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Turn It On Again

Une fiction écrite par inglobwetrust.

Chapitre 5: Signatures

« Eh bien, les nouvelles vont vite de nos jours. »

En effet, les nouvelles allèrent vite.

Dès le lendemain de leur escapade à Canterlot, Sweetie et Rarity tombèrent avec surprise sur la une du journal déposé chaque matin sur le paillasson au Carousel.

« ‘Ponytones : une reformation ?’ », commença à lire Rarity en parcourant le journal, attablée à la table pour prendre son petit-déjeuner. « ‘Hier soir, lors du concert de Toe Tapper et Torch Song à Canterlot, la chanteuse Rarity a été aperçue dans la petite salle de concert. Séparés depuis dix ans après une dernière tournée désastreuse, les Ponytones n’ont pas été vus ensemble depuis cette date. Si les trois premiers cités ont mené des carrières solos infructueuses, les deux autres membres du groupe, Big Macintosh et Fluttershy, se sont retirés de la vie publique après le dernier concert des Ponytones. Mais la rencontre d’hier soir pourrait relancer les rumeurs de reformation espérée par les fans depuis des années. Affaire à suivre…’»

Rarity abaissa le journal et sembla mi-inquiète, mi-furieuse. Mais tout de même plus furieuse qu’inquiète. « Si je tenais le Vivid Syntax qui a écrit ça… », grogna-t-elle en serrant les dents.

« Rarity, ça ne sert à rien de s’énerver. Il fallait que ça sorte à un moment ou à un autre », tenta de la raisonner sa sœur, assise en face d’elle et occupée à beurrer une biscotte. Elle laissa une longue pause avant de demander : « Et maintenant ? »

« Maintenant ? » répéta la licorne en repoussant le journal sur le côté. « Je crois que nous n’avons plus beaucoup le choix. Je vais envoyer une lettre à Toe et à Torch pour qu’ils viennent ici au plus vite. Mac et Fluttershy habitent tout près, il suffira juste d’aller les chercher pour qu’ils soient là de suite. Espérons juste que cela ne traîne pas pour que je n’aie pas tous les médias sur le pas de ma porte dès demain… ou même dès aujourd’hui », ajouta-t-elle, cette fois plus inquiète. « C’est très mauvais pour les affaires. »

Sweetie se leva de la chaise et prit sa sœur dans ses sabots pour la rassurer, endossant à nouveau le rôle de la grande sœur. « Ne t’inquiète pas, Rarity. On s’occupera de ça en temps voulu. Je dois aller voir ma manageuse ce matin, elle doit me faire des propositions pour la tournée. »

Rarity leva un sourcil et recula pour faire face à sa sœur. « Quoi, déjà ? Mais nous sommes à peine reformés depuis hier soir. Comment est-ce possible ? »

Sweetie la relâcha et haussa les épaules. « Hé, c’est Scootaloo. Tu sais, la manageuse la plus rapide de tout Equestria », sourit-elle. « Elle va te monter ça en deux coups de sabot. »

« J’espère quand même que Mac et Fluttershy ne vont pas le prendre trop durement. Tu sais comment ils sont face aux médias… », soupira Rarity en finissant son petit-déjeuner. « Surtout Mac... Bon, tu reviens avec des contrats cet après-midi ? »

« Hmm hmm », fredonna Sweetie, en attrapant une pomme qui traînait sur la table. « À tout à l’heure, sœurette », lui dit-elle avant de partir voir son amie pégase.

Le reste de la matinée se passa tranquillement et pas un journaliste ne vint toquer chez Rarity, qui avait fait partir une lettre en Pony Express pour Toe et Torch. Mais en début d’après-midi, un coup à la porte se fit entendre.

TOC TOC

« Entrez ! » dit Rarity, toujours occupée dans sa cuisine. Enfin des clients, pensa-t-elle, car elle n’en avait pas vu passer de la matinée. « Je suis à vous dans une minute ! » lança-t-elle en finissant la vaisselle.

Avant d’entrer dans la pièce principale qui servait de boutique, elle prit le temps de se recoiffer dans un miroir, avant de pénétrer là où se trouvaient les clients.

« Bonjour ! Que puis-je pour- »

Elle s’interrompit en découvrant qui était ses « clients » du jour.

Toe Tapper et Torch Song.

Le journal du jour sous le sabot.

« Oh… », reprit Rarity. « Je pense que vous avez aussi lu ce que dit la presse », tenta-t-elle en se forçant à lâcher un petit rire.

« En effet », dit Toe d’un ton sec. « Nous sommes venus dès que possible. Histoire d’éviter les médias, tu sais... »

Rarity hocha la tête et les fit entrer et asseoir sur un canapé le temps de préparer du thé. Un long silence s’installa dans la pièce, chacun ne sachant pas quoi dire et quoi faire à part siroter son thé. Après quelques minutes qui semblèrent durer bien plus, Sweetie Belle arriva au Carousel avec Scootaloo.

« Oh, bonjour Toe, bonjour Torch ! Vous avez fait vite ! » se réjouit la licorne en les saluant. « Scootaloo a les contrats avec elle, je vais chercher Big Mac et Fluttershy tout de suite ! » Et sur ce, la licorne repartit, sans laisser le temps à Rarity de dire un mot.

« Oh, eh bien… bonjour Scootaloo », parvint-elle à dire en saluant la pégase habillé d’un costume de businesscolt. Cravate, lunettes de soleil, chemise blanche… « Tu es superbe comme ça », ajouta Rarity, qui ne perdait jamais son sens aiguisé de la mode pour faire des compliments.

« Hé, tu sais ce que c’est dans ce milieu. C’est le look qui fait tout », répondit la pégase, avant de saluer d’un signe de tête les deux autres poneys dans la pièce.

« Tu prêches une convaincue », s’amusa Rarity. « Qui veut encore du thé ? Histoire d’attendre que Sweetie revienne » proposa-t-elle, obtenant des réponses positives de toute l’assemblée présente.

La suite fut tout aussi étrange qu’avant pour les Ponytones présents. Le silence se faisait toujours, seulement brisé par le son de Scootaloo en train de préparer les contrats et de faire bruisser les feuilles de papier et les bouches qui sirotaient le thé frais que venait de préparer la jument.

« Ça… n’a pas changé », finit par dire Torch en jetant un œil tout autour d’elle.

« Oh tu sais, on ne change pas une équipe qui gagne », répondit instantanément Rarity, avant de réaliser l’énormité de ce qu’elle venait de dire, écarquillant les yeux et rougissant, puis baissant le regard, gênée. Elle n’ajouta pas un mot de plus, morte de honte, avant que Big Mac et Fluttershy ne finissent par arriver avec Sweetie.

Les Ponytones étaient enfin réunis au complet pour la première fois depuis dix ans. Du moins autour d’une table, et pas encore sur scène.

Tous se saluèrent, sans véritable émotion lisible sur leurs visages, avec des poignées de sabots froids et mécaniques. Aucun mot à part de discrets « B’jour » entendus ici et là et des regards discrets échangés. Les sept poneys prirent place autour d’une table et devant l’atmosphère tendue qui émanait de la pièce, Sweetie pressa Scootaloo de se lancer.

« Bon. Le temps, c’est de l’argent, alors je vais faire court », commença-t-elle. « Depuis l’article de ce matin, j’ai reçu des tas de propositions de salles prêtes à vous accueillir pour... » Elle se racla la gorge.

« … la grande tournée de reformation des Ponytones ! » dit-elle telle une showmare annonçant son propre spectacle.

Les mots ne générèrent pas un enthousiasme particulier chez les membres du groupe, tous évitant soigneusement de se regarder trop longtemps dans les yeux. Scootaloo poursuivit, sachant qu’elle n’obtiendrait rien d’eux, en tout cas de ce côté-là.

« Bon, voilà le contrat que j’ai à vous proposer : dix concerts, un mois de tournée dans tout Equestria, début dans dix jours avec Sweetie qui fait votre première partie. On peut garder d’autres dates en option si vous voulez. Logés dans les meilleurs hôtels d’Equestria, une équipe qui s’occupe entièrement de la technique… Voilà ce que je peux vous proposer financièrement », conclut-elle avant de faire passer les contrats à chaque membre du groupe.

Tous les lurent attentivement pendant quelques instants, avant que Toe ne pose une question.

« La somme là, c’est ce qu’on toucherait pour la tournée ? » demanda-t-il en plissant les yeux sur la feuille.

Scootaloo poussa un petit rire. « Non, par concert. »

Tous relevèrent la tête d’un coup et semblèrent stupéfaits.

« Oui, oui, je sais. C’est beaucoup. Vous pouvez me dire merci, mais surtout, remercier encore plus ceux qui sont prêt à débourser beaucoup pour vous avoir tous les cinq dans leur salle. Mais pas d’argent si la tournée ne va pas au bout. Vous avez de la chance, je ne prends que 5% », sourit-elle.

Les têtes se replongèrent dans les contrats et de nombreuses questions se posèrent dans la tête des cinq membres : cette somme valait-elle la peine de mettre de côté les divisions ? Pourraient-ils supporter d’être à nouveau ensemble ne serait-ce qu’un mois ? Feraient-ils vraiment cette tournée pour l’argent ?

Chacun avait ses raisons pour conclure à une réponse, mais celle-ci fut unanime.

« J’en suis », dit le premier Toe. « Enfin, si tu l’es aussi, mon cœur », ajouta-t-il en se tournant vers sa femme.

« J’en suis aussi », répéta-t-elle en reposant le contrat sur la table.

« Je signe aussi », déclara solennellement Rarity. « Et ça n’est pas du tout pour une question d’argent ! » s’offusqua-t-elle, obtenant quelques ricanements autour de la table.

Seul deux devaient encore répondre et tous les regards se tournèrent vers eux, ce qui n’aida pas l’un, ou plutôt, l’une des deux à parler.

« Euh… je... Un mois, c’est beaucoup… Je ne sais pas si… », bredouilla Fluttershy, qui cherchait encore à se convaincre du bien-fondé de sa réponse.

Rarity vit sa gêne, se leva et s’approcha de son amie, prenant ses sabots dans les siens. « Fluttershy, nous ne voulons te forcer à rien. Nous savons tous comment ça s’est passé pour toi la dernière fois, mais… pense à Rose, c’est toi-même qui me l'a dit. Pense à la joie qu’elle ressentira en voyant sa maman chanter pour elle sur scène. Penses-y… »

Rarity était la meilleure pour en appeler aux sentiments de chacun. Et pour jouer sur la corde sensible. Elle voulait vraiment faire cette tournée et sa force de conviction surprit un peu Sweetie. La jument qui hésitait encore la veille à reformer le groupe avait disparu dans le train retour vers Poneyville.

Fluttershy s’imagina la scène dans sa tête, ferma les yeux et sourit. Chanter devant sa fille, chanter spécialement pour elle devant toute sa famille et ses amis… Elle rouvrit les yeux. Sa décision était prise.

« D’accord. Mais seulement pour un mois. Je ne pourrais pas faire plus », annonça-t-elle, essayant d’ajouter un brin de fermeté dans sa voix.

Satisfaits, les autres paires d’yeux se tournèrent vers Mac qui, de façon non-surprenante, prenait tout son temps pour répondre. Il inspira longuement, avant de reposer les feuilles et de dire :

« Ouaip. »

« Super ! Maintenant que tout le monde est OK, signez en bas de chaque feuille, s’il vous plaît », reprit rapidement Scootaloo en déposant des stylos tout autour de la table, utilisant ses ailes pour effectuer cette tâche très vite.

Le bruit de stylos grattant sur le papier scella la reformation. Au moins pour un mois.

« Bon, il faut organiser une conférence de presse pour annoncer la nouvelle et informer le public de la vente des tickets. Demain, 15h à l’hôtel de ville, ça vous va ? » demanda Scootaloo. Les hochements de tête et les quelques « oui » lui donnèrent une réponse.

« Et il faut organiser une répétition. Demain à 10h aux studios de Vinyl et Octavia, vous êtes partants ? » demanda à son tour Sweetie. « Comme ça, tout le monde peut venir avec ses idées de chansons à jouer et vous pourrez décider ensemble. »

Rien que la perspective de débattre sur ce point envoya quelques frissons chez certains. Mais tous acceptèrent la proposition de la sœur de Rarity.

Mac fut le premier à quitter la table sans un mot de plus et sans un regard pour les autres, retournant à ses champs chéris. Fluttershy, Toe et Torch se mirent à discuter ensemble, notamment de la fille de Fluttershy, cette dernière leur proposant de les loger pour la nuit, en attendant les répétitions et la conférence de presse de demain. Les sourires revinrent peu à peu sur les visages, aussi grâce au fait que l’animosité qui avait conduit à la séparation du groupe n’était pas concentrée entre la pégase et les deux terrestres.

« Alors comme ça, c’était une fille, hein ? » la taquina Torch, faisant rougir la pégase. « Je savais que tu étais enceinte à l’époque, c’était évident. Et qui est le papa ? Comment elle s’appelle ?»

« Rose et c’est Discord qui est le papa », répondit la pégase sans sourciller.

Tout d’un coup, les deux chanteurs comprirent que la nuit chez Fluttershy allait être très étrange, voire chaotique.

Le groupe partit de chez Rarity un peu plus uni qu’il ne l’était il y a encore une heure, au moins pour trois d’entre eux. Toe et Torch, bagages sur le dos, suivirent Fluttershy vers son cottage, attendant d’être rassurés sur les intentions de leur hôte pour ce soir.

Quand la pièce se retrouva à nouveau vide, sauf les deux sœurs, Rarity poussa un long soupir avant d’aller s’effondrer dans un canapé, suscitant l’inquiétude de sa sœur.

« Rarity, ça ne va pas ? » demanda Sweetie en s’approchant d’elle.

« Hein ? Oh, si, si, tout va bien, ne t’inquiète pas. C’est juste que… cette fois, c’est signé et… je ne sais pas, tout cela m’étourdit un peu. » Elle marqua une pause et se releva un peu. « Tu as vu le contrat, tout l’argent que l’on va toucher ? Oh je pourrais faire tellement de choses avec ! Acheter des joyaux pour mes robes, organiser un grand défilé à Canterlot, rénover la boutique… »

Rarity continua à rêver à voix haute, sabots levés, avant que sa sœur ne la coupe.

« Rarity, je croyais que ça n’était pas une question d’argent », la sermonna-t-elle en mettant son visage au-dessus du sien, toujours allongée sur le canapé.

« Oh, oui, c’est vrai », rougit un peu sa sœur en se rasseyant. « Mais quand même, avoue qu’à ce prix-là, je serais prête à chanter avec mon pire ennemi pendant toute une tournée. »

Sweetie baissa un peu les yeux et constata, un peu amer. « Vu comment tu le dis, on dirait que c’est le cas. »

Rarity poussa un long soupir mélangé à un grognement. « Allons, Sweetie, ce n’est pas ce que je voulais dire. Si je fais cette tournée, c’est pour que nous nous réconciliions tous et nous quittions bons amis. Vraiment. Je te le jure. »

Sweetie leva la tête et sourit. Elle voulait croire en la bonne volonté de sa sœur. Même si elle devait attendre des actes pour en être sûre.

« Sweetie, tu peux me laisser seule maintenant ? J’ai des commandes à finir et je dois réfléchir aux chansons pour demain, d’accord ? » demanda la licorne. Sa sœur comprit le message et la laissa travailler pour le reste de la journée.

En se dirigeant vers les studios de Vinyl et Octavia, elle croisa Scootaloo en pleine conversation avec Mac. Mais en s’approchant d’eux, ils se séparèrent, signe que la discussion était finie. Curieuse, Sweetie alla voir son amie.

« Scoots, il y a un problème avec Mac ? » demanda-t-elle.

« Hein ? Oh non, il avait juste plein de questions à me poser. Il s’y connaît bien quand il est question d’argent ! » lâcha-t-elle, impressionnée.

« Des questions du genre ? » la pressa Sweetie. Scootaloo sourit puis fit glisser ses lunettes de soleil sur son museau.

« Pour ça, je veux dix pourcents sur ta prochaine tournée », sourit-elle. Sweetie alluma sa corne et releva ses lunettes pour voir ses yeux, et son regard moqueur.

« Aww, tu fais pas de prix d’ami ? » gémit-elle en faisant la moue.

« Sweetie, tu sais bien que question business, y’a pas d’amitié qui tienne », dit la pégase sur un ton mi-sérieux, mi-moqueur en reposant ses lunettes sur son museau.

« Même pour ta super copine Chercheuse de Talent ? » redemanda Sweetie, en sortant son arme secrète de son sac de selle : la cape utilisée par Scootaloo quand elle était encore pouliche. Son amie écarquilla les yeux et remonta ses lunettes noires.

« Tu… tu l’as retrouvée ! » s’écria-t-elle en se jetant sur l’objet et en frottant le tissu contre son visage. Après en avoir respiré quelques bouffées, elle contempla l’objet plus longuement, avant de se le passer autour du cou. « Sweetie… je... »

Son amie comprit et s’avança vers elle, tendant ses sabots pour lui faire un gros câlin, qui dura pendant un long moment. Après l’avoir relâchée, Sweetie reposa la question.

« Alors, maintenant tu veux bien me dire ce que voulait savoir Mac ? »

« Puisque tu me prends par les sentiments… Tu serais une bonne businessmare, Sweetie », la complimenta la pégase avant de poursuivre. « Il voulait savoir des trucs comme ce qui se passerait si la tournée ne se finissait pas, s’il pouvait se faire verser directement l’argent en cash, s’il y avait une part prédéfinie sur la vente de marchandise. Du business, quoi. »

Le flot d’informations fit lever un sourcil à Sweetie, mais elle n’eut pas le temps d’y penser plus longuement avant qu’elle ne sente un sabot s’enrouler autour de son épaule.

« Hé, plutôt que de rester là toutes les deux à parler boulot, si on allait voir Bloom à la ferme histoire de reformer les Chercheuses de Talent ? » suggéra Scootaloo, en rabaissant ses lunettes avec un coup de tête.

Sweetie se tourna vers elle et sourit. « Qu’est-ce qu’on attend ? Allons-y !»

Scootaloo rétracta son sabot et décolla dans les airs en quelques battements d’aile, flottant juste à côté de son amie. « Deux reformations le même jour ? J’ai bien mérité mes cinq pourcents ! »

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Note de l'auteur

Salut tout le monde.

Je reviens de Star Wars 7, quel film! Et c'était encore plus cool de le voir avec tous un tas de bronies à Paris.

J'ai terminé un premier jet de mon conte de Noël qui... ne sera pas publié à Noël. Peut-être d'ici quelques semaines... On se reverra en 2016, une année qui s'annonce pleine de bonnes choses pour moi. Joyeux Noël, bonne année et à l'année prochaine sur ce site.

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PhoenixBleu
PhoenixBleu : #31870
Un chapitre de transition qui finit sur un câlin, marque de fabrique de la maison ! ^^

Dans l'ensemble, je dirais que ce chapitre me laisse une impression mitigée.
Bonne idée que celle de la fuite dans la presse. L'intérêt pour l'argent de Big Mac est très intéressant, cela créé une interrogation vis à vis de celui qui paraissait le moins y toucher. Comme c'est lui qui tiens les comptes de la ferme, y aurait il des soucis dans le financement de Sweet Apple Acres ? Affaire à suivre ! L'idée d'imaginer Scootaloo en businesswoman est originale et jamais vu je pense
D'un autre côté, je trouve le passage de la réunion et de la signature des contrats un peu expédié. Peu être auraient ils du plus se questionner, plus hésiter. L'attente de l'arrivée des quatre membres, puis des deux derniers, est un peu plate. Trop de silences je trouves. Peut être aurait il fallu suivre Sweety Belle à certains moments. Certes, elle n'a pas du vivre de palpitantes aventures, mais cela aurait eu le mérite d'un peu casser le train train du moment pause thé. Enfin, tout ceci n'est que mon humble avis.
Néanmoins, c'est toujours aussi agréable à lire.

Je devrais aller moi aussi voir Star Wars, mais je préfère encore attendre un peu. Trop de monde pour l'instant ! ^^
Joyeux Noël et Bonne Année à toi aussi ! Que toutes tes attentes se réalisent durant cette nouvelle année et continues de nous régaler de tes écrits !

Bref, vivement la suite !
Modifié · Il y a 2 ans · Répondre
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jojo
jojo : #31848
Joyeux noël inglo et que la force soit avec toi jeune padawan ^^
Il y a 2 ans · Répondre

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