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Ceux qui restent

Une fiction traduite par inglobwetrust.

Ce que j'ai perdu

L’espérance de vie d’un dragon est de plusieurs millénaires. Leur poussée de croissance intervient autour de deux cents ans. Ça m’a pris quelques années pour enfin apprendre ces choses, mais la réponse reçue ne m’a pas autant réconforté que je le pensais. C’était seulement un froid rappel de la mortalité de tous ceux autour de moi. Le temps a passé, et ce rappel est devenu une réalité.

Soixante-dix ans, ça en fait du temps pour attendre que vos amis vous quittent. Les années semblaient filer à une vitesse inimaginable. J’aurais préféré qu’elles passent lentement, peut-être même qu’elles durent une éternité. Si seulement Tourbillon Etoile avait inventé un sort qui défie le temps et les années. Peut-être que même Twilight aurait pu le trouver. Peut-être que je m’accroche aussi à quelque chose, n’importe quoi qui aurait rendu les choses différentes. Quelque chose qui m’aurait permis de les avoir autour de moi juste un peu plus longtemps.

J’ai peur d’être inutile, détesté et seul. C’est pourquoi j’ai chéri chaque instant passé avec mes amis. Je peux me rappeler de chaque souvenir, chaque aventure, chaque mot prononcé. Les souvenirs sont mon trésor, et c’est tout ce qui me reste d’eux. En fait, tout ce qu’il nous reste d’eux.

Tandis que la plupart de mes amis sont partis, une est toujours là dans ma vie. La plus belle et généreuse, qui semble avoir niée la mort et survécu à l’amère réalité de son âge. Pas physiquement, mais mentalement. Elle est toujours la même, la radieuse ponette que j’ai adulé comme un jeune fou. La façon dont elle prenait soin d’elle, comment elle agissait avec les autres, c’est comme si elle était toujours jeune. J’aurais souhaité que ça soit vrai, mais son apparence me rappelait la cruelle réalité à chaque instant.

Peu importe à quel point elle essayait, elle ne pourrait jamais revivre ses jeunes années. Ses cheveux devenaient gris et fragiles, ses yeux s’affaissaient et ses jambes la trahissaient parfois. Si tout cela n’était pas assez, sa vue devenait de pire en pire chaque année. Je l’ai vu maintes et maintes fois chercher du sabot les lunettes juste devant elle. Ça me faisait de la peine de la voir aussi vulnérable et fragile. Mais je devais vivre avec ça. Et c’est la raison pour laquelle j’ai décidé de l’accompagner depuis que la cécité avait fait son apparition.

Aussi cruel que ça peut sonner, je suis heureux d’avoir une excuse pour être auprès de Rarity. Peu importe à quel point j’essayais, mais je ne pouvais me sortir de la tête les sentiments que j’avais pour elle. Vous pensez qu’après soixante-dix ans, en restant ami avec elle et en l’encourageant dans la quête de son véritable amour, que j’aurais oublié mon faible pour elle. J’imagine que me lever chaque matin en souhaitant qu’elle m’ait choisi moi et pas lui tout en l’enviant prouvait le contraire, ou peut-être étais-je incapable de passer à autre chose.

Je ne détestais pas ce type, pourtant. Je l’ai soutenu quand il a voulu épouser Rarity. Elle méritait un étalon qui pourrait prendre soin d’elle. J’étais là pour les soutenir lors du mariage. Je pouvais lire la joie dans ses yeux, et c’était assez pour moi. Nous sommes restés bon amis, et elle me laissait venir l’aider quand elle avait besoin d’un coup de griffe. Son mari était d’accord. Mais je ne voulais pas empiéter sur leur mariage. La vie était simple pour elle, et elle était heureuse.

Malheureusement, ce bonheur ne dura pas longtemps. Ils découvrirent que Rarity était stérile. Elle ne pourrait jamais donner la vie. Les deux se disputèrent à cause de cela, et un jour, il partit, en ne revenant jamais. Je ne lui ai jamais pardonné. Si seulement il aurait pu voir les nuits qu’elle a passées allongée dans son lit, noyée dans ses crises de larmes. Si seulement il aurait pu voir la peine dans ses yeux, en souhaitant que chaque jour soit différent, qu’elle puisse porter un enfant. Je voulais être là pour la réconforter. Elle ne méritait pas d’être aussi misérable, alors j’ai refusé qu’elle le reste.

Avec l’aide de mes amis, elle sortit doucement mais sûrement de sa dépression, et était de retour dans son état normal. Elle passa du temps à travailler sur ses projets, les yeux brillants d’inspiration. C’est incroyable de voir l’inspiration qui peut sortir de la tristesse. J’ai proposé de l’aider pendant sa convalescence, mais elle préférait souvent travailler seule. Elle assemblerait les tissus, ajusterait une pièce ensemble et ferait un point de croix par magie. C’était toujours amusant de la voir faire ce qu’elle aimait. Rien d’autre ne surpassait cela. J’imagine que c’est pourquoi j’inventais constamment des excuses pour aller la voir.

Les années commençaient à se voir sur le visage de mes amis, et enfin, la mort les rattrapait. Doucement mais surement, elles commençaient à disparaître du monde, et j’étais une fois de plus rappelé à ma condition. Je voulais pouvoir vivre avec eux, grandir et vieillir avec eux. Et éventuellement mourir avec eux. Pourquoi vivre si tu es seul ? C’est une question que je me suis posé des centaines de fois. Et aucune réponse ne me venait à l’esprit.

La mort était une chose arbitraire, et j’étais immunisé contre. C’était une vraie malédiction. Vous pouvez toujours penser que vous êtes prêt. Vous vous préparez pour l’inévitable, pleurant en silence pour ne pas avoir à faire de même lorsqu’il est temps. On pourrait croire que ça marche. Mais les larmes coulaient sur mon visage chaque fois que j’enterrais un ami. Chaque enterrement était plus déprimant, et ça aspirait la vie hors de moi. J’étais sans émotion. J’y étais trop habitué. J’attendais juste que tous me quittent. S’asseoir et attendre l’inévitable. Quand Rarity fût la seule, j’étais attristé. Je savais qu’elle était proche de la fin. J’avais peur de ce qui allait arriver, et je me suis retiré du monde alentour, attendant chaque jour qu’elle parte et qu’elle me laisse seul.

Miraculeusement, elle parvint à dépasser mes espérances. Les semaines passaient, et elle continuait à avancer. Il y eût des pleurs, comme je m’y attendais. Mais après que les larmes furent séchées, elle revint à sa vie normale. C’était comme si elle était inconsciente de tout cela. Elle continuait à vivre ainsi, parlant à sa sœur comme si rien n’allait arriver. Mais je compris quelque chose : tout était normal. La vie était un cycle. Si on ne pensait qu’à la mort, la vie serait misérable. Je ne voulais pas m’appesantir sur mes amis décédés. Je devais passer à autre chose. Mais je ne voulais pas le faire seul.

Depuis cet instant, je me suis concentré sur Rarity. Je passais autant de temps possible avec elle. Tout pour ne pas l’envoyer dans cette maison de retraite où l’on voulait la placer. Elle avait toujours dit non, et à chaque fois, j’étais soulagé. L’idée que quelqu’un ait payé pour cette tâche, prendre soin d’elle, quelqu’un qui ne la connaissait pas comme moi je la connaissais me rendait malade. Je ne laisserais personne la prendre, même si ils insistaient. Je voulais qu’elle reste à la boutique, dans un endroit où elle était en sécurité. Un endroit où je pouvais toujours venir la voir. Un endroit où elle pouvait dormir confortablement la nuit. C’était sans doute égoïste, mais je m’en fichais. Je ne voulais que personne ne l’emmène ailleurs, ne la force à quitter l’endroit où elle appartenait.

Quand nos amis moururent, les visites devinrent de plus en plus fréquentes. Rarity semblait défier le temps, et sa sœur partit la première. Je ne savais pas comment elle faisait, et je m’en fichais. Je savais juste que je voulais être là pour prendre soin d’elle, et la fait sentir toujours jeune. Je l’aidais à tenir sa boutique, en rangeant les tissus qui devenaient inutiles. Je l’aidais à faire ses courses, je nettoyais sa maison et je m’assurais qu’elle était bien installée pour la nuit, la bordant et l’aidant à s’endormir avant de revenir à la librairie.

Le sommeil était un sujet sensible pour moi. Je ne savais jamais si elle serait réveillée quand je reviendrais la voir le lendemain. J’espérais, mais cet espoir s’amenuisait à chaque seconde. Indépendamment de mes peurs, je continuais à venir la voir, et à l’accompagner partout où elle voulait aller. Je faisais tout ça pour éviter de perdre la raison. J’ai fait cela pour que les dernières années de sa vie soient les plus paisibles et mémorables pour nous deux, et pendant ce temps, peut-être que je pourrais repousser les sentiments qui m’avaient hanté pendant près de soixante-dix ans.

C’en était ainsi depuis près de dix ans maintenant, et mes sentiments demeuraient les mêmes. De manière étrange, ils grandirent. Mais je les ai gardés en moi durant toutes ces années. Qu’est-ce qui se passerait si je lui en parlerais ? Elle devait penser que mon faible pour elle avait disparu depuis lors. Si je devais lui dire, que ferait-elle ? Quelle serait sa réaction ? Ces questions m’empêchaient de voir plus loin. J’ai toujours peur de la perdre, et lui confesser cela à l’aurore de sa vie me ferait plus de mal que de bien. Ou du moins, c’est ce que je pensais. Je suis toujours inquiet des conséquences, mais après ce qui s’est passé aujourd’hui, je pense qu’elle sait. C’était une journée des plus intéressantes, c’est le moins que l’on puisse dire.

C’était la même routine ; nettoyer la librairie, manger devant un portait de moi et Twilight quand elle était….là, et attendre l’arrivée de la libraire pour la journée. Je le payais assez pour qu’elle s’en occupe lorsque j’étais absent. Je voulais trouver la meilleure, une aussi obsédée par les livres que Twilight. C’est ce qu’elle aurait voulu.

Après cela, j’allais toujours directement au Sugarcube Corner pour ramener des bonbons à Rarity. Elle semblait beaucoup aimer les caramels dernièrement. Je ne peux pas mentir, elle a bon goût. Le caramel a toujours été mon parfum préféré. Encore une chose en commun avec elle.

Mais peu importe. Après les bonbons, rien ne m’empêchait d’aller vers la boutique. J’étais toujours inquiet en y entrant. Je ne savais pas si je serais reçu avec un bonjour, ou avec un autre cadavre à enterrer. Je ne peux même pas y penser tant la tâche serait inconcevable pour moi. Si elle devait mourir, je devrais faire un enterrement spécial pour elle. Elle méritait plus qu’une simple pierre tombale. Mais heureusement, elle était aussi vivante que lorsqu’elle était jeune. Et cela soulageait ma tension à chaque fois.

J’entrais dans la boutique, sans aucune réponse. C’était vide et silencieux. Une journée normale. Si j’avais bon, ce pour quoi je priais, elle devait lire un de ses magazines. Je grimpais les escaliers, et rien n’avait changé. Elle était là, lisant « En scène ». C’était toujours amusant de la voir s’intéresser encore et toujours à la mode. Elle refusait de se laisser définir par son âge. Son refus d’accepter la défaite me faisait toujours sourire quand je la voyais. En marchant dans sa chambre, elle leva les yeux, ajusta ses lunettes, et enleva une mèche de son visage.

« Spikey ? C’est toi ? » demanda-t-elle et sa voix, certes fragile, mais séduisante voix. Amusant de voir combien elle pouvait encore clairement entendre. J’avais à peine fait un bruit en entrant, et elle pouvait deviner qui était là. J’imagine que c’était pour compenser sa vision défaillante. Je n’ai jamais un expert dans ces choses-là. Je souriais et hochait la tête.

« Le seule et l’unique », dis-je en s’avançant vers elle. Elle sourit et gloussa doucement.

« C’est charmant. J’apprécie toujours ta compagnie. »

« Et moi donc. » Je lui tends le sac de bonbons. « Je sais qu’il est tôt, mais je suis allé chercher tes confiseries. Elles ne sont pas très chères, alors j’ai pu en prendre beaucoup. »

Elle fit léviter les bonbons et les déposa au sol, ce qui était inhabituel. Normalement, elle les déposait sur la table, ou en goûta un morceau avant de mettre le reste ailleurs. « Merci, mon cher. Tu sais que je n’en ai jamais trop. »

Je souriais. Pas le faux sourire pour faire croire aux poneys qu’on les aime, mais un sourire sincère qui le devient de plus en plus chaque jour. Tout chez elle me rendait heureux. Sa personnalité, sa grâce, et oui, même son look contribuait aux sentiments que je continuais à éprouver pour elle.

« Qu’est-ce que tu veux manger aujourd’hui ? » demandais-je. « Je peux faire des gaufres. Ou du jus d’oranges frais. Tu dois en avoir marre de boire du lait tous les jours. »

« Ça ne me dérange pas. Je pourrais avoir besoin de calcium pour mes vieux os. » Rarity sourit et enleva ses lunettes, en fermant son magazine. Cela avait piqué ma curiosité. Normalement, elle ne quitterait pas son magazine avant de manger. J’étais là, confus, grattant ma tête tandis qu’elle fit une grimace. « Mais je ne veux pas que tu cuisines pour moi, darling. Tu mérites une pause. »

« Oh. Eh bien, si tu veux que je sorte t’acheter quelque chose, alors d’accord. Ça ne me pose pas de problème. »

« En fait, j’ai une autre idée. » Rarity se leva doucement de son lit, en mettant ses chaussons roses. « Je voudrais sortir d’ici aujourd’hui. Ça fait longtemps que je me sens un peu à l’étroit et je voudrais profiter de la journée. Je dois faire bouger mes vieux os, n’est-ce pas ? »

Elle me fit un clin d’œil, et je souris. Lentement, elle trotta vers sa salle de bains avec moi près d’elle pour ne pas qu’elle tombe. Elle entrait dans sa routine habituelle. Elle mettait d’abord ses faux cils, mettrait de la poudre sur son visage et redresserait ses cheveux du mieux qu’elle pouvait. Elle abandonna pour sa queue, en me demandant de l’attacher pour en faire un chignon. Elle ne voulait pas être ennuyée par ça. Sa crinière était tout aussi sauvage, et elle abandonna aussi, en la raccourcissant. Après son travail sur sa crinière et ses cils, elle se repoudrerait le nez, essayant de récréer cette jeunesse perdue.

Je trouvais ses efforts louables, mais j’étais aussi triste, vu ce qu’elle devait ressentir. Même si elle ne le montrait jamais, il devait y avoir de la crainte en elle. Je l’imaginais toujours en train de s’inquiéter de revoir la lumière du jour, attendant que la nuit la prenne, pour qu’elle rejoigne le reste de ses amies. C’était plaisant à imaginer, parce que ça me faisait croire que je n’étais pas le seul à vivre avec ces craintes.

Elle se tournerait vers moi et me montrerait ce merveilleux et doux sourire comme à chaque fois qu’elle en terminerait. Cette fois-ci n’était pas différente. C’était comme toujours, d’aussi loin que je pouvais m’en souvenir. Mais elle semblait plus joyeuse et énergique.

« De quoi ais-je l’air ? » demanda-t-elle, comme si ma réponse allait changer. Je suis sûre qu’elle sait ce que je ressens pour elle. Je lui rappelle chaque jour.

« Aucun mot ne pourrait le décrire. » C’est comme si je manquais de vocabulaire pour ça. Tout ce que je pouvais dire avait déjà été utilisé une centaine de fois. Comme un disque qui se répète encore et encore. Et pourtant, j’avais toujours besoin de lui dire. « Mais il est un peu tôt pour te maquiller, ma chère. Je n’ai même pas encore préparé ton repas. »

« C’est le but, Spike », dit-elle en souriant chaleureusement. « Je veux manger dehors aujourd’hui. Ce serait bien de sortir de temps en temps et de voir les habitants, n’est-tu pas d’accord ? »

Je clignais des yeux, confus. Je ne savais pas pourquoi j’étais surpris qu’elle veuille sortir de la boutique vide et isolée où elle passait tout son temps. Aucun poney sain d’esprit ne s’y enfermerait ainsi. Mais la soudaineté de tout cela. La façon dont elle m’a présentée l’idée. Le fait qu’elle veuille passer la journée avec un ami hors du confinement de sa maison.

« Oui, j’imagine que rester ici peut être assez ennuyeux parfois », répondis-je. « Tu as des idées ? »

J’attendis sa réponse, impatient. « Je pensais que tu pourrais choisir. Tu sais toujours mieux que moi ce qu’il me faut. J’ai confiance en toi. »

Je levais les yeux. Il y avait de la joie dans les siens. Ce regard d’espoir qui remplissait mon cœur froid de chaleur. Je souhaitais partager ce sourire. Mes sourires cachaient mes peurs désormais, pour lui faire croire que tout allait bien. Mais ce n’était ni l’endroit ni le moment pour penser à des choses si déprimantes. Rarity avait besoin de moi, et je devais être là pour elle.

« Eh bien, on pourrait aller au café près de- » Je ne parvenais même pas à en prononcer le nom. Les mémoires des poneys qui résidaient-là étaient trop pour moi. Je ne pensais que ça serait difficile de parler du travail d’une vieille amie, mais ça l’était. Ça n’a jamais été simple.

Je pense que Rarity a vu ma douleur. Elle s’approcha vers moi et caressa doucement ma tête pour me calmer. Même si ses sabots ne sont plus aussi doux qu’autrefois, ils sont toujours aussi chaleureux que dans mes souvenirs. Ça me faisait du bien, de savoir qu’elle était là avec moi.

Je souris à mon tour. C’était tout ce que je pouvais faire. Il n’y avait rien à ajouter, rien que je puisse dire. La seule chose que je pouvais faire est de lui proposer à nouveau.

« Alors, tu veux manger là-bas, ma chère ? » Je l’appelais toujours ainsi. Peu importe la raison, mais j’avais besoin qu’elle soit traitée royalement. Tout ce qui comptait maintenant, c’était d’aller là où elle le voulait.

Elle attrapa rapidement son chapeau pour se protéger du soleil et marcha à côté de moi. « Montre-moi le chemin, Spikey-Chou. »

Je rougis, une nouvelle fois. Après toutes ces années, j’étais toujours la victime de ses doux mots, proche de perdre toute capacité à parler à chaque fois qu’elle me répondrait. Je pourrais rester assis là et admirer sa splendeur tout le reste de la journée. Quand nous quittâmes la boutique, je ne pensais rien faire de spécial à part manger avec elle. Ce que j’ignorais, c’était que ce serait le début d’une des journées les plus intenses que j’ai eu depuis longtemps.

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DragonaChainsaw
DragonaChainsaw : #40168
Quelques erreurs, comme DarkNight l'a souligné, mais sinon, le style est très agréable, ça me semble être une bonne trad'... Mais bon, j'ai pas vu l'originale pour juger.
En attendant, je lis cette fic sur cette musique : [lien]
Je trouve que ça le fait.^^
Modifié · Il y a 2 ans · Répondre
DarkNight
DarkNight : #5510
Attention :
Si seulement il aurait pu voir les nuits qu’elle a passées allongée dans son lit, noyée dans ses crises de larmes. Si seulement il aurait pu voir la peine dans ses yeux
Ce serait plus français de dire :
Si seulement il avait pu voir les nuits qu’elle a passées allongée dans son lit, noyée dans ses crises de larmes. Si seulement il avait pu voir la peine dans ses yeux
...
Si on ne pense qu’à la mort, la vie serait misérable
serait plutôt :
Si on ne pensait qu’à la mort, la vie serait misérable
ou
Si on ne pense qu’à la mort, la vie est misérable
Mais bon. Merci de traduire cette très jolie fic'.
Il y a 3 ans · Répondre

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