Ce chapitre comporte des éléments sensibles pour de jeunes lecteurs.
Si vous souhaitez tout de même lire ce chapitre, créez un compte et rendez-vous
dans "Modifier mon compte" puis "Autoriser la lecture du contenu mature (-18)".
Les créations et histoires appartiennent à leurs auteurs respectifs, toute reproduction et/ou diffusion sans l'accord explicite de MLPFictions ou de l'auteur est interdite. Ce site n'est ni affilié à Hasbro ni à ses marques déposées. Les images sont la propriété exclusive d'Hasbro "©2017 Hasbro. Tous droits réservés." ©2017 MLPFictions, version 1.2.7. Création et code par Shining Paradox, maintien par Sevenn.
Pour donner votre avis, connectez-vous ou inscrivez-vous.
Il y a quand même quelques coquilles et répétitions un peu gênantes ("odieusement", par exemple). Ça alourdit quelque peu la narration, à certains passages.
Niveau scénar, on n'a certes pas grand-chose, mais ça suffit à créer un suspense et une angoisse. Ce qui arrive à Lyra, pour qui mourir semble définitivement plus difficile que survivre, est incompréhensible et horrible. Et ça fonctionne. (Je viens de me rendre compte que je passe encore pour une sacrée psychopathe en écrivant ça...)
Une sacrée fic d'horreur, à lire au moins une fois pour les cœurs et les estomacs les plus accrochés.
Pour venir à ce qu'il m'a mis mal à l'aise... Lyra, étrangement je ne me suis pas vu comme le narrateur, je n'ai pas été spectateur de la scène, mais par une yoloterie de mon esprit, je me suis imaginé à la place de lyra, et je doit dire que le sentiment, bien qu'imaginaire, m'a quelque peu tordu l'estomac. Sinon pour revenir sur les quelques commentaire de vuld et toro, je n'ai pas eu de problème avec le style, justement cet aspect froid et clinique donne quelque chose de glaçant, une espèce de sentiment viscéral qu'on peut avoir en voyant une autopsie par exemple.
Quand à mon point de vue sur le gore... j'aime bien le gore pour son aspect ludique et salissant, le sang est au psychopathe que je suis ce que la boue est aux enfant qui se roulent dedans.
N'étant pas excessivement fan du gore non plus, j'admet que le détachement froid du narrateur rend cette fiction accessible aux esprits moins ouverts à ce thème (donc le mien). J'ai peu de souvenirs de mes lointaines -et modestes- lectures de Lovecraft, mais il me semble que cette froideur narrative était déjà une de ses caractéristiques (ce qui a eu aussi pour mauvaise conséquence de me faire bailler devant ce que que les amateurs de littérature fantastique définissent comme l'un des auteurs les plus effrayants et intenses de ce domaine).
Enfin, passant au delà de la première impression, il est vrai qu'une forme de répétitivité dessert quelque peu ce texte, en particulier pour le geste (répété encore et encore et encore), et que tous les personnages semblent être reliés par la même pensée, n’étant définis que par ce qu'ils étaient avant le drame (un tel un docteur, une telle une musicienne) mais sans guère de représentation de personnalité. Devant cette neutralité qui ne le cède qu'à l'aspect atroce du fond, j'ai vraiment l'impression de me trouver plus devant une pièce de Ionesco que devant un récit gore.
L'aspect dérangeant est là, mais son aspect cyclique, absolu, mais ne débouchant sur rien d'autre que la folie ouvre sur l'absurde. C'est ce qui fait, à mon goût, l'aspect plaisant de ce texte.