Juste une fois a été lue par environ 429 lecteurs depuis sa publication le 03 août 2016. Ses chapitres ont accumulé 12 lectures cette semaine. La fiction possède 8 305 mots.
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PaperShard: #43101[lien]
J'étais intrigué par le scénario. En soi, l'amour impossible, le fait de passer un pacte faustien pour gagner le coeur de quelqu'un est quelque chose de très classique, mais j'aime bien les histoires du genre, et quand bien même l'héroïne était Applejack, celle que j'aime le moins des six, je me suis lancé dans l'aventure.
Et j'ai aimé ! Vraiment. Pendant 7000 mots à peu près, puis c'est la douche froide.
Jusqu'à la scène des adieux de Flash à la fermière, j'étais dedans. Je vais même te dire, le twist m'a surpris parce que je le voyais pas venir, alors que d'habitude, je suis pas trop mauvais pour sentir arriver ce genre de scène. Là non. Applejack qui craque, qui massacre l'objet de son adoration, j'étais complètement dedans. Tout y cheminait tranquillement dans le reste de la fic, ça s'emboitait bien.
Pis scène de Sunset. Là j'ai pas compris. Twist sur twist, j'ai ressenti ça comme gratuit, comme une volonté de choquer alors que ce n'était plus nécéssaire. Et je ne parle pas de la fin, complètement incompréhensible.
J'ai peut-être raté des indices dans le texte, mais j'ai un souci avec Red. Tout le long, on sent qu'elle est pas nette, qu'elle est manipulatrice, on est presque à la frontière du fantastique avec ses apparitions bizarres, et cette capacité de n'être vue que par certains. Tout du long, on se dit qu'à la fin, on va avoir une réponse, savoir pourquoi elle fait ça, qui elle est. Mais non. On est laissés dans le noir, et la fin abrupte nous souffle la seule chandelle de compréhension que tu agitais sous notre nez.
C'est dommage parce que c'est clairement une fic à chute, et vu que cette dernière est ratée, j'ai l'impression que les 7000 mots précédents n'ont servi à rien.
Ca sera donc, à contrecoeur pour moi, un pouce rouge.
Par contre, excellent travail sur la forme. Ca manque de relecture, y a encore des jolies fautes qui se baladent, mais tu gères très bien les métaphores filées, les gradations et les effets de texte. Là dessus, y a rien à dire.