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.Drone.

Une fiction écrite par La Furry.

Chapitre 4. Parents ?

Le rêve ou l’illusion, se coupa brusquement, je n’en comprenais pas la raison. Les yeux ouverts, je regardais la lune qui était encore haute dans le ciel, ses rayons éclairaient la chambre, et malgré la fin du contact avec ma reine qui avait été assez brutal, j'étais bien, les deux changelins m’enlaçaient entre leurs pattes, et mon museau était contre le poitrail de la femelle. C'était si apaisant, si doux. Fleurs de lys, cette femelle changeline à l'apparence de grande jument à la robe blanche était douce. Quand à son mâle, ses sabots étaient comme une sécurité et si puissants, rassurants... Son pelage était beaucoup plus rêche, mais c’était bon. Je me sentais vraiment très bien, et surtout, depuis mon arrivée à Canterlot, c’était la première fois que je me sentais en sécurité. Je sentis l'étreinte du couple se resserrer, ce qui me réchauffait. Je refermais les yeux, me laissant repartir dans les songes sous la bienveillance de la lune qui laissait ses rayons me bercer. Au petit matin, je sentis quelque chose de chaud et agréable se poser sur ma corne. Avant de sentir les deux licornes sortir du nid. J’ouvrais les yeux et me redressais sur mes pattes avants, je regardais autour de moi, voyant le couple se préparer. Ils se tournaient, me regardant avant de me demander si j'avais bien dormi. Je leur répondis que j'avais très bien dormi, et que j’avais vraiment aimé le nid. Regardant leurs sourires, ils me proposèrent de les rejoindre en bas, et de prendre un bon petit déjeuner. Le licorne mâle, Fancypants rajouta en me regardant qu’un grand bol de gelée serait le parfait petit déjeuner pour un petit drone.

Leur réaction dès le petit matin était étrange. Ils semblaient différents, beaucoup plus amicaux, non, c’était encore autre chose, quelque chose de nouveau. J'avais remarqué ce type de comportement dans les rues de Canterlot hier et aussi à mon arrivée. C'était toujours des poneys, mais ils avaient cette réaction envers leurs petits poulains. Je me déplaçais, longeant les couloirs et regardant les toiles aux murs, elles représentaient les deux créatures, souvent en couple. Ils semblaient heureux, mais ils semblaient leur manquer quelque chose. Je ressentis quelque chose qui me fit tourner la tête. Fleurs de lys était juste derrière moi, elle se rapprocha, posant son sabot sur mon encolure, m’offrant une caresse. Elle se pencha sur moi, me disant de venir. Un bon bol de gelée m’attendait, et qu’ensuite, on sortirait faire quelques emplettes. Je relevais les oreilles, surpris, ils devaient me faire embaucher, et là, ils semblaient avoir oublié. Je lui dis qu’ils devaient me faire embaucher, que je devais le faire pour ma reine. Il me fallait un poste, c’était une nécessité. La femelle à la marque de beauté représentant trois lys baissa les oreilles, elle semblait peinée, l’avais-je blessée en disant quelque chose. Elle releva la tête, me tirant vers elle avant de me donner une étreinte. Pourquoi réagissait-elle comme ça. Elle se retira, sans dire un mot. Je la suivais jusqu'à une grande table, ou Fancypants se trouvait. Il était déjà installé et avait déjà commencé à avaler sa gelée quand il releva la tête, un sourire au museau qu’il perdit rapidement. Il semblait essayer de le cacher, mais malgré que je ne pouvais pas les ressentir, je commençais à les comprendre sans en avoir le goût. J'observais Fancypants faire le tour de la table avant de rejoindre sa femelle., il posa son sabot sur sa joue, lui redressant la tête. Il la regardait droit dans les yeux, comme s’il la comprenait sans dire aucun mot. Il se tourna, me regardant avant de me faire signe de m'approcher de lui. Il laissa la femelle dans la grande salle et me conduisit dans une petite pièce, où il me fit entrer en premier. Fermant la porte derrière lui, le changelin déguisé fit le tour d’une petite table, c’était un bureau pour travailler. Il y avait des parchemins par dizaine, et aussi des gravures. Il sortit l’un de ces rouleau de papier, le lisant en silence. Ses oreilles se couchaient, il le reposa dans un tiroir avant de me regarder. Il parla calmement, mais, il y avait dans sa voix quelque chose qui me disait qu’il était triste. Il me demanda si je savais ce qu’étaient des parents. Je restais muet, cherchant ce que c’était, j’en avais entendu parler, mais ce que c'était... Je lui répondis sincèrement, et je lui disait non. Depuis que j'avais été crée, aucun changelin, drone ou bien ma reine ne m’avait expliqué ce que c’était d'être parents... Je relevais les oreilles, le regardant en comprenant ce qui avait causé le silence de sa femelle. Je baissais la tête, avant d’entendre l'étalon me dire que je n’y étais pour rien, j'étais un drone créé pour être utile à la ruche, et que je faisais partie des premiers à en sortir. Il me rajouta que les drones de sa ruche ne sortaient pas, mais il était prêt à parier qu’ils étaient plus heureux et appréciés. D’après ce que je leur avais dit la veille, il en était arrivé à cette conclusion. Je ne répondais par, me contentant de m'assoir sur ma croupe. Les oreilles baissées, je me demandais ce que c'était d'avoir des parents. Quand j'avais vu dans les rues les jeunes poulains, si heureux, insouciants et leurs parents, fiers de leurs enfants, les cajolant quand ils tombaient, leur offrant des caresses pour les consoler. Et cette nuit, dormir entre leurs pattes, c’était si rassurant, je me sentais en sécurité, mais aussi, bien à l'abri de tout. C'était ça d'avoir des parents qui veillent sur leur poulain ?

Je sentis quelque chose se placer derrière moi, me recouvrir et serrer ses pattes autour de mon encolure, je relevais lentement la tête, m’apercevant que c’était Fleur de lys. Sans rien me dire, elle se mit à frotter sa tête contre mon encolure, c'était si bon, si tendre. Son sabot contre mon poitrail, elle me prodiguait de tendres massages. Je fermais les yeux m'appuyant contre son corps. Je ressentis quelque chose qui me fit rouvrir les yeux. Mes sabots ne touchaient plus le sol, et j'étais toujours entre les pattes de la jument, mais j'avais repris ma forme sans le vouloir. J’entendis Fancypants, avant d'ouvrir grand les yeux, il venait de reprendre sa forme, laissant sa carapace bleue et sa fourrure noire reprendre le dessus sur le déguisement de licorne. Il me disait que dans ce bureau, la vitre avait un sort, ne permettant pas aux poneys de voir à travers, c’était le seul endroit du manoir où on pouvait reprendre notre apparence d’insecte. Il se rapprocha, posant son sabot sur ma joue, m’offrant une caresse douce avant de regarder sa femelle, lui relevant les oreilles du bout de sa patte. Ils étaient tous les deux souriants, et ils étaient heureux. Le femelle qui portait le nom de Fleur de lys rapprocha son museau de mon oreille droite, me susurrant quelque chose, c'était une phrase douce à entendre, et je voulais avoir ce privilège. Oui, ce droit d’avoir des parents. Je relevais le museau, les regardant tous les deux avec une certaine joie, un plaisir. Je leur répondis que je serais le plus heureux des drone de les avoir comme parents. Pour la première fois, mon coeur se mit à battre fortement, mais cette fois-ci, ce n'était pas pour cette créature qui dormait auprès de moi dans la ruche. Cette fois, je savais pourquoi j'étais heureux, content d’avoir quelqu'un pour moi, me protéger, mais aussi me caresser et être là quand j'avais besoin. Pas une personne, mais deux, des changelins d’une autre ruche, et pourtant, ils me donnaient un amour bien plus nourrissant que celui que j’absorbais de la part des poneys, celui-ci était doux et chaleureux à mon coeur.

Après plusieurs minutes et un bon repas, je passais une agréable journée avec Fleur de lys et Fancypants. On avait passé la journée à errer dans les rues et regarder les vitrines. J’avais absorbé tellement de sentiments, que ma corne commençait à crépiter, mes premiers parents depuis ma création s’en rendirent compte et discrètement, le changelin mâle se rapprocha de moi, me poussant dans une petite ruelle, où on serait à l’abri des regards, tandis que Fleurs de lys nous regardait nous éloigner, alors qu’elle restait à l’entrée. Je ne comprenais pas, et Fancypants me disait calmement de me concentrer, et d’envoyer une sphère directement à ma reine. Je lui demandais comment je pouvais déjà être au maximum de ma capacité. Que j'étais dehors avec eux depuis le même temps, et que leur corne ne crépitait pas. Il posa son sabot sur mon oreille, m’offrant une caresse qui me laissa échapper un sifflement. Il m'expliqua que j'étais un drone, et que comparé à un changelin, on avait pas les mêmes capacités, mais que je pourrais surement augmenter avec un peu d’entrainement. La fin de la journée se passa très bien, je continuais d'absorber des sentiments, et en début de soirée, les couples sortaient pour aller au restaurant, ou à des rendez vous entre couples. Fleurs de lys et Fancypants s'arrêtèrent, se tournant vers moi. Ils me disaient qu'on allait s'arrêter ici, que j'allais rencontrer un pégase, un recruteur et que je n'avais rien à craindre, que ce poney allait juste me demander mon nom, me regarder et aussi inspecter ma marque de beauté. Ma maman me disait que je ne devrais pas paniquer, que c’était comme rencontrer un nouveau poney, mais qu’il fallait juste ne rien faire en sa présence, et donc, ne rien absorber.

Je laissais donc mes parents devant cette demeure, qui au premier abord ressemblait plus à une chaumière. La porte était ouverte, je regardais à l'intérieur où je pouvais voir une table à l’aspect assez vieux. Il y avait aussi une commode qui semblait aussi âgée que la table. Je donnais un coups de sabot dans la porte, attendant quelques instants, mais aucune réponse n’arriva. Je décidais donc de rentrer et de m'installer devant la table. Attendant patiemment que le fameux pégase arrive. Quelques minutes passèrent, sans qu'aucun poney n’entre dans la demeure, quand je ressentis des sentiments, ils étaient doux à mon odorat, c’était entre le plaisir et la joie. Je me relevais et, me dirigeais vers une petite porte d’où une odeur sucrée émanait. Il était devant un vieux four à charbon, où une petite théière relâchait cette odeur sucrée. Il se tourna, les yeux fermés, un sourire aux lèvres. Il me disait que j'étais le bienvenu et d’aller m'installer, que le thé était prêt. Avant de me retourner, je regardais le pégase blanc à la crinière d’or, lui demandant s'il voulait un coup de sabots. Le poney continuait de me regarder de ses yeux bleus mi-clos avant de tendre son aile droite et me désigner un plateau avec deux tasses et une sucrière. Il ajouta de les prendre sans utiliser ma magie. Redressant mes oreilles, je le regardais, il gardait son regard mi-clos et continua de sourire. C’était un test, il voulait savoir comment je me débrouillais sans ma corne, je lui répondis d’un sourire et m'approchais du plateau. J'ouvrais la gueule, le prenant avec les dents, le tintement des tasses me fit redresser les oreilles avant de le stabiliser, et je me tournais pour me diriger vers la petite salle où j'étais entré. Mais la voix du pégase retentit, ce qui me fit m'arrêter. Sans me retourner, il me demandait de monter à l'étage et de l’attendre avec mon plateau en gueule. Je tapotais du sabot droit, en espérant qu’il me comprendrait, puis je me remettais en marche. Quand j'étais devant, je n'aurais pas imaginé que cette demeure possédait un étage. En faisant le tour de la pièce principale, je découvrais un petit escalier juste assez large pour me laisser passer, mais mon étonnement fut en arrivant en haut, une petite pièce, un lit en chaume et plusieurs meubles installés en vrac, c'était assez difficile de se faufiler jusqu’au lit, mais une fois arrivé, je devais patienter et le plateau semblait peser de plus en plus lourd, et les tasses commençaient à trembler. J'entendais derrière moi le pégase qui arrivait, passant facilement entre les meubles en désordre dans cette petite pièce. Arrivé près de moi, il posa la théière sur son aile, la faisant glisser pour la poser sur le lit sans en renverser une goutte.

Il se tournait vers moi, avant de me demander de poser le plateau à côté de la théière. Avec une certaine joie, je posais le plateau avant de fermer ma gueule et la rouvrais pour essayer de la soulager. Je l‘entendis monter sur le lit et s'installer, et au fond de moi, je pouvais sentir ses sentiments, il semblait joyeux naturellement, comme beaucoup de poneys, mais a mes côtés, il semblait émettre un sentiment assez étrange, d’un type que je ne connaissais pas. Cela ressemblait à de la curiosité, mais aussi à de la crainte. Le véritable test allait commencer. Toujours face à la théière et aux tasses, que je me mettais à remplir. Je tournais légèrement la tête, demandant au pégase s’il désirait du sucre dans son thé avant de m’apercevoir qu’il n’y avait qu’un seul de ces petits objets qui servait à remuer le liquide et qu’ils appelaient une cuillère. Je levais la tasse, en utilisant la fourchette de mon sabot pour la prendre par l’anse, lui déposant devant lui, entre ses sabots. Il inclina la tête, me remerciant de cette façon avant de me rendre compte qu’il avait une feuille de posé à ses côtés. Elle était blanche, il n’y avait rien d’écrit dessus. Il allait surement prendre des notes. Il ne pouvait sûrement pas laisser n’importe quel poney être au service de la princesse. Toujours face à lui, il m’invitait à le rejoindre et de me servir une tasse. Gardant mon sourire, je lui répondais que je ne pouvais monter sur le lit, mais je pouvais me servir une tasse. Il tendait le sabot vers la table de chevet, m’invitant à me servir.

Ça faisait maintenant une vingtaine de minutes, je restais debout au pied du lit, alors que le pégase dégustait son thé, observant mes moindres gestes. Puis, il me tendait la tasse, que je reprenais avec mes deux sabots avant, essayant de garder mon équilibre pour ne pas me retrouver couché sur le lit. Alors que je posais la tasse, je ressentis une caresse qui me fit redresser les oreilles. Je tournais la tête, observant ce qui m’avait touché. Le poney avait tendu l’une de ses ailes et touchait ma marque de beauté, il semblait être heureux de ce qu’il voyait. Relevant la tête, il me demandait quand je l’avais eu, et comment elle était apparue. Pour un drone comme moi qui ne possédait pas de marque, j'avais dû donc en créer une, mais aussi, inventer une petit histoire sur son apparition. Je lui répondais d’un sourire, avant de me mettre à lui compter mon histoire. Je lui disais que ma magie n’était pas très puissante, et que j'avais beaucoup de mal à réussir mes sorts, quelque soit sa facilité. Alors un soir, après une multitude d’efforts, j'étais aller dans les champs, m'éloignant de l’agitation qui m'entourait. Ce soir, le ciel était dégagé, et on avait une magnifique pleine lune et les étoiles étaient si brillantes ! Je m'étais concentré, et je visais une pierre sur le sol, je désirais la faire léviter puis la déplacer pour la déposer quelques mètres plus loin. J'étais bien à ce moment là et le sort se déroulait correctement. La lévitation, et aussi le déplacement, tout se passait très bien, et quand je la posais au sol, je me mettais à sauter sur mes sabots, j'avais réussi et à ce moment-là, je ressentis une chaleur, quelque chose en moi, et quand j’ai regardé mon flanc, je l'avais. Cette lune était étoilée, cerclée de 3 petites étoiles. Je regardait le dessin sur mon flanc, relevant la tête en souriant au pégase. il leva la feuille blanche et me répondis que tout était bon, que je ne possédais aucunes des marques interdites représentées sur le parchemin. Je relevais les oreilles, l’air étonné. Je lui demandais s'il avait bien toute sa tête, ce parchemin était vierge. Les yeux mi-clos, il me disait que en Equestria, il n’y avait pas d'ennemis, et encore moins une liste de cuties marques interdites. Se redressant en déployant ses ailes, il s'étira avant de me dire que le poste était accordé et que je recevrai un parchemin me donnant accès au palais, que les gardes de la reine me conduiraient à mon poste. Il me remercia et me laissa repartir. Je me tournais, levant la patte pour lui faire un salut avant de descendre l'escalier, et sortais de la petit demeure.

À l'extérieur, Fleurs de lys et Fancyipants m’attendaient, je les rejoignis, un large sourire aux lèvres et je les enlaçais, mais l’étreinte ne dura pas longtemps. Je relevais la tête, un peu surpris de cette réaction, quand le licorne mâle se rapprocha de mon oreille. Il me disait qu’ils étaient comme des nobles ici, et qu'ils ne devaient pas réagir comme ceci en public, mais une fois à la maison, on fêterai mon embauche royalement. Les deux créatures déguisées en poneys se mirent en marche, me devançant de quelques sabots. Je profitais du début de soirée, le soleil était encore haut dans le ciel, et les jeune poulains sortaient pour aller jouer avant d’aller souper. J'appréciais ce moment, ça ne faisait pas longtemps que j'étais en ville, et pourtant, j’avais commencé à comprendre les moments où il fallait sortir pour recueillir un grand nombre de sentiments. Les rues étaient remplies de poulains et de poneys, mais aussi de gardes. Je me rapprochais de Fancypants, le regardant un instant alors qu’il me souriait. Il me disait que je n'avais rien à craindre, les gardes étaient juste là pour être utiles aux équidés et aussi pour donner une impression de sûreté. Je pouvais aller les voir et même devenir ami avec l’un entre eux. Les oreilles dressées, je me tournais regardant derrière moi, oui, il avait raison, les équidés étaient auprès d’eux, certains poulains jouaient, et je vis l’un des petit poney percuter une patte d’un garde. Le soldat baissa la tête, souriant au poulain avant de frotter sa crinière avec son sabot.

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La Furry
La Furry : #44416
AuRon02 décembre 2016 - #44405
Oh lala ^^ à chaque fois que tu traites des changelins, je ne suis pas déçu. J'ai hâte de lire la suite : )
Merci. la suite et fin de arc 1 sont fini, mais j'ai pas eu le temps de les postés, désole. je vais essayer de régularise ça.
Il y a 1 an · Répondre
AuRon
AuRon : #44405
Oh lala ^^ à chaque fois que tu traites des changelins, je ne suis pas déçu. J'ai hâte de lire la suite : )
Il y a 1 an · Répondre
Ponycroc
Ponycroc : #43770
Enfin je fais ce commentaire ^^.

Alors comme je te l'avais déjà dit sur le discord, j'aime beaucoup ta fiction. L'histoire du changelin est prenante dès le début et les personnages qu'ils rencontrent le sont tout autant. Les relations s'installent très vite, mais ce n'est pas déplaisant, même si on voudrait en voir plus. J'imagine que sur le long terme, ça sera le cas. Tu donnes beaucoup de description sur les mouvements en les montrant très tactile, cela leur donne un côté animal en réalité, ce qui n'est finalement pas une mauvaise chose pour faire un parallèle avec les poneys.

Alors j'attends encore de voir comment se passera son travail et si tu penses parler des autres reines, ainsi que de leur ruche. J'imagine que tu souhaites laisser une part de mystère pour ne pas directement tout balancer, donc je me contenterai d'attendre.
Il y a 1 an · Répondre
La Furry
La Furry : #43766
Acylius09 novembre 2016 - #43765
Attention, tu as tendance à souvent utiliser l'imparfait là où il faudrait du passé simple.
ok, merci, je vais faire attention
Il y a 1 an · Répondre
Acylius
Acylius : #43765
Attention, tu as tendance à souvent utiliser l'imparfait là où il faudrait du passé simple.
Il y a 1 an · Répondre

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