. Ce ne sont pas mes propres créations...

- Allons, tu es encore trop humble, Coco, dit Rarity avec un mouvement du sabot. C'est un grand pas en avant dans ta carrière.

- S-si tu le dis, Rarity... »

La jument n'avait à l'évidence pas l'habitude d'être complimentée ainsi, et elle baissa la tête, fixant intensément la nourriture dans son assiette.

« D'ailleurs, en parlant du film... » La licorne se tourna vers Dreary, le détaillant du regard. Celui-ci s'essuya la bouche, et leva un sourcil interrogateur.

Coco regarda Rarity sans sembler non plus comprendre, mais après un court moment, son visage s'éclaira, et elle se mit elle aussi à détailler Dreary. Mal à l'aise, il demanda :

« Hum... Y-a-t'il un problème, mesdemoiselles ?

- Non, bien au contraire, sourit la jument à la fourrure blanche. Je pense que vous allez nous être d'une grande aide, monsieur Dreary Sky... »

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Note de l'auteur

Désolé du délai, mais je n'ai malheureusement pas d'ordi pour moi en moment. J'ai sauté sur la première occasion pour publier ce chapitre, et je crains que les suivants ne soient encore plus espacés.
Ça devrait aller mieux pendant les vacances (j'espère).

Mais assez parlé de moi, dites-moi donc ce que vous pensez des aventures de Dreary jusqu'à présent, et n'hésitez pas à laisser des commentaires :D

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Betshet
Betshet : #28639
Sliter05 octobre 2015 - #28636
On ne dit pas plutôt gentlecolt et non gentlehorse, si peut être non? Enfin bref, merci pour se chapitre bien sympa avec une suite plutôt prometteuse.
Bah "colt" c'est "poulain", pour parler d'un "gentleman" je pensais qu'un terme plus mature conviendrait mieux. Mais c'est vrai que c'est des poneys, pas des chevaux...
Il y a 2 ans · Répondre
Sliter
Sliter : #28636
On ne dit pas plutôt gentlecolt et non gentlehorse, si peut être non? Enfin bref, merci pour se chapitre bien sympa avec une suite plutôt prometteuse.
Il y a 2 ans · Répondre

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