La lune s'élevait parmi les constellations,
Illuminant les cieux de ses clairs rayons
Pendant que quelqu'un la dévisageait, sublime,
Malheureux d'être coincé en dessous des cimes.
Pensif rêveur laissant son esprit s'envoler,
Porté par le tintement des étoiles,
Il restait là à chuchoter aux bêtes enragées,
Tandis que nous étions en sécurité sous nos voiles.
Il tenta de prendre son envol parmi les chouettes et la brume
Se demandant : Qu'avait-il fait ?
Pour être condamné à perdre ses plumes,
Maudit par les autres de ressentir leurs pleurs et ce qui les effraient.
Rempli de regret, ne pouvant se reposer,
Ce brave poulain essaya avec foi de contester
Les injures contre lesquels il s'efforçait de lutter.
Son cœur commençait à s’essouffler.
Néanmoins, même maintenant quand souffles devinrent soupirs,
Quand de sombres souvenirs l’assaillirent,
Il écoutait encore et encore de la lune les pleurs
Ainsi que son histoire au sujet de deux sœurs.
Tout le monde évitait les nuits de la plus jeune,
Trop effrayés d'arpenter les sentiers sous sa lueur.
Tout le monde sauf un qui trouvait le ciel à fleur d’eau,
Qui juste pour elle chaque soir raccordait son piano.
Qui juste pour elle entonnait doucement d'entêtantes berceuses
Vantant dans ses pleurs l’héritière d'argent nébuleuse,
Puis la conjurant de lui laisser le droit,
De lui montrer ce qu'il pouvait faire pour elle au combat.
Car la plus jeune était en guerre contre l'aînée,
Qui régnait en tyran dans un royaume corrompu
Clamant haut et fort que le pouvoir était son dût
Et dénigrant les lamentations de ses sujets.
C'est pourquoi dans le palais du Soleil brûlant,
La fille de la lune se rebella, résistant
Contre sa bien-aimée sœur, finalement.
Car son inquiétude était le bien être des simples gens.
Le pianiste joua son rôle dans cette guerre
Mais ne put empêcher le bannissement de la plus jeune sœur,
Qui déchira son cœur en deux, ne sachant pour qui entre la Lunaire
Et la Solaire sa loyauté était, son cœur étant pour les deux en chœur.
Cependant, les deux sœurs devinrent princesses de leur propre royaume,
Le même où elles s'étaient battu pour l'ordre et la liberté.
Une le jour, l'autre la nuit, quand tout semblait s'effacer,
Plutôt que rester ensemble, paume contre paume.
Inévitablement, la colère s'empara de la fille de la nuit,
Qui commença à délirer, faisant réagir l'aînée,
Qui devint plus clémente, mais ne pouvait plus sauver
Sa bien-aimée sœur, où les ténèbres avaient pris contrôle de son esprit.
Ainsi la lune finit de narrer sa triste légende,
Expliqua ce qui se passa ensuite à son confident rêveur d'un air sombre.
La plus jeune fut exilée dans son ombre,
Et chaque nuit la lune entend la rage qu’elle scande.
Car si la colère l'avait laissée sans défense,
Pour mille ans sa traîtrise elle devra ressasser.
Et se dire d'arrêter de se plaindre : les gens étaient dorénavant bien gouvernés,
Pourquoi devrait-elle pleurer à propos de leur chance.
Elle comprit alors que cet amour que l'on lui avait donné
Ne pourra plus être aussi fort qu'avant : Jamais !
Le doux chevalier avait disparu...
L'esprit de la plus jeune, seul, corrompu...
L’aînée, plus douce, gouvernait son royaume...
Le rêveur quant à lui, se réveilla sous le dôme:
Qu'avait-il écrit ?
Vous avez aimé ?
Coup de cœur
S'abonner à l'auteur
N’hésitez pas à donner une vraie critique au texte, tant sur le fond que sur la forme ! Cela ne peut qu’aider l’auteur à améliorer et à travailler son style.
Les créations et histoires appartiennent à leurs auteurs respectifs, toute reproduction et/ou diffusion sans l'accord explicite de MLPFictions ou de l'auteur est interdite. Ce site n'est ni affilié à Hasbro ni à ses marques déposées. Les images sont la propriété exclusive d'Hasbro "©2017 Hasbro. Tous droits réservés." ©2017 MLPFictions, version 1.2.7. Création et code par Shining Paradox, maintien par Sevenn.
Pour donner votre avis, connectez-vous ou inscrivez-vous.
Aucun commentaire n'a été publié. Sois le premier à donner ton avis !