Site archivé par Silou. Le site officiel ayant disparu, toutes les fonctionnalités de recherche et de compte également. Ce site est une copie en lecture seule

Les parts brisées

Une fiction écrite par DarkWater.

1- Les Sombres-Regards

Ponyville n'est plus un souvenir pour moi, c'est juste une abjecte image de cette folie industrielle ayant envahi tout Equestria. Il en va de même pour ses habitants qui sont soit des épaves épuisées par le travail, soit des criminels endurcis. Le pire réseau criminel d'Equestria, ils arrivent d'ici et là pour une occasion mais depuis peu il semble que les gens disparaissent et d'étranges personnes encapuchonnées envahissent la ville.

C'est sur ces mots que je compte démarrer mon enquête sur cette ville mystérieuse. J'ai quitté l'appartement de Twilight Sparkle cet après-midi, j'ai besoin de voir ce qui se passe ici malgré les avertissements de Twilight je m'aventure dehors en observant chaque détail de ces bas-fonds. Il doit être à peu près 23H30, j'ai l'impression de geler sur place, alors que la sinistre brume déjà présente la journée s'épaissit les fameux êtres encapuchonnés apparaissent progressivement, leurs longues robes noires empêchent toute vue sur leurs corps. Plus je progresse, plus je regrette ma venue ici, les encapuchonnés se rapprochent je crois, je n'ose pas me retourner.

Brusquement les douze coups de minuit tombent, dévoilant une Pleine Lune apparaissant juste sur la pique de l'horloge. Une terreur insurmontable apparaît, je dois rentrer car seul Celestia sait ce qui arrive aux gens qui disparaissent. L'odeur insupportable de la charogne provenant de la sinistre boucherie de la dénommée Pinkie Pie est proche, je ne tiendrai pas toute la nuit dehors. Alors je me mets à galoper aussi vite que je peux pour atteindre cette boucherie et m'y cacher au plus vite, j'entends derrière moi. J'atteins la boucherie qui, dieu merci, était ouverte. Juste avant de claquer la porte j'aperçois la tête d'un des encapuchonnés, leurs yeux sont d'une profondeur incroyable mais d'une noirceur telle qu'il ne semble y avoir un semblant de vie chez eux. Je ferme alors la porte pour m'écrouler sur le sol à la vue et à l'odeur de toute cette viande, c'est à ce moment que je perdis connaissance.

Vous avez aimé ?

Coup de cœur
S'abonner à l'auteur

N’hésitez pas à donner une vraie critique au texte, tant sur le fond que sur la forme ! Cela ne peut qu’aider l’auteur à améliorer et à travailler son style.

Note de l'auteur

Donnez des avis s'il vous plaît !
Et je remercie le validateur pour ces corrections.

Chapitre précédent Chapitre suivant

Pour donner votre avis, connectez-vous ou inscrivez-vous.

Aucun commentaire n'a été publié. Sois le premier à donner ton avis !

Nouveau message privé