On raconte beaucoup de choses sur les pirates. On disait de certains qu'ils étaient de vaillants aventuriers, qui partaient à la conquête des mers, au mépris du danger, et d'autres qu'ils étaient des monstres, assoiffés de sang et avides de richesses. Et laissez-moi vous dire : toutes ces rumeurs sont vraies. Vous pouvez me croire, parce que j'y étais.
Jolly Roger : la légende des sept mers
Je m'en souviens comme si c'était hier. Mon aventure a commencé dans le port de Baltimare, par une belle journée d'été. Je venais d'avoir quinze ans, et j'étais un jeune pégase plein d'ambition. J'avais quitté la maison familiale pour m'essayer dans la marine marchande, et suivre les traces de mon père. Et avec un talent comme le mien, j'étais sûr de me faire engager dans la journée : ma marque de beauté représente un nœud marin. Le résultat d'une enfance complète passée à jouer au corsaire.
Essayez d'imaginer. Un jeune pégase blanc, à crinière noire et avec des yeux marrons, qui se promenait sur un port animé, avec pour seul bagage un vieux sac de selle. D'un côté, des pontons de bois où étaient accostés des dizaines de navires, tous d'énormes galions, qui attendaient que leur propriétaire ait fini ses affaires pour pouvoir reprendre le large. Et de l'autre, des marchands, qui vendaient toutes sortes de produits, des tavernes, où les marins passaient du bon temps, et des poneys de toute sorte, vaquant à leurs occupations, chargeant ou déchargeant les navires, conversant et plaisantant parfois entre eux, parfois avec des griffons. Oui, il y avait aussi un bon nombre de griffons et d'autres espèces dans les environs. Quel que soit l'endroit où mon regard se posait, je pouvais voir une scène qui grouillait de vie. Et j'avais vraiment hâte de trouver mon premier travail pour me joindre à eux.
Mon premier essai a été pour un galion qui s'appelait le « Sangalente ». il y avait un poney d'un certain âge qui regardait l'équipage décharger des caisses sur les docks. Il était vert pâle avec une crinière grise. Il avait un vieux tricot rayé, un peu miteux, et je me souviens même qu'il fumait une pipe. Vous avais-je dit que j'avais une excellente mémoire visuelle ?
- Excusez moi, l'avais-je interpellé. C'est vous le capitaine de ce bateau ?
- Si señor, m'avait-il répondu avec un accent clairement étranger. Qu'a-ce que ye peux faire pour vous ?
- Je cherche un navire marchand qui aurait besoin d'un mousse à son bord. Je sais faire plein de choses différentes, et…
- Ah ! No no, yé soui désolé p'tit, mais nous en avons déjà deux. Et d'jà qu'y nous sont pas très outile, pas question d'en prendre un dé plous.
- Oh, je vois. Eh bien, désolé de vous avoir dérangé monsieur…
- Pas grave. Ye te souhaite quand-même bonne chance pour rejoindre un équipaze sympa. Tiens, essaye celoui là, là-bas. J'ai ouï dire que c'était son premier voyage. Si ça sé trouve, eux, y s'ont toujours pas d'mousse. Tu pourrais leur d'mander.
- Celui-là ? D'accord, je vais essayer. Merci du conseil.
- Bon vent p'tit.
Maintenant conseillé, je me remis donc en route. Vu le nombre de navires présents dans la baie de Horseshoe, il était pratiquement impossible qu'il n'y en ait pas un qui veuille m'engager.
Le navire s'appelait le « Ocean Rose ». C'était un fier trois mats, avec trois ponts. Et deux rangées de canons étaient réparties de part et d'autre de la coque, de quoi dissuader les pires forbans de s'en prendre à eux… du moins, c'est ce que je pensais.
J'avais déjà vu de nombreux navires avant, mais ils n'avaient jamais cessé de m'impressionner. Perdu dans ma contemplation, je n'avais pas remarqué le cordage qui me barrait la route.
- OuaaAAHHH !
- Hey ! Attention !
En m'étalant ainsi lamentablement sur le sol, j'ai coupé la route à un marin, un terrestre brun qui transportait une énorme caisse sur son dos. Surpris par mon apparition, ce dernier fit un pas de côté, manquant de me marcher dessus, mais son chargement perdit son équilibre précaire, glissant du support qui le maintenait en place.
J'ai réagi dans la seconde au moment où j'ai compris ce qui était en train de se passer. J'ai roulé sur le dos, sabots en l'air pour essayer de l'aider à rattraper son fardeau. Mais il faut dire que je n'étais pas très solidement bâti. Je n'avais que la moitié de cet énorme machin au-dessus de moi, et pourtant, j'ai vraiment cru que j'allais me faire écraser. Heureusement, j'ai tenu le coup.
- C'est bon ! Je la tiens !
- Ah… essaye de m'aider à le remettre sur mon dos !
Je lui obéis sans hésiter. C'était plus facile pour lui que pour moi de supporter cette énorme masse, mais à deux, nous avons réussi à sauver la marchandise.
- Phew… mais qu'est-ce que vous transportez là-dedans ?
- Des vivres pour le voyage. Mais dis-moi petit, qu'est-ce que tu fais là ? Tout seul ? J'ai failli te piétiner !
- Je cherche un équipage qui pourrais m'engager comme mousse.
- Ah. Ton premier emploi ?
- Oui. J'ai toujours rêvé de travailler dans la marine marchande. Comme mon père.
- Je vois…
- Et il y a un capitaine un peu plus loin qui m'a dit qu'on pourrais sans doute m'engager sur ce navire. C'est le vôtre ? Vous savez où je pourrais trouver le capitaine ?
- Ouaip. Le capitaine Rightfull devrait être par ici, en train de superviser le chargement. Attends, je vais te le présenter. Viens.
Je suivis donc le marin jusque sur le ponton où l'énorme navire était accosté. J'ai tout de suite remarqué les deux étalons qui étaient en train de discuter. L'un était pourpre, avec une crinière bleu nuit en bataille, et il portait un tablier de travail. Sa marque de beauté représentant un marteau et un ciseau à bois m'indiquait qu'il était charpentier. L'autre était bleu ciel avec des crins blancs poudré, et une coiffure tellement soignée que je me suis demandé si il ne portait pas une perruque. Sa propre marque représentait une carte marine.
- Capitaine Rightfull ?
- Qu'y a-t-il monsieur Buyo ? Lui avait répondu le poney bleu.
- Ce jeune pégase est à la recherche d'un équipage qui pourrait le prendre comme mousse.
- C'est ça, avais-je approuvé.
Le capitaine s'est un peu rapproché de moi, comme pour me jauger. Il avait l'air complètement impassible, le visage comme bloqué dans cette étrange grimace qu'ont les poneys haut placés quand ils cherchent à montrer qu'ils sont raffinés.
- Tu ne m'as pas l'air bien solide, gamin, m'avait-il dit. Qu'est-ce que tu sais faire qui puisse te rendre utile sur un navire ?
- Je suis très doué avec les cordages. Je connais à-peu-près tous les nœuds qu'on utilise dans la marine.
- Je vois cela. Est-ce que tu voles bien ?
- Plutôt, oui.
- Et est-ce que tu sais faire la cuisine ?
- Euh... un peu.
Le capitaine a continué de me regarder quelques minutes. J'aurais été bien incapable de deviner ce qui se passait dans la tête de ce poney.
- Oui... peut-être que tu pourrais nous servir.
- Alors... vous m'engagez ?
- On va te prendre à bord. Tu nous montreras ce que tu vaux quand nous serons en mer. Et alors on reparlera de ta paie.
- Merci, merci beaucoup capitaine Rightfull.
- Ça ira. Mais dis-moi plutôt comment tu t'appelles.
- Euh... Roger. Jolly Roger.
- Bien. Monte à bord. On lèvera l'ancre dans l'après midi.
J'étais déjà tout excité. Mon premier travail, à bord d'un navire marchand. Mes premiers contacts à bord m'ont appris qu'ils allaient faire du commerce d'épice dans les pays de l'est. Un marché plutôt rentable, du moment qu'on ne se faisait pas attaquer en chemin. Mais ce n'était qu'un détail... pour le moment.
Comme prévu, nous sommes partis dans l'après midi. Mon premier travail fut simple, et je suis sûr que vous pouvez déjà deviner de quoi il s'agissait : nettoyer le pont. Ce n'est pas vraiment l'activité la plus utile sur un navire, mais j'étais quand-même heureux de pouvoir faire quelque chose à bord. Rapidement, on m'a confié des taches plus délicates. Un pégase vert pomme entreprit par exemple de m'apprendre à replier les voiles. Ça reste assez facile quand le vent n'est pas trop fort, comme ces premiers jours, mais en pleine tempête, avec le vent du large, c'est une toute autre histoire.
Après une semaine de voyage, j'ai sérieusement commencé à me demander pourquoi il a fallu que je m'engage sur un navire marchand : Le soleil était très agressif en cette fin d'été, mais le vent était souvent froid. J'étais incapable de décider si j'étais en train de cuire ou de geler. Je souffrais aussi de soif. L'eau était rationnée, pour éviter le gaspillage, et que les réserves ne s'épuisent trop vite. En plus, elle s'est rapidement mise à croupir, devenant imbuvable. Nous nous sommes donc rabattus sur le vin. Je détestais ça au début, mais comme il n'y avait rien d'autre à boire…
Au dixième jour de notre voyage, notre vigie a malheureusement attrapé une insolation, l'obligeant à redescendre pour se mettre à l'ombre, soufrant. C'est moi qui l'ai remplacé en haut du mat. Et franchement, ce n'est pas le meilleur poste pour un marin. Non seulement il y a très peu de place ombragée, mais en plus, les mouvements du bateau y sont amplifiés de manière conséquente. J'ai failli attraper le mal de mer. Un comble pour un marin. Mais j'ai quand-même rempli ma fonction, signalant au capitaine un navire qui nous suivait, loin à l’horizon. Je ne pouvais pas encore dire à qui il appartenait, car il n'avait pas de pavillon. Inquiété, notre capitaine nous a ordonné de resserrer les voiles au vent, pour essayer de maintenir la distance, préférant visiblement éviter de rencontrer l'équipage de cet autre navire.
Quelques jours plus tard, le temps a commencé à se gâter. Des nuages sont apparus, et la mer est devenue houleuse. Oui, vous ne le savez peut-être pas, mais en mer, le temps n'est pas géré par les pégases. Le vent change et les nuages bougent tout seuls. J'ai entendu dire que c'était à cause du soleil et de l'évaporation de l'eau. Un truc comme ça. Mais revenons plutôt à notre histoire. Nous avons été obligés de replier la plupart de nos voiles, pour éviter qu’elles ne se déchirent. L'autre navire avait disparu à l’horizon. Mais la vigile disait qu'il pouvait encore être dans les parages, caché aux creux des vagues.
C'est au quinzième jour que ma vie a réellement pris un tournant. La mer était toujours agitée, et le temps s'était atrocement refroidi. L'automne était là, et avec lui était venue une brume qui entourait le Ocean Rose. Une véritable purée de poix. Je me souviens de ce soir fatidique où j'étais en train de discuter avec monsieur Buyo, le terrestre que j'avais rencontré sur le port. Tout comme le reste de l'équipage, ce temps le rendait nerveux. Mais je ne comprenais pas encore pourquoi.
- Il y a souvent du brouillard comme ça, en pleine mer ? Lui avais-je demandé.
- Non. Il y en a parfois dans les mers du nord, mais ici, c'est plutôt rare.
- Vraiment ? Eh bien il est drôlement épais, pour un temps inhabituel…
- Oui. Ce brouillard n'est pas naturel.
Je voulus lui demander ce qu'il voulait dire par « pas naturel », mais je n'en eus pas l'occasion. À travers le bruit du vent et des vagues, j'ai entendu un bruit, bref et sourd, mais très fort. Je n'eus que le temps de sursauter avant que, dans un sifflement, un projectile ne vole au-dessus de nous, brisant le grand mat dans un craquement assourdissant.
Des coups de canon.
Je me retournai vers l'océan. Dans la brume, je vis une forme noire surgir par l'arrière du bateau, comme un monstre échappé du Tartare. C'était un brick (un deux mats), bas et élancé. J'eus un frisson d'effroi en apercevant la figure de proue en forme de squelette, et le pavillon noir décoré d'une tête de mort qui flottait menaçant en haut du mat de misaine.
Des pirates.
« A l'abordage ! »
Quelque chose surgit du navire voisin, droit dans ma direction. Moi et mon ami nous sommes écartés de justesse pour éviter le grappin aux griffes acérées qui alla se planter dans notre bastingage, bientôt suivi par d'autres. Monsieur Buyo voulut essayer de les décrocher, mais il s'en trouva complètement incapable. Moi, terrorisé, je me suis retourné, galopant dans tous les sens sur le pont en hurlant :
« Les pirates ! On est attaqué ! Des pirates ! »
Maintenant que j'y repense, cette manœuvre d'alerte était bien inutile. Tout le monde devait déjà avoir entendu le coup de canon et la chute du mat. Bientôt, d'autres terribles coups résonnèrent, d'autres projectiles volaient depuis le vaisseau adverse pour aller briser les mats qui étaient encore debout. Nous étions piégés. Privé de ses voiles, le Ocean Rose était incapable de prendre la fuite. Et aucun canonnier n'était en position, il aurait été vain de répliquer de cette manière. Les pirates étaient déjà sur nous.
Buyo fut chassé du bastingage par un tir de mousquet, qui lui frôla la joue. Affolé, il fit un bond en arrière, laissant la place aux flibustiers pour se hisser à bord. Moi, je ne pensais plus qu'à sauver ma peau, et je courais sur le pont à la recherche d'une cachette.
Les premiers à débarquer furent des pégases, des poignards et des épées serrés entre les dents, grognant et criant comme des rapaces prêts à fondre sur leurs proies. La plupart des membres de mon équipage, complètements paniqués, galopaient à la recherche d'armes pour se défendre. Ceux qui en avaient déjà une sur eux la dégainaient, mais ils étaient souvent trop terrorisés pour oser faire un pas vers leurs assaillants.
Les pirates pégases leur fondirent dessus. La plupart n'eurent même pas à se servir de leurs armes, sinon pour parer une attaque avant d’asséner un puissant coup de sabot pour les assommer et les envoyer au sol. Certains de nos pégases essayèrent de s'envoler, mais un tir de mousquet dans l'aile avait vite fait de les faire redescendre. Nous étions à leur merci.
Caché derrière un tonneau attaché sur le pont, encore à moitié rempli de pommes, je ne pouvais que contempler le chaos qui régnait autour de moi, osant à peine pointer le bout de mon museau, de peur de me faire remarquer. Partout, des cris, des bruits de métal qui s'entrechoquait, des tirs de mousquet. Et cet horrible vacarme me tétanisait de peur. Des passerelles de bois virent bientôt relier les deux bateaux. Des terrestres et des licornes pirates vinrent ainsi gonfler les rangs des flibustiers. L'un d'eux retint mon attention parmi tous les autres : mieux habillé que ses compagnons, avec une veste rouge sang et un bicorne décoré du même emblème que son drapeau. Il était rouge vif, avec des crins blonds. Sa marque de beauté représentait un sabre d'abordage. Un de ses sabots avants, le gauche, était manquant, remplacé par une prothèse en bois et en métal, et un perroquet rouge et vert se tenait fièrement sur son dos, nullement dérangé pas la cacophonie environnante. J'avais déjà reconnu le capitaine du navire pirate. Il tournait la tête de droite et de gauche, cherchant des yeux le capitaine Rightfull. Du moins, je pense que c'est ce qu'il faisait.
En un rien de temps, presque tout l'équipage s'était retrouvé attaché aux restes du mat d'artimon, juste en face de moi. Certains étaient blessés, mais miraculeusement, aucun n'était mort. Quelques pirates restèrent à proximité pour les surveiller, pendant que les autres descendaient dans les cales à la recherche des richesses qui étaient supposées nous servir à acheter nos épices. Le capitaine pirate leur tournait autour, ses yeux dorés à moitié fermés, sondant les marins, les uns après les autres. Il ouvrit la bouche pour parler, révélant plusieurs dents en or.
- Je vous explique comment ça va se passer : vous avez deux choix possibles. Le premier choix, vous décidez de rejoindre notre bord. Le deuxième choix, vous prenez vos chaloupes et l'océan décidera de votre sort. Que choisissez vous ?
- Jamais nous ne rejoindrons votre bord, lui avait fermement répondu le capitaine Rightfull. Vous, pirates, vous vous battez pour l'argent. Mais nous, équestriens, nous nous battons pour l'honneur.
Le capitaine pirate s'arrêta pour regarder Rightfull. Et se pencha vers lui, menaçant. Notre capitaine gardait son air impassible, alors que leurs museaux étaient presque en contact.
- Oui, mais vous savez, avait répondu le pirate, chacun se bat pour ce qu'il lui manque.
Et il se mit à glousser, bientôt suivi par ses compagnons. Quel odieux personnage ! J'eus subitement envie de lui sauter dessus pour lui montrer quel genre de pégase j'étais. Et, par chance pour moi (ou par malchance, je n'ai jamais réussi à me décider) il s'était placé juste en face de moi, et me tournait le dos. Son perroquet non plus ne semblait pas m'avoir remarqué. Je ne sais pas vraiment ce qui m'a fait prendre cette décision, mais je suis passé à l'acte. J'ai bondi de ma cachette, dans un cri de rage, pour lui tomber dessus. Le perroquet fut le premier à remarquer ma présence et s'envola, paniqué, avant que je n’atterrisse là où il se trouvait quelques secondes plus tôt.
Mais sur le moment, j'avais sous estimé mon adversaire. Il rua. Je me suis agrippé à son cou, comme j'ai pu, mais en deux mouvements, il m'avait déjà projeté contre le pont du bateau. Je voulus me relever, mais quelque chose me frappa lourdement l'arrière du crâne.
Et je perdis connaissance.
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Il y a pas moins de huit chapitres en attente, et la narration ne comporte pas plus de spoiler. Alors considère que c'est déjà pris en compte.
Et oui, le capitaine a de la classe tout en restant assez cliché. C'est voulu. (note que cette citation a été jadis prononcée par Surcouf, un corsaire français).
En tout cas, le voyage promet de vous emmener très loin sur les mers de ce monde magique. Alors c'est d'accord, je t'engage ! Et toi aussi @jojo ! Bienvenue à bord tous les deux !
Ok, son apparence est un énorme clicher mais rien qu'avec cette phrase il a la classe le capitaine pirates.
tout ça par très bien, j'aurait juste une petite suggestion concernant la narration qui se veut être une histoire raconté par le héro. Vu que c'est lui qui raconte on sais déjà qu'il survivra a tout (en même temps c'est normal). Ce qu'il faudra éviter c'est de nous raconter comment va se terminer les action avent qu'elle n'est eut lieu.
Par exemple cette phrase (de quoi dissuader les pires forbans de s'en prendre à eux… du moins, c'est ce que je pensais.) Cette phrase nous révèle que le navire va être attaquer alors que le héro n'est même pas encore monté dessus. Bon pour être franc je chipote vu que même sans cette phrase c'était évident, mais tu a comprit ou je voulait en venir ?
En tout cas moi je signe pour monté à bord capitaine. j'es hâte de voir ou le navire de ton imagination nous mèneras.