Chapitre 2 : Une fête d'arrivée

Kirby essayait de se souvenir de ce qui s’était passé avant son réveil. Mais impossible pour lui de se souvenir de quoi que ce soit la veille. Puis, en se concentrant, il lui vint une petite réminiscence ! Une ombre menaçante qui lui semblait familière le poussa vers une étrange lumière. Après cette vision, Kirby trembla de tout ses membre et se demanda ce que ça voulais dire.

Il avait remarqué que sur chaque poney qu’il avait croisé des « dessins » étaient posés sur l’arrière du corps. (Ce que Kirby prenait pour des "dessins" étaient les cutiemarks de chaque poneys.)

Il était toujours en train de marcher à la recherche de quelqu'un qui pourrait l'aider. Mais bon, ça ne peut pas être si simple : Kirby n'a jamais su parler et même s'il avait su, franchement, il aurait dit quoi ? "Bonjour ! On ne se connaît pas, mais je me suis réveillé ici dans cet endroit dans une sorte de forêt n’étant pas sous cette forme et je veux rentrer chez moi, savez-vous ce que je dois faire ?" En bref : ce ne serait pas crédible. Sans regarder où il allait, le poulain trébucha. *boum !* "Aïe ! Hé fais attention quand tu marches !"Kirby se releva, tourna la tête et vit une jument rose bonbon et à la crinière d’un rose un peu plus foncé dont on ne peut faire plus frisé.

Sans que Kirby puisse réagir, d'une voix aiguë, elle débita à toute vitesse : "Eh ! Je ne t'ai jamais vu ici ! Tu es nouveau ? Et puisque tu es nouveau, je dois faire une fête car je ne t'ai jamais vu, et que si je ne t'ai jamais vu, ça veut dire que tu es nouveau ici, alors je dois faire une fête pour les nouveaux ici, et si tu n'as pas de fête tu risques d'être très malheureux, et si tu es malheureux et si tu es malheureux, tu ne sera jamais content et si tu n'es pas content tu seras triste et moi je n'aime pas voir quelqu'un de triste." Elle s’arrêta pour reprendre son souffle laissant Kirby dans l’incompréhension totale.

Elle fonça à toute vitesse dans la direction opposée d'où elle venait laissant Kirby comme une statue. Tout en courant, la jument sortit un mégaphone de sa crinière, tourna la tête et dit "AU FAIT, JE M'APPELLE PINKIE PIE !!!"

Kirby ne comprenant rien a ce qui venait de lui arriver, dit "Poyo ?" Il reprit sa marche en gardant les mots de Pinkie. Il avait encore faim. (Manger une pastèque c'est consistant, mais disons que pour Kirby, c'est comme si vous ne mangiez qu'une pomme !) Il se dit "Je sais, je n'ai qu'a essayer de voler... Si ça marche sous cette forme !"

Kirby avala une quantité d'air et s'envola -un peu plus maladroitement que d’habitude peut-être- en battant des pattes. Il sourit, car il était heureux de savoir qu'il pouvait ici ! Les poneys qui passaient levèrent d’étonnement les yeux au ciel pour voir l’étrange phénomène. Kirby remarqua alors que Pinkie arrivait vers lui avec un énorme gâteau… Elle regardait aussi Kirby « Woaaaw ! C’est génial ! Comment tu fais ? ».

Kirby ouvrit la bouche et se descendit en se dégonflant. « Poyo » dit-il plein d’entrain.

« Poyo ? C’est quoi ? En tout cas, j’ai un gâteau et j’ai organisé une fête surprise pour toi ! Maaaaaaaaaaiiiiiiiiiis... (montez dans la voix dans les aigus) Il faut que je te bande les yeux ! Eh, au fait tu ne m’as pas encore dit comment tu t’appelais …Tu t’appelles comment ? »

« Kirby…» répondit le poulain rose…

« Kirby ? C’est original ! Bon, je te dirige. »

Kirby mit le bandeau qu’elle lui tendait et se laissa pousser … Il entendit au loin une musique de fête et sentit une odeur de gâteau.

Pinkie lui retira enfin le bandeau et Kirby put voir un grand monde autour de lui et un gâteau devant lui. Elle prit soin de lui mettre un chapeau de cotillon sur la tête et Kirby la tête prise par l’image du gâteau fit quelque pas en surplace, se dirigea vers le gâteau et l’aspira. Pinkie et puis, un peu stupéfaits, les autres l’applaudirent.

La fête dura jusqu'au soir et Kirby s'était bien amusé, mais une grande fatigue se fit sentir, fatigué par ces événements il eu une pensée pour son monde et ses amis... il se demandait comment il allait revenir dans son monde … Quand tout le monde fut partit, il s’allongea contre le rebord de la fontaine au centre de la ville. Il regarda la pleine Lune et s’endormit…