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C'est pas le poney qui prend la mer [...]

Une fiction écrite par Shamanchien.

Chapitre XV: J'ai demandé à la Lune.

On était bien en plein milieu de la nuit. Le fait d’avoir dut se lever pour aller jusqu’au vestibule était douloureux; Twilight le sentait dans tout son corps, les courbatures de la journée lui revenait, démultipliées. Entre la randonnée du matin, le vol par grand vent avant le déjeuner, la séance de surf en après midi, puis enfin le retour à marche forcée en début de soirée. Devoir rester éveillé pour tout raconté à son amie Applejack l’avait achevé, elle était complètement vannée.

Et là, un poney, qui avait déjà montré qu’il n’était clairement pas dans la norme du reste de ses semblables, lui proposait de ressortir, en pleine nuit, pour aller seule avec lui en un lieu reculé pour observer les étoiles, ce n’était pas très raisonnable, mais tellement… Irrésistible !

Bien sûr qu’elle acceptait ! Un phénomène magique non encore référencé et étudié, des outils pour le faire, comment refuser ? D’après les relations de voyages qu'elle avait pu lire, les conditions météorologiques de ce soir étaient exceptionnelles pour la région; elle n’était pas certaine d’en retrouver d’aussi favorable à l’observation sur le reste de son séjour.

Après deux mots pour rassurer Rainbow et Applejack, Twilight emboîta le pas à Astro. Il fallait progresser sans lumière et retraverser la clairière. Au moment de passer sous les fenêtres de sa maison, Astro fit signe d'avancer avec le plus de discrétion possible.

Le trajet vers l’observatoire prit un petit quart d’heure de trot. Les premières minutes se firent dans un silence oppressant, au milieu des ténèbres. Le vent, toujours aussi fort faisait grincer les arbres. Après un moment d’hésitation, Twilight alluma sa corne et brisant la glace, elle demanda :

« Mais pourquoi autant de discrétion ?

- Ho c'est qu'il ne faudrait pas réveiller les autres, s'empressa de répondre Astro.

- Tu ne les as pas prévenu ?

- Si, si... Mon frère est au courant.

- Et donc ton frère s’intéresse lui aussi à l'astronomie ?

- Stratail ? Non pas du tout, c'est même l'inverse, ça l'ennui au plus haut point. C'est Hook qui m'a donné l'envie de m'intéresser aux astres. »

La voix de l'étalon prit des accents de mélancolie en évoquant son oncle disparu.

« Et ta mère te soutient ?

- Hum pas vraiment, disons qu'elle ne désapprouve pas. C'est sûr qu'elle préfèrai que je m’intéresse à autre chose qu'aux étoiles.

- Autre chose ?

- Et bien,...»

On sentait Astro gêné par la question.

«Et bien la dernière fois que j'ai évoqué l'idée de faire autre chose de ma vie qu'être fermier ici, ça c'est... Mal passé. »

Rendus méfiante par la scène de mensonge lacrymale du jeune Stratail Twilight se fit plus inquisitrice.

« Tu ne me dis pas tout. Qu’est-ce que tu me caches ?

- Mais rien du tout, je t'assure ! »

Devant le regard insistant de la jument, le poney astronome soupira.

« Ok, disons que ma mère n'apprécie pas beaucoup que je passe autant de temps avec vous. Elle ne vous porte pas particulièrement dans son cœur.

- Bel euphémisme, soupira Twilight. Mais pourquoi ? On ne lui a rien fait.

- Cela, je ne le sais. Je pense qu'il faut juste lui laisser le temps. Mais elle a l'air d'apprécier vos petites pouliches. Elle ne l'a pas dit mais la journée passée avec les deux petites lui a fait le plus grand bien. Même ton amie, là, la terrestre…

- AppleJack

- Je crois qu'elle a de la considération pour elle.

- Vraiment ?

- Elle a fait un commentaire sur la tarte que ton amie a faite qui n'était pas un reproche, crois moi ça vaut toutes les louanges au monde.

- Et encore, ce n'était pas une tarte aux pommes…

- Nous y voilà rendu, » annonça l'étalon en désignant une petite bicoque.

Les deux poney avaient marcher une petite dizaine de minutes. Le chemin débouchait sur un petit promontoir rocheux, face à la mer. La falaise à pic dominait les flots d’une vingtaine de mètres, Twilight reconnaissait le sentier, sur la gauche on rejoignait la voie menant au cimetière qu’ils avaient emprunté ce matin.

La bâtisse avait une assise en pierre sèche, le reste était en gros rondins de bois. D’une surface d’une quarantaine de mètre carrée au sol pour deux étages dont un rez-de-chaussé. La forme du dernier étage était étrange, demi sphérique. C’était une sorte de vaste terrasse avec un jeu de tonnelles, de bâches cirées et de claie en bois.

En entrant, la première chose qui sautait aux yeux, c’était l'impression d’ordre qui régnait dans la pièce. Dans un coin, la cuisine, c'était sans doute le seul lieu non rangé de la pièce, une pile de vaisselles salles s’entassait dans l’évier; à l’opposé il y avait un lit de camps sommaire, les draps pliés, une penderie avec quelques affaires, les chemises étaient rangées avec soin et même sans doute repassées. Au milieu de la pièce se trouvait une grande table encombrée, où papiers, notes et autres plans côtoyaient un boulier, derrière un grand tableau noir rempli à la craie de calculs et d’équations complexes. Au dessus de cette table pendait un mobil, le temps qu’Astro aille allumé les lumières Twilight reconnu une représentation fantaisiste du monde d’Equestria et de ses deux astres principaux, le Soleil et la Lune.

Il n’y avait pas un seul mur qui n’ai une étagère débordant de livres. Rien que pour ça Twilight se sentit en confiance. Des précis de physique y côtoyait des manuels de mathématiques, ceux-ci étaient des manuel scolaires datant d’il y a bien deux ou trois génération pour la plupart, certain étaient même plus vieux, plus d’une décennie pour les plus récents. Cela allait du primaire à la fin du lycée. La plus grande partie des notions abordées dans ces livres n’étaient même plus au programme. Plus incongrue, il y avait plusieurs rayons remplies de traité d’astrologies.

« Tu t'intéresses aux magies divinatoires?» hasarda l’ancienne étudiant de Célestia.

Se disant elle saisit par sa magie l’un des ouvrages d’astronomie. L’ouvrage était ancien, Ce type d’édition devait daté d’il y a vingt ou trente ans minimum.

« Ho, ça? En fait non, pas du tout, ces histoires de prédiction par les alignements des astres c’est au mieux de la fumisterie.

- Mais alors pourquoi as-tu de tels ouvrages?

- Il faut leur reconnaître que certains sont très précis sur le ballet céleste. Ils décrivent précisément les constellations et leurs mouvements les unes par rapport aux autres.

- Oh, je n’y avais jamais pensée, lui répondit la princesse en rangeant l’ouvrage qu’elle avait saisi.

- Les étoiles se déplacent les unes par rapports aux autres et par rapport à nous, affirma, très docte, l’étalon avec une morgue pleine de certitude.

- Oui, tout cela est su. C’est la princesse Luna qui les faits apparaître en même temps que la Lune. Je t'accorde que l'influence des étoiles sur le destin individuel est vraiment minime.»

La princesse de l’amitié eut un petit sourir en coin. On allait sur SON domaine.

« Par contre nul ne peut nier l'influence des allignement astronomiques sur les sorts et rituels de classe A et plus, continua t elle.

- Les sorts de classe A?

- Oui d’après la classification qu’en a fait Star Swirl.

- Star Swirl? Mais qui est ce?

- Tu ne sais pas qui Star Swirl? Le plus grand esprit licorne de tous les temps.

- Hum, non. Sur quoi a t il travailler? Mathématiques? Physiques? Mécaniques?

- Mais c’est le plus grand mage qu’Equestria ai connu. Mage!?! Aucun intérêt.

- Attends, tu m’affirmes que la magie n’a aucun intérêt?!

- Oui, puisqu’elle ne peut être mesurée et donc démontrée.

- Mais… Mais... C’est normal, tu es un pégase, tu ne peux pas ressentir la magie, seul les licorne le peuvent.

- Argument non valide.

- Pourtant la magie a des aspects pratiques. Tu ne peux pas affirmer qu’elle n’a pas d’application concrète. c’est une science très précise, avec des champs d'applications variés.

- La magie n’est pas une science, l’astronomie et la physique ou encore la mécanique sont bien plus fiables et concrets. Au moins on peut les vérifier par les mathématiques.

-  Là je ne suis pas d’accord!»

S'ensuivit une nuit blanche de palabre interminable. Chacun avançait ses arguments et explication, avec démonstration au tableau à l'appui. Twilitght devait bien admettre qu’Astro était calé question science “dure”, mais il était complètement ignare sur le domaine de la magie. Chaque fois qu’elle avançait un argument en lien avec cet élément, il refusait de le reconnaître. Son refus à envisager l’importance de la magie était à la limite de l'irrationnel. Sur ce point il était bien le fils de sa mère, aussi obstiné et têtu qu’elle.

Cependant Twilight fut surprise de découvrir qu’il avait développé tout seul dans son coin tout un ensemble de théories plus ou moins fumeuses à la limite du farfelu. Pourtant elles étaient cohérentes entre elles, et c’était bien ça le problème.

Par l’observation et ses calculs, cet étalon avait réussi à développer quelque chose de cohérent. C’était complètement faux sur bien des points, mais sans autres personnes avec qui confronter ses idées et sans accès à un vrais savoir, comprendre une bibliothèque universitaire digne de ce nom, ce genre de résultat était inévitable. C'était déjà un miracle que tous ces travaux ne soit pas un fatra sans queue ni tête. .

Mais Twilight était bien forcée d'admettre que certains des résultats d’Astro n’étaient pas complètement faux. Une bonne part de ses observations, notamment sur les comètes, pourrait même être juste, il lui fallait vérifier. Plus surprenant encore il avait réussit à prouver plusieurs axiomes qui n’avaient jamais pu êtres démontrés et justifiait certain théorèmes magique par une démarche rationnelle.

La gardienne de l'amitiée se nota mentalement de le demander à Luna; et à Célestia si elle, elle ne le savait pas. C’est pas qu’elle ai l’habitude de s'occuper de cas comme ça mais elle devait bien admettre qu’elle n’avait jamais pensé à utiliser les mathématiques et l’algèbre pour ce faire, et avant lui pas grand monde ne s’y était essayé.

Qu’il ait trouvé toutes ces choses, seul, en autodidacte dans ce coin aussi reculé d’Equestria… C’était jeter des perles aux cochons. Un tel talent ne pouvait rester ignoré.

Il ne devait plus être très loin du matin quand Twilight arriva à cette conclusion.

« … Et donc si l’on a a, demi grand-axe de l'orbite, T période (année de l'astre), k constante de gravitation... »

Tout en parlant, le poney couleur nuit écrivait au tableau une équation complexe. Il tenait dans sa bouche une craie. Il en était recouvert de poussière, qui avait taché toute sa robe de blanc. La princesse de l’amitié pouffa devant son aspect ridicul avant de l'interrompre.

« Astro, j’ai quelque chose à te demander

- Et si 2...

- Astro!!Hein! Quoi!

- Je voudrais te demander quelque chose. Eh oui bien sûr.

- Attend quelle heure est il?

- Il est cinq heure passée.

- Houla on va le rater! Vite, il faut que je te montre quelque chose.»

Ne laissant même pas à Twilight le temps de répondre, l’étalon se précipita vers l’escalier. Arriver en haut il ouvrit la trappe menant à l’étage.

«J’espère que cela n’a pas encore commencer, marmonnait il en gravissant les marches quatre à quatre.

- Mais que se passe t il ?» s'inquiéta Twilight en montant à son tour.

Une seule pièce occupait le niveau. L’essentiel de l’étage était occupé par une lunette astronomique. Elle même était montée sur une sorte de plate forme pivotante. Un jeu de rouages et d’engrenages étaient placé dessous, ils devaient permettre au tout de pivoter; un jeu de contrepoids relié à une horloge complétait le tout. Il n’y avait pas vraiment de mur ni de toit mais un ensemble de panneau et de claie que l’on pouvait déplacer pour ouvrir ou fermer.

C’est d’ailleurs ce que faisait Astro: il s’affairait à ouvrir en grand tout l’étage. Le vent, froid et vigoureux, s'engouffra dans la pièce. La crinière de Twilight avait alors quelque chose de Célestia, les crins s’agitant en tous sens. Le bruit grinçant des arbres ployant sous le souffle constituait un bruit de fond. on devait presque hurler pour s’entendre.

Dehors la nuit était encore noire. La Lune était encore bien haute masquant la plupart des étoiles par sa présence. le ciel était parfaitement dégagé.

«Ça devrait bientôt débuter, murmura l’étalon en ouvrant le dernier volet.

- Mais quoi donc? Pourquoi toute cette agitation?

- Assieds toi et prend de quoi te couvrir.»

Ouvrant un coffre situé dans un coin de la pièce, Astro en sortit une grosse couverture, et se rapprochant de Twilight, il la jeta sur sa croupe, les enveloppant tous les deux.

«He, Astro, c’est gentil mais c’est pas un peu trop là? hasarda la princesse un peu gênée par cette proximité.

- Ça commence!»

Haut dans le ciel des lueurs fantomatiques venaient d'apparaître, mélange de bleu et d’orange où le vert dominait. Descendant lentement du firmament tel un rideau ondoyant, cela se déploya lentement à travers tout le ciel, s’agitant mollement comme une houle au grès des vagues. rapidement le drapé fantomatique occupa toute la voûte nocturne, occultant même la pâle lueur de la Lune. c’était suffisamment transparent pour qu’on continue à voir à travers le reste du ciel.

L’ancienne bibliothécaire et bibliophile n’eut aucun mal à y reconnaître une aurore polaire. C’était la première fois qu’elle en voyait une, et ce malgré plusieurs visites au Yakyakistan. Elle avait lu beaucoup de chose à ce sujet, entre autre des récits de voyage, qui en faisaient une description très précise. Elle ne répèterai sans doute jamais à haute voix, mais entre un livre et le voir pour de vrai, la comparaison n’était pas soutenable.

Le couple resta ainsi à regarder le ciel durant un moment. A la fin Twilight en avait mal au cou à force de rester la tête en l’air. La lune se coucha lentement, les étoiles reprirent tous leurs éclats alors qu’elles se retrouvèrent pour un cours moment seules maîtresses des cieux, déjà à l’est un rosissement se devinait. Tel un spectre chassé par la clarté du jour, la nuit se n’allait pas tarder à se dissiper, chasser par l’aurore et avec elle le ballet nocturne de cette aurore polaire.

Poussant un soupir Twilight se força à se relever. les courbatures des exercices de la veille se rappelait à son bon souvenir. Après tout ces efforts enchaîner par une nuit blanche n’était vraiment pas raisonnable. Avec en plus ces discussions sur la nature de la magie elle n’avait même pas prit le temps de faire des observations sur le coucher et le lever de la Lune. Pour le moment la seule chose qui la tentait c’était son lit.

«Merci Astro c’était vraiment…

- Magique complèta l’étalon en se relevant, des étoiles pleins les yeux. Tu voulais me demander quelque chose tout à l’heure?

- Ha oui j’allais oublier. Ouha!»

Étouffant un bâillement Twilight cligna des yeux puis reprit.

« En fait je voulais te demander quelque chose d’assez important.

- Oui?»

L’étalon s’était rapproché de Twilight, la frôlant presque. A moitié endormie l’ancienne bibliothécaire ne s’en rendit pas vraiment compte.

« Tu vas trouver que c’est un peu brusque et soudain comme demande.

- Oui.»

A présent Le poney à la robe couleur de nuit la touchait. Engourdie par le froid et la fatigue l’alicorne ne releva pas.

« Je me disais qu’avec toute tes capacités, on pourrait repartir ensemble.

- Oui, ensemble.»

Maintenant son visage se rapprochait de celui de la jeune Sparkle, la frolant. Se rendant brusquement compte de la situation, Twilight, de plus en plus mal à l’aise se mit à rougir et à bégayer.

« Je… je… je

- Oui, moi aussi.»

Sur ce Astro voulut l’embrasser. Se dérobant au dernier instant, la gardienne de l’amitié réussi à faire un pas en arrière.

« Attend ce n’est pas ce que tu crois, se récria t elle.»

La déconvenue était un faible mot pour exprimer la surprise de l’étalon. Astro bégaya des propos incompréhensibles avant de pouvoir formuler quelque chose d'intelligible.

« Quoi donc, je ne te plais pas? s’étrangla t il .

- Si, enfin non.

- Ici, moi, ma famille, pour toi, tout cela, c’était juste une aventure?

- Non, ce n’est pas ça.

- Et voilà que le meilleur me fait souffrir...»

A présent le pauvre poney à la crinière gominée était complètement avachi. la tête pointé vers le sol, les yeux rivés sur ses sabots. C’est étouffé entre ses dents que Twilight l’entendi murmurer :

«… que ça ne durerait pas...

- C’est juste que.. Je voulais te demander si tu voulais nous accompagner, moi et les filles quand on repartira.»

Relevant brusquement la tête, il la fixa d’un regard froid cette fois-ci, toute trace de mélancolie c’était envolée.

« Je vois, tout cela c’est pour m’éloigner des miens et de mon foyer.

- Mais tu l’as dis toi même, tu ne vas pas pouvoir rester ici toute ta vie! Avec tes capacité et ton potentiel, c’est une glorieuse carrière universitaire qui t’attend.

- C’est hors de question, je ne partirais pas jamais d’ici. Mère avait raison. Vous n’êtes qu’une sorcière ensorceleuse et malsaine. “Citadine”.»

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Note de l'auteur

Notes: Argh! Il m''a fallut trois mois entier dont un de vacance pour venir à bout de ce chapitre. J’ai dû le réécrire au moins une dizaine de fois certains passages. Le pire ça a été le débat magie vs science, finalement je l’ai supprimé et ai fait une ellipse. Par contre je me suis bien amusé à écrire la vrais fausse scène du baisé. Dire que je mettais moins d’une semaine par chapitre sur les septs à huit premiers…

Bon une fois encore j’impose ma vision personnelle du monde de MLP. J’estime qu’à Equestria, les sciences dites dure, à base de mathématiques, sont peu développées. Ce qui expliquerait, entre autre, l'absence d’informatique; pourquoi utiliser le calcul quand on peut prendre de la magie.

Le développement en autodidacte d’Astro en génie des maths est, j’avoue, peut être un peu trop WTF et sortit de nul part. J’aurai pu lui trouver un autre talent pour que Twilight flash sur ce perso et souhaite l’encourager à partir mais j’aimais bien cette idée de génie des maths, ça me permet de parler de mes idées sur le monde de MLP.

Petit question musicale: dans le texte j’ai glissé plusieurs strophes d’un morceau de variété française. De quelle musique s’agit il? Et mieux pouvez vous me les retrouver.

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