Conte du Baron : Jeunesse

Cette histoire raconte une vie mais attention pas une parodie. Il faut bien commencer ma foi et par l'éternel phrase il était une fois...

Eh oui tout commence par la jeunesse, en n’espèrent pas en vous la racontant que je digresse. Cette histoire étrange commence dans un pays lointain à Equestria, ou les même mœurs et cultures n'existent pas. C'est dans la contrée des zèbres que cette histoire vous sera narrée, parlant d'une simple tribu en particulier. Malheur et tristesse vous côtoierez lors de cette narration, aussi elle concernera un être qui se nommera Baron.

Tout commença par une sèche saison, ou la nourriture se contait par rations. Le village en proie à la faim implorait les dieux afin d'améliorer leur destin, leur réponse bien qu'étrange fut deux naissances : l'une d'ange et l'autre comparable à la fange. La première peu attendue fut un miracle car venant d'une famille d'oracle, les parents de rayures déformées donnèrent une fille bien ordonnée. De ses rayures non déformées un nom lui fut attribué, de celui qui fut choisi Zécora sera nommée ainsi.

Pendant ce temps dans une hutte de nobles maintenant, l'autre naissance annoncèrent les mauvaises essences. Le poulain à peine émergé fut émancipé, insulté puis disgracié. Car de sa corne et de ses marques de symétrie non alignées son destin fut scellé. Un simple nom de semaine lui fut attribué, car de Samedi il fut nommé.

Ensuite tous serait trop dur à nommer, des horreurs qui lui ont été attribuées à l'isolement dont il fut forcé. Comparable à la peste, de la nourriture il n'avait droit qu'aux restes. Tandis qu'à ce moment Zécora de la vie profitait pleinement. Sa famille fut honorée voire surélevée et des prestiges leurs ont été attribués. Les années et les affres du temps passèrent et le pauvre Samedi ne comprenait pas, pourquoi fallait-il qu’il ait tant souffert et rejeté de la tribu Balenga ? Il voulait obtenir ses réponses et leur absence assimilait à son esprit des blessures comparables aux ronces. Il chercha à se débarrasser de sa malédiction et se documenta dans les livres jusqu'à presque en perdre la raison. Il comprit très jeune que sans famille personne ne le considérait vraiment, aussi il partit amer et frustré la larme au creux de sa pupille cherchant un sens à son destin maintenant.

Il trouvera un jour une forme de consolation, mais d'un autre chapitre il me fera plaisir d'en faire la narration. À bientôt je l'espère car il me reste beaucoup à en faire.