Octavia se recula, surprise par la pression sur ses lèvres.
« Je suis tellement désolée, je- mmhff »
La DJ n’allait pas laisser passer cela, pas après tout ce temps, toutes ces fichues pensées ! C’était un rêve qu’elle n’allait pas laisser partir. Elle s’avança, entourant le cou de la jument grise de ses pattes. La chaleur de son visage se dispersa dans tout son corps comme un courant électrique, titillant tout ses nerfs et contractant tous ses muscles.
Confrontée à cet assaut passionné, Octavia arrêta de reculer et se laissa faire. Elle essaya d’embrasser la licorne à son tour mais elle était plutôt maladroite et elle s’arrêta rapidement.
Vinyl n’était pas experte non plus ; elle semblait croire que tant que ses lèvres touchaient une zone autour du museau d’Octavia, elles étaient bien placées. La violoncelliste avait lu un nombre assez considérable de livres sur le sujet mais se rappeler la moindre information à ce moment lui semblait impossible.
Presque haletantes, elles se séparèrent, pour plus d’une seconde cette fois. Les joues blanches de Vinyl avaient viré au rouge et elle semblait surprise, comme si elle était choquée de son propre comportement. Octavia ne pouvait s’empêcher d’être un peu étonnée elle aussi. Ce qui avait commencé comme une après-midi normale s’était soudainement transformé en quelque chose de bien plus profond.
« Désolée. Gémit Vinyl, réussissant mystérieusement à manquer de souffle deux fois en un seul mot.
- Je… ne le suis pas. » Répondit la violoncelliste. Voyant son amie lever un sourcil, elle s’expliqua.
- Même si je ne suis pas… sûre de quoi en p-penser, je mentirai si je te disais que j’ai détesté. Heu, fait ce que tu veux de ça. »
Elle haletait un peu à la fin, toujours essoufflée.
L’autre jument semblait chercher ses mots, humectant ses lèvres comme pour parler mais resta silencieuse. Seul le son de l’ordinateur vibrant discrètement à coté d’elles les empêchant de tomber dans un silence gênant.
« Je ne suis pas sûre- »
Commença-t-elle, mais sa voix se brisa et elle dût s’arrêter, détournant ses yeux rubis comme si elle cherchait une sortie.
« Je veux dire, je ne sais pas- »
Elle se brisa à nouveau. Elle s’éclaircit la gorge et déglutit.
« Je n’ai aucune idée de ce que je fais. »
La DJ eu un petit rire, adressé à personne en particulier.
« Oh Célestia, qu’est-ce que je suis en train de faire ? » Ses yeux retombèrent sur Octavia.
« Qu’est-ce qu’on est en train de faire ? »
Haussant légèrement les épaules, la violoncelliste ne pût lui répondre. Même elle, elle n’en avait aucune idée. Tout ce qu’elle pouvait faire était de regarder ces yeux rouges qui l’avaient plongée dans un point proche du délire. Ils étaient toujours aussi hypnotisant, aussi brillants.
Octavia se força à détourner le regard.
« Vinyl… Commença-t-elle calmement. Quand… quand j’étais hésitante à propos de quelque chose, ma mère- oh Célestia ma mère ! Ses yeux s’élargirent en se rappelant la teneur de leur dernière conversation. Elle va me tuer !
- Hein ? Pourquoi ?
- Parce-que je viens d’embrasser- Se rattrapant, la violoncelliste baissa considérablement la voix. Parce-que je viens d’embrasser une jument. »
Siffla-t-elle, regardant partout comme si sa mère allait sortir de sous son lit et l’attaquer.
« Comment elle pourrait le savoir ? Pour une fois, Vinyl était la plus rationnelle des deux.
- Elle l’apprendra tôt ou tard. Elle apprend tout tôt ou tard. Sa voix était très silencieuse, presque le ton d’une pouliche effrayée.
- Wow. Ok, je pense que j’ai une idée assez claire de ton enfance. »
Octavia commença à tourner en rond dans la chambre.
« A chaque fois que je faisais quelque chose qu’elle n’aimait pas, j’étais trainée chez un psychologue. Elle me regardait silencieusement jusqu’à ce que je crache tout mes secrets.
- Quoi ?! T’es sérieuse ? »
La licorne ne pût s’empêcher de se sentir coupable en se rappelant de sa première impression de la jument grise, une snob ennuyeuse. Evidemment qu’elle n’avait pas beaucoup de particularité, sa personnalité lui avait été arrachée ! Pas de secrets, pas de jardin secret, pas de pensées personnelles… Elle n’avait pas été élevée, elle avait été dressée. La colère monta en elle comme un raz-de-marée, et voulut s’abattre sur cette ‘mère’.
« J’ai bien peur que oui. Et… Je pense que je suis arrivée à un point où c’est la seule solution pour moi quand je ne suis… pas sûre de quelque chose. » Elle regardait partout sauf vers la licorne.
Vinyl ne pût s’empêcher de se sentir un peu blessée. C’était absurde, mais c’est toujours douloureux de se rendre compte que son rêve ne va peut-être pas devenir réalité après tout.
« Ok. Dit-elle calmement.
- Je suis désolée Vinyl. J’aimerai être comme toi et tout laisser glisser, mais…ma tête est juste… pleine de tout ça et… j’ai besoin de les faire sortir avant… enfin, je ne sais pas. Avant d’aller plus loin.
- Pas de problèmes. La rassura la Dj avec un petit sourire. J’ai un peu perdu le contrôle. Je n’aurai pas du te forcer, je veux dire, je ne devrai pas être aussi pressée quand je suis aussi perdue que toi.
- Oui, enfin… Ce qui est fait est fait, et maintenant je ne laisserai plus mes sentiments me déborder avant d’avoir compris ce qu’ils sont. »
Octavia hésita pendant le silence qui suivit, mais pensa que partir serait mieux que tout ce qu’elle pourrait faire. Vinyl se cria dessus intérieurement, refusant de laisser cet instant. Je ne peux pas la laisser partir ! Elle ne reviendra pas ! Aussi absurde que ça semble, ce fut cette pensée qui la poussa à parler. « Attend ! » La jument grise s’arrêta et tourna la tête nerveusement. Déglutissant, la DJ réalisa que la seule façon de ne pas bégayer comme une petite pouliche était de se laisser aller.
« Je-n’ai-pas-détesté-non-plus. Heu, le baiser. Je veux dire. C’était… ouais. »
La seule réponse qu’Octavia osa lui donner fut un petit sourire discret.
Lorsque la porte de referma, Vinyl se retrouva seule sans rien sauf une musique inachevée… et une violoncelliste sur les lèvres.
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Le réceptionniste sembla surpris malgré la présence des plusieurs autres élèves.
« Mademoiselle Octavia ? Que puis-je faire pour vous ? »
Faisant appel à son sourire le plus convainquant, elle s’avança vers le comptoir.
« Je me demandais si je pouvais prendre rendez-vous avec le psychologue s’il-vous-plait.
- Bien sûr ! »
Répondit le réceptionniste, avec un peu trop d’empressement pour qu’Octavia l’apprécie. La plupart du personnel se comportait étrangement avec elle, et elle commençait à soupçonner une intervention maternelle.
« Nous avons un système de rotation-
- Heu, désolée de vous interrompre, le plus tôt sera le mieux. »
Elle ne voulait pas avoir l’air désagréable mais la pensée de sa mère la pressait.
« Oh bien sûr ! Mes plus plates excuses, mademoiselle Octavia. Je vais l’appeler pour savoir s’il est libre. »
La licorne fit voler un téléphone à son oreille et composa le numéro. Une goutte de sueur lui coula le long de la nuque.
« Allo ? Oui, c’est la réception. J’ai Octavia qui se demande quand sera votre prochain créneau. Oh, maintenant ? Eh bien, quelle chance ! Je vous l’envoi de suite. »
Raccrochant, elle se retourna vers Octavia en lui adressant un sourire bien trop exagéré.
« Eh bien, quel hasard ! Montez les escaliers et tournez à droite. C’est la porte tout au fond.
- Merci ? »
Un peu perplexe mais tout de même très heureuse de la rapidité de la situation, la violoncelliste suivit les indications, tandis que tous les employés qu’elle croisait s’écartaient poliment de son chemin. C’était comme une blague que toute l’université avait compris, sauf elle, et c’était extrêmement frustrant.
Juste avant d’atteindre le bureau, un étalon en fut presque éjecté. Il faisait parti de la classe de dessin de Vinyl, mais semblait un peu plus perdu.
« Hey, je n’avais pas fini ! »
Dit-il avec colère. Après une réponse étouffée venant de la salle, il leva les yeux au ciel et partit.
Bien que pas totalement sûre de quoi penser de lui, la violoncelliste choisit de l’ignorer. Bien qu’elle réussit à ne pas chercher pourquoi il avait été jeté dehors ainsi, elle ne pouvait ignorer ses propres problèmes…surtout depuis que l’un d’entre eux vivait avec elle.
Oh Célestia, comment est-ce que je pourrai lui reparler après ça ?
Le bureau était petit, étroit, avec presque tout l’espace prit par un large bureau et des chaises de chaque coté. Le poney qui s’y trouvait avait la tête plongée dans un tiroir. Sa crinière frisée rouge remuait d’une manière familière, et lorsqu’il se redressa en posant un dossier sur le bureau, elle comprit pourquoi.
« Hey Octavia ! Rayonna Psych. « Prête à te sortir les problèmes de la tête ?
- Pas avec vous. » Elle se tourna pour partir.
- Hey, attend une seconde ! Je suis aussi qualifié que mes collègues. Dit-il défensivement.
- Oui, et vous avez aussi passé tout le semestre à me pousser à me battre avec une autre élève. »
Grimaçant, le professeur-psychologue se frotta la nuque, gêné.
« Vu sous cet angle j’ai l’air méchant, mais c’était surtout pour s’amuser ! Tu pouvais me dire d’arrêter à n’importe quel moment. En plus, vous avez arrêté vous-même il y a quelques semaines.
- Et même… Je ne pense pas pouvoir discuter de ce problème en particulier avec vous. »
Octavia se sentit coupable, qui était-elle pour être aussi pointilleuse avec les psys ?
Après un silence, Psych s’avança légèrement.
« Est-ce que ça implique Vinyl ? »
Elle hocha la tête. Tout implique Vinyl.
« Octavia… Il soupira. Ecoute, je peux t’aider avec tout ce qui t’embête, mais j’ai besoin de ta confiance. Je sais que je n’ai pas vraiment l’air particulièrement… professionnel en classe, mais je prends mon travail très au sérieux. »
La violoncelliste le regarda mais ne vit aucune moquerie. Pas un pli au coin de sa bouche, pas une étoile dans ses yeux.
« Ok… Dit-elle prudemment, fermant la porte et s’asseyant.
- Alors ? Il croisa les pattes. Que ce passe t'il ? »
Oh mince, elle devait lui dire.
« Je…pense que je devrai éclairer quelques points d’abord. »
La mascarade devait s’arrêter.
« Vinyl et moi sommes amies. Nous le sommes depuis le premier devoir que vous nous avez donné. »
Elle soupira et baissa les yeux.
« Vous aviez raison, nous avons beaucoup en commun. »
Comme aucune réponse ne vint, elle leva les yeux. Son expression n’avait pas changée et il n’avait pas l’air de vouloir profiter de l’information. Encouragée par son professionnalisme, elle continua.
« On…on est devenues très proches ces dernières semaines. Je ne sais pas ce que vous connaissez là-dessus mais je n’avais pas d’amis au lycée. Vinyl m'a tendu un sabot, et je l'ai saisi de toutes mes forces. J'ai cru que j'étais un peu trop possessive, mais récemment je me suis demandé si elle n'était pas aussi seule que moi. Peu importe, ça n'a plus d'importance maintenant. »
Elle prit une grande inspiration pour se calmer. Sans succès.
« Ce qui compte maintenant c'est que nous sommes devenues tellement proches que Vinyl a réussi à emménager avec moi. »
Octavia laissa passer un sourire.
« C'était génial. Je ne me suis jamais sentie aussi proche avec un poney qui ne fait pas parti de ma famille. Ou... Enfin non, je pense que je me sens plus proche d'elle qu'avec ma famille. »
Psych sourit à son tour, mais de compréhension et non pas de moquerie.
« Je suis content d'entendre ça. »
Le sourire d'Octavia disparut.
« Mais... Ça a changé. Je me sens toujours très proche d'elle, mais c'est... Je ne suis même plus sûre de ce que c'est. Je veux toujours passer autant de temps avec elle que possible, comme avant, mais maintenant je ne pense plus à me promener, regarder un film ensemble ou aller rire au Blues Tavern. Je me surprends à penser à... à la douceur de ses sabots et comment sa robe ressemble à du diamant... et... et... »
Elle se surprit en reniflant une larme. L'étalon lui tendit une boîte de mouchoir mais elle secoua la tête.
« Non, ça-va, je vais bien. Je ne devrai même pas pleurer, ce n'est pas triste.
- Les poneys ne pleurent pas seulement lorsqu'ils sont tristes. Ils peuvent pleurer de bonheur, de peur, et même d'amour. Ne te retient pas si tu ressens le besoin de pleurer. Les larmes peuvent aider plus que tu ne pourrais le penser. »
Sa voix était calme, gentille, son ton simplement compréhensif. C'était étrange venant de lui mais ça aidait tout de même.
Elle prit le mouchoir, reconnaissante.
« Merci. »
Après quelques secondes pour rassembler ses pensées, la violoncelliste reprit.
« Je... Je ne suis pas aussi naïve que les autres le pensent. Je sais ce que je ressens pour Vinyl, même si... Même si je ne suis pas prête à l'accepter. Le problème est que je n'ai jamais aimé quelqu'un de cette manière avant, encore moins une j-jument. »
Prenant un moment pour réfléchir à ses mots, Psych se repoussa dans son fauteuil.
« Découvrir sa sexualité n'est jamais quelque chose de très gai. Oh désolé pour le jeu de mot. » Il s'inclina légèrement mais la jument grise ne lui en tint pas rigueur. « Et ajouté au fait que Vinyl est ta première vraie amie, je peux à peine imaginer à quel point tu dois être perdue. Cependant, tu as réussi à parfaitement jouer le jeu en cours malgré ça. J'en déduis donc que quelque chose est arrivé, un événement particulier, qui te pousse à venir chercher de l'aide. »
Octavia hocha la tête, sans le regarder.
« Je... l'ai vue pour la première fois sans ses lunettes. Je ne me croyais pas capable d'être captivée à ce point, mais...
- Ah. A-t-elle remarqué que tu la regardais ? Ou as-tu...fait quelque chose ?
- J'ai fait quelque chose. Chuchota-t-elle.
- Que c'est t'il passé ? Demanda le professeur calmement.
- Je l'ai embrassée. »
Le dire à haute voix sembla consolider un million de pensées d'un coup. Elle avait embrassé Vinyl. Sur les lèvres. Son tout premier baiser avait été avec une jument, et pas juste ça, mais avec sa meilleure amie.
« Et... quelle a été sa réaction ? »
Octavia ne pût s'empêcher de rougir en se rappelant la soudaine, insistante pression sur ses lèvres, le goût de Vinyl et la chaleur de son souffle.
« Elle m'a embrassé à son tour.
- Eh bien, je suis peut-être un peu vieux jeu, mais ça semble être une bonne chose.
- Ça l'est... Et ça ne l'est pas. Il y a trop de choses en jeu ; ma mère, les autres élèves, mes études... Ça fait trop à gérer en même temps.
- Alors ne les gère pas. Suggéra-t-il simplement. Devant l'expression d'incompréhension d'Octavia, il expliqua.
- N'y réfléchi pas trop. Je sais d'expérience que tu en fais plus que ce que tes professeurs ne demandent. Ta mère est débordée par son travail, et même si elle découvre que tu as embrassé Vinyl, il lui faudra quelques jours pour mettre en ordre ses affaires pour pouvoir venir ici. Et pour les autres élèves, ils ont d'autres choses à faire, crois moi, j'ai parlé à une centaine d'entre eux.
- Qu'est-ce que je devrai faire alors ? Octavia jeta le mouchoir dans la petite poubelle et se redressa.
- Prendre quelques semaines de pause dans tes études. Deux, pour être précis.
- Mais les examens sont dans trois semaines ! S'exclama la violoncelliste.
- Oui, et tu es tellement ridiculement prête qu'ils vont te sembler aussi simple que du coloriage de maternelle. Crois-moi, ça ira. Va en cours et prend des notes, mais ne fait rien d'autre. Tu as des choses plus importantes à faire pour le moment. Le poney orange lui sourit, rappelant son comportement habituel.
- Je pense que vous êtes le premier professeur qui me conseille de ne pas travailler, mais très bien. Qu'est-ce que je dois faire à la place ?
- Parle à Vinyl. Dit lui ce que tu penses, je pense qu'elle t’aime pas mal. »
Bien que très excitée par cette idée, Octavia n'avait pas fini.
« Alors je suis supposée parler pendant deux semaines. »
Il agita son sabot.
« Allez dîner, voir des films, tout ça. Passe du temps avec elle et tes sentiments t'apparaîtront beaucoup plus clairs.
- Est-ce réellement aussi facile ? Demanda-t-elle avec espoir.
- Ça peut, si tu laisses faire. N'oublies pas, ne réfléchis pas trop. Ou 'pense pas, agit'. Laisse ta réponse naturelle devenir ta véritable réponse et tu trouveras la vérité. Il parut étonné. Hey, c'était pas mal. Tu peux me citer si tu veux. »
Ils rirent ensembles et la violoncelliste se sentit mieux à chaque éclat. Discuter simplement de ses problèmes, avoir quelqu'un avec qui les partager faisait toute la différence.
J'aime Vinyl, mais il y a- stop.
« J'aime Vinyl. Dit-elle en souriant.
- Peut-être que tu devrais lui dire ? Répondit Pysch avec un clin d'œil.
Je veux être avec elle, mais-stop
C'est une excellente idée ! »
Elle glissa de sa chaise et marcha vers la porte, s'arrêtant pour regarder par dessus son épaule. « Merci. » Il hocha légèrement la tête et lui fit un petit signe du sabot.
Lorsque les bruits de sabots disparurent, il ouvrit lentement le dossier. Sur le dessus des feuilles de trouvait une petite note jaune, qu'il avait déjà vu avant mais avait préféré ignorer.
Psych
Vous me ferez savoir si ma Octavia vient vous voir en tant que psychologue, n'est-ce pas ?
Cela serait tellement gentil de votre part.
-L.
Pendant un long moment il regarda ces mots, leur calligraphie parfaite lui rappelant la jument qui venait de sortir. Chaque courbe était mesurée, chaque mot possédait du poids derrière son apparence.
Puis, avec un geste naturel du sabot droit, la note fut envoyée en l'air, planant en spirale jusqu'à atterrir dans la corbeille.
« Oups. » Murmura-t-il, refermant le dossier une fois de plus.
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Bon... Écrire une réponse après 3 ans semble légèrement stupide je l'admet...
Mais je n'ai pu résister à l'ironie du fait que je suis actuellement en train de subir la même chose... Il va bientôt être 1h du matin, que j'ai les paupières lourdes et que demain j'ai cours...
Que tu lises ou non ce message, que tu y répondes ou non, je te dis à dans 3 ans ! :D
Du coup je continue et finirais surement demain/tout a l'heure :D
Bref, mon marathon continu donc et je dois dire que... Je sais plus quoi dire ! Ce mec n'est pas juste un écrivain de fanfic amateur, c'est un véritable artiste !
Sinon super chapitre et la traduction est bien. ^^