« Soyez les bienvenus, amis terriens !
Ne soyez pas timide, rapprochez-vous encore un brin !
Mon frère et moi sommes très heureux de vous accueillir
Dans le but de réaliser votre plus cher désir
Vous verrez, vous ne le regretterez point.
Tout poney aime le voyage, l’aventure
On ne peut rien y faire, c’est dans notre nature.
Mais qu’il est triste de constater
Que sans corne ni aile, jamais vous ne pourrez
Aller voir de plus près le bleu de l’azur.
Quelle injustice de voir comment
Les pégases se baladent impunément
Sur notre terre, au gré de leurs envies.
Mais hauts les cœurs !
Car nous avons trouvés, oh bonheur !
Un sort qui changera votre vie.
Grâce à lui, pendant une journée entière
Vous pourrez visiter sans aucune galère
Cloudsdale, la cité des nuages.
Les cirrus seront aussi durs que la roche,
Vous permettant de marcher sans anicroches
Sur ces surfaces blanches et sauvages.
Ceci est une exclusivité !
Nulle part ailleurs vous ne le trouverez !
Ce sortilège est notre création
Sabot de fée est son petit nom ! »
Leur chanson achevée, les frères Flim et Flam firent une révérence gracieuse, recueillant avec un plaisir non feint les applaudissements de la foule qui s’était amassée autour d’eux. Dotés d’habits aussi élégants que ridicules, les deux jeunes étalons affichaient des sourires affables et apaisants, propre à rassurer leur clientèle venue de très loin pour profiter de leurs services, le lieu du rendez-vous en rebutant plus d’un.
Il était encore tôt, et le soleil estival ne suffisait pas encore à réchauffer l’air de la campagne toujours empreint de rosée. Néanmoins, la couleur pure du ciel et l’absence de nuage à l’horizon supposait une journée à venir forte agréable, du moins si les pégases en avaient décidés ainsi. Non loin de là, plusieurs poneys s’affairaient autour de neuf montgolfières de grandes dimensions, le ronflement des brûleurs accompagnant harmonieusement le sifflement des oiseaux.
Incapable de s’en empêcher, Cherilee regardait avec appréhension les toiles se tendre et s’élancer progressivement vers les cieux. Étudiante assidue à l’école des instituteurs, la plupart des lois de la physique n’avait aucun secret pour elle, si bien que le fonctionnement de ces machines non plus. À sa connaissance, aucun autre véhicule ne pouvait l’emmener à bon port avec un aussi bon taux de sûreté. Néanmoins le risque zéro n’existait pas, et même avec une météo clémente, la ponette au poil violet avait une chance sur…
Une violente gifle auto-infligée interrompit ses réflexions d’aérophobe. Non, il ne fallait surtout pas qu’elle y pense. Elle devait rester calme et ne pas paniquer car tout allait bien se passer !
Détachant violement son regard des montgolfières, la jeune jument reporta son attention sur la cinquantaine de poney qui l’entourait. Habitants de Manehattan pour la plupart, ces touristes étaient arrivés à Ponyville par le train de nuit avant de se mettre en marche vers le lieu qu’on leur avait indiqué, situé en rase campagne. Certains venaient de la classe moyenne, d’autres étaient assurément riches, mais tous partageaient deux points communs : Leur fièvre du voyage, et leur race.
Cherilee jeta un regard circulaire pour en être sûre mais ne vit pas le moindre équidé muni d’ailes ou de corne, les frères Flim et Flam exceptés. Étant donné la forme de service que proposaient ces derniers, cela n’avait rien d’étonnant, ce qui n’empêcha pas la ponette violette de se sentir mal à l’aise.
« Ça va Chéri ? lui demanda soudain une petite voix. Tu es toute pâle !
-Oui, oui je vais bien AJ mais s’il te plait arrête de m’appeler comme ça en public, les gens pourraient se méprendre. » La jeune pouliche qui se tenait bien droite à ses côtés fit un instant la moue avant de reprendre : « D’accord, seulement si toi aussi tu m’appelles par mon nom !
-Très bien.
-Très bien qui ?
-Très bien Applejack.
-Ouiiii ! » Son exclamation s’étant un peu trop entendue, la jeune Apple eut droit à plusieurs regards sévères qui la contraignit à un repli stratégique derrière le flanc de son accompagnatrice.
« C’est vraiment bizarre, il n’y a que des poneys comme nous ici, finit-t-elle par chuchoter. Où sont les pégases ? Où sont les licornes ? Ça ne les intéressent pas de visiter Cloudsdale ?
-Si bien sûr, mais ils n’ont pas besoin de venir avec nous pour en être capable. Tu n’as pas écouté la chanson ?
-Si je l’ai écoutée, soupira Applejack. Mais je l’ai trouvée vraiment nulle, alors je n’ai pas prêté attention aux paroles. » Cherilee dut se retenir de rire en voyant à quel point la jeune fermière ne se gênait pas pour dire la vérité.
« Bien, mon frère et moi allons sans plus tarder lancer notre enchantement ! annonça le moustachu d’une voix claire. Mais avant cela nous aimerions que chacun d’entre vous enfile ceci ! » Il ouvrit alors un des trois coffres se trouvant devant lui et porta bien haut ce qui semblait être une paire d’aile reliée par un mince fil de fer. Face à l’incompréhension de son auditoire, il s’expliqua alors que son frère entamait la distribution : « Vous devez sûrement vous douter que les pégases de Cloudsdale risquent d’avoir un choc en voyant les terrestres que vous êtes fouler impunément leurs nuages. Or même si nous sommes dans notre droit, il vaudrait mieux faire profil bas et se fondre dans la masse afin d’éviter tout débordement. Mais rassurez-vous : Ces ailes postiches ont été fabriquées par nos soins et nous nous portons garants de leur qualité tout comme de leur confort ! » Ces mots, prononcés sur ton léger et apaisant suffirent à persuader l’essentiel des terrestres présents qui enfilèrent leur costume avec un enthousiasme presque enfantin. Seule Cherilee demeura immobile, oscillant entre la moquerie et la méfiance. Se grimer en pégase, que signifiait donc cette mascarade ?
Troublée, elle n’eut pas le temps de retenir Applejack qui se précipita vers l’un des coffres débordants de plumes colorés, recherchant activement un équipement susceptible d’aller avec son pelage citrouille. La jument à la cutie mark fleurie hésita un instant à rejoindre sa protégée, mais son regard fut subitement attiré par un étrange manège : Les frères Flim Flam, un vieux grimoire de magie maintenu par lévitation à hauteur de leurs museau, discutaient bruyamment. Apparemment, son contenu ne faisait pas l’unanimité au sein de la fratrie qui haussait progressivement le ton jusqu’à ce que plusieurs têtes interloqués finissent par se tourner vers eux. Dès lors, le conflit cessa aussitôt. « Ce n’est rien ! Nous préparons simplement le sortilège ! » Et joignant le geste à la parole, les deux étalons prirent leur position de part et d’autre du groupement de poneys.
« Tiens Chéri… Lee ! J’ai trouvé une paire de la même couleur que ton pelage, tu l’enfiles ? » Constatant qu’elle était la seule encore sans déguisement et que tout le monde l’attendait, Cherilee mit de côtés ses doutes et enfila ce que lui tendait la pouliche au crin blond. Ce geste à peine effectué, un crépitement caractéristique commença à envahir l’espace qu’occupait la demi-centaine de poneys terrestres. Certains commencèrent à murmurer d’inquiétude en sentant l’air saturée par la magie s’agiter autour d’eux, ceci sans vraiment comprendre que les deux jumeaux cornus en étaient à l’origine.
L’opération ne dura pas plus d’une minute, et comme il fallait s’y attendre, aucun effet notable n’était visible ou perceptible chez les ensorcelés. Seul un contact avec les nuages permettrait de vérifier l’efficacité de l’enchantement, si bien que beaucoup parurent déçus face à cette magie dénuée de sensationnel. Pour sa part, ayant fréquenté dans leurs quotidiens de nombreuses licornes, Cherilee ne se formalisa aucunement de cette absence de spectaculaire, seul lui importait le résultat.
« Le payement ayant été effectué d’avance, nous allons vous laisser avec nos confrères qui vous transporterons jusqu’à Cloudsdale ! annonça à haute voix l’une des licorne au pelage jaune. Mettez-vous simplement en rang et allez les rejoindre auprès des montgolfières, ils vous feront embarquer. Mon frère et moi vous souhaitons un agréable voyage ! » Et sans prendre la peine de vérifier le bon déroulement du décollage, les deux frères montèrent dans une étrange machine qui fila sur la petite route de campagne en pétaradant, direction Ponyville.
« Je veux prendre la rouge, je veux prendre la rouge ! » Applejack voulu foncer vers le ballon correspondant à cette couleur, mais elle fut cette fois-ci rudement stoppée par son ainée au poil violet. L’écartant sans ménagements du reste de la troupe, Cherilee vérifia que personne ne l’écoutait avant d’engager ses réprimandes. « Petite Apple, peux-tu me rappeler pourquoi tu es ici ?
-Euh… Parce que tu avais besoin d’une enfant pour t’exercer aux sorties scolaires ? répondit après une hésitation la pouliche, ses yeux fuyant le regard fâché de l’adolescente.
-Non, c’est parce que tu n’as cessé de me harceler ces dix derniers jours pour que je t’emmène avec moi, tout cela parce que tu n’es pas capable d’occuper tes vacances !
-Ce n’est pas ma faute si toutes mes amies s’en vont durant l’été ! » Répliqua Applejack pour sa défense. Son interlocutrice ouvrit la bouche, mais se résigna à renchérir. Après tout, ce n’était qu’une enfant, encore dominée par ses passions et inconsciente du monde qui l’entourait. Crier ne servait à rien, la seule solution viable étant de faire preuve de patience, de beaucoup de patience.
« Écoute-moi bien, Applejack. J’ai été faible sur ce coup, mais j’ai accepté d’être ton accompagnatrice lors de ce voyage à l’unique condition que tu ne me poses aucun tort. Or ton comportement n’est pas acceptable, et je suis encore susceptible de te ramener illico à Ponyville si celui-ci n’est pas corrigé. Réfléchis y bien car il n’y aura pas d’autres avertissements, compris ?
-Oui Cherilee, je suis désolée Cherilee, répondit la pouliche orange avec une touchante sincérité.
-Bien. » Satisfaite de sa réponse, la jeune étudiante poussa gentiment sa protégée vers le bout de la file.
Cette dernière avait déjà bien diminuée, l’essentiel des poneys qui la composaient ayant embarqués dans les neuf nacelles à leur disposition. Les brûleurs en pleine activité émettaient une odeur de roussi fort désagréable, agressant les naseaux sensibles des terrestres situés en dessous d’eux. En attendant leur extinction, beaucoup avaient finis par poser un sabot ou un mouchoir sur leur museau. Le coordinateur de l’embarquement, un étalon baraqué muni d’épaisses lunettes de soleil semblait pour sa part insensible à ce genre de désagrément, comme si l’habitude lui permettait d’ignorer les signaux olfactifs reçus. Debout au-devant de la file, il tenait une liste sur laquelle était soigneusement notée l’identité de chacun de ses passagers avant qu’il ne leur indique le ballon dans lequel ils devaient monter.
Arrivées à sa hauteur, avant même d’avoir pu dire un mot, les deux ponettes le virent lever la patte en signe de rejet. « Désolé jeune fille, dit-il d’un ton apathique à l’adresse de la plus vieille. Je ne transporte pas les enfants, vous allez devoir rester ici.
-Mais c’est injuste ! cria Applejack, révoltée devant cet obstacle inattendu avant de pointer du sabot plusieurs poulains installés dans les montgolfières. Je suis à peine plus jeune qu’eux, alors pourquoi en ont-ils le droit ? C’est parce que j’ai le flanc vierge c’est ça ?
-Tais-toi AJ ! la sermonna Cherilee tout en adressant des regards désolés au passeur. Veuillez l’excuser monsieur, elle souhaitait tellement visiter Cloudsdale qu’elle ne sait pas ce qu’elle d…
-Vous êtes un escroc ! Vous êtes un voyou ! Vous êtes un voleur ! » Comprenant qu’il n’y avait dès lors plus rien à tenter, la jument au poil violet attrapa la pouliche injurieuse et s’éloigna sous le regard ulcéré de l’étalon.
D’abord surprise, la cadette des Apple émit quelques cris de protestations en se débattant, puis finis par fondre en larmes. « C’est… C’est pas juste ! dit-elle entre deux sanglots. Pourquoi la vie est si cruelle avec nous ?
-Allons, ne dis pas ça ma chérie ! lui répondit Cherilee d’une voix apaisante. Nous n’avons pas eu de chance aujourd’hui, c’est tout. Mais ne t’inquiète pas : Justice est sur le point de nous être rendue…
-Tu as raison Cherilee ! s’exclama la jeune fermière, brusquement ragaillardie. Mes parents détestent les commerçants malhonnêtes, et quand je leur dirais ce que ce stupide étalon nous a fait, ils viendront lui botter la croupe avant d’exiger une grosse réparation !
-Oh, je ne pense pas qu’on ait besoin d’en arriver jusque-là… » Applejack ne comprenant pas où son accompagnatrice voulait en venir, celle-ci attira son attention sur un poney à la robe brune qui semblait les attendre près du chemin. Juste à ses côtés, un objet ovoïde de couleur rouge flottait au gré du vent. « Ce n’est pas… commença-t-elle sans vraiment y croire.
-Si si, c’est bien ça. » Au comble de l’extase, la pouliche galopa aussi vite que ses petites pattes le lui permettaient avant de sauter au cou de celui que tout le monde appelait le docteur Hooves. Ne prêtant aucunement attention aux montgolfières qui décollaient sans remords derrière elle, la ponette au crin indigo s’empressa de les rejoindre, le sourire aux lèvres.
Arrivée à portée de voix, Cherilee héla son ami qui peinait à maintenir à la fois son ballon et la petite jument attachés à lui. « Vraiment tu me surprendras toujours, Hooves ! Comment as-tu su que nous serions rejetés ? » L’étalon se contorsionna pour déposer avec douceur Applejack au sol, puis répondit avec un sourire moqueur : « Il y a deux réponses à cette question, celle du cartésien et celle du prestidigitateur, laquelle veux-tu entendre ?
-Celle du prestidigitateur, bien sûr !
-Eh bien, comme le temps n’a aucun secret pour moi, je connaissais la tournure des évènements bien avant qu’ils ne surviennent, ce qui m’a permis d’agir en conséquence.
-Mouais, pas très convaincant… Et la réponse du cartésien ? face au scepticisme de l’adolescente, le poney incroyablement mature pour son âge émit un soupir faussement attristé.
-Sachant que le responsable de cette compagnie de transport avait été dans sa jeunesse un persécuteur de flanc vierge, c’était dès lors facile de deviner qu’il vous refuserait à son bord…
-Ah, j’avais raison ! s’exclama la pouliche au poil orange. Je savais que ce poney était un c…
-Eh oh, on se calme avec les injures… Même si elles sont parfaitement justifiées ! » L’arrêta brusquement Cherilee. Un temps passa alors durant lequel la jeune Apple se satisfit en lançant des regards noirs vers l’aérostat de tête que pilotait son nouvel ennemi.
« Bon, finit par reprendre le docteur Hooves. Je ne voudrais pas vous presser mais les courants porteurs ne vont pas vous attendre éternellement ! Montez dans ma montgolfière que je puisse vous montrer son fonctionnement. » Les deux femelles s’exécutèrent avec un enthousiasme difficilement contenu. Alors que les autres terrestres avaient dû s’entasser pour pouvoir rentrer à l’intérieur de leurs nacelles, Applejack et Cherilee disposaient, elles, d’un espace confortable dans ce panier d’osier conçu pour transporter un couple de poneys adultes. Comme quoi, une situation désolante au premier abord pouvait rapidement tourner à leur avantage !
L’étalon au poil marron expliqua brièvement le fonctionnement du brûleur à l’odeur nettement moins désagréable, puis conseilla à la jument violette de suivre les autres montgolfières. « Ils savent ce qu’ils font et où aller, tu auras juste à calquer ton altitude sur la leur et vous atteindrez sans problème Cloudsdale. » Son interlocutrice hochant affirmativement la tête, Hooves parut chercher dans sa mémoire une ultime recommandation qu’il aurait pu omettre. Quelques secondes plus tard, il tendit avec un sourire rassurant le sac à dos blanc posé jusqu’alors près de la nacelle. « Il y a des pilules contre la nausée dans la poche de gauche, dit-il en clignant de l’œil. N’hésite surtout pas à te servir !
-M… Merci Hooves, répondit-elle en rougissant légèrement. Comment te revaudrai-je cela ?
-Je ne sais pas, peut être en… » Troublé, l’étalon s’interrompit en voyant que Cherilee se penchait vers lui. Il n’eut pas le temps d’émettre le moindre son que déjà l’adolescente posait ses lèvres sur les siennes, l’embrassant langoureusement. Dégoutée par ce geste qui dépassait de loin son degré de compréhension, Applejack s’empressa de détourner le regard tout en grimaçant.
« À la prochaine, beau brun ! » Lâcha la jeune jument en guise de salue à l’adresse du mâle écarlate tandis que le ballon de même couleur débutait son ascension.
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À propos de "aucuns secrets". Je comprends que tu veuilles parler de plusieurs secrets qui sont absents (donc il t'a sans doute semblé logique de mettre des "s"). Moi aussi je le pensais autrefois. Mais la négation en français ça ne marche pas comme ça. Quand on dit qu'il n'y a aucun secret, on parle du fait qu'il n'yen ait ne serait-ce même pas un seul. Donc à quoi bon parler de plusieurs secrets si on est certain qu'il n'y en ait pas un seul?
Bref... une explication logique du pourquoi du comment à propos du fait que "aucun" est un adjectif invariable. Donc s'il-te-plait retire-moi ces "s", c'est moche à voir.
Apparemment la lecture a plu, c'est vraiment dommage que je n'ai pas pu y assister...
J'accepte sans hésiter la proposition de live, le second chapitre étant déjà quasiment terminé j'attendrai vendredi prochain pour le publier en cas d'une lecture (par contre je n'ai pas de micro).
Pour la question de @Hotep , l'idée de cette fic ne m'est pas venu des événements terroriste, consciemment du moins (d'ailleurs je viens juste de me rendre compte de cette similitude)
Encore merci, c'est juste génial !
EphelI
Les personnages sont vraiment attachants ( pour cette introduction ) et je trouve que leur comportement convient parfaitement, et oui Docteur Hooves est particulièrement bien retranscrit pour un kaméo, c'était frais de ne pas le voir en vrai docteur bien insistant. Là, la référence passe toute seul sans nous être tartinée au visage et c'est vraiment agréable.
Le style différent pour la chanson au début également était bien. :)
Juste une question, est-ce que ta fic "s’inspire" ou est en réaction aux événements récents qui ont secoué l'Europe ?
Du coup @Ponycroc serait intéressé de te voir durant un live pour que tu puisses parler de ta fiction, peut-être pour la lecture de ton chapitre deux. ;)