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Un Recueil De Poèmes

Une fiction écrite par GrifDaraconis.

Assurance

Partir

Je ne suis pas fait pour ce monde,

Je suis trop faible pour lui,

Il finira par me tuer.

Equestria semble bien

Pour m’accueillir à bras ouvert.

Là-bas, tout n'est que paix et joie

Harmonie et amitié.

Vivre paisiblement

Aux côtés d'amis proches,

Tel est mon rêves fou.

Peut-être un jour...

Là-bas, tout n'est que paix et joie

Harmonie et amitié.

Le chant de Luna

Je dors d'un sommeil sans rêve

Sur bois et carton

En dessous d'un pont.

Soudain d'une voix suave

Retentit un chant :

« N'ai peur mon enfant

Je t’emmène dans un monde

Où toutes tes peurs,

Toutes tes horreurs,

N'y seront plus à la ronde. »

J'ouvre grand les yeux

Luna, la déesse

De la nuit, Princesse

Des nocturnes cieux,

Est à mes côtés.

Âme maternelle

Semblant irréelle.

Choisi j'ai été

Comme d'autres enfants

Orphelins et mendiant :

Les enfants de la nuit.

Elle est partout

Elle rigole elle sautille partout

Pinkie pie, elle est partout

Sur terre dans les airs, sous mes yeux dans ma tête

Elle remplit mon esprit de rire de sourire de fête

D'un joyeux chaos délirant

ET BON SANG QUE J'ADORE ÇA !

Hommage aux princesses

Celestia, princesse alicorne du jour

Tu lève le soleil, réchauffe nos esprits.

Luna, princesse de la lune et de la nuit

Dans nos rêves fou, tu répand tout ton amour.

Par votre amour vous nous protégez des ténèbres

Vous êtes adorées dans tout Equestria

Étant des déesses, vous précédez nos pas

Qui nous amènent à la lumière, loin des ombres.

La défaite de Celestia

Je vis devant moi

La créature céleste 

Succomber au chaos 

Elle s'effondra 

En larmes devant l'horreur

Qui brisa son âme 

La divinité 

Tordue ricanait devant

Cette déchéance

La vue pathétique 

De la déesse vaincue 

Me brûle le cœur 

Son corps se soulève 

Une haine plein les yeux 

Je suis déjà mort 

La défaite de Luna

J'ai été vaincue

Je sens en moi les ténèbres

Prendre le contrôle

Les larmes brûlaient

Mon visage, emportant mon

Esprit peu à peu

Mon âme mourrait

Tuée par la corruption

Réduite à néant

Je suis vide, morte

Ma pureté dégouline

De mon âme morte

Mon corps bouge seul

Commet des actes atroce

Je n'existe plus

Octavia

Ma chère Octavia

Tu me charme de ton violoncelle

Ses sons graves raisonnent dans ma tête

M'hypnotisent de par leurs grâces

Tel un chant de sirènes

Me privant de ma volonté

Me rendant ton esclave

Dépendant de ta musique

Je bois chaque note comme une liqueur

M'enivrant de leurs beauté et de la tienne

Je t'aime Octavia.

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