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Où j'en suis ? La haine au fond de l'âme Aller aux commentaires
03 septembre 2014

Presque deux mois que j'ai publier mon "prologue" et toujours rien en vue.

Mais je vous rassure, pour moi aussi sa devient long.

Du coup, plutôt que de rester éternellement dans le silence, j'ai décide de vous faire un peu le point, et pour cela, je vais commencer par parler rapidement de ma manière d'écrire.

J'écrit en tout cinq "versions" de chacun de mes écrits : 1ere : J'écrit une première foi le récit, dans un mélange définitif et brouillon, a la main sur un cahier. Cette première version met en place le squelette de l'histoire, et comme je suis particulièrement dissident avec moi-même, il ne reste de cette version, une fois le projet terminé, rien d'autre que l'idée principale.

2eme : Il s'agit d'une relecture de la première version, et d'une pseudo réécriture, toujours a la main, généralement, je réécris, rajoute ou modifie certain passage dans la marge, c'est en générale assez rapide, quelque heures tout au plus.

3eme : Passage a l'ordi, et réécriture COMPLÈTE du texte. En fait, je m'inspire des deux premières versions, pour réécrire un nouveau texte qui n'a presque plus rien a voir avec le premier. Etape du coup assez longue.

4eme Pareil que pour la deuxième étape, mais en beaucoup plus approfondi, le but étant de finir le texte.

5eme Je laisse mijoter le texte, et je le relis tout les jours, plusieurs fois par jour, et j'y ajoute de petites modifications. C'est un peu de la finition, mais très étalé, ce qui me permet de juger de manière impartiale ce que j'ai écrit.

Voilà, cela écrit, ou j'en suis dans tout cela ?

A la fin de la première étape.

QUOI ?

He oui. Alors pourquoi avoir si peu avancer ? Une seule et unique raison : j'ai découvert les joie du monde du travail. Et non, ceci n'est pas de l'ironie. Rentré le soir et ne avoir de devoir ou de révision, c'est un bonheur indéfinissable ! Alors oui, le soir, je ne suis pas franchement motivé pour écrire. Je suis fatigué, physiquement et mentalement, du coup je m’adonne a tout un tas de loisir absolument pas productif, et vous aurez compris que l'écriture de la fan-fic, passe derrière. 

Résultat, j'écrit la plupart du temps au travail, durant mes pauses, et un peu le soir avant dodo, et parfois le week-end, quand je ne suis pas de sortie avec mon frère ou mes amis.

Cependant, je touche au but ! La partie la plus longue et dejas réalisé, du min presque : la première version du premier chapitre "Une erreur en Equestria" touche a sa fin ! Yay ! 

Bon évidement, je ne pourrais pas donner de date, mais la partie la plus longue est faite, c'est déjà pas mal.

Du coup je me permet de vous copiez un petit passage au pif, attention par contre, il ne s'agit pas de la version définitive, donc il se peut que cet extrait disparaisse par la suite :

 

Un cheval.

Là se trouve un cheval qui me regarde avec inquiétude. Bleu comme la nuit, sa crinière étoilée fantomatique flottant au grès de vents inexistants. Sur son front jailli une longue corne de licorne, et sur ces flancs, soigneusement repliées, des ailes de plumes. J'en reste interdit. Non, ce n'est pas un cheval. Mais avant que je puisse me poser d’avantage de question, celui-ci demande d'une voix douce et féminine "Comment te sent-tu ?" La voix de l'étoile. A cela, elle ajoute un sourire qui achève de décrocher ma mâchoire. Tout en souriant, elle soutient mon regard, que je devine hébété, avant de lancer un rapide coup d’œil désemparé derrière moi.

Aussi vite que je le peu, je me tourne du coté droit et me retrouve face a un autre cheval, mais plus grand, d'un blanc immaculé et à la crinière multicolore tout aussi fantomatique. Je remarque que lui aussi possède une corne et des ailes.

Son regard d’abord sévère adouci rapidement devant le mien. Il ouvre la bouche, mais a ma surprise, je réagis avant. "Princesse Celestia ?" Le cheval blanc laisse a son tour tomber sa mâchoire et écarquille les yeux. Derrière moi, j'entend l'étoile suffoquer de surprise. Quand à moi, je porte vivement mes mains à ma bouche dissidente, alors qu'une foule d'images et d'informations emplisse alors mon esprit. Un soudain vertige s'empare de moi, et je bat violemment des paupières pour y résister. Le cheval blanc, que je connais désormais sous le nom de Celestia, approche dangereusement son visage, et surtout sa corne, du mien. "Comment nous connais-tu ?" siffle-t-elle menaçante, son regard ayant perdue toute douceur.

Je balbutie, hésite, ouvre la bouche, puis la referme. Je suis bien incapable de répondre, d'une part car je n'en ai aucune idée, et de l'autre, à cause de la tempête dans ma tête. Elle se rapproche d'avantage. "Répond". L'ordre est donné d'un ton divinement impérieux et avec tant d'autorité que j'ai sincèrement envie de lui expliquer. Sauf que ... "Je ne sais pas, je répond, d'une toute petite voix, mais je répond, soutenant tant bien que mal son regard lourd de reproche et de suspicion.

-Vraiment ? réplique-t-elle, le sarcasme marquant chaque lettres du mots."

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NimbleGlance
NimbleGlance : #3828
Acylius04 septembre 2014 - #3827
D'où le conseil suivant : ne pas balancer des prologues seuls ; attendre d'avoir terminé les deux ou trois chapitres suivants et les mettre en ligne en même temps ou peu de temps après.
Ça évite que le lecteur ne reste sur sa faim dès le début, ça lui assure qu'il y aura bien quelque chose derrière et que la fic ne sera pas abandonnée au bout du premier chapitre et ça lui épargne l'impression de n'être qu'un pigeon qu'on essaie d’appâter avec un prologue qui en jette alors qu'il n'y aura peut-être rien après.
Yup, tout à fait vrais
Il y a 4 ans · Répondre
Acylius
Acylius : #3827
D'où le conseil suivant : ne pas balancer des prologues seuls ; attendre d'avoir terminé les deux ou trois chapitres suivants et les mettre en ligne en même temps ou peu de temps après.
Ça évite que le lecteur ne reste sur sa faim dès le début, ça lui assure qu'il y aura bien quelque chose derrière et que la fic ne sera pas abandonnée au bout du premier chapitre et ça lui épargne l'impression de n'être qu'un pigeon qu'on essaie d’appâter avec un prologue qui en jette alors qu'il n'y aura peut-être rien après.
Il y a 4 ans · Répondre

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