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Science de Mort et Conscience de Vi [...]

Une fiction écrite par Toony.

Chapitre 1: Un esprit intéressant

Des événements dont je fus le témoin ainsi que l'un des instigateurs, je ne puis les garder plus longtemps pour moi mais ne pouvant pas en parler non plus, je choisis de les écrire dans ce journal.

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Tout a commencé lors d'une journée des plus banales: comme à mon habitude, je feignais de lire un livre en attendant son arrivée: Elle, Sunshine, l'élue de mon cœur. Comme à chaque fois, elle traversa ce chemin, ses yeux verts, son pelage bleu comme un ciel sans nuage, sa crinière cyan et rouge flottant au vent... Bon, j'ai peut-être imaginer certains détails mais pour moi, ce poney était la huitième merveille du monde. Comme à chaque fois, je m'étais juré de déclarer ma flamme. Comme à chaque fois, elle ne fit pas attention à moi. Comme à chaque fois, je me suis contenté de l'observer. Et, comme à chaque fois que j'ai échoué à lui parler, je décidai d'aller à la bibliothèque afin de continuer mes études en médecine... Cela dit, je n'avais jamais la tête à ça: depuis que je l'ai vue, elle est la seule chose qui hante mes pensées.

*

Arrivé à la bibliothèque, je pris distraitement quelques livres sans vraiment faire attention si c'était vraiment des bouquins médicaux. Je pris le premier et l'ouvris à la première page. Cela aurait pu se passer comme à chaque fois: je resterais là, plongé dans mes pensées, sans jamais changer ni de pages, ni de livres... mais cette fois-ci, ce fut différent: des livres furent posés bruyamment à coté de moi, me sortant de mes songes et dérangeant tout le monde. Je tournai la tête vers le responsable: il s'agissait d'un licorne dont le pelage était si blanc que je crus qu'il portait une blouse et sa marque de beauté était une étoile marquée d'une seringue. Toutefois, ce qui m'a le plus marqué, c'était sa crinière bicolore qui était une véritable agression pour les yeux: rouge et vert foncé. Il n'afficha aucune émotion suite à la demande de silence des poneys présents et ne sembla nullement désolé. Si à cette époque, on m'avait dit à quel point nous serions devenus proches, je lui aurais ri au museau: je ne le connaissais pas et pourtant, il m'horripilait déjà avant de me fasciner; lorsque je le vis prendre par magie cinq livres et les lire simultanément, je ne pus m'empêcher d'éprouver de l'admiration. Cela dut lui sauter aux yeux car, au bout de trois pages, il me demanda de cesser de l'observer comme un vautour autour de sa proie. Je lui présentai donc mes excuses avant de remarquer que l'un des livres qu'il lisait m'avait marqué dans un mauvais sens: lorsque je l'ai lu pour la première fois, j'ai trouvé qu'il parodiait ouvertement une autre œuvre tout en prétextant une découverte scientifique majeur alors que ce n'était qu'une vulgaire affirmation. Pour je ne sais quelles raisons, je me suis mis à lui parler de mon dédain vis-à-vis de ce livre... Sa réponse ôta tout mépris de ma part à son égard: il partageait le même avis. Il ne lisait ce livre que parce qu'aucun autre livre du bâtiment ne contenait les informations qu'il cherchait. Par la suite, nous discutâmes tout les deux car nous partagions la même passion pour la médecine. Je l'écoutais avec fascination m'exposer ses théories dont les ramifications et les corolaires semblaient presque infinis. Nous dûmes toutefois cesser notre discussion car nous dérangions les poneys présents: cela fut une première pour moi. Nous ne continuâmes malheureusement pas notre discussion une fois à l'extérieur de la bibliothèque et nous nous contentâmes de nous séparer. Je regardai l'heure et j'eus encore droit à une première: j'avais manqué ma deuxième possibilité de rencontre avec Sunshine.

*

Le lendemain, j'avais repris mon habitude d'aller l'observer: comme à chaque fois, je la vis passer mais, alors que je la regardais, je sentis un souffle chaud sur mon cou. Je tournais la tête et vit deux petits yeux bleus scrutant mon âme derrière de petites lunettes noires. Je ne pus m'empêcher de pousser un cri avant de reconnaître ce regard plus froid que la glace: il s'agissait de mon comparse d'hier. Je parvint à retrouver mon calme avant de constater que j'avais attiré les regards, y compris celui qui me faisait chavirer. Elle reprit toutefois rapidement son chemin, ne daignant plus me jeter un regard. Je fus à la fois heureux d'avoir pour la première fois attiré son attention, déçu de n'avoir pas pu lui parler plus et soulagé qu'elle ait passé son chemin. Toutefois, les mots que me dit alors mon compagnon de la veille firent naitre en moi une certaine rage: il prétendit que je n'avais aucune chance avec cette jument. Qu'il soit parvenu à sonder mon esprit n'était pas le plus gênant: je m'attendais bien à ce qu'un jour quelqu'un parvienne à découvrir mes sentiments mais qu'il cherche à ruiner mes espoirs, ça, ce fut la pire des choses que l'on pouvait me faire. Mais ma rage retomba tout aussi rapidement qu'elle m'était montée: il m'affirma qu'un poney de mon gabarit intellectuel pourrait créer un projet tellement somptueux qu'elle tomberait littéralement à mes sabots. Intrigué, je l'écoutai mais il refusa de m'en dire plus... à moins de l'accompagner chez lui.

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Nous finîmes par arriver chez mon compère dont je n'obtins finalement le nom que sur le pas de la porte: Hair Pin, nom que je trouvais ironique au vu de sa crinière bien coiffé qui ne cessait de m'agresser les yeux. J'observai la maison: elle n'avait rien d'enviable aux autres mais n'avait rien à envier non plus. Toutefois, l'intérieur n'avait rien d'une banale maison: tellement de tubes à essai, de fiole et d'objet de laboratoire en tout genre... je l'avais compris passionné de science mais pas à ce point. Je remarquai aussi quelques restes de nourritures: ce n'était guère équilibré, ce qui ne faisait que renforcé l'idée que ses recherches l'obnubilaient. Je ne remarquerai l'absence de photos de famille que des semaines plus tard. À ce moment, une révélation surgit dans mon esprit: à quel point m'étais-je laisser aller? Depuis que j'étais tombé amoureux, je n'avais plus guère la tête à mes études qui pourtant étaient une passion chez moi. Quand je vis tout cet attirail, je compris le gouffre qui me séparait de mon comparse: sa passion et sa détermination surpassaient la mienne. Je dus malheureusement le reconnaître, il avait raison: je n'avais aucune chance d'obtenir le cœur de cette jument. Je n'avais aucune motivation, contrairement à mon nouvel allié. L'admiration que j'éprouvais à son égard ne faisait que s'accroitre de minute en minute mais je ne pouvais m'empêcher de me demander quel projet il était en train de fomenter. Encore une fois, il me donna l'impression de lire dans mes pensées: il se mit à me parler du résultat de ses recherches. Tandis que je l'écoutais, je ressentis un mélange de sentiments que je n'aurais jamais cru possible: la fascination, le malaise, l'admiration et le dégout. Son projet était complétement insensé malgré les propos cohérents qu'il me disait, je restais donc dubitatif... jusqu'à ce qu'il me prouve la véracité de ses dires: il réalisa l'expérience sur une souris devant mes yeux. En voyant ce miracle, seul mot qu'il me venait à l'esprit pour décrire la chose à l'époque, je fus ébahi. J'acceptai donc de devenir son associé... J'ignorais à quels infamies je me livrais...

*

Durant les semaines qui suivirent, moi et mon compagnon, nous nous mîmes à perfectionner notre projet: je m'occupais de la préparation tandis que Hair Pin fournissait la magie et les cobayes. Je ne sus jamais d'où provenaient les animaux qu'il rapportait mais cela ne m'importait aucunement: tout ce qui comptait, c'était les résultats de nos expériences. J'en vins même à oublier cette jument pour qui mon cœur chavirait, je ne rentrais même plus chez moi et dormais plus généralement que quelques minutes chez mon collègue. Plus les jours passaient et plus nous progressions dans notre entreprise mais cela était insuffisant pour mon comparse: souris, chats, chiens et lapins n'étaient selon lui pas d'une grande utilité. Il nous fallait un poney. Je lui aurais volontiers proposé une solution mais au fur et à mesure de nos nombreux tests, je pus constater un élément important à la viabilité de nos succès: la fraîcheur et c'est ce qui manquerait au cimetière. Je vis alors Hair Pin faisant léviter des sphères métalliques en affichant le même visage inexpressif qui ne le quittait jamais. Il n'y eut qu'une seule fois où son visage afficha une autre expression: j'avais mentionné la possibilité que la substance devait être différente pour chaque espèce mais cela lui semblait tellement évident que cela l'amusait. Je ne revis plus jamais ce sourire hautain. Alors qu'il manipulait ses sphères, il me conseilla d'aller me détendre: il est vrai que j'avais sacrifié pas mal de nuits pour l'aider. Je partis donc dans le parc pour me relaxer: j'ai toujours aimé dormir dans l'herbe après avoir observé les nuages bien que je ne l'avais plus fait depuis que j'ai vu Sunshine. Arrivé au parc, je m'allongeai sur un tapis de verdure: la douceur des plantes m'apaisait, voir les nuages me détendait. Être un nuage ne devait pas être désagréable: rester là, sans rien faire, n'étant déplacé que par l'aide des vents ou des pégases, libre... Sur cette pensée, je m'assoupis mais je ne connus guère le repos: ma sieste fut envahie de cauchemars. Des monstres cherchant à me dévorer, sortant des murs, les corps en décomposition, je crus même voir un nouveau-né parmi ces créatures. Je me réveillai si brutalement que je me suis cogné contre un poney qui me regardait dormir. Lorsque je repris mes esprits, je constatais que je m'étais cogné contre une licorne: Sunshine. Je me sentis rougir. La discussion est aujourd'hui encore floue pour moi: j'étais tellement nerveux. Je me souviens juste qu'elle m'avoua m'avoir souvent vu l'observer mais elle était trop nerveuse pour me parler...

*

Ma journée fut véritablement embellie par cette rencontre fortuite avec Sunshine... Dire qu'elle s'inquiétait pour moi lorsque j'ai cessé de l'observer: une véritable extase. Je n'aurai jamais pensé qu'elle éprouvait des sentiments pour moi. J'ai donc passé la journée avec elle et l'ai même raccompagnée chez elle: moi qui ignorais où elle vivait, ce fut une occasion en or. Je rentrai chez moi après cette journée de rêve quand un détail important me revint: j'avais complétement oublié Hair Pin. Je ne l'avais jamais vu en colère et je ne souhaitais pas voir ça. La nuit commençait à tomber, ce qui me surpris: je ne pensais pas pouvoir être aussi ignorant du temps qui passe. En fonçant vers la maison, je passais près d'un échafaud et le percutai violemment: je me remis du choc quand j'entendis un cri de panique. Je levai la tête et vis un malheureux poney, et jeune qui plus est, qui tentait de se retenir pour ne pas tomber. Sur le coup, je pensais appeler du secours mais contre toutes attentes, même de moi, je me tus: Hair Pin et moi avions besoin d'un cadavre de poney frais pour notre projet mais aucun de nous deux n'osions attenter à la vie d'un autre... mais là, il s'agirait d'un accident. J'attendis donc en silence que les forces du poney s'amenuisent et qu'il lâche. Le bruit du craquement de ses os lorsque son cou se brisa en heurtant le sol me hante aujourd'hui, alors qu'il ne m'a même pas émoustillé sur le moment... J'ai vraiment été horrible à ce moment. Comment ai-je pu être aussi insensible? J'ai même trainé le corps tout juste décédé jusque chez Hair Pin sans aucun respect pour le mort: un poney si jeune, tout juste entrant dans la vie active.

*

J'entrai rapidement avec le macchabée dans la maison de mon compère: il n'était malheureusement pas là. Je mis le corps sur la table de la cuisine car je n'avais pas de temps à perdre. Ce cobaye était plus frais que tous ceux que l'on avait utilisés jusqu'à présent: c'était une aubaine et il fallait qu'il soit absent. Heureusement, j'avais déjà essayé de préparer la mixture adaptée dans l'hypothétique possibilité de tomber sur un cadavre de poney mais sans le sort magique de mon compère, autant injecter de l'eau... J'injectai la substance à la base du crane, directement dans le cervelet, comme à chacun de nos cobayes... maintenant, il ne manquait plus que la magie. J'ai eu l'occasion de le voir, Hair Pin me l'ayant montré, et je devais pouvoir l'utiliser mais j'avoue que, bien qu'étant une licorne, je n'était pas doué en magie. Je tentai toutefois de le lancer. Après quelques minutes, je ne vis rien se produire. Je m'apprêtais à injecter une autre dose quand mon collègue arriva. Bien que son visage restait inexpressif, je vis très clairement de la colère dans ses yeux cachés par ses fines lunettes noires. Son regard fut rapidement détourné par le cadavre... je ne pus toutefois dire s'il était toujours en colère, son visage étant toujours aussi neutre. Je ne lui laissai pas le temps de poser la question que je lui ordonnai de lancer son sort alors que j'injectais une nouvelle dose. Il s'exécuta et, tout comme moi, il attendit. Au bout d'une minute, rien ne se produisit. Une demi-heure plus tard, toujours aucun résultat. Une heure s'écoula, pas un seul détail valant la peine d'être noté. Nous restâmes ainsi pendant cinq heure avant que Hair Pin soit convaincu que l'expérience était un échec. Nous qui sommes parvenus à ressusciter rongeurs, chats, chiens, oiseaux, poissons et même un ours du premier coup, nous n'avions toujours pas trouvé comment ramener un poney à la vie: c'était l'objectif de notre projet. Je me sentais responsable de cette défaite: jusqu'à maintenant, cela a toujours été Hair Pin qui fournissait la magie et la dose était plus faible... mais là, la dose était assez massive proportionnellement à la taille des autres cobayes et c'est moi qui ai lancé ce sort. Mon collègue proposa d'aller dormir: la nuit était déjà bien avancée. Malgré tout, je ne pus dormir dans le lit qu'avait préparé mon collègue à mon intention lors de ma première soirée ici: ce n'était pas la culpabilité d'avoir laisser mourir un poney mais d'être le probable responsable de cet échec. Comment ai-je pus être aussi insensible?

*

Le lendemain, je me levai péniblement sans me réveiller: j'avais passé la nuit à ressasser les raisons de notre échec. Hair Pin dormant toujours, je descendis discrètement dans la cuisine afin de prendre des forces mais à peine arrivé dans la pièce, je glissai sur une flaque et me vautrai dedans. C'était chaud, gluant et horriblement désagréable au toucher. Je pris donc une serviette et m'essuyai le visage... j'ai alors constaté que ce mystérieux liquide était du sang. J'observai alors le reste de la cuisine: elle était dans un état pas possible et surtout, notre cobaye avait disparu... Les théories se bousculèrent dans ma tête: un voleur, un membre de la famille du cadavre qui m'aurait vu... ou notre expérience avait finalement marché... En tout cas, le capharnaüm ne se limitait pas qu'à la cuisine: jusqu'à la porte d'entrée, qui était défoncée, la maison était dans un désordre indescriptible. Je me demandais d'ailleurs comment je n'avais pas pu entendre le bruit qui avait pu résulter de ce chaos. Peu importe qui était le responsable, il avait laissé des empreintes. Je me mis à les suivre dans la rue, jusqu'à ce j'arrive à un attroupement. Je parvins à me faufiler dans la foule et ce que je découvris me glaça le sang: notre cobaye était là, bien vivant... même un peu trop: il se débattait face à plusieurs poneys, les mordant et les agressant sauvagement. J'ai déjà vu des Timberwolfs attaquer et ils se montrent beaucoup moins violents que ne l'était notre cadavre fraichement revenu à la vie. Il parvint à se défaire de ses assaillants et à les balancer aussi facilement que de vulgaires fétus de paille. Nombre de nos cobayes avaient fait preuve de violence mais nous avions mis cela sur le compte du fait que c'étaient des animaux. Je dus constater que la résurrection rendait agressive quelque soit la créature ramenée à la vie. J'observais le macchabée qui, alors, eut une réaction inattendue: il se mis à se frapper violemment le crane au sol jusqu'à d’exploser la tête. Le cerveau absent, le corps cessa de se mouvoir et tomba inerte. Mes observations étaient donc achevées. Je partis donc tout en écoutant les paroles des témoins: apparemment, le ressuscité avait attaqué plusieurs poneys durant son périple pour une raison encore inconnue. J'entendis alors un nom qui m'interpella parmi les blessés qu'avait fait notre cobaye. Un nom que j'aurais aimé ne pas entendre et dont je n'avais pas pensé qu'elle payerait pour mon absence de moralité: Sunshine.

*

Au moment où j'écris tout cela, je suis à l'hôpital, priant pour que Sunshine survive à ses blessures causées par ma folie. Pourquoi fallait-il qu'elle soit blessée pour qu'enfin je réalise l'horreur de mes actes? En tout cas, j'ai déjà annoncé à Hair Pin que je renonçais à continuer de l'aider dans son projet. Si Sunshine survit à cet épreuve, je jure qu'à l'avenir, je la protégerais... pour toujours...

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Note de l'auteur

Une fiction basé sur une de des œuvres de Lovecraft que j'adore. Je vais tenter de faire une fiction intéressante sans trop copier sur l'œuvre inspiré.

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Hotaru
Hotaru : #34485
Et ce début mérite de loin mon fameux "magnifique..." ! Ta fiction me laisse sans voix, bravo ! Franchement, en plus d'être fore et mystérieux c'est mega intéressant :) "pouce levé" !

Je ne vais pas critiquer ta fiction, je ne saurais pas t'expliquer mes ressentis quant à la lecture de ton récit mais je peux tout de même te dire que je suivrais dd prêt l'avancement de ta fiction ! Tu viens de gagner un abonné ;)
Il y a 2 ans · Répondre
Mouette
Mouette : #34314
Haa c'est crade :(
Il y a 2 ans · Répondre
Blaxbones
Blaxbones : #34310
J'attendrai la suite avant de parler du fond, pour l'instant j'adore la façon dont tu présente la chose. Même si je suppose que tu va bientôt abandonner ce format que j'apprécie tout particulièrement.

Très bonne notion et utilisation des différents temps ici, jonglant parfaitement entre le futur et l'imparfait. J'ai noté quelques typos là-dessus que je t'enverrais en MP.
Pour l'oeuvre, je ne la connais pas (je viens tout juste de commencer Lovecraft avec Call of Cthulhu ) mais si tu veux t'en inspirer qu'à cela ne tienne, mais si tu peux imaginer une chute différente ça sera du meilleur effet pour les connaisseurs de l'oeuvre originale.
Sinon j'aime bien ce début même si je pense pouvoir deviner le prochain chapitre ( en tout cas une partie ) une tentative de résurrection style Frankenstein avec Sunshine dans le rôle du monstre si je ne m'abuse

Bref, en tout cas j'ai bien apprécié cette lecture et j'attends la suite avec hâte!
Il y a 2 ans · Répondre

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