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Jolly Roger : la légende des sept [...]

Une fiction écrite par MisterX.

Chapitre 1 : J'y étais

On raconte beaucoup de choses sur les pirates. On disait de certains qu'ils étaient de vaillants aventuriers, qui partaient à la conquête des mers, au mépris du danger, et d'autres qu'ils étaient des monstres, assoiffés de sang et avides de richesses. Et laissez-moi vous dire : toutes ces rumeurs sont vraies. Vous pouvez me croire, parce que j'y étais.

Jolly Roger : la légende des sept mers

Je m'en souviens comme si c'était hier. Mon aventure a commencé dans le port de Baltimare, par une belle journée d'été. Je venais d'avoir quinze ans, et j'étais un jeune pégase plein d'ambition. J'avais quitté la maison familiale pour m'essayer dans la marine marchande, et suivre les traces de mon père. Et avec un talent comme le mien, j'étais sûr de me faire engager dans la journée : ma marque de beauté représente un nœud marin. Le résultat d'une enfance complète passée à jouer au corsaire.

Essayez d'imaginer. Un jeune pégase blanc, à crinière noire et avec des yeux marrons, qui se promenait sur un port animé, avec pour seul bagage un vieux sac de selle. D'un côté, des pontons de bois où étaient accostés des dizaines de navires, tous d'énormes galions, qui attendaient que leur propriétaire ait fini ses affaires pour pouvoir reprendre le large. Et de l'autre, des marchands, qui vendaient toutes sortes de produits, des tavernes, où les marins passaient du bon temps, et des poneys de toute sorte, vaquant à leurs occupations, chargeant ou déchargeant les navires, conversant et plaisantant parfois entre eux, parfois avec des griffons. Oui, il y avait aussi un bon nombre de griffons et d'autres espèces dans les environs. Quel que soit l'endroit où mon regard se posait, je pouvais voir une scène qui grouillait de vie. Et j'avais vraiment hâte de trouver mon premier travail pour me joindre à eux.

Mon premier essai a été pour un galion qui s'appelait le « Sangalente ». il y avait un poney d'un certain âge qui regardait l'équipage décharger des caisses sur les docks. Il était vert pâle avec une crinière grise. Il avait un vieux tricot rayé, un peu miteux, et je me souviens même qu'il fumait une pipe. Vous avais-je dit que j'avais une excellente mémoire visuelle ?

- Excusez moi, l'avais-je interpellé. C'est vous le capitaine de ce bateau ?

- Si señor, m'avait-il répondu avec un accent clairement étranger. Qu'a-ce que ye peux faire pour vous ?

- Je cherche un navire marchand qui aurait besoin d'un mousse à son bord. Je sais faire plein de choses différentes, et…

- Ah ! No no, yé soui désolé p'tit, mais nous en avons déjà deux. Et d'jà qu'y nous sont pas très outile, pas question d'en prendre un dé plous.

- Oh, je vois. Eh bien, désolé de vous avoir dérangé monsieur…

- Pas grave. Ye te souhaite quand-même bonne chance pour rejoindre un équipaze sympa. Tiens, essaye celoui là, là-bas. J'ai ouï dire que c'était son premier voyage. Si ça sé trouve, eux, y s'ont toujours pas d'mousse. Tu pourrais leur d'mander.

- Celui-là ? D'accord, je vais essayer. Merci du conseil.

- Bon vent p'tit.

Maintenant conseillé, je me remis donc en route. Vu le nombre de navires présents dans la baie de Horseshoe, il était pratiquement impossible qu'il n'y en ait pas un qui veuille m'engager.

Le navire s'appelait le « Ocean Rose ». C'était un fier trois mats, avec trois ponts. Et deux rangées de canons étaient réparties de part et d'autre de la coque, de quoi dissuader les pires forbans de s'en prendre à eux… du moins, c'est ce que je pensais.

J'avais déjà vu de nombreux navires avant, mais ils n'avaient jamais cessé de m'impressionner. Perdu dans ma contemplation, je n'avais pas remarqué le cordage qui me barrait la route.

- OuaaAAHHH !

- Hey ! Attention !

En m'étalant ainsi lamentablement sur le sol, j'ai coupé la route à un marin, un terrestre brun qui transportait une énorme caisse sur son dos. Surpris par mon apparition, ce dernier fit un pas de côté, manquant de me marcher dessus, mais son chargement perdit son équilibre précaire, glissant du support qui le maintenait en place.

J'ai réagi dans la seconde au moment où j'ai compris ce qui était en train de se passer. J'ai roulé sur le dos, sabots en l'air pour essayer de l'aider à rattraper son fardeau. Mais il faut dire que je n'étais pas très solidement bâti. Je n'avais que la moitié de cet énorme machin au-dessus de moi, et pourtant, j'ai vraiment cru que j'allais me faire écraser. Heureusement, j'ai tenu le coup.

- C'est bon ! Je la tiens !

- Ah… essaye de m'aider à le remettre sur mon dos !

Je lui obéis sans hésiter. C'était plus facile pour lui que pour moi de supporter cette énorme masse, mais à deux, nous avons réussi à sauver la marchandise.

- Phew… mais qu'est-ce que vous transportez là-dedans ?

- Des vivres pour le voyage. Mais dis-moi petit, qu'est-ce que tu fais là ? Tout seul ? J'ai failli te piétiner !

- Je cherche un équipage qui pourrais m'engager comme mousse.

- Ah. Ton premier emploi ?

- Oui. J'ai toujours rêvé de travailler dans la marine marchande. Comme mon père.

- Je vois…

- Et il y a un capitaine un peu plus loin qui m'a dit qu'on pourrais sans doute m'engager sur ce navire. C'est le vôtre ? Vous savez où je pourrais trouver le capitaine ?

- Ouaip. Le capitaine Rightfull devrait être par ici, en train de superviser le chargement. Attends, je vais te le présenter. Viens.

Je suivis donc le marin jusque sur le ponton où l'énorme navire était accosté. J'ai tout de suite remarqué les deux étalons qui étaient en train de discuter. L'un était pourpre, avec une crinière bleu nuit en bataille, et il portait un tablier de travail. Sa marque de beauté représentant un marteau et un ciseau à bois m'indiquait qu'il était charpentier. L'autre était bleu ciel avec des crins blancs poudré, et une coiffure tellement soignée que je me suis demandé si il ne portait pas une perruque. Sa propre marque représentait une carte marine.

- Capitaine Rightfull ?

- Qu'y a-t-il monsieur Buyo ? Lui avait répondu le poney bleu.

- Ce jeune pégase est à la recherche d'un équipage qui pourrait le prendre comme mousse.

- C'est ça, avais-je approuvé.

Le capitaine s'est un peu rapproché de moi, comme pour me jauger. Il avait l'air complètement impassible, le visage comme bloqué dans cette étrange grimace qu'ont les poneys haut placés quand ils cherchent à montrer qu'ils sont raffinés.

- Tu ne m'as pas l'air bien solide, gamin, m'avait-il dit. Qu'est-ce que tu sais faire qui puisse te rendre utile sur un navire ?

- Je suis très doué avec les cordages. Je connais à-peu-près tous les nœuds qu'on utilise dans la marine.

- Je vois cela. Est-ce que tu voles bien ?

- Plutôt, oui.

- Et est-ce que tu sais faire la cuisine ?

- Euh... un peu.

Le capitaine a continué de me regarder quelques minutes. J'aurais été bien incapable de deviner ce qui se passait dans la tête de ce poney.

- Oui... peut-être que tu pourrais nous servir.

- Alors... vous m'engagez ?

- On va te prendre à bord. Tu nous montreras ce que tu vaux quand nous serons en mer. Et alors on reparlera de ta paie.

- Merci, merci beaucoup capitaine Rightfull.

- Ça ira. Mais dis-moi plutôt comment tu t'appelles.

- Euh... Roger. Jolly Roger.

- Bien. Monte à bord. On lèvera l'ancre dans l'après midi.

J'étais déjà tout excité. Mon premier travail, à bord d'un navire marchand. Mes premiers contacts à bord m'ont appris qu'ils allaient faire du commerce d'épice dans les pays de l'est. Un marché plutôt rentable, du moment qu'on ne se faisait pas attaquer en chemin. Mais ce n'était qu'un détail... pour le moment.

Comme prévu, nous sommes partis dans l'après midi. Mon premier travail fut simple, et je suis sûr que vous pouvez déjà deviner de quoi il s'agissait : nettoyer le pont. Ce n'est pas vraiment l'activité la plus utile sur un navire, mais j'étais quand-même heureux de pouvoir faire quelque chose à bord. Rapidement, on m'a confié des taches plus délicates. Un pégase vert pomme entreprit par exemple de m'apprendre à replier les voiles. Ça reste assez facile quand le vent n'est pas trop fort, comme ces premiers jours, mais en pleine tempête, avec le vent du  large, c'est une toute autre histoire.

Après une semaine de voyage, j'ai sérieusement commencé à me demander pourquoi il a fallu que je m'engage sur un navire marchand : Le soleil était très agressif en cette fin d'été, mais le vent était souvent froid. J'étais incapable de décider si j'étais en train de cuire ou de geler. Je souffrais aussi de soif. L'eau était rationnée, pour éviter le gaspillage, et que les réserves ne s'épuisent trop vite. En plus, elle s'est rapidement mise à croupir, devenant imbuvable. Nous nous sommes donc rabattus sur le vin. Je détestais ça au début, mais comme il n'y avait rien d'autre à boire…

Au dixième jour de notre voyage, notre vigie a malheureusement attrapé une insolation, l'obligeant à redescendre pour se mettre à l'ombre, soufrant. C'est moi qui l'ai remplacé en haut du mat. Et franchement, ce n'est pas le meilleur poste pour un marin. Non seulement il y a très peu de place ombragée, mais en plus, les mouvements du bateau y sont amplifiés de manière conséquente. J'ai failli attraper le mal de mer. Un comble pour un marin. Mais j'ai quand-même rempli ma fonction, signalant au capitaine un navire qui nous suivait, loin à l’horizon. Je ne pouvais pas encore dire à qui il appartenait, car il n'avait pas de pavillon. Inquiété, notre capitaine nous a ordonné de resserrer les voiles au vent, pour essayer de maintenir la distance, préférant visiblement éviter de rencontrer l'équipage de cet autre navire.

Quelques jours plus tard, le temps a commencé à se gâter. Des nuages sont apparus, et la mer est devenue houleuse. Oui, vous ne le savez peut-être pas, mais en mer, le temps n'est pas géré par les pégases. Le vent change et les nuages bougent tout seuls. J'ai entendu dire que c'était à cause du soleil et de l'évaporation de l'eau. Un truc comme ça. Mais revenons plutôt à notre histoire. Nous avons été obligés de replier la plupart de nos voiles, pour éviter qu’elles ne se déchirent. L'autre navire avait disparu à l’horizon. Mais la vigile disait qu'il pouvait encore être dans les parages, caché aux creux des vagues.

C'est au quinzième jour que ma vie a réellement pris un tournant. La mer était toujours agitée, et le temps s'était atrocement refroidi. L'automne était là, et avec lui était venue une brume qui entourait le Ocean Rose. Une véritable purée de poix. Je me souviens de ce soir fatidique où j'étais en train de discuter avec monsieur Buyo, le terrestre que j'avais rencontré sur le port. Tout comme le reste de l'équipage, ce temps le rendait nerveux. Mais je ne comprenais pas encore pourquoi.

- Il y a souvent du brouillard comme ça, en pleine mer ? Lui avais-je demandé.

- Non. Il y en a parfois dans les mers du nord, mais ici, c'est plutôt rare.

- Vraiment ? Eh bien il est drôlement épais, pour un temps inhabituel…

- Oui. Ce brouillard n'est pas naturel.

Je voulus lui demander ce qu'il voulait dire par « pas naturel », mais je n'en eus pas l'occasion. À travers le bruit du vent et des vagues, j'ai entendu un bruit, bref et sourd, mais très fort. Je n'eus que le temps de sursauter avant que, dans un sifflement, un projectile ne vole au-dessus de nous, brisant le grand mat dans un craquement assourdissant.

Des coups de canon.

Je me retournai vers l'océan. Dans la brume, je vis une forme noire surgir par l'arrière du bateau, comme un monstre échappé du Tartare. C'était un brick (un deux mats), bas et élancé. J'eus un frisson d'effroi en apercevant la figure de proue en forme de squelette, et le pavillon noir décoré d'une tête de mort qui flottait menaçant en haut du mat de misaine.

Des pirates.

« A l'abordage ! »

Quelque chose surgit du navire voisin, droit dans ma direction. Moi et mon ami nous sommes écartés de justesse pour éviter le grappin aux griffes acérées qui alla se planter dans notre bastingage, bientôt suivi par d'autres. Monsieur Buyo voulut essayer de les décrocher, mais il s'en trouva complètement incapable. Moi, terrorisé, je me suis retourné, galopant dans tous les sens sur le pont en hurlant :

« Les pirates ! On est attaqué ! Des pirates ! »

Maintenant que j'y repense, cette manœuvre d'alerte était bien inutile. Tout le monde devait déjà avoir entendu le coup de canon et la chute du mat. Bientôt, d'autres terribles coups résonnèrent, d'autres projectiles volaient depuis le vaisseau adverse pour aller briser les mats qui étaient encore debout. Nous étions piégés. Privé de ses voiles, le Ocean Rose était incapable de prendre la fuite. Et aucun canonnier n'était en position, il aurait été vain de répliquer de cette manière. Les pirates étaient déjà sur nous.

Buyo fut chassé du bastingage par un tir de mousquet, qui lui frôla la joue. Affolé, il fit un bond en arrière, laissant la place aux flibustiers pour se hisser à bord. Moi, je ne pensais plus qu'à sauver ma peau, et je courais sur le pont à la recherche d'une cachette.

Les premiers à débarquer furent des pégases, des poignards et des épées serrés entre les dents, grognant et criant comme des rapaces prêts à fondre sur leurs proies. La plupart des membres de mon équipage, complètements paniqués, galopaient à la recherche d'armes pour se défendre. Ceux qui en avaient déjà une sur eux la dégainaient, mais ils étaient souvent trop terrorisés pour oser faire un pas vers leurs assaillants.

Les pirates pégases leur fondirent dessus. La plupart n'eurent même pas à se servir de leurs armes, sinon pour parer une attaque avant d’asséner un puissant coup de sabot pour les assommer et les envoyer au sol. Certains de nos pégases essayèrent de s'envoler, mais un tir de mousquet dans l'aile avait vite fait de les faire redescendre. Nous étions à leur merci.

Caché derrière un tonneau attaché sur le pont, encore à moitié rempli de pommes, je ne pouvais que contempler le chaos qui régnait autour de moi, osant à peine pointer le bout de mon museau, de peur de me faire remarquer. Partout, des cris, des bruits de métal qui s'entrechoquait, des tirs de mousquet. Et cet horrible vacarme me tétanisait de peur. Des passerelles de bois virent bientôt relier les deux bateaux. Des terrestres et des licornes pirates vinrent ainsi gonfler les rangs des flibustiers. L'un d'eux retint mon attention parmi tous les autres : mieux habillé que ses compagnons, avec une veste rouge sang et un bicorne décoré du même emblème que son drapeau. Il était rouge vif, avec des crins blonds. Sa marque de beauté représentait un sabre d'abordage. Un de ses sabots avants, le gauche, était manquant, remplacé par une prothèse en bois et en métal, et un perroquet rouge et vert se tenait fièrement sur son dos, nullement dérangé pas la cacophonie environnante. J'avais déjà reconnu le capitaine du navire pirate. Il tournait la tête de droite et de gauche, cherchant des yeux le capitaine Rightfull. Du moins, je pense que c'est ce qu'il faisait.

En un rien de temps, presque tout l'équipage s'était retrouvé attaché aux restes du mat d'artimon, juste en face de moi. Certains étaient blessés, mais miraculeusement, aucun n'était mort. Quelques pirates restèrent à proximité pour les surveiller, pendant que les autres descendaient dans les cales à la recherche des richesses qui étaient supposées nous servir à acheter nos épices. Le capitaine pirate leur tournait autour, ses yeux dorés à moitié fermés, sondant les marins, les uns après les autres. Il ouvrit la bouche pour parler, révélant plusieurs dents en or.

- Je vous explique comment ça va se passer : vous avez deux choix possibles. Le premier choix, vous décidez de rejoindre notre bord. Le deuxième choix, vous prenez vos chaloupes et l'océan décidera de votre sort. Que choisissez vous ?

- Jamais nous ne rejoindrons votre bord, lui avait fermement répondu le capitaine Rightfull. Vous, pirates, vous vous battez pour l'argent. Mais nous, équestriens, nous nous battons pour l'honneur.

Le capitaine pirate s'arrêta pour regarder Rightfull. Et se pencha vers lui, menaçant. Notre capitaine gardait son air impassible, alors que leurs museaux étaient presque en contact.

- Oui, mais vous savez, avait répondu le pirate, chacun se bat pour ce qu'il lui manque.

Et il se mit à glousser, bientôt suivi par ses compagnons. Quel odieux personnage ! J'eus subitement envie de lui sauter dessus pour lui montrer quel genre de pégase j'étais. Et, par chance pour moi (ou par malchance, je n'ai jamais réussi à me décider) il s'était placé juste en face de moi, et me tournait le dos. Son perroquet non plus ne semblait pas m'avoir remarqué. Je ne sais pas vraiment ce qui m'a fait prendre cette décision, mais je suis passé à l'acte. J'ai bondi de ma cachette, dans un cri de rage, pour lui tomber dessus. Le perroquet fut le premier à remarquer ma présence et s'envola, paniqué, avant que je n’atterrisse là où il se trouvait quelques secondes plus tôt.

Mais sur le moment, j'avais sous estimé mon adversaire. Il rua. Je me suis agrippé à son cou, comme j'ai pu, mais en deux mouvements, il m'avait déjà projeté contre le pont du bateau. Je voulus me relever, mais quelque chose me frappa lourdement l'arrière du crâne.

Et je perdis connaissance.

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MisterX
MisterX : #34196
@Inobi @BroNie J'ai suivis vos conseils et corrigé quelques passages dans ce chapitre. Ça devrait un-peu plus correspondre pour le vocabulaire.
Il y a 2 ans · Répondre
cedricc666
cedricc666 : #34010
Comment sa ce fait que personne n'est encore proposé cette chanson: ^^ [lien]

Sa commence bien moussaillon. J'adhère a ton histoire de boucaniers. Vivement la suite! Moi aussi je m'engage! A l'abordage! ^^
Modifié · Il y a 2 ans · Répondre
NightMare
NightMare : #33910
Très sympa le lien pour mettre dans l'ambiance d'ordinaire je suis pas fan, mais avec les pirates ça marche bien.^^
Il y a 2 ans · Répondre
MisterX
MisterX : #33869
Inobi01 février 2016 - #33864
Salut.
Pour l'instant, l'histoire semble bien partie, même s'il reste quelques petits défauts. (rien n'est parfait)

J'ai habituellement du mal avec les apartés du narrateur, mais là elles sont assez discrète pour ne pas me gêner. il y en a juste une qui me gêne, c'est "Vous avais-je dit que j'avais une excellente mémoire photo-visuelle ?". Cependant, je pense que ça viens plus du photo-visuelle, que du reste. Je pense que tu aurais juste du dire "mémoire photographique" ou "excellente mémoire visuelle". Le temps aussi me gêne, je l'aurais mit au passé-composé plutôt qu'au plus-que-parfait, car le personnage nous pose une question, il ne raconte pas.

J'aurais aussi préféré voir certain dialogue raconté par le narrateur, plutôt que direct. mais là c'est vraiment de la préférence personnelle.

Comme la dit @BroNie, tu devrais essayer d'utiliser des termes plus marin, surtout que tu semble avoir fait des recherche, vu que tu utilise un nom de bateau réel, le brick, que tout le monde ne connais pas. Tu aurais d’ailleurs dû le décrire un peu plus, histoire que ceux qui ne connaissent vraiment rien en bateau puissent avoir une meilleur idée de la taille de celui-ci. Tu a aussi utiliser le mot "vigile", alors qu'il faudrait utiliser le mot "vigie" qui lui représente le matelot que l'on met dans le nid-de-pie pour surveiller les eaux autour du navire.

Bon, pour finir, j'ai eu du mal à m'imaginer des poneys en permanence en lisant le chapitre, surtout lors de la bataille final. Je pense que tu aurais pu utiliser les caractéristique de chaque race un peu plus, car pour l'instant, en dehors d'un terrestre qui peu porter plus, et les pégases qui essaye de fuir en volant, j'ai pas vraiment vu de différence entre cette histoire, et une histoire de pirate humain. Je pense que tu aurais vraiment pu faire plus en faisant par exemple, surgir les pégase pirate d'au dessus du navire, caché par la brume, ce qui aurais occupé l'équipage pendant que des licornes pirates aurais accroché des cordages entre les bateau pour permettre aux terrestres pirates d'attaquer.
D’ailleurs, à la fin, tu décris l'équipage comme attaché, et je me suis demandé pourquoi une des licorne de l'équipage ne défait pas les liens, pourquoi l'équipage ne semble pas se défendre?

Je sais que mes critiques sont un peu sèche, et j'espère ne pas te décourager, mais j'estime qu'il est important de dire ce que l'on pense. J'espère que mes critiques t'aiderons, et j'attends la suite avec impatience.
Merci pour ton commentaire Inobi. J'en prends bonne note. C'est toujours bien de souligner les défauts.

Pour le temps, il m'arrive moi aussi d'avoir des doutes quant à son utilisation. Et il y a certains passages que j'ai jugé bon de mettre en détail, ne serait-ce que pour l'ambiance. Le côté "narration" reviendra un-peu plus dans les prochains chapitres.

C'est vrai qu'il faudrait que je peaufine un-peu mon utilisation du vocabulaire marin. Je m'en servais surtout pour être détaillé en décrivant ce qui se passe sur un navire. Comme il l'a noté, je reviens souvent aux termes génériques, surtout pour éviter les répétitions. Je corrigerais tout ça. C'est vrai que plus de description pour les différents navires serait une bonne idée. Pour le cas de la vigie, il s'agit simplement d'une erreur d’orthographe.

Tu n'es pas le seul à t'imaginer des humains à la place des poneys. Moi-même, c'est souvent mon impression en me relisant. Mais les différences entre races ne me paraissaient pas importantes à évoquer, et cela aurait peut-être ralenti l'action, je pense. Surtout que sur le moment, pendant l'attaque, Jolly n'a pas forcément relevé tous les détails, sous le coup de la panique. À ce propos, si les licornes ne font rien pour essayer de se détacher... Disons simplement qu'être à moitié conscient et/ou blessé avec un canon de mousquet pointé sur le crâne... Autant dire qu'on préfère rester tranquille.

Autrement, je sais que les critiques sont surtout faites pour s'améliorer. Alors il n'y a pas de problème. N'hésite pas à en poster d'autre si tu trouve autre chose à redire.
Il y a 2 ans · Répondre
Inobi
Inobi : #33864
Salut.
Pour l'instant, l'histoire semble bien partie, même s'il reste quelques petits défauts. (rien n'est parfait)

J'ai habituellement du mal avec les apartés du narrateur, mais là elles sont assez discrète pour ne pas me gêner. il y en a juste une qui me gêne, c'est "Vous avais-je dit que j'avais une excellente mémoire photo-visuelle ?". Cependant, je pense que ça viens plus du photo-visuelle, que du reste. Je pense que tu aurais juste du dire "mémoire photographique" ou "excellente mémoire visuelle". Le temps aussi me gêne, je l'aurais mit au passé-composé plutôt qu'au plus-que-parfait, car le personnage nous pose une question, il ne raconte pas.

J'aurais aussi préféré voir certain dialogue raconté par le narrateur, plutôt que direct. mais là c'est vraiment de la préférence personnelle.

Comme la dit @BroNie, tu devrais essayer d'utiliser des termes plus marin, surtout que tu semble avoir fait des recherche, vu que tu utilise un nom de bateau réel, le brick, que tout le monde ne connais pas. Tu aurais d’ailleurs dû le décrire un peu plus, histoire que ceux qui ne connaissent vraiment rien en bateau puissent avoir une meilleur idée de la taille de celui-ci. Tu a aussi utiliser le mot "vigile", alors qu'il faudrait utiliser le mot "vigie" qui lui représente le matelot que l'on met dans le nid-de-pie pour surveiller les eaux autour du navire.

Bon, pour finir, j'ai eu du mal à m'imaginer des poneys en permanence en lisant le chapitre, surtout lors de la bataille final. Je pense que tu aurais pu utiliser les caractéristique de chaque race un peu plus, car pour l'instant, en dehors d'un terrestre qui peu porter plus, et les pégases qui essaye de fuir en volant, j'ai pas vraiment vu de différence entre cette histoire, et une histoire de pirate humain. Je pense que tu aurais vraiment pu faire plus en faisant par exemple, surgir les pégase pirate d'au dessus du navire, caché par la brume, ce qui aurais occupé l'équipage pendant que des licornes pirates aurais accroché des cordages entre les bateau pour permettre aux terrestres pirates d'attaquer.
D’ailleurs, à la fin, tu décris l'équipage comme attaché, et je me suis demandé pourquoi une des licorne de l'équipage ne défait pas les liens, pourquoi l'équipage ne semble pas se défendre?

Je sais que mes critiques sont un peu sèche, et j'espère ne pas te décourager, mais j'estime qu'il est important de dire ce que l'on pense. J'espère que mes critiques t'aiderons, et j'attends la suite avec impatience.
Il y a 2 ans · Répondre
Raphix03250
Raphix03250 : #33808
Ça à l'air prometteur ta fic et j'aimerais rejoindre ton équipage de pirates ! Sur ce, continue comme ça !
Il y a 2 ans · Répondre
LeCitronDeLaDiscord
LeCitronDeLaDiscord : #33799
C'est la toute première fic' que je lis sur ce site et ma fois, c'est du bon travail ! J'ai vraiment hâte de voir la suite ! Pas de gros defauts, même si comme dit plus bas, le fait de "spoil" la suite par des morceaux de
phrases peut gâcher un peu la surprise ( même si on s'y attendait c'est dommage ^^ )
Il y a 2 ans · Répondre
knightwinter333
knightwinter333 : #33788
Pour le moment ce fic attire toute mon attention ; ) ce qui signifie que je veux connaître la suite donc j'espère que les prochains chapitres soient très intéressants
Il y a 2 ans · Répondre
BroNie
BroNie : #33786
C'était plutôt cool, franchement ! Y a quelques termes non-marins qui détonnent un peu dans une fic pirato-centrée (genre "bateau" c'pas top. Préfère "navire" ou "bâtiment") mais ça part plutôt bien.

Ah si, même si citer Surcouf avec le "on se bat pour ce qu'on a pas" cétait sympa, un marchand qui accuse un autre marin de n'être motivé que par l'argent...bof quoi. Son but aussi dans la vie, c'est de faire des sous, hein.
Il y a 2 ans · Répondre
stronger
stronger : #33759
Encore une fois tu arrives à m'empêcher de travailler où de faires des choses plus importantes... (C'est un compliment ^^)
Continue comme ça.
Il y a 2 ans · Répondre

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