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Vers un monde meilleur.

Une fiction écrite par Églantine.

Vers un monde meilleur

???:

Il fait nuit à présent. Je rentre lentement vers chez moi pour rejoindre mon lit, encore et toujours seule. Je suis lasse de cette maison si étriquée, lasse de ce vide constant, lasse de cette solitude, entourée d’humains qui me jettent des regards en coin comme si j’étais une bête de foire. J’ai envie de leur hurler : « Arrêtez ! Je suis comme vous ! Qu’est-ce-que j’ai de différent de vous hormis les ailes dans mon dos, hein ? Nous sommes pareils ! »

Mais au fond, je sais que c’est faux. Ces sombres idiots ne supportent pas la variété et rejettent ce qui leur est inconnu.

Je pensais pouvoir m’adapter, me faire des amis, être heureuse. Mais j’avais tord.

C’est décidé, demain, je fais mes valises et je retourne vivre à la cité des réincarnés.

Ruminant mon échec à m’intégrer dans la société ‘’normale’’, je plonge dans un profond sommeil.

« JE VOUS SOMME DE VOUS RELEVER »

Une voix puissante me réveille. Pourtant, je ne me trouve pas dans mon lit, mais dans une salle obscure éclairée seulement en son centre, dans lequel je me trouve, qui pourrait aussi bien être infinie puisque je ne distingue ni murs ni plafond. Trois personnes se trouvent autour de moi. Le premier individu, à ma gauche, est un homme visiblement bien plus âgé qu’il ne me semblait possible auparavant se distinguant surtout de par sa longue barbe blanche et sa peau verdâtre, presque grise. Il n’a pas l’air d’être ailé. En face de moi, se trouve une femme d’apparence trentenaire à l’effrayant visage sans expression et aux yeux blancs et lumineux contrastant largement avec sa longue chevelure aux teintes roses, bleues, violettes et vertes chatoyantes, sa peau rosée et ses ailes immaculées au innombrables plumes soyeuses. La troisième, la peau bleutée, tout comme ses yeux, ses courts cheveux et ses ailes, se trouve être une charmante fillette au visage doux. Cependant, je ne tarde pas à remarques les chaînes d’argent qui lient ses poignets et chevilles et disparaissent dans les ténèbres. « Avez vous souhaité nous voir? » me demanda-t-elle avec la voix la plus douce qui m’ait été donné d’entendre. C’est mal assurée que je répondis : « Je… suis confuse, mais je ne sais pas qui vous êtes ni ou je suis et je… pense que vous… avez fait une erreur et…

-BIEN SUR QUE VOUS LE VOULEZ ! C’EST RIDICULE ! QUI A FAIT DE VOUS QUELQU’UN D’AUSSI STUPIDE ? » Me coupa le vieillard.

La petite reprit d’un ton sévère appuyé d’une œillade chargée de reproches à l’homme : « Excusez le. Nous formons le conseil des réincarnés, et nous sommes Luné, fille directe de notre mère l’astre lunaire. » Fait étrange, elle parla d’elle au pluriel, j’ai entendu dire que c’était symbole de royauté. Elle continua : « Vous rêvez. Quand nous entendons l‘appel d’un de nos sujets, nous pénétrons ses rêves avec nos acolytes. Nous savons que vous désirez quelque chose et pouvons peut être vous l’accorder. Allez y, n’ayez crainte, exprimez vous. »

Mais les mots ne me vinrent pas. Bien sûr, je sais ce que je veux vraiment, mais c’est juste que… La, juste devant moi, les Conseil des Réincarnés, les seuls à nous comprendre, à porter avec nous ces ailes dont nous sommes si fiers…

NON ! Je dois me reprendre ! C’est ma seule chance d’obtenir ce dont j’ai toujours rêvé au plus profond de moi ! C’est donc d’une voix claire que je déclare : « J’aimerais bien une petite fille.

Théa :

« Hey ! Attrape gamine ! » Fit Ava en me lançant un livre du haut de ses immenses étagères de bouquins. Ava, c’est ma grande sœur, elle est géniale ! Enfin, c’est pas vraiment ma grande sœur, mais c’est pareil, elle s’occupe de moi depuis ma naissance, comme ma mère m’a abandonnée. Elle devait être déçue quand elle a vu mes ailes trois fois plus petites qu’elles ne devraient l’être et qui font que je ne volerais peut être pas de toute ma vie entière. Je me demande bien ce que j’ai fait dans mes autres vies pour mériter ça. « T’en veux un autre ? » Cria Ava en volant autours des étagères pour trouver un autre livre me coupant dans ma rêverie : « Euh… non je finis celui la avant, merci !

-comme si ça allait t’prendre longtemps… » Soupira t’elle en levant les yeux au ciel. Enfin, elle n’as pas tord…

Je suis heureuse avec elle, je l’admire tellement. Ava et ses cheveux bleus, Ava et ses mitaines qu’elle n’enlève presque jamais, Ava et ses lentilles roses, Ava et ses livres, Ava et ses vêtements colorés, Ava et ses ailes bleues, Ava tout court. Et puis il y a Aline, elle a de longs cheveux blonds, des ailes grises, sent toujours bon, porte des robes colorées, elle est toujours de bonne humeur et très gentille même si elle est maladroite a cause de ses deux yeux verts avec un strabisme. Je suis fière de connaître un mot si compliqué. Aline est notre voisine. Ava m’a dit qu’elle avait emménagé un peu après que ma mère m’ait abandonnée. Ava dit aussi que ma mère est une bonne personne et qu’il ne faut pas lui en vouloir, mais comment je pourrais ne pas la détester ? Heureusement qu’Ava est vraiment quelqu’un de bien elle… et Aline aussi, elle aidait Ava à s’occuper de moi quand j’était petite et que ma sœur n’avait que quinze ans. Ca peut paraître bizarre, mais comme nous ne sommes qu’une centaine, le Conseil des Réincarnés nous donne tout l’argent dont on a besoin, donc au moins on n’avait pas à s’inquiéter pour ça. D’ailleurs, je sais que ce n’est pas par besoin que ma mère m’a abandonnée, vu que c’est aussi une réincarnée même si Ava ne veut pas m’en dire plus sur elle. Mai au pire, je ne peux rien changer, alors profitons de cette vie la, il y en aura d’autres.

Je suis vraiment heureuse.

Ava :

J’essaie d’avoir l’air normal avec la gamine, mais dès qu’elle quitte la maison pour aller jouer avec ses deux amies, les petites humaines, je craque. Comment je vais bien pouvoir lui annoncer un truc pareil moi ? « Eh gamine, tu sais dans un mois, j’pars taper sur les gens du pays voisin. J’sais pas trop quand j’vais rev’nir, mais y’a d’grandes chances que j’meure et Aline aussi part parc’que l’état à décidé que tous les réincarnés qu’on rien d’mandé à personne, qu’ils soient d’accord ou pas, dès 18 ans, devraient y’aller avec nos soldats qui eux ont choisi de s’engager. Oh mais t’inquiètes, si j’meurs, j’m’réincarn’rais ptêt dans mille ans avec un nouveau nom et un nouveau corps, et j’aurais oublié mes aut’s vies. Bien sûr, j’vais lui dire ça !»

A peine ai-je fini ma tirade que je la regrette, et pour cause : du coin de l’œil, je vois la gamine partir en courant. Je me jette à sa poursuite en lui criant de m’attendre, avant de me rappeler que j’ai des ailes… Stupide moi. Et puis, pourquoi j’ai encore ouvert ma bouche moi déjà ? Je la rattrape enfin avant de commencer mes excuses.

Théa :

Ava et moi, on a parlé, elle m’a expliqué, qu‘elle n’a pas le choix et qu’elle n’avait pas l’intention de mourir et elle m’as promis qu’elle reviendra vite. Je l’ai supplié de rester, j’ai pleuré, crié, tapé, rien a faire, j’ai du accepter qu’elle devrait s’en aller. Et puis, c’est une promesse, elle ne peut pas mentir. Pas vrai..?

Aline :

Nous y sommes. On partira tous ce matin, et on devra laisser notre petite Théa seule. Personne ne peux ou plutôt ne veux s’occuper de cette pauvre petite. Je donnerais mes ailes pour rester avec elle, mais hélas, étant nommée messagère suite à ce que ces barbares de Gréfonstoniens on fait, si ils n’avaient pas détruit part Luné sait quel moyen tous nos réseaux téléphoniques et notre accès à internet, j’aurais pu demeurer ici puisque je ne peux pas me battre du fait de mon handicap visuel.

Je n’ai pas peur. Je les hais trop pour leur faire ce plaisir.

Ava :

Non, non, non ! Ca ne va pas, pas du tout ! Personne ne peut s’occuper de la gamine, comment je vais faire ? Je vais devenir folle ! C’est ça, juste folle. Ces stupides humains ne voient ils pas que je vais risquer ma vie pour sauver leur derrière ? Ne peuvent-ils pas s’occuper d’elle ? Aucun réincarné sauf elle ne reste dans la cité spécialement adaptée à nos besoins de grands espaces, mais non, l’état ne s’occuper même pas de prendre en compte le fait de s’occuper d’une pauvre gosse sage, mature et autonome qui en plus ne peut même pas quitter le sol et donc leur causer plus de problèmes qu’un enfant parfaitement humain. C’est du racisme !

Je n’ai pas peur. Je vais juste tuer tous ces tarés et ensuite, je règlerait mes comptes avec notre cher gouvernement.

Théa :

Ava a dit que j’allais devoir rester seule, qu’elle reviendrait vite, qu’elle nous vengerais Aline et moi, qu’elle gagnerait la guerre, qu’elle allait au magasin avant de partir et qu’Aline ferait mes courses chaque fois qu’elle passerait près de chez nous. Ava dit beaucoup de choses. Ava m’a fait un câlin et elle est partie. Je me sens toute petite et toute seule. Pourtant, j’ai dix ans, je ne suis pas petite ! Ou… Peut être que si…

J’ai peur.

Une petite voix me parvient : « Ca y est, elles t’ont abandonnée. Encore…

-Que… Quoi ? Non, c’est faux ! Elles vont revenir c’est une promesse ! » Hurlais-je. Puis, je me souviens que je suis censée être seule. Je me retourne d’un bond. La… Chose qui est derrière moi est digne d’un film d’horreur : Une petite fille d’environ mon âge se tient moitié debout moitié tordue sur le côté, une position plutôt étrange pour une colonne vertébrale quand même. Sa peau est d’un rose inquiétant et anormal, ses cheveux, d’une teinte plus foncée retombent plus raides et plus longs encore que ceux d’Aline sur ses épaules et son dos, tout décoiffés. Mais le plus terrifiant reste sa bouche tordu dans un sourire malsain, et surtout, ses yeux, bleus, perçants avec une des pupilles plus grosse que l’autre. Elle porte un tablier formé d’étranges morceaux de tissus cousus grossièrement entre eux avec chacun un petit dessin au milieu. Un petit bouclier rose avec une aile et un éclair sur un tissu aussi orange que les plumes de mes ailes me laisse une impression bizarre. Parlons en tiens, en plus d’avoir une corne violette d’un côté de la tête et une blanche de l’autre, elle a une aile jaune et une… Bleue ? Comme Ava. En tremblant, je demande : « Pourquoi ? Tes ailes, tes cornes, pourquoi ?

-Oh… Ca… C’est un… Un cadeau de ta sœur et des ses amies, dans ma toute première vie.

-Quoi ? Oh peu importe, où sont les tiennes ?

-Je n’en ai pas. » Lâcha-t-elle. « Quoi ? » Répétais-je les yeux ronds.

Elle ne répondis pas et fit demi tour pour s’en aller. Je fus sidérée par la vue qui s’offrit à moi. Stupéfaite, je bredouillais : « Attends… Tu es nue sous ton tablier ?

-Bien sûr » répondit-t-elle. Je fus prise d’un fou rire. Elle se retourna et sourit : « Moi, c’est folie. Tu veux un cupcake ? »

Folie était très amusante en fait. Elle se tenait plus droite et ne me faisait plus peur. Enfin sauf quand elle prenait son air menaçant pour m’interdire d’aller dans la cuisine quand elle cuisinait ses délicieuses pâtisseries. Ou quand un jour, après avoir parlé d’Ava, je l’ai entendue marmonner : « Arrête donc de penser un peu à elle, ça t’as pas suffit quand elle t’as emmenée dans sa grande usine toute noire pour te découper en morceaux ? » J’avais eu trop peur de lui demander ce qu’elle voulait dire, alors je m’étais tue et avait mis ça sur le compte du fait qu’elle se souvenait de TOUTES ses vies.

A part ça, nous étions des enfants. On jouait, riait, comme si elle n’avais pas des millénaires d’expériences. C’était l’amie parfaite. Etre avec Folie me faisait tout oublier : la guerre, Aline et même Ava.

Et puis, un jour, elle est devenue méchante. Ne jouait plus, ne riais plus, me disait que j’étais seule, petite, inutile. Alors, j’allais à la bibliothèque, et je lisais. Au début, elle m’y laissait tranquille. Et puis, elle s’est mise à me poursuivre partout et à m’insulter. Je la fuyais toute la journée, me cachant dans les couloirs de notre immense maison et je dormais un maximum, cachée sous les draps dans le lit d’Ava. Mais ou que j’aille, elle me trouvais. Elle me trouvait et m’appelait poulet. A cause de mes ailes trop petites.

Quand Ava viendrait-elle ?

Ce jour arriva enfin. Je n’y croyais plus quand, j’entendis sonner. Je me précipitai à la porte et l’ouvris… Avant de reculer d’un bond. Ma chère voisine autrefois si belle était pleine de plaies et de bleus, les cheveux emmêlés et sales, elle était couverte du sang doré des réincarnés. Sa jambe était tordue dans un angle affreux. Mais le pire restait ses yeux. Je n’avait jamais vu un regard si triste.

Elle se jeta sur moi dans un câlin désespéré. On est restées très longtemps comme ça, par terre, dans l’entrée, la porte grande ouverte. Folie avait disparu.

Puis, Aline s’est difficilement relevée et envolée pour ne pas s’appuyer sur sa jambe, a fermé la porte et s’est dirigée dans le salon, sans parler. Je la suivis sans oser lui demander quoi que ce soit. Elle voulait peut être se reposer après tout.

Une fois assise sur l’épais tapis sur lequel j’avais l’habitude de rester, elle prit la parole : « Ecoute Théa, je vais te dire quelque chose, mais il va falloir que tu m’écoutes sans m’interrompre d’accord ? » Voyant que j’hochais la tête, elle commença. Je voyais qu’elle avait mal, mais je me tus.

Elle me raconta comment ma mère avait demandé un enfant au Conseil des Réincarnés et avait pu l’avoir à condition de ne jamais lui dire qu’elle était sa mère même si elle pouvait vivre à ses côtés. Si elle lui révélait, elle mourrait.

Je pris soudain la parole : « Alors, c’est Ava ma maman ? C’est ça hein ? Oh je suis si heureuse ! » Je pleurais de joie, mes yeux bleus inondés tandis qu’Aline caressait mes courts cheveux roux. Une larme roula sur sa joue. Alors, d’une voix infiniment douce et peinée, elle me dit : « Vivre à ses côtés oui, mais pas dans la même maison. Je te lègue ma sacoche, car c’est tout ce que j’ai de personnel. Je t’aime… Ma fille.

Aline :

NON ! MA SACOCHE ! Dedans, il y a la lettre d’Ava ! Mais je ne peux plus rien dire, j’ai déjà fait mon choix. Le souffle coupé, dans un dernier hoquet, je m’effondre, morte.

Folie :

Cette gamine est tellement dérangée ! Je ne devrais même pas avoir conscience de ce que je suis. Je ne le veux pas. Cette situation commence à me mettre mal à l’aise. Il me faut mettre un terme à cette blague. Ca fait quarante-cinq minutes qu’elle pleure, c’est bon enfin ! Cette stupide Aline était inutile ! Presque autant que sa fille !

Après cinq minutes d’attente, la folle ne s’arrête toujours pas. Faut tout faire soi même ici ! Je me matérialise à ses côtés : » Bon regarde, elle t’as laissé son sac alors ouvre le ! »

Sans s’arrêter de sangloter, elle ouvre le bien toute tremblante. Elle en sort une enveloppe. Elle l’ouvre aussi vite qu’elle le peut en déchiquetant le papier. Je patiente pendant qu’elle lit, savourant déjà ma victoire. Ses traits se décomposent peu à peu. Je ris intérieurement. Oui, c’est possible, je me souviens lors de ma première vie d’une amie fermière qui pleurait intérieurement, alors pourquoi pas rire ?

Théa :

« Chère gamine,

Je suis désolée. Je sais que je t’ai promis de revenir, eh bien voilà. Maintenant, tu sais : je suis une menteuse. Je ne peux pas te dire combien je t’aime avec des mots, alors si Aline t’a donné ça, à dans une prochaine vie, gamine

Ava, ta grande sœur qui ne te méritait pas. »

« EN FAIT, C’EST UNE LÂCHE, ELLE PRÉFÈRE MENTIR QUE D’AVOUER QU’ELLE EST FAIBLE ! ET PUIS TOUT ÇA, C’EST À CAUSE DU CONSEIL DES RÉINCARNÉS ! »

Je hurle vers le ciel : » VOUS EN VOULEZ DE LA SOUFFRANCE ? EH BIEN ATTENDEZ DE VOIR UN PEU ! » Et je me rue hors de la maison.

Folie :

« Une de plus. Trop facile, c’est toujours moi qui gagne, c’en deviendrait lassant.

Pourquoi je tue des gens ? Demandez lui plutôt à elle pourquoi elle me voit alors que je n’existe que dans sa tête » Fis-je en haussant les épaules

« Au fait, quelqu’un veut un cupcake ? »

Théa :

Voilà, je suis arrivée en haut des falaises. J’ai beaucoup couru, je suis essoufflée. Mais ce n’est pas grave, je peux me reposer maintenant.

Et je saute.

La chute est longue, alors je repense à ma vie. Je souris, Quand j’y repense, j’ai eu une enfance heureuse. Et je ferme les yeux.

Soudain,

Des bras qui m’enlacent,

Une odeur familière,

Quatre mots :

Vers un monde meilleur.

Fin.

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Note de l'auteur

Voila^^ j'espère que vous avez apprécié, toutes les critiques sont les bienvenues.Je participe au concours dans la catégorie collégiens.
Quand à l'histoire, je précise que Ava est la réincarnation de Rainbow Dash, Théa est Scootaloo, Aline est Derpy, Folie est Pinkamena, les membres du Conseil des Réincarnés sont Celestia, Starswirl et Luna dans le rôle de Luné. D'ailleurs, le concept même est que Equestria était située sur notre planète avant d'être détruite et que la vie recommence avec cette fois ci des humains, tous les pégases se sont réincarnés encore et encore jusqua aujourd'hui. Enfin sauf Starswirl, il s'est réincarné mais sans ailes vu que c'est une licorne mais j'en avais besoin alors il n'avait qu'à en avoir tant pis pour lui osef. Au fait, les Gréfonstoniens c'est les griffons hein.
Ok je pense que c'est bon la '^^.
Saluweuh ^w^

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Églantine
Églantine : #42815
LasPegasusBrony29 septembre 2016 - #42810
Ok ok ok ...
Donc Pinkamena combien de kill à tu fait!
Bon alors c'est un peu farfelue mais on s'y retrouve et on peut quand même réussir à déterminer qui est qui.
Par exemple, quand Thea se fait insulter de poulet, on peut facilement trouver que c'est Scoot.
Bon voila j'ai aimer donc bonne continuation !
Merci^^
Il y a 1 an · Répondre
LasPegasusBrony
LasPegasusBrony : #42810
Ok ok ok ...
Donc Pinkamena combien de kill à tu fait!
Bon alors c'est un peu farfelue mais on s'y retrouve et on peut quand même réussir à déterminer qui est qui.
Par exemple, quand Thea se fait insulter de poulet, on peut facilement trouver que c'est Scoot.
Bon voila j'ai aimer donc bonne continuation !
Il y a 1 an · Répondre

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