Premièrement, elle voulut aider les pégases. Ces derniers se plaignaient d'avoir beaucoup de travail avec la météo. Elle utilisa sa magie pour faire disparaître tout nuage du ciel durant une longue période, ainsi, les pégases n'eurent plus de travail, ou très peu, malgré le fait que le soleil tapait sur la ville tout au long de la journée.
Cela faisait une semaine que Kane était parti de chez lui, il avait réussi à survivre à la neige, la glace, aux terrifiants prédateurs qui chassaient sur les terres où il vivait : des bêtes sauvages, des groupes de prédateurs comme les belettes, les groupes sont à éviter lorsque vous êtes seul, car ces derniers n'auront aucun remord à vous dévorer si vous vous baladez trop près d'eux, la nourriture se fait rare, trop rare pour que cette dernière soit gaspillée. Néanmoins, Kane savait que ces groupes n'hésiteraient pas à le dévorer, la seul limite qu'ils connaissent, c'est le cannibalisme. L'unité est le fondement de chaque société, et si ils veulent survivre, ils doivent s'entraider. Hélas, Kane était seul, et il ne pouvait trouver personne pour l'aider dans son périple, les poneys étaient absents dans ce coin, et les seuls qu'il croisait étaient des ossements enfouis sous le sol, qui revenaient à la surface grâce au vent qui ôtait la poudreuse de leurs corps, souvent dévorés par des animaux sauvages. Depuis deux jours, Kane avait laisser tombé son lourd manteau pour le déchirer et en faire des foulards, car devant lui s'étendait un énorme désert. Il savait qu'en plein milieu de ce désert se trouvait Las Pegasus, une ville gigantesque qui contenait un tout de population : des riches, des pauvres, des poneys, des licornes, des pégases, des griffons, mais également des truands, des voleurs, des dealers, et tout autre sorte de brigands. Il devait passer par cette étape pour refaire le plein d'eau et de nourriture, même si cette étape était plus connue pour être un attrape couillon qu'autre chose. Ses provisions s'amenuisaient, et il n'aurait pas de quoi traverser le désert si il tombait à court de nourriture et d'eau. Néanmoins, cela faisait dix bonne minutes qu'il avait laissé tomber dans sa gorge les dernières gouttes d'eau. D'après ses calculs, il devait atteindre Las Pegasus le lendemain, mais il n'avait pas de quoi survivre jusque là. Il ne pouvait rien faire à part continuer d'avancer, garder espoir, l'espoir d'arriver à Las Pegasus avant de mourir de soif.
Apparemment, il n'était pas le seul à avoir tenté la traversée du désert : des dizaines de charognes s'étalaient autour de lui, certaines étaient vieilles, parfois, il n'en restait plus que les os, pour d'autre, les vautours avaient déjà fait leur affaire, mais avaient manqué d’appétit, des morceaux de chair calcinées traînaient partout, parfois accompagnés de quelque organes que les charognards avaient sortis de ces derniers. Une odeur de mort flottait sur cette partie du désert, l'odeur des cadavres en décomposition, bouffés aux mouches, parfois recouverts par une couche de sable plus ou moins fine. Mais dans ce spectacle macabre de cimetière désertique, quelque chose rassurait un petit peu Kane : tous ces cadavres avaient été dépouillés de leurs biens, il ne leur restait plus ni argent, ni arme, ni même vêtements quelconques. Les pillards étaient venus, et vu le nombre de cadavres, ils devaient venir fréquemment. Cela signifiait que la ville n'était pas loin, mais il avait toujours peur, peur de fermer les yeux pour ne pas réussir à les rouvrir, si bien qu'il limitait même ses clignements d’œil, qu'il refusait de s'asseoir pour se reposer quelque secondes, une seule obsession hantait son esprit : arriver vivant à Las Pegasus.
Mais la faim était présente, presque autant que la soif, et ses forces s'amenuisaient au fur et à mesure qu'il laissait des traces dans le sable chaud. Ses pas étaient lourds, et il venait à en avoir mal à chaque fois qu'il levait ses pattes. Sa vision était tantôt trouble, tantôt brouillée comme si il regardait à travers un nuage de gaz, et ses yeux avaient de plus en plus de mal à se rouvrir quand il clignait, si bien qu'il finit par trébucher.
Il s’affala dans le sable chaud qui lui brûla presque le ventre, il poussa un geignement qui relevait plus d'un souffle rauque et sec, sa gorge étant sèche comme le désert. Il se releva avec de grandes difficultés, sentant son corps proche de la fin. Il regarda vite la chose sur laquelle il avait trébuché : un cadavre. Un jeune cadavre, presque son âge, un jeune homme drapé de blanc, le visage couvert d'un voile qui avait pour but de le protéger du soleil. Ce dernier devait avoir succombé il y a quelque heures, il pressa son sabot sur le cou du poney, droit sur sa carotide. Sans surprises, son pouls était absent...mais le cadavre était encore en bon état. Il se jeta comme un fou sur le cadavre et palpa le corps à la recherche de la gourde d'eau du pauvre poney, mais cette dernière, bien évidement, était vide. Son compatriote aussi était mort de chaud, et il ne tarderait pas à le suivre si il ne se dépêchait pas. Il regarda un long moment le corps sans vie qui était devant lui, un cadavre... Un cadavre, c'est tout ce qu'ils sont dans ce désert. Tous des cadavres, ceux qui marchaient étaient condamnés à rejoindre ceux qui ne marchaient pas, et, au final, ils étaient tous destinés à être bouffés par les vautours... Pas si il faisait quelque chose, quelque chose qui le sauverait.
Il se mit à réfléchir, réfléchir très rapidement à une solution, il n'avait pas d'eau, pas de nourriture... rien... Une idée folle lui passa par la tête. Une idée qui n'était pas digne de lui, et qui le placerait au rang des animaux... mais il n'avait pas le choix. Premièrement, il se mit à réunir les dernières forces qu'il lui restait, et il déshabilla et pilla le cadavre récent du poney, il y trouva une simple dague, une bourse plus ou moins lourde de bits, la gourde vide et un sac qui devait servir de garde manger, vide lui aussi. Il mit tout cela sur le draps blanc, et récupéra la dague avant de se placer à coté du cadavre, respirant lourdement, la chaleur l'oppressant toujours.
Pendant que le soleil lui tapait sauvagement dans le dos, il leva la dague, des gouttes de sueur coulant le long de sa robe, et, d'un coup sec, il poignarda la pauvre chose qu'il avait trouvée morte dans le désert. Il se mit à la débiter comme il avait appris à le faire avec les animaux qu'il rapportait avec son père, il récupéra le plus de sang possible dans la gourde vide qu'il venait de récupérer, et lorsqu'il sentit que le liquide avait rempli un volume suffisant dans la gourde, il la porta à ses lèvres, assoiffé. Le liquide rouge était lourd, chaud, et son goût de fer faillit faire vomir Kane, mais il ne pouvait pas laisser passer cette seule et unique chance de boire, et durant des secondes qui lui parurent une éternité, il but le sang sans en laisser tomber une seule goutte.
Malgré le goût haineux et l'horreur dans son acte, il sentait déjà ses forces lui revenir peu à peu. Une fois qu'il eut « étanché » sa soif, il planta à nouveau la dague dans le corps du poney, et se mit à chercher un morceau de chair assez gros et consistant pour qu'il puisse se nourrir. Il finit par arracher un morceau de flanc au poney, et le découpa du mieux qu'il put malgré sa fatigue intense. Il le dévora, prenant la chair à pleine dent, recrachant les morceaux de cuir quand il en avait en bouche. Il se régalait de la viande de poney, cette dernière ayant un doux goût après qu'il ne se soit pas nourri depuis un nombre d'heures assez conséquent.
Lorsqu'il eut finit son macabre festin, il se releva, et se tourna immédiatement. Il refusait de regarder sa propre œuvre, il refusait de regarder en face le cadavre qu'il avait mutilé et dévorer. Il se contenta de la gourde qu'il venait de remplir de sang, il préférait oublier ce détail. Pour lui, la seule chose qui importait, c'était qu'il avait survécu. Il récupéra tout le matériel qu'il avait trouvé et partit sans rien dire, à la recherche de la ville qu'il était maintenant sûr de pouvoir atteindre.
Enfin, la grande ville se profila au loin, ses maisons en piteux état, dignes d'un bidonville, des déchets trônant en guise de montagnes, et des gens qui marchaient tels des zombies un peu partout, à la recherche de nourriture ou d'argent qui pourrait, par chance, se trouver dans ces amas de détritus. Kane pouvait voir d'ici des gamins qui jouaient dans la crasse avec une boite. En s'approchant, il vit le contenu de la dite boite : un rat vivant, qui paniquait et tentait de s'échapper, tentant de mordre les sabots des enfant à chaque fois que ces derniers les plaçaient à portée de ses crocs. Ce rat était sans doute destiné au dîner de ces pauvres familles qui vivaient dans la merde jusqu'au cou. Dans le temps, ces poneys devaient être des fermiers qui avaient connu la famine après que le cataclysme eut lieu, et n'avaient pas réussi à s'en sortir. Sans faire attention à eux, Kane traça son chemin, il balança sa gourde pleine de sang, personne ne devait savoir ce qui s'était passé dans le désert.
Il se contenta de poursuivre sa route, mais fut fortement étonné de se retrouver à un péage où l'attendait un garde de classe moyenne, simplement habillé d'un habit bleu qui, je l'espère pour lui, était épais, car si n'importe qui décidait de l'attaquer, il ne serait pas vraiment protégé. Mais ce garde lui même ne semblait pas très riche. Les années avaient gravé de longues cernes sous ses yeux, le pauvre pégase était vieux, et son visage maigre mais dur en disait déjà beaucoup sur ce qu'il avait vu. Il devait faire partie de ces personnes qui avaient connu la fin avant le commencement, qui avaient vu des familles déchirées, des vies s'éteindre et le monde partir en couille. Il ne semblait très enclin à la conversation, mais n'hésita aucunement à pointer une arme vers Kane lorsque celui-ci arriva.
-Bonjour mon cher monsieur. Vous voulez passer, je suppose.
-Exactement, et si j’étais vous, je baisserais mon arme.
Le coup de feu retentit, et la balle vola comme un éclair aux sabots de Kane, ce vieux savait viser, il connaissait son métier, et savait que tout pouvait être une menace dissimulée sous tout propos.
-10 bits le passage.
10 bits était une somme raisonnable,, même très raisonnable, mais aucun des poneys de cette ville déchetterie n'avait les moyens de se procurer assez d'argent. Cela était la technique des riches de cette ville, empêcher les pauvres de venir dans leur sphère. Et cela était compréhensible, en tant de crise comme celle-ci, c'est chacun pour soi. Kane connaissait plus que quiconque cette règle. Jamais il ne se permettrait de faire confiance à une personne qu'il ne connaissait pas. Il sortit doucement sa bourse et posa les 10 bits sur le comptoir du péage tandis que l'autre poney continuait de pointer Kane de son arme. Il ne relâchait pas son attention, il ne cillait pas, il restait impassible, connaissant sa place, et savait qu'elle était précieuse.
Il ouvrit une petite porte discrète destinée à faire passer les gens de l'autre coté de la barrière, et à ce moment là, Kane sentit tous les regards se poser sur lui, il n'osa pas détourner le regard il refusait de regarder tous ces pauvres poneys qui vivaient dans la merde, il n'osait pas affronter leurs regards qui le suppliaient de les emmener avec lui. Mais une fois qu'il eut passé cette petite porte, ces regards de pitié se transformèrent en regards de haine, d'envie, chaque personnes qui passait ici devenait la cible de la plus profonde des haines, et ça, personne n'y pourrait jamais rien, tant que ces différences de classes sociales existeraient.
Il entra finalement dans la ville, et cette dernière était totalement différente de la déchetterie qu'il venait de quitter, ce péage était la frontière entre deux mondes, dans cette ville, les gens se baladaient, ils étaient richement habillés, on voyait même des climatiseurs à l'intérieur de certains bâtiments, des poneys de la haute société, majoritairement des licornes, mangeaient, buvaient, riaient, alors que dehors les pauvres sans abris se battaient presque à mort pour avaler une charogne morte depuis des semaines, voire des mois. Ce spectacle dégoûta profondément Kane, il venait de passer d'un endroit où la mort était maîtresse, et là, une utopie désertique, un endroit extra. Et ce qui dégoûtait encore plus Kane était l'avarice de ces poneys, qui vivaient dans ces lieux riches. Ils avaient largement de quoi partager, mais ils préféraient léguer à leurs confrères leurs poubelles pour profiter d'une bonne vie. Des pourris, tous plus pourris les uns que les autres.
Il mit son dégoût de côté, il devait trouver de l'eau, il devait boire, rapidement, il devait faire partir le goût du sang dans sa bouche, ce goût le dégouttait au plus haut point. Il se dirigea vers une fontaine qui trônait en plein milieu de la ville. Une fontaine, ils se permettaient de gâcher de l'eau alors que d'autres crevaient de soir à l’extérieur. Il se pencha pour prendre une lampée du délicieux liquide qui lui coula dans la gorge avec un goût des plus sublimes, l'eau n'avait jamais eu un meilleur goût pour lui qui avait vécu sans manques trop importants.
Une chose le heurta de plein fouet, plein flanc, et une espèce de sacoche rafistolée plusieurs fois, contenant de la viande, le sang gicla dans la fontaine et sur la foule autour qui s'écarta avec des cris de dégoût. Kane baissa les yeux sur la petite boule de plume qui l'avait renversé : un griffon. Un petit griffon, d'une dizaine d'années à peine. La petite boule de plume avait un corps de lion bleuté, mais ce bleu était presque noir, noir de crasse, noir de saloperies presque collées sur lui. Il avait une espèce de harnais autour du torse qui écrasait ses plumes blanches et crasseuses, et à ce harnais était accroché un morceau de tissu provenant du sac qui venait de faire faire un vol plané, et la viande, elle, s'était étalée au sol. De petits morceaux de viande, qui auraient sans doute suffi à nourrir le petit, mais personne d'autre, à vrai dire, ces morceaux de viande n'étaient absolument rien comparé à ce qu'il voyait autour de lui. Deux gardes se pressèrent derrière lui, et attrapèrent l'enfant avec une violence qu'un si jeune griffon ne méritait sans doute pas, et ils le plaquèrent sur le bord de la fontaine. L'un des gardes plaqua le jeune griffon tandis que l'autre s'approcha de Kane, souriant, l'aidant à se relever.
-Nous vous remercions d'avoir arrêté ce voleur, il va recevoir sa punition.
Kane le regarda d'un air dubitatif, punition ? Il n'avait fait que voler un petit morceau de viande, ils devraient ramener le griffon chez ses parents, à la rigueur, une bonne fessée s'imposait, mais lorsqu'il vit le garde sortir un long sabre à la lame recourbée et au tranchant affûté, ainsi que le second garde qui s’attelait à mettre en évidence les pattes du griffon sur le marbre de la fontaine, l'empêchant de se dégager, il comprit vite qu'ils agissaient comme des barbares dans cette ville : les voleurs se faisaient couper les pattes. C'était ça dans les villes de ce genre, on refusait que les pauvres volent les riches qui n'avaient que trop de richesses, et pour remédier à cela, ils ne voyaient qu'un moyen : leur couper les pattes.
Sans réfléchir, Kane dégaina sa lame, plus vif que l'éclair, il trancha la gorge du garde qui s'apprêtait à abattre la grande lame sur les pattes du jeune griffon qui tremblait de terreur à l'idée de se faire ôter les membres dans une giclée de sang phénoménale, les spectateur observant la scène comme si le jeune enfant était un animal prêt, une corrida, des spectateurs cruels, chacun bourreau de la fragile créature qu'ils regardaient se faire exécuter sous leurs yeux, et lorsque le jeune griffon pleurerait ses membres tranchés, personne ne viendrait l'aider, ils le laisseraient baigner dans son propre sang, un acte digne des pires monstres de la société, et pourquoi ? Car il était différent, car ils n'appartenait pas au même monde qu'eux. Cela n'arriverait pas, jamais tant que Kane serait là, il ne pouvait pas les laisser faire.
La lame perça avec une facilité effrayante la boite crânienne de son adversaire, et la lame ressortit dans un bruit d'os brisés par le coté droit du poney, tandis qu'une matière rosâtre se balançait avec une petite cascade de liquide rouge. Les yeux du garde avaient roulé dans leur orbite et ses pattes s'étaient dérobées sous son corps, il n'était plus qu'un cadavre encore chaud pendant au bout d'une épée. Les murmures et les rires d'euphorie qui étaient courants lors des punitions de se genre se changèrent en un silence lourd et effrayé, comme si l'acte que venait de commettre Kane était le déclencheur du cataclysme, personne n'osait dire un mot, personne n'osait détourner le regard de la scène, même Kane refusait de dire quoi que ce soit, s'étonnant lui même d'avoir ôter aussi facilement la vie à une personne qui ne faisait rien d'autre que son métier, et que son sens du devoir avait pousser à la mort.
Son cerveau se mit à faire des dizaines de calculs sur l'issue que pourrait avoir un combat dans cet endroit, devant tout ces gens et, sans réfléchir, il retira l'épée du crâne du macchabée, et se jeta sur son adversaire suivant sans aucune pitié, ce dernier n'ayant pas encore réussi à assimiler la mort de son compagnon, mais il ne le tua pas, il lui mit un puissant coup de genoux dans l'abdomen, il sentit la cage thoracique du poney craquer sous ce coup, les os et le cartilage brisés.
-Dégage gamin !
Le jeune griffon ne se fit pas prier plus d'un millième de seconde et détala à travers la ville, la foule s'écarta sur son passage, comme si ce dernier était le sujet zéro d'une maladie mortelle et contagieuse. Kane, lui, essuya sa lame sur le voile blanc qu'il avait récupéré sur le cadavre du poney dans le désert. Il entendait déjà les gardes de toute la ville se ruer à travers la foule pour l'arrêter. Il n'avait pas fait ça pour le tuer, mais pour sauver l'enfant, et, sans aucun remord, il déposa lentement sa lame au sol, et mit genoux à terre pour se soumettre. Ce n'est pas ce qui empêcha les gardes de le plaquer violemment au sol, et dans la « confusion » de son arrestation, quelque coups « s’égarèrent » sur le pauvre Kane.
-Les pégases : Race de poneys volants aux capacités physique développées, pour la plupart, leur corps est à la fois musclé et élancé. La plupart sont des gardes d'élite des grandes citées restantes telles que Las Pegasus ou Canterlot, aux cotés de gardes terrestres. Néanmoins, leurs ailes ont beau être puissantes, elles demeurent leur point faible à cause de leur fragilité.
-Les griffons : Les griffons sont une race dite violente et puissante, un corps de lion, une tête d'aigle, et pour certaines races de souche, des oreilles de cheval. Les griffons sont les fondateur du groupe résistant du bidonville de Las Pegasus, agissant dans le but de renverser la barrière les séparant de la ville. Ils sont de très bon guerriers néanmoins dénuées de sens tactique.
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Pour le coup de la logique, c'est vrai que ça n'a rien de logique, mais je pense que moi même, en vivant ce genre de situation, j'aurait tuer. C'est plus une réaction sur l'instant qu'un acte réfléchis.
Attention aux répétitions, surtout 'viande' et 'chair', qui reviennent presque à chaque phrase dans certains paragraphes.
Et tant qu'on est dans ce registre, dans la réalité boire du sang ne ferait que te déshydrater encore plus. Si c'est une question de survie, mieux vaut encore boire son urine.
Très bien écrit, les bonnes réactions pour survivre avec de la justice qui coule dans les veines, ça s'annonce vraiment bien !
Continue ^^