Site archivé par Silou. Le site officiel ayant disparu, toutes les fonctionnalités de recherche et de compte également. Ce site est une copie en lecture seule

The Snow on Her Cheek

Une fiction traduite par System.

Bonus - Notes de l'auteur et annonce de la suite

Bonjour, mesdames et messieurs ! Mmh... Bonsoir. Ici, c'est déjà le soir. Quoi ? Ils ont dit que le soleil ne se couchait jamais sur l'Empire Britannique ? Eh bien, ils ont menti !

Je suis sûr que vous lisez tous ce chapitre dans l'espoir d'obtenir des informations à propos de la suite que je suis déjà en train d'écrire. Mais juste parce que je suis diabolique, je vais traîner un moment, donc faites-moi plaisir.

Pour commencer, je voudrais exprimer toute ma gratitude envers ceux qui sont allés aussi loin dans l'histoire ; c'est à dire, tous ceux qui sont arrivés jusqu'à la fin. Sans vous et vos avis, l'histoire n'aurait jamais été achevée, croyez-moi. Vous m'avez épaulé jusqu'au bout, et pour ça je vous en suis éternellement reconnaissant. Merci, merci beaucoup. Je vous aime tous. <3

J'ai commencé à écrire ce... roman, je suppose, étant donné qu'il y a environ 60 000 mots, sans savoir réellement pourquoi je faisais ça. Je pense que j'avais besoin de partager avec vous des choses que j'ai traversées, via une fanfiction MLP. Oui, je suis étrange, je sais. La plupart des choses que vous avez pu lire, la plupart des situations dans lesquelles nos ponettes musiciennes (et en particulier Vinyl) se sont retrouvées ont été sans retenue (arrachées) empruntées à mon expérience personnelle. Je suppose que l'ensemble est acceptable, j'ai réussi à décrire certaines choses (par exemple la dépression ou le manque) plutôt bien, étant donné que je les ai moi-même vécus.

Rapidement, j'ai réalisé que les gens aimaient mon histoire, pour une raison quelconque. J'apportais du plaisir à leurs cœurs, comme ils me disaient. Et... c'était agréable. Certains lecteurs ont prétendus que j'étais leur auteur favori, et que The Snow on Her Cheek était leur histoire préférée, et vous savez quoi ? C'est choquant. Vraiment. Dans le bon sens du terme bien sûr : soudain, j'ai compris que si j'avais réussi à rendre une seule personne heureuse, j'avais accompli quelque chose.

Mais le but principal, la morale principale de l'histoire, si je puis dire, n'est pas de rendre les gens heureux/tristes/larmoyant/inséré le ressenti perçu durant votre lecture. Le but était le suivant : montrer aux gens, ainsi qu'à moi-même, que la vie s'arrange. Elle s'améliore sincèrement. Nous, au même titre que les gens, devons nous entraider. Nous devons nous aimer. Nous devons partager nos émotions positives. Nous devons faire l'amour, se faire des amis, et faire de ce monde un endroit meilleur dans lequel vivre. Nous avons les moyens de rendre nos vies meilleures.

De ce que je sais, rien n'est impossible. Tout ce qui est montré dans cette histoire est possible. Arrêter l'héroïne (le buck dans ce cas) ? C'est possible. C'est dur. C'est probablement la chose la plus difficile, mais c'est possible. Trouver le grand amour ? Oui, c'est possible. Punaise, j'ai quitté ma maison pour partir à la recherche de l'amour de l'autre côté du pays et vous savez quoi ? Ça a marché. Maintenant nous sommes une famille heureuse et probablement un exemple pour ceux qui pensent que rien – rien au monde – ne peut se dresser entre deux amoureux. Vivre la perte d'un parent ?... C'est dur. C'est douloureux. C'est vraiment insupportable. Mais c'est possible. Voici ma conclusion, et le résumé de l'histoire :

RIEN N'EST IMPOSSIBLE.

Maintenant, faisons un peu de statistiques, parce que, vous savez, j'aime les stats : Au moment où j'écris ceci, l'histoire a 1280 vues pour le premier chapitre et 17713 vues totales ; 169 « j'aime » (et 8 « je n'aime pas »... après tout, je ne suis pas parfait, c'est vrai ! Je m'améliorerai !) et 262 « favoris » (pourquoi les gens ajoutent une histoire dans leurs favoris et ne laissent pas de « j'aime », éclairez-moi) ainsi que 956 commentaires. C'est la partie la plus importante. Les commentaires. Tous ceux parmi vous qui ont pris le temps de donner leur avis – vous êtes géniaux ; géniaux au-delà du compréhensible. Vous êtes la raison pour laquelle je continue d'écrire.

De plus, The Snow on Her Cheek est actuellement en train d'être traduite en français – pouvez-vous le croire ?! Grâce à System, tous ceux d'entre vous qui parlent français pourront lire l'histoire en français ! Génial, n'est-ce pas ?!

Oh, et cette histoire a également était mise sous les projecteurs de la glorieuse Featured Box ici sur FimFiction à 22 reprises. Je le sais. J'ai compté – j'ai des captures d'écran du site pour chaque jour où elle y a été.

À présent, j'aimerais éclaircir certains points qui ont été soulevés durant l'écriture que j'ai pensé pertinent de vous faire partager. Essayons de faire ça à la manière d'un question/réponse, pour l'amour de la créativité (parce que je suis trèèèèès créatif).

Q: Qu'est-ce qui vous a donné envie d'écrire The Snow on Her Cheek ?

R: Oh, c'est une excellente question. Eh bien, j'ai toujours aimé Vinyl et Octavia de tout mon cœur : Alegrezza reste une de mes fanfics favorites et VinylTavi est mon shipping favori. Pendant longtemps, j'ai pensé que je n'avais pas le talent requis pour écrire une bonne histoire autour d'un shipping. Je m'y suis essayé en écrivant An Absolutely Standard Shipfic qui relevait plus de la parodie que de la shipfic ; mais ! Vinyl et Tavi était l'un des couples. Donc, tout a commencé lorsque j'ai écouté la chanson The Snow on Her Cheek de Dr Dissonance (écoutez-la, tout de suite – le lien est dans la description de l'histoire – et bombardez l'artiste de commentaires) une centaine de fois. Cela m'a fait repenser à tant de moments douloureux de ma vie ; cela m'a remis en tête la drogue, et la dépression, et la solitude. Ça m'a tellement marqué que j'étais prêt à écrire à peu près sur n'importe quel sujet. À cet instant, il pleuvait (parce que l'Angleterre) et il faisait plutôt sombre (parce que le soir) ; et je regardais quelques images d'Octavia avec son violoncelle. Elle avait l'air si déterminée et si sombre à la fois... Je me suis donc assis devant mon ordinateur portable (ça n'a même pas de sens, si ?) et j'ai commencé à écrire. Je savais malgré tout comment finirait l'histoire depuis le début.

Q: Pourquoi prendre Vinyl et Octavia ?

R: Parce que c'est mon shipping préféré... Si on ne compte pas Fallout: Equestria and LittlePip & Homage, ça l'est. Je pense que ces deux ponettes sont faites pour être ensemble ; mais c'est vraiment amusant d'écrire à propos d'elles, parce que ce sont des personnages différents, bien qu'au début de l'histoire cela peut ne pas forcément être évident de faire la différence entre les deux. Je peux simplement répondre que lorsque vous commencez à sortir avec quelqu'un, vous essayez inconsciemment de vous adapter à son personnage, et plus tard, après avoir partagé une relation d'une certaine durée, votre vraie personne se révèle petit à petit. Contrairement à LyraBon, qui semble être le shipping favori de la communauté, VinylTavi est une relation plus réaliste, avec ses querelles, et ses problèmes, entre autres.

Q: Poney préféré ?

R: Octavia. Évidemment.

Q: Avez-vous pensé à écrire une histoire sur Lyra et BonBon ?

R: Oui. Oui, j'y ai pensé. Et je vais peut-être l'écrire ! De toute façon, Lyra et Bon-Bon vont jouer un rôle plus important dans la suite. ^_^

Q: Qu'est-ce qui vous a fait utiliser le jazz plutôt qu'un autre genre ?

R: Eh bien, pour commencer, j'aime le jazz. Georges Shearing, Miles Davis, Frank Sinatra (c'est du swing, je sais, mais qui s'en fout ?), John Coltrane, Benny Goodman, Thelonious Monk, Peggy Lee... Ces gars vous donnent vraiment envie d'avancer. Mais, c'est surtout par rapport au contexte que j'ai choisi (Manehatten, dans les années 30) qui se marie assez bien avec le jazz. De plus, le jazz est une métaphore de la liberté à travers toute l'histoire. Oui, je suis aussi subtile qu'un éléphant dans un char, je sais. -_-

Q: Qu'est-ce qui vous a fait entrer dans le fandom de MLP et fait écrire des fanfictions ? Et, qu'est-ce qui vous a poussé à l'écriture ?

R: Qu'est-ce qui m'a fait entrer dans le monde de Mon Petit Poney ? Aussi cliché que cela puisse paraître, via internet. J'ai vu la série mentionnée quelque part sur le net, et j'étais assez perturbé par les retours positifs. Ce que je veux dire, c'est que j'ai toujours été assez ouvert d'esprit, mais... des chevaux roses ? Sérieusement ?

Inutile de le dire, après une demi-douzaine d'épisodes, j'ai changé d'avis. La série était géniale. (je viens de remarquer que... je suis devenu fan de la série en été ; celui après la première saison – 2011.) Après une douzaine d'épisodes, j'étais un brony pour de bon. Et MLP ne cesse de s'améliorer, donc... Fier d'être un Brony !

Écrire des fanfictions ? Mmh... Cette question est liée à ce qui m'a amené dans l'écriture en général, parce que je n'écris rien d'autre en dehors des fanfictions MLP. Quoi que j'ai également écrit d'innombrables essais politiques à l'Université... *frissons* Je suppose que ma dépression et le sentiment que quelque chose ne tournait pas rond dans ma vie me frappaient. Je me sentais déçu, et c'était le moment où ma copine avait dû quitter la ville... La mort de mon père, la mort d'un ami... La vie n'était pas très radieuse pour moi à cette époque. J'ai donc commencé à écrire... Sur Doctor Whooves, si je me rappelle bien. C'est pourquoi il a fait une apparition éclair dans The Snow on Her Cheek – en fait c'est mon premier vrai personnage, celui que j'ai développé à partir de rien, pour ainsi dire, (parce que j'étais plutôt déçu du manque de canon et fanon sur notre poney temporel préféré) - il est le résultat d'un mélange du Docteur, de Berty Wooster et d'un typique britannique conservateur moderne (comme moi ^_^).

Donc... Ouais. Écrire m'a aidé à passer au-delà de la dépression. Ça m'a aidé à éviter de retomber dans l'addiction. Et ça m'aide continuellement.

Disons que... La musique et la littérature sont deux des seules choses dans ce monde qui me font penser qu'il y aurait quelque chose de pur, peut-être de divin, en chacun de nous (bien que je sois athée).

Q: Avec combien de grandes lignes travaillez-vous en général ? Avez-vous juste une direction principale d'où l'histoire va dans votre tête, ou écrivez-vous tout quelque part pour faire un plan, ou autre chose?

R: Quand j'ai commencé à écrire, je connaissais déjà quelques détails de la trame : Octavia allait tomber amoureuse de Vinyl ; Vinyl allait surpasser son addiction ; un des parents d'Octavia allait mourir ; Vinyl et Octavia allaient se marier. C'est tout. Tout le reste était écrit sur le vif, la veille et le jour même de la publication du chapitre. Mais avant que je ne commence à écrire un chapitre, j'avais un petit plan des événements importants qui allaient se produire dans celui-ci.

Q: Combien de temps passez-vous à éditer et à écrire un chapitre ?

R: L'écriture – quelques heures. L'édition – quelques minutes. Vraiment je suis un mauvais éditeur. Étant un orateur né, je me fiche pas mal de former mes pensées, et c'est assez pénalisant, parce que quand je les écris, elles sont parfois grammaticalement incorrectes. D'occasionnelles fautes apparaissent çà et là. Oh, et, comme tous les britanniques, je déteste la ponctuation. Et, quoi qu'il en soit, les gens ne se bousculent pas vraiment pour être mes éditeurs, hein ?

Q: Quel(le) est votre marque/millésime favori(te) de scotch, et quel genre de tabac préférez-vous ?

R: À vrai dire, c'est une question importante, car le scotch et le tabac ont été parmi les principales raisons de mes mises à jour rapides. Je descendais quelques verres et je fumais une pipe ou deux chaque jour tout en écrivant les chapitres. Commençons par l'année. Dix-neuf ans d'âge. C'est le temps parfait pour faire vieillir un scotch, d'après moi. Une marque ? Eh bien, récemment j'étais chez Bladnoch (pur malt) - merci du conseil d'un lecteur ! Mais ma favorite à tout jamais restera Whyte & Mackay. Le vieux whisky de luxe est le meilleur.

En ce qui concerne le tabac... Eh bien, je suis un accro au Peterson. Je fume avec des pipes Peterson, et du tabac Peterson. Mes mélanges favoris sont ceux de chez Connoisseur's Choice et ceux de chez Sherlock Holmes ; cependant, je peux aussi accepter un peu de Old Dublin. Si vous l'essayez, attention à son amertume – généralement je le mélange avec un peu de Sunset Breeze. Oh, et Special 2012 Reserve est aussi excellent.

Q: Comment choisissiez-vous le titre de chanson qui allait être utilisé pour nommer les chapitres ?

R: C'est plutôt simple, j'ai nommé les chapitres d'après mes chansons de jazz favorites, avec à l'esprit le fait que chaque chapitre devait coller à la trame. Par exemple, Conception (George Shearing) représente 'Le commencement' ; The Thrill is Gone (BB King) représente l'apathie d'Octavia, et ainsi de suite.

Q: Pourquoi avez-vous choisi de placer l'histoire dans ce cadre ?

R: Vous allez rigoler, mais initialement je voulais placer l'histoire à Londres. Puis j'ai rapidement réalisé que le Londres des années 30 était un endroit assez ennuyeux. Au contraire, Manehattan, et Los Pegasus (allégories des villes américaines, bien sûr) semblaient plus appropriées. De plus, les États-Unis sont le berceau du jazz, et tout spécialement du be-bop. Je devais donc rendre un hommage.

Mais la raison principale derrière tout ça était la suivante : les États-Unis est un pays ouvert d'esprit, au peuple désireux de liberté. Cela convenait tellement à l'histoire : contre l'oppression, empli de liberté, créant un nouveau genre de musique,... Cela aurait été impossible de représenter tout cela si j'avais choisi la Grande-Bretagne comme base de mon cadre.

De plus, les films noirs sont essentiellement liés aux États-Unis. Et le cadre conviendrait parfaitement à la suite.

Ah, oui. La suite. Le moment que vous attendiez tous. Oui, il y aura une suite, et j'ai déjà commencé à y réfléchir. Elle contiendra Vinyl, Tavi, Lyra, Bon-Bon... ainsi que de nouveaux personnages. Non, je n'en dirai pas plus pour l'instant. Disons que... Vous aimez bien le Rock'n'Roll, n'est-ce pas ? ;)

Dans les conditions actuelles... Eh bien, cela devrait prendre entre une semaine et un mois complet avant la publication du premier chapitre. Vous allez très probablement attendre une quinzaine de jours. Oh, et le titre sera, It Takes a Foal to Raise a Family.

Voilà. Je ne donnerai pas plus de détails. Si vous voulez rester au courant des derniers news concernant la suite... Vous voyez le bouton [Watch] à côté de mon pseudo ? Celui à côté de l’œil ? Cliquez dessus ; suivez mes articles ; et vérifiez les notifications de temps en temps. Lorsqu'elles diront, psp7master has uploaded a new story, eh bien, cela voudra dire que la suite sera là !

Pour terminer, je pense que je dois vous expliquer quelque chose. Pourquoi Philarmonica, et pas Philharmonica ? Je dois avouer que je voulais être original (comme AcreuBall avait appelé Tavi Tavy dans son excellente pièce de maître Mercy, Mercy, Mercy, que vous devez absolument lire), mais la vérité c'est que... Je me trompe à chaque fois lorsque je l'écris, j'ai donc pensé, pourquoi me prendre la tête ? et j'ai décidé de l'écrire comme ça, Octavia allait porter le nom de Philarmonica.

Encore une fois, merci à tous, sincèrement pour votre lecture. Je vous aime tous, de tout mon cœur. Restez à l'écoute pour la suite ainsi que pour d'autres histoires.

Peace.

~Josh

Vous avez aimé ?

Coup de cœur
S'abonner à l'auteur

N’hésitez pas à donner une vraie critique au texte, tant sur le fond que sur la forme ! Cela ne peut qu’aider l’auteur à améliorer et à travailler son style.

Note de l'auteur

La traduction de la suite a été commencée par Louisaro sur French Brony.
Elle a été arrêtée pratiquement dès le début, mais vous pouvez tout de même la retrouver ici : [lien]

Chapitre précédent Chapitre suivant

Pour donner votre avis, connectez-vous ou inscrivez-vous.

Aucun commentaire n'a été publié. Sois le premier à donner ton avis !

Nouveau message privé