Site archivé par Silou. Le site officiel ayant disparu, toutes les fonctionnalités de recherche et de compte également. Ce site est une copie en lecture seule

De l'art de la Critique et de l'Ecriture
26 mai 2015

Mes petits gars,

Trop souvent je vois (et pas forcément par ici) des avis positifs. Pas que ce soit mal, mais il y en a vraiment TROP, y compris concernant des choses qui sont éminemment de piètre qualité et ne méritent donc pas ces éloges.

Je suis donc venu vous apprendre la Critique avec un grand C.

La critique est un art qui meurt, comme j'ai pu m'en rendre compte. La plupart des gens ne voient que le bien ou que le mal dans quelque chose, plutôt que de l'apprécier comme un tout. Exemple : beaucoup de gens ont apprécié la saison 4 de MLP, qui était une véritable daube inqualifiable. D'autres vont détester certains trucs pour aucune raison: ma relation avec les Batponies.

Mais non, la vie ne marche pas comme ça. On peut aimer ou pas, c'est subjectif, mais si on poste un avis, à moins de dire explicitement "j'aime" ou "je n'aime pas", on se doit d'être clair et précis. On se doit également d'avoir du goût, ce qui n'est malheureusement pas le cas de tout le monde, parce que pour être objectif, il faut reconnaître le bon et le mauvais.

Et du coup, je vais vous apprendre ce qu'est le bon, et surtout le mauvais, dans ce domaine magnifique qu'est la littérature, même si ça peut être extrapolé à l'art en général, que ce soit simplement du pictural ou quelque chose de plus évolué comme le cinéma ou, pour les plus balaises d'entre vous, la musique, extrêmement difficile à critiquer en dehors des paroles.

Notez que ça vaut aussi bien pour savoir écrire de bonnes choses. tâchez de vous mettre des deux côtés du tableau!

Vous êtes prêts? Lançons-nous!

 

Comment reconnaît-on le Bon?

En général c'est simple. C'est quelque chose avec lequel on a aimé perdre son temps. Maintenant attention, il y a aimer perdre son temps et se dire que "bon, ce n'était pas si mal", autrement dit, s'en foutre. Si à la fin de votre expérience vous vous dites que ça allait, c'est que soit il y avait à la fois du bon et du mauvais, soit c'était intégralement vide. Le meilleur exemple que j'aie de ça est le dernier Pixar pour ceux qui l'ont vu : "Les Nouveaux Héros". Il était bien, mais je ne me rappelle de quasiment rien, et je n'en ai jamais reparlé en sortant de la salle de cinéma. Pas de problème majeur, mais rien d'exceptionnel. "Ca allait".

Ce qui est bon va généralement vous donner l'envie d'en parler. Vous direz à votre entourage "hey, regarde ça!". 

Il y a plein de façons d'être bon, et tout autant d'être mauvais. Mais le bon, ça se reconnaît à ça:

- L'objectif : que ce soit de vous faire peur, rire, pleurer ou simplement de vous troubler, une bonne oeuvre d'art va toujours parvenir à vous faire ressentir quelque chose. Cela dit, c'est typiquement là qu'on retrouve le "tellement mauvais que c'en devient bon", quelque chose dont l'objectif primaire est tellement raté qu'il en remplit un second (en général,ce second objectif improvisé et de faire rire ou de terrifier), et cette catégorie ne figure pas dans le bon. Une bonne oeuvre d'art se doit d'être efficace. Donc quand vous lisez une slash-fic pour ceux que ça intéresse, il faut, dépendant de l'atmosphère, soit qu'elle vous fasse peur, soit qu'elle vous dégoûte, soit les deux. (Avis personnel : les slash-fics sont intrinsèquement mauvaises, parce que trop facile à écrire. On aligne les descriptions de boyaux et la torture inutile et hop, on a une slash-fic).

Ce premier point est le plus important, et tout le reste va graviter autour de cela. Que ce soit le design d'un personnage, auquel je reviens dans un instant, la description d'une scène, un titre de chapitre... Ca marche pour tout. Il faut toujours que vous ressentiez ce que l'histoire est supposée vous faire ressentir. Mot-Clé : Efficacité.

- Le concept : un bon concept est beaucoup plus difficile à saisir, notamment concernant un personnage. Pour moi, un bon personnage est un personnage auquel on peut s'identifier et qu'on peut comprendre, ou au contraire qui nous dépasse totalement. Dans le premier cas, typiquement, il faut éviter à tout prix de s'inspirer d'un manga/anime ou je ne sais quelle autre ânerie. Je m'explique:

  • Le personnage doit être spécial, au même titre que tous les autres. Les élus, les enfants de dieux, les mystérieux solitaires, tout ça, c'est cliché d'une part, mais ça appelle surtout à des personnages très vides. Au final, ils vont se lancer dans une aventure pour des raisons atrocement vues et revues et qui ne renseignent en rien sur le personnage : trouver ses origines (oui je l'ai fait, mais je vais y revenir aussi), détruire le mal ou que sais-je. C'est un sentier glissant, le cliché, et il faut être sacrément bon pour s'en sortir. Concrètement, un bon personnage va avoir une personnalité complexe, et vous allez pouvoir vous identifier à lui un minimum. Vous allez comprendre ses choix. On peut aimer un personnage parce qu'il est drôle ou simplement badass, mais il faut toujours regarder ce qu'il y a derrière. S'il n'y a rien et que le personnage est récurrent, l'auteur s'est planté quelque part. Prenez Pinkie dans les saisons 3 et 4, absolument insupportable, toujours en train de brailler et bonne seulement à faire n'importe quoi. Aucun intérêt. Mot-Clé : Profondeur.
  • Dans le cas d'un personnage qui nous dépasse, typiquement un dieu ou un être à la logique anormale (Discord pourrait correspondre à cette description), l'incompréhension et l'impossibilité de s'identifier au personnage peut être excusable. Mais faites toujours attention au trait principal du personnage, et vérifiez s'il n'y a rien d'autre. Un méchant juste méchant ne vaut rien, à moins de l'être à fond. Maléfique la sorcière est un exemple de ce cas : elle respire le mal, sa simple existence est une offense à tout ce qui est bon, parce que rappelons qu'elle décide de tuer des gens juste parce qu'elle a été un poil contrariée, et de le faire de manière spectaculaire. Joffrey Baratheon est dans le même genre, un petit salopard qui préfère défouler sa violence interne sur le premier être qui lui tombe entre les mains plutôt que de réfléchir plus de cinq secondes. Il ne suffit pas d'exécuter un sbire pour une raison triviale pour faire un bon méchant : il faut qu'il le fasse à fond, qu'il adore ce qu'il fait. Un méchant passionné est toujours plus intéressant qu'un méchant plus moyen. Même chose dans le cas d'un gentil/méchant, dont la limite serait brouillée : il s'agit ici de représenter à fond le fait que l'individu fasse le mal non par choix, mais par ce qu'il croit être le devoir. Il faut aller à fond dans le tiraillement intérieur, les regrets du personnage et autres. Bref : je n'ai exploité que l'aspect du méchant, mais ça vaut pour tout. Si on ne peut pas comprendre, autant apprécier le spectacle. Un personnage mémorable est un personnage qui y va à fond. Mot-clé: A donf'.
  • Dans le cas d'autre chose, comme d'une race particulière ou d'un lieu ou de quoi que ce soit d'autre, il faut cette fois que ce soit cohérent : encore une fois, pas d'overpower, pas de races quasiment éteintes à la technologie supérieure, ou alors mis à l'équilibre par un défaut monumental. Exemple : les Prêtres-Mages Slanns de Warhammer. Chacun est capable d'ériger des montagnes ou de balayer un continent entier sous l'eau par un simple geste de la main, mais en contrepartie leur esprit est constamment accaparé par des contemplations astrales que nul ne peut appréhender, et ils peuvent passer des millénaires dans cet état second, devenant aussi vulnérables que des bébés endormis. Ils ont 90% de chances de ne pas survivre à un combat. Le mot-clé: Equilibre.

- L'originalité: ne vous laissez jamais avoir par cette saleté. L'originalité est un critère idiot qui n'a été inventé que pour justifier la stupidité de certains critiques et repris par certains auteurs encore plus stupides. Être original signifie rarement être bon, et bien que l'inverse soit faux, ce n'est pas parce qu'on répète quelque chose qui a déjà été fait que c'en est moins bon. Un jeune homme qui rencontre un vieux maître et qui part sauver le monde, ça a beau être un scénario atrocement cliché, Le Septième Fils a bien négocié la chose je trouve. Même si le film reste globalement mauvais, je suis carrément convaincu par les personnages. En fait, on sent qu'ils veulent se développer, mais que le directeur du film ne les laisse pas faire. Mais parfois, il lâche un peu la bride, et le film devient tout de suite plus sympathique, et, au final, je suis content de l'avoir vu. 

D'un autre côté, un truc que j'ai jamais vu comme cet animé dont j'ignore le nom mais où les canettes de soda deviennent des gonzesses à forte poitrince, c'est sûr que c'est original, mais je vais passer mon tour.

Ne vous laissez pas avoir par l'originalité : une bonne histoire est certes conduite par un bon scénario, mais la plupart du temps, dans les bonnes histoires, ce sont les personnages qui conduisent le scénario. Bons personnages = bonne histoire, c'est aussi simple que ça. L'originalité du scénario vient en général avec, et ne se pose donc pas en tant que contrainte.

PAR CONTRE, là où il faut être original, c'est dans les concepts. Repiquer un concept qui existe du domaine public, bon, ça passe. Ca montre que l'auteur manque d'idées et qu'il y a peu de chances que son scénar tienne la route, parce qu'il ne saura pas s'écarter suffisamment des clichés et autres lieux communs. Si les persos sont des copies conformes d'autres personnages existant ou alors des adaptations, il y a de fortes chances pour que ce soient des copies ratées. Si un scénario manque d'originalité, laissez passer. Si vous sentez que vous avez déjà vu un personnage quelque part, faites-le savoir, et si le personnage est en plus mauvais, n'hésitez pas à le faire savoir aussi.

- Repérez les grosses ficelles : J'ai moi-même pas mal souffert de ça, étant donné que je suis un amateur dans l'écriture, mais on retrouve souvent ces tendons de cachalot qui servent à conduire une histoire quand les personnages l'emmènent dans la mauvaise direction. Les Deus Ex Machina et autres phénomènes qui surviennent à l'improviste et ne sont pas annoncés sont l'expressions directe des grosses ficelles. Apprenez à les reconnaître, et vérifiez leur fréquence. Plus il y en a, plus les personnages sont faibles et le scénario mal conduit, et donc mauvais. Mot-Clé : Vraisemblance.

Le style : Un bon style se reconnaît tout de suite : fluide, sans fautes d'orthographe parasites, pas trop lourd mais précis, c'est ce qui va faire la qualité d'un auteur. Tout le monde peut le reconnaître, je ne vais donc pas y passer trop de temps. Pensez juste à TOUJOURS indiquer à l'auteur comment améliorer son style, c'est super sympa pour lui.

La réalisation : les fins de chapitre, les introductions, les descriptions... Tout ça, je le place dans la réalisation. On retombe sur le premier point : si c'est bien fait, vous allez ressentir quelque chose. Un bon cliffhanger vous tiendra en haleine, mais un mauvais vous fera deviner la fin. Une description trop courte ou trop longue perd son effet, il faut toujours garder une part pour l'imagination du lecteur. Ce sont de petites choses, mais elles sont importantes, et font la différence entre les bonnes fics et les excellents fics.

 

Bon, je crois avoir tout couvert. Si vous voyez quoi que ce soit qui manque, faites-le moi savoir!

Enfin, même si sur la fin, ça tire plus sur le tuto d'écriture, comme je le disais au début, mettez-vous des deux côtés du tableau. Tâchez d'éduquer votre intellect littéraire, vérifiez si ce que vous lisez/regardez est bon, et formez votre goût. Pourquoi? Parce qu'on a trop tendance, de nos jours, à laisser sa chance à chacun. C'est une horrible idée de laisser quelqu'un croire qu'il peut faire quelque chose alors qu'en réalité, il n'y parviendra jamais tout seul. Ca peut paraître dur de dire à quelqu'un, surtout s'il est de bonne volonté, que ce qu'il fait est mauvais. Mais de là ne peut ressortir que du bien, surtout si vous le lui dites de manière cohérente et construite. 

Si quelqu'un subit une critique, il n'y a que deux réactions logiques : il  persévère et s'entraîne pour devenir meilleur, encore et encore, ou il arrête et consacre son temps à quelque chose qui lui sera plus utile. Il y en aura toujours pour s'acharner, penser qu'ils sont bons de toute façon et que ce sont les autres qui ont tort, mais ceux là sont des idiots et méritent le ravin qui les attend au bout du chemin.

Croyez-moi, la critique permet de grandir à chacun d'entre nous. J'ai eu la chance d'écrire ma première grosse fic, Discors Consentus, avec des critiques assez durs et pointilleux, et le résultat fait que j'ai eu pendant un temps une certaine popularité, Bro-Nie pourra en témoigner. Et c'est à la portée de chacun, alors soyez cools, faites pas les cons, et aidez les gens de la bonne manière.

Etant donné que cet article ne serait pas un bon tuto sur la critique sans une bonne critique pour montrer l'exemple, je vous offre la critique même de ce que vous venez de lire, par Plénitude, que je remercie chaleureusement pour sa contribution!

"L'article en soi n'est pas mauvais car on sent que l'intention est là, il se place dans un contexte de critique d'une attitude générale qui est au choix l'hypocrisie de groupe ou bien l'incapacité des gens à juger d'une oeuvre et la critiquer avec efficacité, précision et justesse et je vais partir sur ce dernier point. Noch fait ici une erreur qui est sans doute involontaire mais il y a dès le début une confrontation forte entre le ton employé (qui est sec et professoral) et l'intention très louable de rendre service aux lecteurs et aux auteurs en ajoutant une part de réflexion dans la critique afin de rendre service à l'un comme l'autre. Et c'est là le soucis, un ton professoral fait se braquer le lecteur car on se place en supérieur en pensant pouvoir expliquer ce qu'il ne voit pas voire ne peut pas voir, ce qui rend l'article malheureusement très sujet à l'analyse détaillée car "si tu te prétends professeur, tu as intérêt à ne pas te tromper, ou je te tombe sur la gueule."

De plus, il y a une légère décrédibilisation au départ, notamment à cause de phrase maladroite du style : "La critique est un art qui meurt, comme j'ai pu m'en rendre compte. La plupart des gens ne voient que le bien ou que le mal dans quelque chose, plutôt que de l'apprécier comme un tout. Exemple : beaucoup de gens ont apprécié la saison 3 de MLP, qui était une véritable daube inqualifiable."

Critique de la critique "blanche ou noire" et derrière on enchaîne avec un exemple qui agit en contre-exemple car il dit fondamentalement "Beaucoup de gens ont vu la S3 comme blanche alors qu'elle était noire." L'avis de chacun diffère et je vais vite expliquer pourquoi plus tard.

Ensuite, cet article est (et cela a sans doute déjà été dit) beaucoup trop vague dans les termes qu'il emploie et malheureusement seusl ceux qui ont une connaissance plus ou moins acquise de la littérature soit par étude soit par lecture assidue pourront comprendre le sens induit derrière les mots de Noch. Par son aspect général, ce qui manque dans cet article c'est aussi la notion de perspective. On peut critiquer selon des notions fixes et définies mais ce qui fera que l'on considérera une oeuvre comme bonne ou mauvaise dépendra de la perspective de chacun.

Par exemple, les classiques de la littérature française ont un style qui est très... particulier dirons-nous, auquel j'ai énormément de mal à m'accrocher et dont la lecture m'est pénible. Dois-je pourtant considérer l'oeuvre comme "mauvaise" sur un critère général ? Bien sûr que non mais je peux considérer Germinal comme mauvais si de mon point de vue, sa lecture ne m'a pas touché. Ce qui manque finalement dans la critique d'aujourd'hui, ce n'est pas vraiment la capacité à séparer le bon grain de l'ivraie ou de faire dans l'analyse-critique poussée et détaillée. Ce qui manque aujourd'hui, c'est l'investissement dans un commentaire, dans une critique.

Toutes les critiques sont bonnes à prendre mais comment reconnaître ceux qui sont pertinents ou non ? Ceux qui pensent savoir ce qu'ils disent en étant précis ou bien ceux qui parleront sans terme alambiqué pour exprimer leur ressenti (ce qui est stimulant certes mais pas forcément... informatif.) Les gens pensent à tort qu'une simple ligne d'encouragement est suffisante et d'autres par manque d'intérêt ou d'envie ne passe pas à l'élaboration critique ou même au commentaire.

L'article passe trop de temps et de façon vague à expliquer des choses qui nécessiterait finalement un article bien plus long. Cependant, la démarche est honnête, un peu vague mais suffisamment détaillé pour donner les grandes lignes aux débutants.

Finalement, le meilleur moyen d'avoir des retours sur une oeuvre, c'est encore d'aller au devant de son lectorat pour lui en demander. D'interagir. Si l'audience n'est pas trop apathique, cela devrait marcher. L'important c'est que l'auteur sache ce sur quoi il doit s'interroger donc passer aux cribles ses textes en demandant à son public ou même à des amis peut aider à faire dans la critique un peu développée.

Enfin, je m'égare.

Plénitude logging out."

Voilà qui vous aidera à mieux comprendre un texte (notamment celui que vous venez de lire) et à en apprécier la qualité. Encore merci à Plénitude, qui complète merveilleusement mon analyse en en exposant les travers et en y ajoutant du sens.

C'était Nochixtlan qui vous a gonflé pendant 24 minutes, bonne soirée, et à la prochaine!

 EDIT : J'ai beaucoup craché sur la saison 3 dans cet article, mais en réalité c'était la saison 4 que je visais. Rendez-vous compte, je l'ai tellement détesté que j'ai oublié son existence.

Je ne change rien d'autre dans l'article, parce que je tiens à ce que mes propres incohérences demeurent pour faire ressortir la qualité de la critique de Plénitude, ce qui, je crois, conserve la pertinence de l'article.

Lire et commenter l'article complet

Décès total, résurrection et turlupinages
22 mai 2015

Ce titre n'a absolument aucun sens.

 

Bonjour à tous, s'il y a des gens qui lisent les âneries que j'ai écrit, et bonjour aux autres qui ne lisent pas mais qui sont là quand même, pour une raison qui m'échappe.

Je suis là pour dire que malgré un décès prolongé (comme la plupart des morts, n'est-ce pas), j'ai depuis quelques temps, et notamment avec la reprise de la saison 5 qui a sauvé les petits poneys pour moi, une forte démangeaison dans les doigts pour écrire.

J'ai un truc qui se précise. Je pense pas en faire une fic complète, un gros truc avec de l'épique et tout, mais j'ai un univers qui se construit, j'ai un paquet de personnages beaucoup trop gros pour qu'on passe à côté, j'en créé toujours plus de tous les côtés, BREF ça me passionne. Il y a des tas de choses que je n'ai pas encore exploitées, des tas de persos qui ne demandent qu'à avoir une voix, et bien que j'ai dit que je serais incapable de faire une fic complète, j'ai des bouts de scénario en tête et je ne sais pas comment les assembler.

 

Tout ça pour dire que, braves gens, il se peut que dans une poussée d'inspiration, je publie quelques petites choses dans les prochains mois. Pour l'instant j'ai surtout des one-shots de world-building aussi, des batailles, des évènements traumatisants... Bref, y a du matériel, pour ceux qui aiment mon style et surtout mes idées.

Stay tuned, ça peut vous tomber dessus n'importe quand, mais probablement pas avant trois semaines.

Lire et commenter l'article complet

À propos

Salut à toi, explorateur! Moi, c'est Nochixtlan,artiste, anciennement auteur, et sagouin notoire. Lis Ragnarök. Je te lèche la joue.

3 fictions publiées
34 chapitres publiés
107 commentaires publiés
21 notes données
2 articles

En savoir plus...

Abonnés (20)

LordSolumir Ponycroc Moonrise Aladriel hamost ironponymaiden AxHell Serbhka
Voir tous les abonnés

Nouveau message privé