Usui
Juste quelqu'un qui apprécie ne pas se cantonner à un même style, même si on en revient presque systématiquement à des textes plus sombres que le show =)
Sur les Vagues a été lue par environ 382 lecteurs depuis sa publication le 22 avril 2014. Ses chapitres ont accumulé 6 lectures cette semaine. La fiction possède 12 144 mots.
Celle-ci a reçu un total de douze votes et dix commentaires. Quatre utilisateurs ont ajouté la fiction à leurs coups de cœur.
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En effet, je tenais à ce que les lecteurs réfléchissent un peu, mais c'était aussi une forme de protection relative au cas où le show décide un jour de les faire sortir du placard. Pas que je déteste être contredit, mais j'essaye d'être raccord le plus possible avec, au pire des cas, une excuse "dimension parallèle", comme dans Pony's Corpse Party ^^ . Au final, c'est autant pour rester dans l'aspect non-dit d'une légende que pour que cet OS puisse tenir assez longtemps au cas où les sea ponies débarqueraient. Ce qui serait très intéressant en tout cas =)
Quant à de prochains écrits, j'en ai un autre sur les rails, dont j'ai posé les bases en même temps que cet OS. Cette fois, il s'agira d'une plus longue fic, dans un genre que je n'ai pas encore abordé (j'aime varier les plaisirs), et c'est justement pour ça que je vais quand même prendre mon temps. Mais grosso modo, il s'agira d'une fic policière en partie intéractive, dans la mesure où vous serez grandement invités à soumettre vos théories qui se retrouveront dans la fic en elle-même, mais également d'une fiction où l'aléatoire jouera une part très importante, ce qui rend l'exercice très difficile pour moi, car le challenge consistera à tisser une intrigue cohérente malgré cette contrainte. Bon, j'ai posé des règles basées sur celles qui codifient le genre, mais j'ai dû en inventer de nouvelles pour que ça puisse s'appliquer à MLP et au jeu auquel j'ai l'intention de vous convier. Bref, c'est un sacré casse-tête, d'autant plus en considérant le fait que je tiens à ce que vous le solviez sans pour autant que ce soit un jeu d'enfant. Aussi, je préfère prendre mon temps et nul doute que je me servirais de la fonction de blogs pour poster une annonce (et un sondage sur la forme que prendra votre intervention), mais ça attendra que le prologue et le premier chapitre soient déjà fortement avancés ^^
Je me répète, mais merci encore pour cet éloge, je n'en demandais pas tant =)
Et que dis-je ! Ce texte est sans doute l'un des meilleurs que j'ai pu lire cet année, ça me manquait ! La raison est simple : c'est vachement bien écris, on a le droit à une intro qui en dit long sur ce que l'on va dire (et qui donne très envie), puis... À un canon forgé dans du diamant. Des histoires sur les seapony c'est quasiment inexistant, et ici même si ce n'est pas pleinement découvert parce que l'on voit notre jument poisson qu'à la surface, ça nous en dit long sur cet 4 eme race. J'ai été attrapé par l'histoire en elle même, impossible de s'en détacher jusqu'à la finir. Le scénario est si bien construit que l'on en veut encore... Et pas plus.
Ce que je veux dire par là, ce mystère qui reste à la fin est ici pour nous faire réfléchir, le contact qu'il eu avec Daulphin a été si intense que cela ne sert à rien d'en avoir plus, ça gâcherait tout. Rien de tel pour créer et bien mette en forme une légende.
Chose aussi, j'avais pas lut quelque chose de si bon que j'ose rien remettre en cause, pas pour le moment en tout cas, parce que c'est à chaud, que j'ai pas encore retourner l'histoire en 4 dans ma tête et surtout, pour vraiment laisser une belle impression sur ce texte qui mérite d'être mis en avant, avec dans l'espoir d'en revoir d'autre de toi :)
Je note pour la prochaine fois que je romps avec quelqu'un, envoyer son bras par la poste, ça a l'air d'être cool.
Ouch, ça c'est de la critique bien mastoc comme il faut, t'as même battu Bro en termes de longueur ^^. Bon, je ne sais pas pourquoi il y a ici une fixette sur les pirates, j'ai beau les apprécier également (un de mes jeux favoris fait incarner des pirates du ciel), je pense que si j'avais décidé d'en intégrer, ça aurait été trop XD. Puis, il me semble que l'un des comics MLP s'en est déjà chargé =).
On va reprendre les points que tu soulèves, et il y en a pas mal. Pour la date du bannissement, il me semble ne l'avoir inséré que dans la narration, et c'était vraiment pour avoir une période crédible d'un point de vue technologique, vu que mon premier jet se déroulant à l'époque du show s'est vu refuser son existence par l'épisode 8 de la saison 4.
Ta remarque sur le fait de laisser Sea Weeds rencontrer lui-même le peuple Hoowaïen pour expliquer son histoire est judicieuse, dans le sens où ça aurait sans aucun doute moins précipité le dénouement. Après, j'avais vraiment envie d'aborder assez longuement l'histoire maritime et de soulever le problème linguistique qui est la plus grosse clef pour comprendre mon interprétation des sea ponies et qui constituait selon moi l'introduction à leur arrivée aux 2/3 du récit, sans compter la figure de proue du navire. Par ailleurs, je ne voulais pas abuser sur les sea ponies, dans la mesure où je voulais conserver une tonalité un peu fantastique. Après tout, Sea Weeds est le seul à l'avoir vu et aurait très bien pu délirer en permanence dans sa dérive et ne devoir sa survie qu'à une chance éhontée... un peu gros comme explication, mais ça rendrait la fin plus amère encore que mon explication "officielle".
Sans la balancer, car je considère qu'un conte doit laisser une part assez importante à l'imagination, ma "théorie" sur les liens Hoowaïens/Sea ponies rend la fin effectivement assez triste, puisque le couple ne se verrait grosso modo qu'un an ou deux (soit la différence d'âge) au maximum avant d'être séparé à nouveau pour une période comme celle que j'ai divulgué en fin de récit.
Pour le crin, je n'y avais absolument pas pensé à vrai dire. Mais je ne pense pas que ça aurait suffi, des poils de cette couleur là, il doit sans doute y en avoir un paquet. Que la jambe avant dans son intégralité, il y a déjà plus de différences dans la forme à mon avis. Et je rappelle que le premier contact entre Sweet et Sea Weeds, c'est justement ce sabot, ce qui le rend d'autant plus marquant en toute logique pour une jument aussi amoureuse. =)
Quant à la remarque sur la masse de contenu, tu rejoins BroNie en déclarant que ça aurait sans doute été mieux de traiter cette histoire en plusieurs chapitres. J'aurais pu davantage étayer les persos comme Sea Wolf et Wave Existence, offrir un dénouement plus détaillé à Sweet et sans doute être plus clair dans mes explications sur les sea ponies. Si j'ai conservé cette forme, c'était à la fois parce que je me suis aperçu de cela à largement plus de la moitié du texte, et que j'ai vraiment eu un accès de paresse de chambouler la structure une nouvelle fois, surtout que cet OS était sur le feu depuis fin octobre. Je l'ai mis en pause pas mal de fois dont une qui a duré trois mois (juste au début du naufrage, car je n'arrivais absolument pas à le décrire d'une façon plausible). Et l'autre raison au fait de conserver l'aspect court, c'était pour conserver la thématique légende/conte à la Andersen, qui était mon point de départ^^.
En tout cas, encore un grand merci à toi Ponycroc et à tous ceux qui ont posté ces critiques que je trouve toutes très pertinentes. Je ne pensais pas que cet OS plairait aussi vite, surtout au vu de la façon dont j'ai expédié la fin =)
Ah, je vois qu’il y a déjà des retours… donc j’espère que je vais pas répéter certaine chose parce que je vais t’avouer que j’ai pas envie de lire tout de suite l’avis des autres personnes.
Bon, il y a plein de thème que j’adore lire, et les PIRATES en font partit. Dommage pour moi, y en avait même pas un, et ton capitaine n’avait même pas de perroquet, et j’ai vu aucun matelots avec une jambe de bois, c’est une honte ! Bon, heureusement pour ce dernier détaille, tu te rattrape sur la fin.
Enfin bref, le début nous fait toute la description de cette Manehattan que je dois avouer fort appréciable. Je me demande juste si c’était vraiment utile de ta part d’utiliser le bannissement de la sœur alicorne comme indicateur de temps, ça signifierait que tout le monde est au courant, non ? Enfin bon, je fais que chipoter, c’est qu’un détail. Par contre, cette ville que tu nous passe plusieurs pages à décrire. Était-ce vraiment utile ? ça l’était si pour moi, tu utilisais cette ile pour une grosse partie de ton récit, hors là, elle n’est que point de destination à la base, et se retrouve bouée de sauvetage sur la fin. Je ne dis pas qu’il ne fallait pas en parler, non. Je pense juste que tu aurais dû taire un peu plus les informations sur ses habitant et peut-être laisser Sea weed les rencontrer et nous les montrer lui-même ^^.
Après ça nous découvrons ce clipper et quelques membres de son équipage. Sea Weed n’est qu’un simple mousse avec une jolie ponette pour l’attendre… malgré ça, il arrive encore à se plaindre. Peut-être que la mer semble plus attraient à ses yeux, du moins, c’est comme ça que je l’ai ressentis.
Bon, je passe quelque évènement pour passer directement sur le pont. TOUJOURS PAS DE PIRATE ! Non je déconne, j’aime autant le thème maritime que simplement les pirates ^^. Et on va parler de sea pony alors bon, j’ai rien de mieux à espérer. Et je t’avoue que ça semble assez attendu en fait… peut-être le titre, ou alors, ton début de texte… je ne sais pas, quoi qu’il en soit, j’avais l’impression que tu ne voulais pas spécialement nous dévoiler ton plan de départ, je me demande pourquoi ? Parce que sur le coup, a première rencontre se fait un peu trop brusquement et j’ai plus eu l’impression que POUF ça arrivait comme ça, tout à coup, sans vraiment y avoir pensé quoi ^^. Bon, c’est mon avis, et donc, ça peut paraitre bête, mais ce que je veux dire, c’est que je pense que tu aurais dû préparer un peu plus le terrain pour la poiscaille. Et pourquoi pas utiliser la scène du repas dans le bateau pour qu’un vieux loup de mer raconte une histoire de sirène X)
Non bon, je le répète, c’est juste mon point de vue, j’étais juste un peu surpris de la manière dont c’est introduit, c’est tout.
Bon, j’aurais pas mon histoire de pirate, donc tout le monde tombe à l’eau ^^. Et la première rencontre se fait avec un plat d’algue. Voilà, tout à coup, je suis surpris. Enfin bon, je ne vais pas non plus parler que de ce détail. Quoi qu’il en soit, j’ai bien aimé. Les passages étaient agréable, chaleureux, ils faisaient sourire mais… ça semblait trop court, ou du moins, tu avais l’air d’aller trop vite. Je n’ai pas eu droit à autant de seapony qu’au moment où je m’y suis fait surprendre. Mais j’ai particulièrement aimé chaque passage en tout cas ;).
Comme je le disais, les choses se précipiter grandement par la suite, et nous sommes propulsé à Hoowaï, cette île dont on semble tout connaitre. Bon, là c’est clairement pardonnable car ça faisait partit du scénario. Bref, Sea Weed à une jolie perle avec lui et la seul chose que je me demande, c’est est-ce qu’il va revoir Sweet ? Fort heureusement, je n’ai pas à attendre longtemps pour avoir la réponse ^^. Et faut avouer… que la réponse est franche… déterminé on va dire, oui déterminé. C’est le mot qui me semble le plus justifier cet acte et par la même occasion, pardonner Sea Weed d’être un salopard. Parce que j’en ai pas vu beaucoup près à se couper un morceau juste pour laisser la personne qui les attend, vivre une vie sans pensé pour eux. Maintenant bon, une mèche de crin n’ aurait pas suffi ? ^^’ une idée toute bête ou le capitaine raconterait qu’il a trouvé le corps du terrestre et qu’il a coupé une mèche de crin au lieu de rapporter un corps plein de maladie et de petit crabe qui lui mangeaient les yeux X) .
Donc enfin, je n’attends que le moment de voir les retrouvailles entre la hiponette (remarque, on dirait qu’on parle d’une marque Apple ^^ le « I-ponette ») et le terrestre… et cette fois, t’as décidé de prendre ton temps ^^ jusqu’à la cinquantaine du poney D: Oh non, t’as pas le droit de faire ça ! C’est trop ! Bon, maintenant c’est plus sur l’interprétation de chacun, et je t’avoue que pour moi, la fin semble un peu plus triste ^^. Certain verront une fin heureuse, mais pour moi, selon mon interprétation, ce n’est pas très très joyeux. Enfin bon, quoi qu’il en soit, tu as quand même bien tourné ta fin, et j’avais quand même un sourire et un pincement au cœur.
J’ai beaucoup aimé cette fic, elle avait beaucoup pour plaire en tout cas ^^. La seule chose que je regrette, c’est qu’on dirait que tu as plein d’idée en tête, et que tu essayes d’en mettre le plus possible sur ta feuille et qu’au final, on a l’impression qu’on ne rentre jamais dans le fond des choses. Je ne dis pas que c’est mal fait, clairement pas. Mais à chaque fois, j’avais cette impression de n’effleurer que la surface. La solution à ça, ça aurait été de prendre ton temps, et de ne pas nous faire un OS mais une fic à chapitre. Là, je t’aurais tout de suite embrassé !!! X). cette fic vaut son « pouce vert » et mérite clairement d’être lue.
@ Spirit : Des retrouvailles ? Oui, c'était une possibilité que j'ai envisagé et que j'ai fini par rejeter, parce qu'un autre de mes objectifs étaient de brouiller les pistes au sujet de Sea Weeds : je voulais qu'on puisse autant apprécier certains points de sa personnalité, que le critiquer pour d'autres. La personne qui me relisait au fur et à mesure avait eu une réaction assez éloquente au sujet de son comportement : il le trouvait assez "méchant", et il pesait à son avis ses mots X). De mon point de vue, Sea Weeds devait être soumis à la tentation, sans pour autant provoquer la ruine de personnes qu'il fréquentait. C'est pourquoi, incurable optimiste que je suis, que j'ai opté pour cet épilogue, certes précipité et brutal, mais vous permettant de vous interroger un peu. En tout cas, merci également pour ton avis ^^.
Ah ben ça. Je m'y attendais pas. Bon, je savais que tu préparais un truc autour d'un bateau, mais j'avais aucune info supplémentaire. Surtout que j'imaginais que ça allait être une fic à chapitres, pas juste un oneshot. Oneshot de taille respectable hein, à vue de nez ça doit taper dans la trentaine de pages. Mais bon.
Sur les vagues, donc.
Là où je suis un peu surpris, c'est que j'imaginais que toute l'histoire allait se passer à bord du navire. Un genre de huis-clos bercé par l'odeur du sel, des baleines et des poneys qui font yarrrr, comme tous les pirates qui se respectent.
Et du coup, non. Et non seulement non, mais en plus, c'est pas un oneshot sur les pirates.
Un poil déçu donc. Mais cela ne m'empêchera pas de critiquer cette fic à l'ancienne.
On suit donc les aventures marines de Sea Weeds, mousse de son état qui confirme rapidement l'adage d'une ponette dans chaque port. Ou presque :)
On sent plutôt bien l'aspect conte que tu voulais reproduire. L'histoire est plutôt triste, et m'a un peu fait penser à la Petite Sirène. Sans doute quand tu expliques que Dauphin (oui, j'aime franciser sans raison) a une troisième manière de sauver le héros, mais que cela est interdit : très clairement de le transformer en hiponey.
En soi, donc une histoire plutôt plaisante. Mais j'ai quelques remarques négatives. Le oneshot fait trente pages, ce qui, comme je l'ai dit est tout à fait correct. Mais on consacre quand même cinq pages à une île qui au final n'est pas si importante que cela, puisque ce n'est pas la patrie de Dauphin. Elle est importante en elle-même puisque c'est le point de chute de Sea, mais c'est quelque part dommage d'avoir autant réfléchi sur le passé de Hoowai si c'est pour la rendre aussi anecdotique que n'importe quelle autre île de fiction. Sea aurait même pu ne jamais arriver à Hoowai, pour ce que l'île lui apporte.
Peut-être encore pire, la rencontre entre Sea et Dauphin n'arrive qu'à la page dix-neuf sur vingt-sept. Placer le pivot central de l'histoire aussi près de la fin, c'est maladroit : de fait, on s'attend nécéssairement à ce que tout le reste soit rushé. Et c'est hélas le cas : Sea accoste à la page vingt-trois. Plus que cinq pages pour clore toute la problématique Sweet Necklace et Dauphin, c'est peu. On pouvait s'attendre à un dilemme de la part de Sea soit dit en passant. Mais dès que Dauphin arrive bam, il en oublie aussi sec sa terreuse. (la duchesse me glisse à l'oreille que c'est tout ce qu'elle mérite cette sale paysanne)
On va mettre ça sur le charme des sirènes, mais quand même quoi. En fait, quitte à terminer de façon un peu différente, j'aurais gratté que Sea finit par être récupéré par un bateau qui cherche des survivants du naufrage et qui le rapporte à Manehattan. Necklace oblige Sea à rester à terre, trop terrifiée qu'il disparaisse à jamais en mer s'il reprend un jour le bateau. Mais Sea semble distant, absent, toujours à scruter l'océan. Un soir en pleine nuit, sous la lueur argentée de la lune, il marche jusqu'au port et s’enfonce dans les flots retrouver sa sirène. C'est un peu (beaucoup?) lovecraftien sur les bords avec moins de tentacules, mais c'est comme ça que j'aurais tourné la fin.
Quoiqu'il en soit, 8/10, would bang. Ah on est pas sur 4chan ? Alors ça sera un pouce et un encouragement pour la suite, alors ;)
Beau travail!
Un grand merci à toi pour cet avis détaillé =)
En fait, la brièveté de l'épilogue de Sweet peut à la fois s'expliquer par le fait que le récit suivait essentiellement Sea Weeds (d'ailleurs, j'avais aussi expédié le destin de l'équipage), que par le fait que j'étais un peu embarrassé sur la manière de mettre un point final à sa relation avec le personnage principal.
Quant à l'ellipse, elle est en effet forcée, j'avais conscience de précipiter le dénouement, mais mon objectif avec cet OS était d'essayer d'écrire une sorte de conte ou de légende avec ses aspects aussi bien cruels que positifs, que des fins assez abrupts.
En tout cas, ne t'en fais, je ne prends jamais mal une critique. J'apprécie au contraire fortement qu'on me montre ce qui n'allait pas pour que j'évite de refaire l'erreur. Encore merci d'avoir pris le temps de lire cet OS ^^
J’ai beaucoup apprécier ce petits moment de lecture. Tu as sut à merveille mettre en place un décors détaillé, et de manière à la fois simple, courte et concise. Ta Manehattan est l'idée même de ce que représente dans ma tête les villes portuaires du début 18ème siècle, la boue des cités et villes tel que New-York à leur début de cités de bois, contrastant avec le métal flambant neuf des steamers, mais sans se détacher du charme et de l'élégance des fiers voiliers d'antan.
Si ils fallait te reprocher quelque chose ? Comme dans toute critique ? Ce serait de t'être débarrassé de "Sweetie" un peu trop ... Facilement ? Elle disparait un peu trop vite et sans plus d'explication à mon goût, à part de sa vie à Ponyville bien sûr. Mais je suis sûr que tu as dû avoir quelques difficulté a élaborés ce passage lors de son écriture.
La romance avec Dolphin et le lien entre son peuple et les Hoowaïens est bien amenées. Le fait que chaque habitant de l'île sache ce qu'il a à faire une fois son heure venue, à quelque chose ... de poétique. Quand à la "détermination" de Sea Weeds à rester sur l'île, je la trouve vraiment bien illustré. Il se coupe le sabot quand même ! Je n'y aurais pas penser moi même et cela m'a surpris tant je ne m'y attendais pas. Un bon moyen de témoigner de sa résolution à revoir sa sauveuse. L’Ellipse sur les cinquante années de sa vie est un peu trop prononcé, alors que cela aurait été moins déstabilisant si tu avais procéder par à-coup de dix ans par exemple.
Mais ne prend pas tout ceci à mal, j'ai vraiment passer une bonne soirée en lisant ton œuvre.
Mon expérience d'écrivain n'est peut être pas des plus grande, mais celle de lecteur l'est. Alors je te dirais juste ceci :
Garde le cap,
Jack.