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Vinyl and Octavia : University Days [...]

Une fiction traduite par Lostrios.

Chapitre 9

« Comment as-tu... » Bégaya la violoncelliste.

« Parlé à la responsable des chambres ? » Répondit la DJ en sortant de son carton.

« Mais tu... »

« Avais dis de ne pas le faire car il n’y avait aucune chance pour que ça marche. » Vinyl sourit et ricana.

« Quand as-tu... »

« Transporté mes affaires y’a une heure. Je n’ai jamais autant utilisé la magie de toute ma vie ! » Elle gloussa mais manqua rapidement de souffle, et Octavia remarqua qu’elle était couverte de sueur. « Waouh, je me sens super bien. » La licorne fit quelques pas et trébucha, rattrapée par Octavia qui se jeta en avant.

Le son de battements d’ailes se fit entendre suivi par le grincement de la porte. « Désolée Vinyl ! » Dit la pégase bleue. « Je l’ai retenue le plus longtemps que j’ai…oh, désolée ! Je sors ! » Elle referma la porte avant que l’une des deux ne puisse expliquer quoi que se soit. De longues excuses se firent entendre à travers la porte, s’éloignant rapidement.

Vinyl semblait avoir accepté le fait qu’elle ne tenait plus sur ses sabots et se laissait aller dans les pattes d’Octavia. « C’est trop cool. Est-ce que ce n’est pas trop cool ? »

« Ok, je ne savais pas que l’abus de magie pouvait faire délirer les licornes. » murmura la violoncelliste en trainant son amie vers son nouveau lit.

« Je comprends pas mal de trucs vachement bien maintenant. » L’informa Vinyl, hochant calmement la tête en se laissant border.

« C’est bien Vinyl. » Pouffa Octavia en se retournant vers les affaires de Vinyl.

La jument blanche se mit à ricaner bêtement. « Tu devrais t’éloigner de moi plus souvent. »

« Dors, ou je commence à écrire ce que tu me dis pour te les ressortir plus tard. »

Quelques minutes plus tard, la chambre résonnait de ronflements discrets. Octavia leva les yeux au ciel et plongea dans le carton le plus proche. Sans surprise, elle en ressortit une pile de CD, rangés dans des pochettes en plastique transparentes et étiquetées avec soin.

Après avoir vidé la deuxième et troisième boite et n’y ayant trouvé que d’autres CD, la violoncelliste laissa échapper son exaspération. « A-t-elle au moins apporté des vêtements ou des objets personnels ? » Demanda-t-elle avec humeur. La seule réponse qui se fit entendre fut un petit ronflement, ce qui n’aida pas à la calmer.

Décidant de secouer la dernière boite avant de l’ouvrir, elle fut enchantée d’entendre le son de petits objets glissants à l’intérieur.

Si ce n’est pas ses affaires personnelles, je mange mon nœud papillon.

Et en effet, à l’intérieur se trouvait un certain nombre de petits gadgets et d’objets en tout genre. Le seul qui avait un intérêt était son téléphone, très petit, comme il était d’usage chez les licornes qui n’avaient pas souvent besoin de les toucher directement.

Elle le fit rouler entre ses sabots et alluma l’objet, qui sembla l’accueillir. Octavia jeta un petit coup d’œil à la licorne endormie, et laissa un petit sourire se dessiner sur son visage.

Ca ne la gênera pas que je regarde combien de contacts il faut avoir pour être normal. Je ne regarderai pas ses messages, sauf si mon sabot glisse.

Ses yeux s’élargirent alors qu’elle commençait à descendre la liste. « Oh mon dieu… »

Ils y en avaient des centaines ! Bien que certains étaient nommés Le type avec le bouc ou La jument avec les cheveux rouges, il restait tout de même un énorme nombre de vrais noms, bien plus que ce à quoi la jument grise s’attendait. Comparé à sa propre maigre liste de contacts, composé de trois numéros (Vinyl, sa mère et les urgences), elle se sentit comme une joueuse inexpérimentée dans un jeu social complexe.

Oh mince, j’ai accidentellement ouvert ses messages récents.

Etrangement, à part quelqu’un nommé ‘Shady Sexybombe’, elle était la seule à qui Vinyl avait écrit ces dernières semaines.

Où sont toutes ses invitations ? Est-ce qu’elle les appelle au lieu de leur écrire ?

Cette réponse semblant la plus logique, mais Octavia résista à l’envie d’aller voir l’historique des appels.

Et si elle était aussi seule que moi ? Oh heureusement qu’elle a trouvé un moyen de partager cette chambre.

Tout allait de mieux en mieux.

Sa curiosité satisfaite pour le moment, Octavia rangea toutes les affaires de Vinyl sur son bureau avec soin. Il y avait encore beaucoup de paquets à déballer, sans parler du déplacement des meubles. Une table de mixage ne devrait pas se trouver au centre de la pièce…

La DJ se réveilla au doux et profond son d’un violoncelle venant de sa droite. Soulevant la tête de quelques centimètres, une scène magnifique se révéla à elle.

Assise sur le lit en face, baignée dans la lumière orange du couché de Soleil à travers la pluie, Octavia jouait. Les yeux fermés, absorbée par son art, le sabot guidant gracieusement l’arc sur les cordes, elle grava une image d’une beauté inoubliable dans l’esprit de la licorne, qui, à moitié endormie, la prit pour un ange.

S’étouffant, Vinyl se rappela soudainement comment respirer, et alerta le sujet de sa fascination.

« Hein ? » Ses yeux se rouvrirent et clignèrent en direction de la DJ. « Oh tu es réveillée ! Désolée, je m’entraine toujours le soir. J’aurai du aller ailleurs- »

« Non. » Croassa la licorne. S’éclaircissant la gorge et se redressant légèrement, elle continua. « Ce n’est pas grave. Hum, tu pourrais continuer s’il-te-plait ? Je…dois faire quelque chose. »

Octavia fronça les sourcils d’incompréhension mais reprit sa tâche avec le talent d’un expert.

Vinyl descendit du lit et traversa la pièce, donnant à la violoncelliste un petit clin d’œil. Elle fouilla le carton de ses affaires scolaires et en ressortit son cahier de dessin et ses crayons.

En la voyant, Octavia rougit. « Heu Vinyl, je ne suis pas très douée pour... »

« Chhhh. » Fit la jument blanche, s’asseyant en face de sa camarade, comme subjuguée.

Et elle l’était en effet, désormais totalement exposée à la musicienne devant elle. Des pensées plus profondes lui virent mais un besoin urgent de créer lui vint immédiatement.

Elles restèrent ainsi, l’une récitant l’autre créant, tandis que le Soleil descendait vers l’horizon.

Comme le font tout les bons moments, tout ce termina trop vite. Le Soleil disparu complètement, sortant les deux juments de leur transe.

Octavia abaissa son arc et s’étira la patte, tandis que Vinyl se relevait de son étrange posture.

« Pourquoi je suis assise ici ? » Murmura-t-elle en se massant le cou.

« Tu étais en train de dessiner. » La violoncelliste jeta un coup d’œil au carnet, ouvert sur un dessin d’un poney avec un… « Tu étais en train de me dessiner ? »

« Heu… J’imagine que oui. Et tu jouais pour moi. » Elles se regardèrent étrangement.

Après un moment de réflexion, Vinyl sourit et commença à rire. « Mon dieu, mais qu’est-ce qu’on est en train de faire ? » Elle ria encore plus.

« Je n’en sais rien ! » Octavia se mit à rire à son tour. L’absurdité de la situation ne fit que les amuser encore plus. « Ca ne fait même pas un jour qu’on vit ensembles et j’ai déjà l’impression d’avoir été droguée. »

« Ca va tout seul après ça gamine ! » La DJ jeta son cahier sur le bureau et s’assit sur le lit à coté de son amie.

« Oh Célestia, pourquoi ai-je accepté ça ? »

« Tu ne l’a pas fait. C’est pour ça que c’est génial. » Elle fit distraitement passé un sabot sur le ventre d’Octavia, qui laissa échapper un petit cri. « Oh ? Qu’est-ce qu’il se passe ? » Un sourire démoniaque se dessina sur ses lèvres.

« R-rien, ne le refait plus. » Dire cela était pratiquement une invitation malgré les cris de la jument et son rire hystérique.

« Vinyl – Je – Vais – Te - Tuer ! » Avec une grosse impulsion, elle roula avec Vinyl hors du lit, abandonnant son violoncelle pour atterrir sur le tapis.

Elles restèrent là, essoufflées et se regardant l’une et l’autre, presque museau à museau. L’une souriant bêtement et l’autre essayant de faire son regard le plus méchant possible. Sans succès visiblement car la jument blanche leva un sabot et toucha gentiment le museau de l’autre.

« Boop. » Chuchota-t-elle.

« Tu mourra de mon sabot. » Siffla la violoncelliste, bien qu’elle ne put s’empêcher de sourire.

« Toujours aussi une gentille petite jument, hein ? »

« Je l’étais. Tu m’as détruite. » Vinyl pouffa discrètement, mais resta silencieuse. « Quoi ? » Octavia leva un sourcil.

« Rien. »

Juste en train de penser à comment te détruire.

« Dis-moi. Qu’est-ce qui te fais rire. »

« Tu ne trouvera sûrement pas ça drôle. » Son cerveau carburait, sachant que son amie ne laisserait pas tomber.

« Un seul moyen de le savoir. Dis-moi »

« Ok, je pensais juste… Tu crois que je t’ai détruite .Mais ce n’est que le début. » Elle souri de la manière la plus méchante possible.

« Oh chut. Je suis sûre que tu n’es pas si méchante que tu veux le faire croire. »

Vinyl se rapprocha, les lunettes agrandissant ses yeux. « Laisse-moi te montrer à quel point je suis méchante. »Dit-elle calmement, le cœur battant si fort qu’elle eu peur qu’il explose.

Octavia se rapprocha à son tour, interprétant le comportement de Vinyl plus comme conspirateur que… n’importe quoi d’autre.

« Comment ? Tu as prévu des farces ? » Elle pouffa à cette idée.

« Heu… Ouais, évidemment. »

Qu’est-ce que je fais ? J’essayais vraiment de… ?

« Eh bien essaye de ne pas m’embarquer dedans. Je préférerai rester hors de la liste rouge de l’université le plus longtemps possible, bien que maintenant que je partage ma chambre avec toi ça semble impossible. » Elle pouffa à nouveau et toucha à son tour le museau de Vinyl. « Boop ! »

La DJ se força à rire, son cerveau toujours retournant ce qu’elle venait de faire. « Ouais, c’est sûr. »

« Eh bien, si tu n’as rien de prévu pour maintenant, on pourrait aller manger. Toute cette torture m’a affamé. Octavia se redressa sur ses pattes et aida son amie à faire de même.

« Bonne idée. On va où ? » Vinyl essaya de garder un ton neutre en se secouant la tête pour faire disparaitre quelques images mentales.

« Blues' Taverne ? Pour la nostalgie ? »

Le duo échangea un sourire.

« Ca me parait parfait. »

En total contraste avec le gris de la rue, le Blue’s Tavern était chaleureux et très éclairé. Les poneys présents riaient avec leurs amis et laissaient disparaitre le stress de la vie. Un groupe d’ouvriers occupant trois tables dont celle du coin, Vinyl mena donc Octavia à une autre, à coté du bar.

« Je ne savais même pas que cet endroit servait de la nourriture. » Marmonna la licorne en faisant voler des menus jusqu’à leur table.

« Rien de génial, mais ça suffira. Ma… mère m’a emmené ici lorsqu’on a visité le campus. »

« Ah ouais ? Tu as l’air très proche de ta mère. »

« Eh bien… d’une certaine manière, je suppose que oui. » Octavia ouvrit la carte et se cacha derrière. « Et toi, tes parents ? »

Regardant distraitement les choix de nourriture, Vinyl haussa les épaules. « Ils sont nuls. Ils m’ont viré de la maison dès que j’ai eu 18 ans. »

Oubliant ses propres problèmes, Octavia s’écria. « Ils t’ont quoi ?! Comment ont-ils pu faire ça ? »

« Assez facilement apparemment. »

« C’est horrible. »

« Qui a besoin d’eux ? En plus, si je n’avais pas été jetée dehors, je n’aurai peut-être pas pu emménager avec toi aussi vite. »

« Oui… mais quand même… »

Le sujet se ferma lorsqu’un grand poney blond s’approcha. « Votre choix est-il fait ? » Demanda-t-il avec une voix trainante, son accent compensant ses manières.

« Une assiette de foin avec des jonquilles frites. » Dit la licorne en reposant son menu sur la table bien plus fort que nécessaire.

« Très bon choix. Et pour votre petite amie ? »

Vinyl ouvrait déjà la bouche pour le contredire et se préparer à se forcer à rire pour dissiper le malaise mais Octavia fut plus rapide. « Je prendrai une salade de marguerites, merci. »

« Un autre excellent choix. Je vous apporte ça. » S’éloignant tranquillement, il se mit à siffloter sans se préoccuper du regard des gens.

« Heu, Octavia… Tu sais ce qu’est une ‘petite amie’, n’est-ce pas ? »

Ce fut au tour de la violoncelliste d’hausser les épaules. « Une expression affective pour ‘amie’ ? »

« Hum, presque. Enfin, pas vraiment. Pas du tout en fait.” La licorne ne put s’empêcher de rire.

« Qu’est-ce que ça veut dire alors ? »

« Une… compagne. Comme, compagne-compagne. »

« Oh. » Comme prévue, ses joues virèrent à l’écarlate. « Alors maintenant il pense que… ?»

« Yep »

« Oh mon dieu. Je suis désolée Vinyl. Est-ce qu’il y a un dictionnaire pour ce genre d’expressions ? Je fais beaucoup trop de bêtises. »

« Ne t’inquiètes pas, tu t’y habitueras. »

« Je devrais peut-être aller chercher le serveur et lui expliquer. »

La DJ se releva aussitôt. « Non ! Enfin je veux dire, hum, ce n’est pas très important. Ok ? »

« Ok, c’était juste une idée. »

Un silence s’installa, seulement ponctué par le bruit ambiant. Octavia se sentait horrible, et ne pouvait s’empêcher de se le reprocher.

Je dois tellement exaspérer Vinyl parfois ! Pourquoi je suis si bizarre ?

Heureusement, Vinyl avait la gentillesse de ne pas lui reprocher. Peu importe tout ce qu’elle avait fait pour mériter une amie pareil, ce n’était pas suffisant. Un petit sourire se dessina sur ses lèvres. La meilleure amie dont elle puisse rêver.

De son côté, Vinyl était occupée à inspecter la table. Uniquement parce qu’elle aimait les beaux meubles, et non pas pour empêcher son esprit de vagabonder. Il se débrouillait bien tout seul.

Une sensation de vertige la prenait à chaque fois qu’elle repensait au moment où le serveur avait appelait Octavia sa ‘petite amie’.

Sérieusement cerveau, ta gueule.

L’arrivée des plats fut un soulagement. Elles plongèrent toutes les deux directement dessus, sans dire un mot.

Plus son estomac se remplissait, plus Vinyl se sentait de meilleure humeur. Voilà pourquoi elle n’arrêtait pas d’avoir des pensées bizarres, elle était juste affamée. Logique.

« Je me sens super bien. Ca te tente de sortir ? » Demanda-t-elle en ignorant les regards tournés vers elle.

« Après manger ? Tu cherches les ennuis Vinyl. » Elle repoussa son assiette et s’essuya les lèvres avec sa serviette.

Vinyl pouffa « Tu n’as eu qu’une salade, ça ira. Et tu n’es pas obligée de boire si tu ne veux pas. »

Se mordant la lèvre inférieure, Octavia se recoiffa la crinière avant de secouer la tête. « Je dois avouer que je suis vraiment tentée. Mais j’ai un cours d’histoire demain et je ne veux vraiment pas le rater. »

« J’imagine que je me trompais. Tu es toujours une gentille petite jument. » Elle lui tira la langue tandis que la jument grise levait les yeux au ciel. « Hey, il est presque vingt heures ! On ferait mieux de rentrer à temps pour finir nos devoirs ! »

« Oh, hehe… je devrais vraiment les commencer. »

Elles se levèrent et s’avancèrent jusqu’au bar en riant. Octavia commençait à compter soigneusement les pièces mais Vinyl la devança en lançant un sabot de pièces sur le comptoir et ne la tire vers la sortie en souriant.

« Pas mal hein ? » La DJ leva un sourcil derrière ses lunettes tandis qu’elles s’éloignaient.

« Quoi donc ? »

« Payer autant pour le repas. Je veux dire, j’avais l’air cool nan ? »

« J’imagine. C’est plus du gâchis je trouve. Tu aurais pu garder un peu d’argent pour la prochaine fois qu’on sortira. »

Un sabot blanc claqua sur un visage blanc. « Ce n’est pas ça qui compte. »

« Qu’est-ce qui compte ? »

Cette simple question resta suspendue dans l’air froid de la nuit. Vinyl regardait le sol en étudiant chacun de ses pas.

« Je ne sais pas. » Murmura-t-elle.

Ensembles, elles plongèrent dans la pénombre bienveillante dans laquelle leurs émotions pourraient se cacher.

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ArthyBrony
ArthyBrony : #21198
Y faudrait que je pense a avoir des amis, tiens ! :D
Il y a 3 ans · Répondre
GhostPonyRider
GhostPonyRider : #5387
Vous savez... Quand je vois des choses pareilles, des récits aussi beaux ! Aussi poignants... Je ne peux pas m'empêcher de me rendre compte à quel point notre monde réel est froid, stupide et cruel.... T.T

Plus serieusement, l'empathie développée à l'égard de Vinyl est impressionante ! J'aimerais avoir l'adresse de l'auteur pour lui envoyer des fleurs.
Modifié · Il y a 3 ans · Répondre
Lostrios
Lostrios : #2997
Norlf10 août 2014 - #2962Depuis le début de ma lecture, je relève pléthore de fautes et d'étourderies, et pas mal d'erreurs de traduction, mais globalement ça restait "acceptable". Mais là dans ce chapitre je suis tombé sur un passage parfaitement incompréhensible, ce qui m'a forcé à aller voir la VO.

Le passage débute sur ceci :

"She playfully jabbed a hoof into Octavia’s side, eliciting a squeak." a été traduit en : "Elle fit distraitement passé un sabot sur le ventre d’Octavia, qui laissa échapper un petit cri."

Bon déjà on a "side" traduit en "ventre", c'est pas énorme, mais au niveau de relation qu'on a entre les deux personnages, un sabot qui viens appuyer entre deux côtes pour faire une chatouille n'est pas la même chose qu'un sabot qui s'aventure sur le ventre, quoi qu'il veuille faire. Mais comme je l'ai dis c'est pas énorme, car ce qui m'a vraiment fait hurler vient après :

"Dire cela était pratiquement une invitation malgré les cris de la jument et son rire hystérique." est écrit dans le texte. Je suis allé voir en VO car il me semblait très clairement qu'il manquait un bout, et j'ai pas été déçu :

"Saying that was practically an invitation, as the unicorn dived on the grey pony and brought her hooves in for full effect, rubbing and tickling her stomach with glee. “Aha! No! Stop – no – please!”"

Il manque la moitié de la phrase originelle ! Sinon plus ! On saute toute une action –plus un bout de dialogue–, alors forcément l'enchaînement avec la suite ne se fait plus, et on est forcés soit de reconstruire une partie du texte soit-même, soit –pour les nazes comme moi– d'aller zieuter du coté de la VO pour comprendre.

C'est tout de même bien dommage d'avoir une fic qui perd de son niveau –car la VO est en effet bien écrite– lors du passage à la case traduction.

Cependant je ne fais pas cette remarque un brin virulente pour cracher sur toi Lostrios, car je ne peux que te féliciter pour avoir pris le temps de traduire cette fic, mais je t'invite tout de même à être plus vigilant. :)

Après c'est peut-être imputable à un manque d'expérience au moment où tu as écris ce chapitre, ou alors un événement tiers qui t'as perturbé lors de la traduction de ce passage, mais si jamais, lorsque tu auras terminé la traduction complète, cela pourra être une excuse pour repasser un petit coup sur tout le texte, histoire de l'améliorer et de revenir sur les fautes qui sont restées ? ;)

Je poursuis ma lecture, l'histoire en elle-même m'intéresse tout de même ! ^^ Je suis désolé pour toutes les petites fautes, mais comme je l'ai déjà dit ni la modération ni moi ne pouvont être complètement parfaits, mais je t'encourage a signaler les plus grosses fautes que tu trouves ou celles qui te dérangent le plus, ça m'aiderait énormément.
Pour le passage manquant, je ne comprend pas du tout ce qu'il s'est passé, j'ai été obligé de retourner voir la vo pour vérifier parce-que ça me paraissait vraiment dingue que j'oublie une partie entière. Mais tu as raison, je suis vraiment complètement désolé, je ne sais pas comment j'ai pût oublier tout ça O.o Je corrige dès que je peux, encore pardon :/
Modifié · Il y a 4 ans · Répondre
CompteSupprimé
CompteSupprimé : #2962
Depuis le début de ma lecture, je relève pléthore de fautes et d'étourderies, et pas mal d'erreurs de traduction, mais globalement ça restait "acceptable". Mais là dans ce chapitre je suis tombé sur un passage parfaitement incompréhensible, ce qui m'a forcé à aller voir la VO.

Le passage débute sur ceci :

"She playfully jabbed a hoof into Octavia’s side, eliciting a squeak." a été traduit en : "Elle fit distraitement passé un sabot sur le ventre d’Octavia, qui laissa échapper un petit cri."

Bon déjà on a "side" traduit en "ventre", c'est pas énorme, mais au niveau de relation qu'on a entre les deux personnages, un sabot qui viens appuyer entre deux côtes pour faire une chatouille n'est pas la même chose qu'un sabot qui s'aventure sur le ventre, quoi qu'il veuille faire. Mais comme je l'ai dis c'est pas énorme, car ce qui m'a vraiment fait hurler vient après :

"Dire cela était pratiquement une invitation malgré les cris de la jument et son rire hystérique." est écrit dans le texte. Je suis allé voir en VO car il me semblait très clairement qu'il manquait un bout, et j'ai pas été déçu :

"Saying that was practically an invitation, as the unicorn dived on the grey pony and brought her hooves in for full effect, rubbing and tickling her stomach with glee. “Aha! No! Stop – no – please!”"

Il manque la moitié de la phrase originelle ! Sinon plus ! On saute toute une action –plus un bout de dialogue–, alors forcément l'enchaînement avec la suite ne se fait plus, et on est forcés soit de reconstruire une partie du texte soit-même, soit –pour les nazes comme moi– d'aller zieuter du coté de la VO pour comprendre.

C'est tout de même bien dommage d'avoir une fic qui perd de son niveau –car la VO est en effet bien écrite– lors du passage à la case traduction.

Cependant je ne fais pas cette remarque un brin virulente pour cracher sur toi Lostrios, car je ne peux que te féliciter pour avoir pris le temps de traduire cette fic, mais je t'invite tout de même à être plus vigilant. :)

Après c'est peut-être imputable à un manque d'expérience au moment où tu as écris ce chapitre, ou alors un événement tiers qui t'as perturbé lors de la traduction de ce passage, mais si jamais, lorsque tu auras terminé la traduction complète, cela pourra être une excuse pour repasser un petit coup sur tout le texte, histoire de l'améliorer et de revenir sur les fautes qui sont restées ? ;)

Je poursuis ma lecture, l'histoire en elle-même m'intéresse tout de même ! ^^
Il y a 4 ans · Répondre
Mangepomme
Mangepomme : #151
Oh mon dieu. Oooooooooooh mon dieu. Je. kyaaaaaaaaaah!
Il y a 4 ans · Répondre
Lostrios
Lostrios : #89
Un des chapitres les plus durs pour le moment, je suis pas super content du moment avec le serveur. Si jamais vous trouvez une meilleure idée que "petite amie" pour traduire "missus", je suis preneur ! Le chapitre 10 devrait arriver d'ici dimanche :)
Il y a 4 ans · Répondre

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