Dans tout l'Empire des licornes, on ne parlait que d'elle. Beaucoup de rumeurs et de théories des plus farfelues couraient sur son compte. Personne, à part ses malheureuses victimes, n'avait vu son visage. Elle était devenue une légende vivante, enfin presque car personne ne pouvait égaler l'orgueilleuse impératrice Twilight. Ce poney répondait au nom de Pearl, mais tout le monde la surnommait la Perle Rare de la Luxure car ils avaient tous peur de finir comme une vulgaire marionnette si jamais ils osaient prononcer ce nom. Elle était crainte et détestée de tous, surtout par les juments qu'elle avait dépouillé de leur amant, car les étalons étaient attirés par elle comme un bout de fer est accroché par un aimant.
Dans tout le pays, on disait que cette licorne possédait une beauté enchanteresse, égale au plus beau des rubis du royaume d'Equestria. Elle serait si belle que les Déesses en seraient profondément jalouses et dans certaines versions, celles-ci lui auraient jeté une malédiction, la pire qui puisse être : elle ne pourrait jamais trouver l'Amour de sa vie, d'où son errance d'un mâle à l'autre. Mais encore personne n'avait pu confirmer cette histoire car aucun étalon qu'elle avait un jour croisé n'était sorti de cet étrange et immense manoir qui lui servait de demeure.
Il y avait vent également d'un bien sombre récit sur le dos de cette licorne inconnue. A ce que l'on raconté, cette jument aurait passé un pacte avec les démons, ou bien elle serait elle-même la fille du Roi des Démons, et elle aurait obtenu, suite à cela, une nouvelle paire de yeux : des yeux rouges qui lui permettrait d'envouter n'importe quelle créature, qu'importe quelle soit un poney ou non. Cette rumeur-ci tenait debout pour la plupart des habitants de la cité, mais les religieux de l'Eglise des Emeraudes ne cessaient de dire que tout ceci était entièrement faux, que ce n'était qu'un simple canular et qu'il ne fallait pas jouer avec les mots qu'utilisaient les licornes car parlait des Dieux ou même des Démons était un péché, un crime qu'ils n'emporteront pas au Paradis.
Plusieurs fois, les religieux s'étaient rendus à la rencontre de Pearl pour tenter de l'arrêter et ils avaient beau essayé de l'aider de se repentir de son abominable péché, ils finissaient comme tous les autres. Ils avaient pourtant tenté tous les moyens possibles, se protégeant avec tout et n'importe quoi, passant par la croix ou même les oignons et l'ail, mais rien n'y faisait. C'était impossible car même en essayant de lui donner des coups dans le dos, elle semblait protégée par une force mystérieuse, une force bien plus puissante que de la simple magie.
Pearl était devenue le suppôt de Satan.
Ce dimanche-là, il faisait bon et chaud. Les pégases avaient bien fait leur boulot, pour le coup, car maintenant que la nourriture revenait en grande quantité, ils reprenaient peu à peu leurs forces. Il n'y avait aucune raison de chercher la guerre au clan d'à côté et tout le monde étaient contents car, même s'ils ne l'auraient jamais avoué, c'était reposant de faire son travail sans s'occuper de celui du voisin. On aurait presque pu croire que les trois peuples vivaient en parfaite harmonie, mais il ne fallait pas trop rêver non plus.
Pearl adorait plus que tout les jours de marché. Il y avait toujours de belles choses à acheter et c'était surtout le meilleur moyen pour elle d'avoir son aventure du soir quand elle le pouvait. S'habillant de sa cape noire, cachant son magnifique visage dans son large capuchon, dissimulant avec le plus grand soin sa cutie mark et sa queue aux boucles parfaites sous les pans de son vêtements, ne laissant apparaître que son sublime collier, elle attrapa sa bourse en cuir où elle avait glissé une petite forture à l'intérieur. Elle était fin prête.
Elle quitta son manoir en forme bien étrange de carrousel et, comme d'habitude, une petite foule de jument criait sur son seuil des paroles vulgaires et des plaintes de pitié qu'elle n'écoutait pas.
- Rendez-moi mon mari, vile sorcière ! s'exclama une des licornes attroupées près de sa demeure.
- Je devais me marier et vous avez tout gâché, pleurnicha Fleur De Lee, les sabots sur son visage inondé de larmes.
Un sourire s'invita sur le visage de Pearl. Elle était si contente de les voir souffrir comme elle avait souffert dans la passé. Ne pouvant pas traverser son allée, la demoiselle illumina sa corne d'un halo bleu et les pauvres licornes abandonnées à leur triste sort cessèrent alors de crier et s'en allèrent aussi vite qu'elles étaient venues. Ah, le sort d'amnésie, le meilleur d'entre tous et surtout le plus utile.
Enfin débarrassée de cette foule, Pearl se rendit joyeusement vers la Grande Place, là où se tenait habituellement le marché. Ce lieu était toujours riche de vie et d'entrain. On entendait à tout le temps les vendeurs qui présentaient leurs articles à grands cris, les poulains jouer entre eux avec leurs billes ou leurs cordes à sauter, les gardes passer et repasser pour s'assurer que rien d'anormal se présentait, le son de la grosse cloche de l'Eglise sonnait ou encore cet enfant qui jouait toujours un morceau de musique avec son grand-père pour gagner un peu d'argent. Mais ce que la jument aimait le plus était de loin la fontaine. Celle-ci se trouvait au beau milieu de tout et entendre les clapotis de l'eau était relaxant, reposant.
Comme à chaque fois qu'elle s'y rendait, la mystérieuse Pearl se posa sur les rebords de la fontaine et comme toujours, ceux ou celles qui étaient déjà assis à ce même endroit se sauvèrent au plus vite, mais en restant toutefois aussi discrets que des ombres, de peur de subir à leur tour le sortilège qui avait condamné trop de poneys.
Elle soupira. Elle n'était pas triste de se retrouver seule, loin de là, elle préférait être seule que mal accompagnée, mais ces licornes étaient franchement idiotes. Pour leur faire subire son charme, il fallait apercevoir ses yeux ou son visage et entendre le son de sa voix. Mais être crainte de la sorte l'amusait.
Il régnait, ce jour-là, une délicieuse odeur de quatre-quarts au citron. Pearl n'avait pas vraiment faim mais cette odeur si alléchante la poussa à se lever et à se diriger vers le stand en question. A peine se fut-elle levée qu'on se précipita pour reprendre place autour de la source en évitant soigneusement l'endroit où elle s'était posée. Levant les yeux au ciel, elle ne se préoccupa pas plus de cela. Durant son très court trajet, les licornes l'évitaient, marchant très loin d'elle. Même ceux qui faisaient la queue devant le stand s'en allèrent en vitesse. Seul le vendeur resta, mais il n'avait rien à craindre : il était aveugle
- La prochaine fois, venez quand il n'y a pas de client, bougonna-t-il en lui servant une part de gâteau, n'ayant pas besoin de savoir pourquoi tout le monde avait déguerpi. Vous faites fuir toute ma clientèle et ce n'est pas bon pour les affaires, v'savez.
- J'essayerais de m'en souvenir, répondit Pearl en s'en allant, jetant trois pièces sur le comptoir.
Et tandis qu'elle partait loin du marchand de pâtisserie, les autres refirent la queue mais n'achetant pas de quatre-quarts au citron, effrayés par l'idée qu'il puisse être contaminé bien qu'elle n'en avait même pas touché une part, sauf la sienne. En tout cas, elle se régalait et en dégustait chaque petite miette. Un vrai plaisir pour les papilles et tant pis pour eux s'ils étaient trop peureux pour se risquer à y goûter.
Alors qu'elle s'apprêtait à dévorer la toute dernière bouchée, un ballon atterrit en plein dans l'eau de la fontaine. Heureusement pour elle, sa cape la protégea totalement car qui sait ce qui aurait pu se produire si on l'aurait mouillé. Par contre, son gâteau, lui, n'avait pas survécu à cette attaque surprise et pour le moins déplaisante. Dommage, mais pas de quoi se mettre en colère pour autant, les oiseaux se feront un plaisir de le picorer plus tard... Le jetnt tout simplement par terre, elle regarda l'arme du crime.
Pearl fit léviter la grosse balle rouge vers elle et l'attrapa dans ses sabots blancs. A qui pouvait-il appartenir ? Lorsqu'elle appela le propriétaire, personne ne lui répondit. Bon, c'était quand même évident. Qui aurait eu le courage d'aller le chercher par soi-même alors que celle qui le tenait entre ses pattes n'étaient d'autre qu'une redoutable sorcière ? Peut-être que le garnement attendait qu'elle le pose pour aller ensuite le reprendre quand elle serait assez loin. Mais elle n'allait pas lui offrir cette chance, après tout il avait bien gâché son moment de plaisir en lui envoyant de l'eau, même s'il ne lui restait plus qu'un infime morceau de cake. Il devrait quand même payer pour ça, même si c'était certainement purement involontaire.
- Très bien, alors si ce ballon n'est à personne, je le prends avec moi, annonça-t-elle assez fort à l'annonce de son propriétaire qui n'avait toujours pas montré le bout de son museau. Je suis sûre que lui et moi allons bien nous amuser.
Comme pour mimer ses paroles, Pearl fit rebondir deux ou trois fois la balle sur sa croupe, puis elle le fit atterrir à ses pattes. Elle entendit des chuchotements sur sa droite ainsi que des petits reniflements discrets. Se retournant vers la source de ces bruits qu'elle trouvait particulièrement agaçant, elle remarqua qu'il s'agissait de trois petits poneys, les deux plus grands encadrant d'un air menaçant le minuscule enfant presque ratatiné sur lui-même.
- Allez, vas le cherche ton joujou, ricana le poulain aux couleurs sombres en envoyant le petit vers son frère.
- T'as pas le courage de le faire, pas vrai ? lança le second en faisant de même, riant de plus belle alors que la licorne éclatait en sanglots. T'es qu'un bébé gâté et poule mouillée de toute façon.
Perl était peut-être insensible au fait qu'elle volait tous les époux des habitantes de l'Empire, mais elle ne s'en prendrait jamais de la sorte à un enfant. Hors, ces brutes épaisses, s'attaquer à plus petit qu'elles et elle détestait cela. S'approchant furtivement des deux garnements, elle les attrapa par surprise, les tenant par la peau du cou.
- Cessez donc votre petit manège malsain et lassez ce petit bonhomme tranquille, ordonna-t-elle ne les regardant tour à tout, en colère.
Les deux licornes perdirent à cet instant leur soi-disant courage ainsi que la faculté de parler. Ils ne cessaient de trembler et de balbutier des paroles incompréhensibles. L'un d'eux, sûrement sous le coup de la frayeur, se lâcha complétement et son urine coula tout le long de ses pattes arrières.
- Je ne veux plus que vous veniez l'embêter et si jamais je vous revois en train de lui jouer un mauvais tour, vous entendez parler de moi, menaça Pearl en laissant les deux enfants s'enfuirent en pleurant après les avoir bien secoués comme de vulgaires pruniers.
Elle était satisfaite d'elle-même et chercha le poulain au ballon. Il s'était caché entre une grosse poubelle remplie à ras-bord de déchets et un stand de jouet en bois.
- Tiens, je te rends ce qui t'appartiens, lui dit-elle en lui offrant sa balle.
Celui-ci l'attrapa, d'abord méfiant puis en prenant confiance. Elle s'éloignait déjà avant qu'il ai pu la remercier.
- Attends, madame ! appela-t-il en sortant de sa cachette. Pourquoi t'es gentille avec moi .
- Pourquoi ne le serais-je pas ? demanda la jument. Tout le monde a bien le droit à un coup de sabot ?
- Mais t'es la Perle Rare de la Luxure, non ? Et on dit que t'es méchante, répondit l'inconnu. Et pourtant, t'as pas l'air si méchante que ça.
Pearl réfléchit à ses paroles. Il est vrai qu'elle était du genre insensible, mais elle avait un respect total avec certaines lois. Il ne fallait pas croire non plus qu'elle était une délinquante ou quoi que ce soit d'autre.
- Disons que je suis méchante avec certaine personne, notamment avec celles qui m'ont fait du mal, expliqua-t-elle le plus simplement possible, ne voulant pas parler de sa vie privée à un gosse.
- Donc tous ceux que t'as emprisonné dans ta maison, ils étaient méchants avec toi ? Tu crois que c'est une bonne vengeance ? insista le petit poulain en continuant de la suivre.
- Je crois que tu es surtout trop jeune, soupira la blanche. Tu ne peux pas comprendre.
- Quand je serais grand, alors, tu me racontera ? interrogea l'enfant, presque avec espoir, toujours collé à ses talons.
- Heum... oui... d'accord, accepta Pearl, un peu mal à l'aise, qui ne comprenait pas pourquoi la licorne s'obstinait autant à rester avec elle sans même qu'elle l'eut ensorcelé.
Elle accéléra un peu le pas pour pouvoir le semer, mais c'était tout aussi pure que s'il elle avait du miel au postérieur.
- Attends ! s'écria-t-il de nouveau, hors d'haleine.
- Qu'est-ce qu'il y a encore ? demanda la jument encapuchonnée en s'arrêtant et se tournant vers lui, ne dissimulant pas l'agacement qu'elle ressentait.
- J'ai faim, dit le petit.
- Ce n'est pas à tes parents que tu dois dire ça, normalement ? questionna-t-elle en trouvant ce personnage plutôt malpoli.
Il baissa la tête, sa crinière brune masquant sa tête tachée de brun et de blanc. Il marmonna quelque chose d'inaudible.
- Peux-tu répéter ? interrogea Pearl en tendant l'oreille.
- Je n'ai plus de papa, ni de maman, répéta le poulain en levant des yeux graves vers la jument qui remarqua alors de grosses larmes.
La licorne se sentait coupable d'avoir abordé un sujet sensible alors, pour essayer de se faire pardonner, elle lui demanda ce qu'il désirait pour son quatre heures puis ils se dirigèrent vers le marchand de confiserie. Comme pour le stand de pâtisserie de l'aveugle, les poneys se sauvèrent au plus vite quand ils les aperçurent.
- Alors, qu'est-ce que tu veux ? demanda Pearl en ignorant totalement les commentaires des passants sur le fait qu'elle était un enfant.
Ils pouvaient dire tout ce qu'ils désiraient, elle savait qu'elle n'avait pas ensorcelé ce gosse pour l'emmener dans son lit. Elle n'était pas si folle et ne tenterait pas une expérience comme celle-ci même si elle était payée. Enfin... tout dépend la somme...
L'enfant prit un gros sachet de nougat et une sucette bon marché. Pearl paya les sept pièces et ils allèrents s'assoir sur un banc près de la rue marchande, à côté du bar-musique de Vinyl Scratch.
- Tu te régale ? dit la jument blanche au bout d'un moment.
- Oui, tu veux un nougat ? proposa-t-il en lui tendant un morceau.
La licorne immaculée accepta.
- Tu ne m'as pas dit ton prénom, rappela-t-elle en se rendant compte qu'elle ne savait pas ce détail.
- Mon nom à moi, c'est Corn, se présenta se dernier. Et toi ?
- Quoi, moi ? Tu sais bien que je suis Pearl, rétorqua la blanche un peut trop brutalement.
- Je sais que ce n'est qu'un pseudonyme, je ne suis pas bête. Qui serait assez bête pour donner sa vraie identité alors qu'il fait de mauvaises choses, même par vengeance, lança-t-il la bouche pleine. Et puis, pourquoi te cacherais-tu, dans ce cas, si tu te nommais vraiment "Pearl" ?
Elle devait bien avouer qu'il était plus intelligent qu'il n'y semblait. Cela la fit sourire.
- Ne t'occupe pas de mon vrai prénom, ça n'a pas d'importance, répondit alors Pearl.
Un blanc s'installa alors entre les deux compagnons.
- Tu veux savoir pourquoi je n'ai plus de parents ? dit alors Corn en finissant sa sucette.
Il jeta le bâtonnet près des poubelles communes et lança un cri victorieux quand celui-ci atterrit en plein dans celle de gauche. Pearl était perplexe. Pourquoi ce môme lui demandait-il cela comme-ci s'était un sujet facile à aborder ? Il devait bien y avoir une raison derrière cela et la jument était presque certaine qu'elle était liée dans cette histoire. Sinon, pourquoi lui poserait-il cette question ?
- Ben je te le dire, continua le poulain sans attendre la réponse de sa voisine. C'est toi qui m'a tout pris. Mon papa et ma maman vivaient heureux et puis un jour, papa et parti, comme ça, du jour au lendemain, sans prévenir. Il n'avait même pas pensé à prendre ses affaires. Maman était triste, elle savait que c'était toi, qui d'autre cela pouvait-il être à part la jument la plus redoutée de tous et de toutes ? Moi, je n'en savais rien. Du moins, jusqu'au jour où elle t'a crié dans la rue. Elle ne savait pas que j'étais caché car, normalement, je devais être à l'école ce jour-là. J'ai tout entendu... Et tu l'as envoyé baladé, tu ne lui as même pas répondu, à ma maman. Elle t'avait juste demandé ce que tu avais fait de mon papa, mais pas de réponse de ta part. C'était comme-ci tu t'en fichais. Après ça, maman était encore plus mal en point et quand je me suis réveillé pour aller à l'école, un matin, je l'ai retrouvé sans vie dans la cuisine.
Il sourit faiblement et serra contre lui sa balle. Une larme coula le long de sa joue.
- C'est tout ceux qui me reste d'eux. Ca et un déguisement trop petit, maintenant. Je n'avais pas beaucoup de cadeaux, durant les fêtes et mon anniversaire, car on manquait un peu d'argent.
Elle ne savait que dire, elle ne savait pas où se placer. Elle n'avait jamais voulu faire du mal à un enfant innocent, elle s'arrangeait toujours pour que les couples qu'elle brisait soient sans poulains... Alors, silencieuse, elle se leva et sans alla.
- Tu vas faire comme pour ma maman ? questionna-t-il. Tu vas me tourner le dos et te défiler, une fois de plus ?
Elle se stoppa et dit sombrement :
- Je ne suis pas courageuse et en voici la preuve. J'ai un cœur, mais il est brisé. Je suis désolée pour ce qui s'est passé avec at famille, mais le passé est le passé, je ne peux pas réparer ce que j'ai causé. Tu dois probablement me haïr et je comprends très bien ce que tu peux ressentir à mon égard.
- Bizarrement, non, je ne te déteste pas. Maman me disait toujours que les gens ne naissaient pas méchants, et je pense que ton cœur est simplement bien caché au plus profond de toi. Si tu veux être pardonnée de tes fautes commises, il te suffit simplement d'être gentille comme tu l'as été avec moi cet après-midi. Et si je devais te haïr comme tu déteste les poneys autour de toi, je serais aussi pourri que ton être.
Il n'ajouta rien et s'en alla. Pearl en fit de même, chacun dans une direction opposée. Elle ne comprenait pas ce gamin, il était étrange, à part... Elle rentra chez et se débarrassa de cette cape qu'elle trouvait à présent trop lourde, révélant au passage de longues boucles soyeuses. Se dirigeant d'un pas traînant qu'elle ne se connaissait pas, elle se demanda :
- Qui es-tu ? Pearl ou Rarity ? Qui a mal fait les choses ?
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C était une belle surprise quand j ai remarqué qu il y avait la suite de cette fic
Ca ma.donne envie de tout relire ^^
En tout toujours aussi intéressant comme d hab ;)