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Techniquement, c'est au relecteur d'avoir à subir les remaniements d'un texte, pas au lectorat final.
Même avec les modifications, ça reste tout aussi...bon, pour parler plus clairement, c'est pas parce que tu remplaces un chien sauvage par un chien dressé derrière un volant, que tu vas empêcher la bagnole de finir dans un fossé.
On reprend à la base, potasse ça : [lien]
et après on en reparle.
Ce qui pardonne tout, fait gaffe aux répétitions et au self-insert, le self-insert = Dieu omnipotent du monde choisis par les déesses de l'univers multiple gamma.
Perso. random créé sur un coup de tête = Perso normal, basique, et là, l'histoire et NORMALE, car du self-insert, ça sera un moment ou à un autre, du Gary Stu.
Et le perso normal random, tu pourra le détester et tu pourrais lui mettre une histoire en mode osef il va crever lel.
Oh wait...
-Merci pareillement. Je ne pense pas que cette phrase existe dans l'univers ou nous vivons.
Doooonc. On a du self-insert (yeurk). Une histoire qui tourne autour du catch. (moui). Et la Princesse Luna (bon ça, encore ça peut aller).
Enfin, "princesse", je m'avance, elle est même pas noble ici. C'est juste une catcheuse. Du coup, intérêt de faire de Luna la protagoniste de l'histoire ? Proche de 0, ouaip.
Leçon de base de l'humanification : humaniser des poneys, c'est bien. Le faire avec sens, c'est mieux. Par exemple, Celestia & Luna dans Equestria Girls dirigent l'école parce que...oui, parce qu'elles dirigent Equestria dans la série mère, bravo, voilà un cactus ! Tu peux l'imprimer et le mettre en terre dès maintenant !
Donc faire de Lulu une catcheuse becauz'...mouais non.
Enchaînons. On a des facteurs un peu cons qui savent pas qui écrit les lettres (la scène se répète quand même deux fois, alors qu'il suffit de lire l'adresse de l'expéditeur. La privatisation de la Poste a fait mal) mais un Raptor qui ne l'est pas moins, puisque il demande qui lui a donc écrit...sachant que deux lignes plus loin, il attendait la réponse de Luna. Enchaînement logique quand tu nous tiens.
Passons sur le maître qui se fait renier par ses élèves (ben oui, les hommes entraînent des hommes, et les femmes des femmes. Sinon après on attrape la théorie du genre.) pour découvrir ERMERGHED que le mystérieux intrus de la salle de catch est Luna. Luna qui était attendue.
Oh question au déboté. S'ils ont le téléphone (cf l'appel d'Applebloom), il n'aurait pas été plus simple à Lulu d'appeler, plutôt que de passer par la Mog-Poste ?
Bagarre. Révélation. Amour.
Mouais. Ca tombe un peu comme un bol de soupe sur un poil cette histoire. On connait absolument pas leur passé nous, hormis qu'ils furent partenaires. Donc cette idée d'amour partagé/réprimé, en plus d'être un classique à faire pâmer Chopin, elle est sacrément maladroite.
Je note par contre que Raptor est un homme prévoyant. Que de pétales de roses, Aphrodite du Poisson aurait pas fait mieux !
En revanche, lui & Luna perdent leurs vêtements drôlement vite. On le voit même pas marqué. Mais je suppose que dans le milieu du catch, quand on ne porte qu'un slip, ça s'enlève vite.
Une faciale et une sodomie, car après tout, on est entre amis, et une belle histoire d'amour qui se termine autour d'un poulet. Swag.
C'est...assez consternant, pour redevenir sérieux. Je ne vois rien à sauver ici, ni dans le fond, que j'ai assez critiqué, ni dans la forme, très maladroite, bourrée de fautes. Mais au moins, on a eu Luna en catcheuse. Tout le monde ne peut pas en dire autant.