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Les histoires de la lame chantante

Une fiction écrite par valz.

La fin.... D'une aventure

Le Sugarcube Corner, un lieu de villégiature particulièrement coloré au sein des bâtisses et maisonnées de toutes sortes. Je pensais et j'étais assis là tranquillement sur une des chaises, dont la fabrication en masse ne pouvait pas en renier les origines, Manehattan.





Je pouvais le voir aisément. De par le fait que je sois un humain et que mon père, de nature norvégienne, m'ait enseigné les rudiments de la fabrication de meubles préfabriqués. D'autre part, les rainures, oui des rainures, mais attention pas n'importe lesquelles. Ces rainures d'une nature profonde et sinueuse ne pouvaient signifier qu'une seule chose… Celles de l'arbre dont elles ont été fabriquées. En effet les connaissances moyennes d'un ébéniste vous conforteront dans cette vérité. Car s'il ne vient pas du plan, la rigidité d'une chaise est avant tout un arbre dont les différent agencements permettent une conception dont le popotin d'un utilisateur pourra pleinement profiter. Pour tout vous dire, et afin de briser le suspense insoutenable auquel je vous soumets, la chaise était faite de chêne venant du bois d’à coté. Les distances sont si ténues de nos jours.



Je disais donc que cette chaise, loin d’être un banal bout de bois mal construit, soutenait maintenant mon divin corps depuis plus d'une demi-heure. Et à cela se rajoute une question fondamentale. Le temps, notion abstraire ou loi immuable de l'univers ? Je veux dire, regardons la vérité en face deux minutes. Le temps est avant tout une conception, une forme que donneraient les individus à une durée afin de justifier un avancement quelconque. Comme si les êtres vivants, au delà de leurs préoccupations diverses et variées, mais somme toute intéressantes, avaient le besoin profond de mesurer, quantifier et catégoriser tout ce qu'ils voyaient. Je ne renie pas ce fond de pensées, mais quand cela revient à comparer une chose abstraite, autant le faire avec du vent. Au moins cela pourrait procurer un véritable amusement avec le temps. Étrange paradoxe n'est-ce pas ?





Pour en revenir au sujet, car je sens que je vais diverger à la longue, le temps abstrait me paraît au final grossier. Pourquoi me direz-vous ? Alors qu'un débat pourrait aisément prendre place, j'ai réalisé et il faut le dire avec l'aide de Gummy mon fidèle sujet, que le temps, lui, avançait encore et toujours et par conséquent qu'il était là avant que nous existions. Formant donc dans l’inconscient collectif cette unité de mesure que nous connaissons tant.



Ceci n'a aucun sens.



René était là à attendre sa commande de cupcakes, qu'il avait commandée voilà depuis vingt minutes. Et maintenant il trouvait cela long, vraiment long. Enfin bon, elle arriva rapidement et il partit sans demander son reste. Afin de rejoindre sa tendre et belle épouse Rainbow Dash. En effet il avait célébré depuis peu leur union, d'une façon banale et ordinaire, car après tout il est normal qu'un poney et un humain se marient n'est-ce pas ? En tout cas au Danemark c'est légal dans au moins deux régions donc…



Il la retrouva au sein de sa maison-nuage, dans la cuisine où elle attendait en soubrette son retour. Car de nature timide et réservée elle voulut bien évidemment s’essayer à quelque chose de différent. Elle avait par ailleurs renoncé à devenir Wonderbolt, l'amour de René effaçant toute envie en sa personne. Mais il n'eut pas le temps de profiter de sa « femme » bien longtemps. Car il entendit des cris venant de Poneyville. Des cris de terreur et de peur annonçant le pire…







Ce fut une fois arrivé en ville qu'il vit Sombra, le puissant et imposant étalon émanant de la plus violette des brumes. René avait la classe, à n'en pas couper. C'est pour cela qu'il réajusta sa mèche, avant de dire :





- Je veux pas paraître con, mais t'es pas mort ?





- Non. Car tout le monde m’appelle Sombra. Mais en fait je suis DARKNESS, l'ombre de ce monde.





À l’évocation de son véritable nom, tous les habitants se ruèrent chez eux et se barricadèrent. Mais notre héros n'allait pas se laisser faire :





- Et moi je suis René, grand maître de la lame chantante. Tu ne pourras jamais me vaincre.





- Mais… C'est toi. Voleur rends-moi mon précieu… Heu ma lame. Elle est à moi.





- Non, jamais, je l'ai trouvée, je la garde.





- Mais c'est pas juste. Elle était bien rangée dans mon domaine. Tu es rentré et tu me l'as volée.





- Je te propose un marché. Vu notre puissance, notre combat pourrait s'éterniser. Aussi je te propose de faire défier nos larbins respectifs. Le gagnant remporte la victoire et l'épée. Tu acceptes ?



- Parfait, Homer passe à l'action !



La petite créature était motivée à l'idée d’impressionner son maître. René quant à lui posa Gummy au sol. Les deux méchants rigolèrent en cœur en voyant le petit crocodile. Homer surtout, lorsqu'il frappa Gummy le mettant au sol aussi simplement qu'une paille volant au vent. Le courageux animal parvint à se relever. Ainsi le combat se poursuivit. DARKNESS reprit la parole :



- Ton animal n'a aucune chance, tu en as bien conscience ?



- Mon animal non... Mais sa maîtresse oui.



Et avant que l'étalon ne comprenne, Pinkie Pie surgit de nulle part frappant le pauvre Homer avec une poêle, le mettant K.O. en un rien de temps. René s'approcha de DARKNESS et lui dit ceci :



- Je t'ai battu et à la loyale. Je crois que je suis le plus fort d'Equestria désormais. Serrons-nous les membres supérieurs, mon ami.



DARKNESS avait les larmes aux yeux. Qu'un humain si noble considère sa défaite comme nulle le toucha au plus profond de son cœur. Et faisant apparaître un portail derrière lui, il s'exprima :



- Depuis le début je le savais. C'est moi qui t'ai emmené en ce monde. Car tu étais celui qui pouvais rétablir l'équilibre. Aujourd'hui c'est chose faite. L'ignoble Homer n'est plus. Tu peux retourner en ton monde.



- Je comprends. Tout s'explique. Je vais retourner en mon monde. Une nouvelle mission m'attend. Tiens, prends ceci.



René donna la lame à son nouvel ami. Avant de donner aussi son alliance :



- Rends-la heureuse comme je l'aurais voulu.



Et René, le plus grand héros qu'Equestria n'ait jamais porté, s'en alla. Et de retour chez lui il respecta la promesse qu'il avait faite. Car on était samedi et le jour de l'argent de poche n'attend personne.



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Note de l'auteur

Voila, c'été ma premiérre fiction, j'espaire qu'elle vous à plut. N'hésitait pas à commmenté

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AriosHan
AriosHan : #39545
valz05 juin 2016 - #39537
@AriosHan : Bonjour, as tu bien compris que ce n'étais pas une vrai fiction mais une "fakefiction" ? Je ne l'ai pas écrites dans le but d’être aboutie, mais plutôt comme un clin d’œil à l'ensemble des erreurs pouvant ce trouver dans les fans fictions

Ah bon ? Euh bah ... vraiment désolé alors !
Nope javais pas dutout compris ...
Il y a 2 ans · Répondre
valz
valz : #39537
@AriosHan : Bonjour, as tu bien compris que ce n'étais pas une vrai fiction mais une "fakefiction" ? Je ne l'ai pas écrites dans le but d’être aboutie, mais plutôt comme un clin d’œil à l'ensemble des erreurs pouvant ce trouver dans les fans fictions
Il y a 2 ans · Répondre
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