GrifDaraconis
Brony metalleux, psychopathe à temps plein, rédacteur au poney blanc et quelquefois personne normale
Renaissance a été lue par environ 431 lecteurs depuis sa publication le 26 novembre 2014. Ses chapitres ont accumulé 21 lectures cette semaine. La fiction possède 1 140 mots.
Celle-ci a reçu un total de dix-huit votes et huit commentaires. Douze utilisateurs ont ajouté la fiction à leurs coups de cœur.
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Bon je met du temps à te répondre, déjà merci pour le commentaire, tu m'a d'ailleurs donner envie de réécrire ce one shot pour faire une version peut être plus développée et intéressante pour moi et le lecteur.
Je suis très friand de ce genre d'histoire même si, ne tournons pas autour du pot, c'est toujours le même principe fondamental à savoir brony inutilement pessimiste et pleurnichard, mort dramatique et larmoyante avant même d'avoir qu'on ait eu un semblant de personnalité, fin touchante qui te fait oublier les défauts du début, lecteur qui en sort satisfait
Pour vulgariser, c'est du Michael Bay en fanfic. On sait ce que les gens veulent, on leur donne et le reste, on s'en moque. Simple et efficace mais trop confortable pour le lecteur averti.
A conseiller aux fans de ce genre précis et aux lecteurs occasionnels. Les autres peuvent passer leur chemin.
Le problème reste globalement que c'est court, affreusement court pour le thème et l'idée.
Je pense que le monde aurait dû être plus développé, techniquement excepté un chauffard et une racaille des bacs à sable, rien n'est méchant dans cet univers.
Quand à la partie Equestria, elle est aussi peu décrite.
Ces deux faits font que le lecteur accumule des questions tout le long du récit, ainsi qu'un sentiment de légère incompréhension qui ruine vraiment la fiction.
Le personnage humain n'est pas (ou peu) attachant car manquant cruellement de caractéristiques, et j'ai presque eu envie de dire "t'avais qu'à pas traverser" lorsqu'il s'est fait renverser.
Bref, c'est beaucoup trop court. Je note "à passer", mais continue à écrire, on sent qu'il y a de la volonté. Reste juste à l'exploiter un peu.
Et quand je dis "il est comme un émo" je dis pas qu'il en est un, je fais référence à la tendance dépressive qu'à le personnage de nous dépeindre sa vie. Le monde est probablement naze, mais aucun élèment concret ne nous le confirme, à part le gangster qui sort de nul part parce qu'il faut bien ; on a aucune raison de trouver le monde à chier sinon que le personnage nous le dit, ce qui lui donne des airs de pleurnichard. Pour pallier à cela il aurait fallu montrer plus d'éléments concret d'à quel point le monde est naze.
Émo ou pas émo, ce n'est pas la question quoi. Essaye de comprendre ce que je tente de te dire au lieu de t'arrêter à une tournure de phrase en la prenant trop au sérieux.
"dépeins le monde l'entourant comme un émo a qui il faudrait prescrire du prozac." depuis quand dire que le monde est rempli de connard c'est un truc d'émo? nan la je trouve ça idiot de dire ça, de prime abord je n'ai rien d'un émo (j'ai pas d'envie suicidaire, j'ai des amis, j'écoute pas de crabcore...) et puis même, c'est vachement réducteur, y'a beaucoup d'autre mouvement de pensée qui ont décris la terre comme un endroit merdique bien avant cette blague
Une fic très dispensable.