(Arc I) Le calme avant la tempête

Narrateur

On amena les blessés dans le service des urgences au plus vite. Le plus important était de s’occuper de Shadow mais également de Camille et Dorient.

Leur état inquiétait surtout Axel, qui avait insisté auprès des médecins, pour qu’on s’occupe de leurs blessures à eux aussi même s’il ne s’agissait pas de poneys.

Léo lui fourni son appui en prétextant que des blessures, quelles qu’elles soient se soignaient de la même façon. On administra des calmants aux trois convalescents avant de s’en retourner vers Le professeur qui expliqua qu’il préférait attendre que Shadow soit réveillé pour en parler.

Plus le temps passait, plus la tension était instable. Axel faisait les cents pas dans le couloir, tandis que les autres se tenaient silencieux, sauf Fluttershy, qui ne pouvait s’empêcher de verser de nombreuses larmes.

Le professeur appris ce qui s’était passé la bas par l’intermédiaire de Léo. Vers la fin de son récit, il remit ses lunettes sur son nez en les poussant du bout de son index.

Chacun était dans un profond état de deuil. La capitale détruite et une majeure partie de ses habitants était décimée.

Twilight vit qu’Axel n’allait pas bien du tout et décida de s’approcher en constatant qu’il s’était mis volontairement à l’écart. Le jeune garçon fut surpris et s’arrêta brusquement lorsqu’elle déposa son sabot sur son épaule.

« Axel... Tu vas bien ? »

« Tout est de ma faute Twilight... » Chuchota-t-il. « S’il a fui ! Si Camille et Dorient sont blessés. Tout ça à cause, de ma compassion ! »

« Arrête ! » Coupa-t-elle. « Tu n’y es pour rien... Tu m’as même sauvé la vie ainsi que celle de Shadow et de nombreuses autres personnes. »

Axel était toujours abattu mais les mots de la jeune princesses semblaient avoir un effet positif sur lui. Il se regardèrent quelques instants dans les yeux avant que le seigneur du temps ne lui dise qu’il fallait qu’il aille faire un tour dehors.

Sentant le froid de l’hiver lui caresser le visage, le jeune homme s’offrit son plaisir coupable, ayant vérifié au préalable, qu’il allait suffisamment lui en rester pour la suite. Sept cigarettes, et maintenant plus que six... Il se dit qu’il allait sans doute devoir attendre un peu avant de trouver un endroit où s’en procurer.

Sentir à la fois, ce besoin en nicotine comblé par chaque bouffée de sa cigarette et ses poumons se remplir de cette fumée qu’il savait toxique l’aidait au moins à se détendre. Ses mains tremblaient et il avait du s’y reprendre à plusieurs reprises avant de finalement réussir à l’allumer.

Il observait la neige tomber doucement en de léger flocons blancs. Maintenant qu’il y pensait, il n’avait jamais vraiment pris le temps de l’observer lors de ses voyages. Cela faisait bien des années qu’il n’avait pas vu ne serait-ce que le moindre flocon.

Cet Heart, ce soi-disant Shadow, il avait senti un profond malheur en lui. Il ne le haïssait pas pour autant et préférai, en fait, ne haïr personne car rien au monde, ne devait être rejeté. Sa philosophie fut remise en question lors de leur affrontement contre Plague.

Est-ce qu’un être aussi méprisable méritait de vivre enfermé où de mourrir. Axel se souvint soudainement des ennemis des seigneurs du temps lors de la guerre, les Daleks.

Pour lui, en cet instant, Plague ne valait pas mieux, et même s’il n’avait pas été conditionné, il n’en restait pas moins, un Dalek à ses yeux.

Combien en avait-il tué ce jour là ? Le jeune seigneur du temps ne s’en souvenait plus... Où peut être avait-il cherché à oublier comme Luna le lui avait fait comprendre.

Rainbow vint le retrouver pour lui annoncer que Shadow s’était réveillé. Il se dépêcha donc d’arriver dans la chambre avec Le professeur, en train de l’examiner, tandis que ce dernier, grommelait dans sa barbe comme un enfant.

« Cesse de bouger Heart ! Si tu ne veux pas que je te fasse mal. » Exigea Le professeur.

« Vous êtes drôle aussi le prof ! Comment voulez-vous que je ne bouge pas si vous me retournez dans tous les sens ! » Pesta Shadow.

L’état de santé de Shadow semblait bien moins préoccupant et Léo trouvait remarquable, le fait qu’il était aussi résistant.

Après avoir terminé ses analyses, Le professeur émit son pronostique de façon très théâtrale en refaisant le geste qui le caractérisait si bien, L’index plus les lunettes.

« Bon ! Mon très cher Heart ! Je devrais parvenir, grâce à ton organisme, à développer une forme de traitement, d’antidote à cette pathologie, cependant ! J’aurais besoin que tu te trouves sous ta forme humaine pour se faire ! »

« Et pourquoi cela ! » Se défendit Shadow. « Je peux très bien me faire soigner ici. »

Avant de répondre, le scientifique prit une profonde inspiration calme et expliqua.

« M’as tu seulement bien regardé Heart ? Est-ce que j’ai l’air d’être un véto ?! »

Shadow fut profondément vexé par sa remarque, qu’il prit comme une insulte, un peu comme s’il s’était fait traité d’animal. Sunset parvint à la calmer et tous, s’accordèrent avec Le professeur pour accompagner le sombre poney et Sunset dans l’autre monde afin que le scientifique puisse travailler sur le problème.

***

Axel

Les jours qui suivirent les événements de Canterlot furent vites oubliés aux yeux des citoyens d’Equestria. Shining Armor était toujours en mission, réunissant ses troupes afin d’acculer les pestiférés et de limiter l’importance des pertes et des dégats.

Moi je n’avais pas oublié... Je n’avais pas oublié son visage cruel et rieur.

Par ailleurs, nous n’avions plus eu de nouvelles de Plague depuis ce terrible jour que les princesses auront nommé, « La nuit pourpre »

Les habitants survivants n’oublierons jamais ce terrible moment et moi, je finissais par me dire que où que j’aille, la violence, le sang et les larmes me poursuivaient.

La paix était-elle si difficile à atteindre ?

Pourquoi des monstres comme lui naissaient ?

Que signifiait vraiment mon numéro si j’étais incapable de protéger ceux que j’aimais... ?

Léo semblait ne pas se soucier de tout cela. Il prenait les choses telles qu’elles lui parvenaient, riant de ses problèmes quotidien et juste pour cela, il avait tout mon respect le plus sincère.

Shadow, bien que très réticent à l’idée que je fasse partie de son groupe d’ami me paraissait bon dans le fond. Son problème... Je l’avais directement percé à jour, il était trop renfermé sur lui même, n’accordant sa confiance qu’à lui afin de protéger ses amis et en particulier Sunset.

Twilight et ses amies passaient beaucoup de temps auprès de Léo, discutant de choses plus légères, tandis que Le fameux professeur s’occupait de la maladie avec Shadow et sa petite amie.

Au final, je finissais par me demander si je n’étais pas de trop. Tout en sortant le tournevis sonique de ma poche, je repensai au fait que je devais toujours retrouver Le docteur.

Je me dirigeai vers l’hôpital ce matin là. Cela faisait presque une semaine qu’ils étaient inconscient et tous les jours j’allais les voir, repensant à eux et leur racontant des histoires comme l’avait fait pour moi, ma très chère Twilight.

Hier encore, j’étais effondré, repensant avec horreur aux massacres de ce maudit serpent et elle était là pour moi... La princesse de l’amitié, belle et douce. Nous nous embrassâmes avant de partir se coucher. Je n’avais pas l’habitude d’avoir quelqu’un auprès de moi durant mes nuits de sommeil alors elle me laissait encore utiliser son lit seul, même si je devais avouer que je passais encore de nombreuses heures dans le laboratoire. Je n’avais toujours rien trouvé à propos de mon organisme, et plus le temps passait, plus cela m’était complètement égal.

C’était comme si Plague n’avait jamais été là en fait... Le quotidien repris son cours, tandis que je passais le plus clair de mon temps avec Twilight, à écouter Léo nous raconter de drôles d’histoires les soirs d’hiver.

Lui aussi, restait à Equestria et en fait, Applejack, Pinkie, Rarity, Rainbow et Fluttershy ainsi que lui, restaient au château, reprenant leurs activités dans la journée. C’était comme si nous étions devenus plus proche encore et nous nous donnions rendez-vous dans la salle de la carte tous les soirs, prenant des nouvelles de Shadow et Du professeur.

La bonne nouvelle était que la situation semblait évoluer positivement de leur côté. Nous étions soulagé de l’apprendre et la joie semblait s’installer tandis que la fin de la saison approchait.

À mesure que les jours passaient, je retrouvais peu à peu mon sourire. J’allais voir Camille et Dorient, allongés dans de confortables matelas, leur expressions faciales semblant exprimer un profond apaisement. Ils avaient besoin de repos et je déposais quelques compositions florales, faîtes avec Fluttershy que Twilight venait déposer sur leur table de chevet avec moi.

Je lui avais tout dit à leur sujet. Elle semblait ne pas les détester et voulait leur parler, pensant que cette expérience nous aura tous rapproché.

En revenant au château, je voulus faire une surprise à Twilight mais n’ayant pas d’argent sur moi, tout en sachant qu’elle me nourrissait et me logeait gratuitement. J’avais donc réuni mes affaires et l’idée me vint tout naturellement. J’avais là, un livre dont j’étais sûr qu’elle n’avait jamais effleuré la couverture. Le livre qui était parmi mes affaires dont les informations traitaient de l’Histoire de mon peuple. Je devais l’avoir lu au moins une bonne vingtaine de fois et je pouvais bien lui laisser.

Sa réaction m’enchanta lorsqu’elle déballa avec enthousiasme le paquet, que Rarity m’avait généreusement confectionné, et qu’elle me sauta au visage pour m’embrasser.

Que ce fut pour elle où pour moi, aucun des deux n’avait vraiment été habitué à cette relation. Non pas que nous n’étions pas sûr de nos sentiments, non ! Cela était plutôt du au fait que nos deux espèces étaient vraiment différentes et que cela nous troublait toujours un peu à chaque fois que nos lèvres se touchaient, même si le bonheur de l’instant n’en restait pas moins grandiose.

***

Narrateur

Shadow attendait avec grande impatience la venue Du professeur. Ce dernier lui avait affirmé le matin même q’il était sur le point de trouver la bonne molécule et qu’il allait pouvoir lui fournir un antidote.

Cette nouvelle avait enchanté Sunset qui dévoila sa joie au sombre jeune homme par une série de baiser sur la joue, sans se soucier des quelques plaques pourpres qui lui abîmait le visage.

Depuis leur retour dans leur appartement, Sunset avait passé ses journées à son chevet. N’allant plus en cours et ne parvenant plus à avaler de la nourriture.

Shadow avait du insister pour qu’elle se nourrisse, elle qui était si inquiète qu’elle s’endormait même les soirs sur une chaise, devant son lit, pendant qu’elle était chargé de le surveiller, pendant que Le professeur travaillait d’arrache-pied dans le laboratoire de fortune qu’il avait aménagé en ramenant du matériel depuis le manoir.

Discrètement, ce dernier attendait qu’elle ne s’endorme complètement avant de la transporter dans sa chambre sous sa couette afin d’éviter qu’elle n’attrape froid.

Le couple avait été excusé par les filles au CHS qui venait tous les jours pour prendre de ses nouvelles auprès du scientifique et de la jeune fille. Elles se faisaient beaucoup de soucis mais elle avaient aussi confiance en la détermination de Shadow et de son médecin.

Les dazzlings, elles mêmes venaient lui rendre visite, s’assurant de ne jamais être là en même temps que leurs éternelles rivales.

Sonata avait apporté des tacos pour qu’il puisse manger mais Le professeur avait refusé qu’il en prenne, expliquant qu’il devait manger très léger, ce qui déçu beaucoup la jeune fille.

Aria se sentait très mal en voyant son meilleur ami dans un tel état. Elle aurait aimé pouvoir tuer Plague elle-même si elle en avait eu l’occasion, et n’était pas la seule non plus. Adagio ne pouvait supporter l’idée qu’on s’en soit pris une fois de plus à Shadow, repensant à ce maudit Schyler Kiss.

Bien que le sombre jeune homme ne l’extériorisait pas, il appréciait vraiment beaucoup ces nombreuses petites visites quotidienne et, à force de vivre avec ce dernier, il avait finit par bien s’entendre avec Le professeur.

Un jour, Shadow évoqua le sujet d’Axel en sa présence.

« Il est l’un d’entre vous n’est-ce pas ? » Commença-t-il.

« En effet. » Rétorqua l’homme en passant son stéthoscope sur la poitrine de son patient. « Mais je t’avoue que ce fut une surprise pour moi aussi... Il porte le numéro neuf, ce qui n’est pas rien... »

« Il est bizarre, je ne le sens pas trop... Même s’il n’a pas l’air d’un ennemi, je ne lui fait pas confiance. Je dois avouer qu’il m’intrigue. »

« Tu étais là lors du combat Heart ? Léo s’est donc vraiment transformé ? »

« En effet ! Je dois admettre que c’était impressionnant de sentir la puissance qu’il dégageait. »

« Je vois... Bon je vais te laisser te reposer Heart. N’en fais pas trop et ménage tes forces. » Fit Le professeur en se levant de sa chaise avant de la ranger.

« Et je prend quoi cette fois ? »

« Comme d’habitude, tu respectes bien les doses prescrites ! » Termina l’homme en quittant la pièce pour revenir à son labo.

***

Les rayons du soleil levant, coupés en rayons par les volets à demi-fermés de la fenêtre, fouettait le doux visage endormi du seigneur du temps, assis sur une chaise, n’ayant pas remarqué qu’il avait passé la nuit entière dans la chambre.

Camille avait finalement ouvert les yeux la première et s’était levé brusquement.

Il lui fallut dix bonnes minutes avant de remettre de l’ordre dans son esprit et de se rendre compte de ce qui s’était passé et de voir les deux autres personnes présentes dans la pièce.

Retirant doucement ses bandages, elle voulut quitter la chambre mais trébucha contre les jambes tendues d’Axel avant de se relever, gênée devant le visage émergeant de celui-ci.

Deux secondes plus tard, le seigneur ouvrit complètement les yeux pour voir, ébahi, la jeune vampire, sur ses pieds.

« Camille ! Tu es enfin réveillé ?! » Laissa-t-il s’échapper avec joie.

« Euh... Oui... » Rougit-elle fortement lorsqu’elle se retrouva dans l’étreinte de celui qu’elle aimait.

Dorient, alerté par les bruits, se réveilla en voyant les deux autres.

« Faîtes pas attention à moi ! » Cracha-t-il en exhibant son bras plâtré. « J’ai juste l’épaule et le bras pété ! »

Sans vraiment savoir pourquoi, Camille lâcha une phrase qui fit perdre toute son assurance.

« Contente que tu sois encore en vie l’ami... » Chuchota-t-elle doucement.

À cet instant, Dorient n’avait pu retirer son regard de sa chevelure or, se mariant à la perfection avec les quelques rayons du soleil filtrant à travers les volets de la chambre. Elle lui souriait innocemment et en fin de compte, cette fille était incapable d’en vouloir à quelqu’un bien longtemps. Le jeune humain semblait perdu et une mèche de cheveu bouclée tomba sur son œil gauche sans s’en incommoder.

Axel, heureux que les deux soient en parfaite santé, demanda innocemment à Dorient quelque chose.

« Hey, comment se fait-il que tu sois blessé mais que Camille, elle n’ai rien ? »

« Je te rappelle que je suis un humain ! Pas un vampire ni un seigneur du temps alors quand je tombe, que je me fait couper, où brûler, moi, je douille ! Je me régénère pas comme vous ! »

Camille eut un rire d’amusement tandis qu’Axel esquissa un léger sourire. Une fois qu’elle eut rejoint son lit, le seigneur du temps pris un temps pour leur expliquer la situation. Lors de son discours, le soleil avait disparu derrière un grand nuage gris.

La jeune vampire et l’humain furent choqués par le récit et leur envie de vengeance se mit à grandir à l’égard de Plague mais plus particulièrement chez Camille, qui ne pouvait supporter que l’on s’en prenne à des innocents. Dorient, lui, lui en voulait surtout pour s’en être pris à elle.

À la fin de son récit, il eut une grande déception du côté des deux blessés à cause du fait que l’ennemi avait réussit à s’échapper.

***

De son côté, Shadow regardait tranquillement son émission de cuisine avec Sunset. Le professeur arriva fièrement en courant et en annonçant qu’il avait finalement réussi à mettre au point un antidote lorsqu’ils furent tous alerté par un flash info spécial provenant de la même chaîne.

Personne n’avait changé le programme et en fait, les journalistes apportaient des nouvelles terrifiantes. Le professeur, en prenant une tasse de café brûlant, la recracha de façon quasi-immédiate au visage de Shadow lorsqu’ils apprirent l’attaque de Manhattan à New-York par une créature serpentine géante.

« Plague ! » Lâcha Shadow choqué sans même avoir pris en compte le liquide bouillant qui lui avait giclé dessus.

Le professeur se dépêcha de contacter Léo sous la demande express des deux amoureux.

***

Au château de Twilight, Spike, Léo et Rainbow Dash était en train de jouer au « jeu où il faut retirer des pièces en bois sans tout faire tomber » à la demande de cette dernière.

Léo était en train de retirer un morceau très délicat pendant que Rainbow et le dragonnet criaient son nom de façon répété afin de l’encourager. Ce dernier, vanta ses qualités à ce jeu et voulut même le prouver en récupérant la pièce d’une seule main.

Il approcha donc sa main cyber quand son manipulateur vibra fortement pour finalement faire tomber toute la structure sur lui, sous les éclatants rires des autres joueurs.

« Ca va, ça va ! » Dit Léo sur un ton vexé. « De toute façon, je n’aime pas ce jeu. »

« Ouais ! » Reprit Rainbow Dash, toujours morte de rire. « Tu devrais répondre, c’est peut être important. »

C’était la deuxième fois que Le professeur contactait Léo sauf que cette fois-ci provoqua une panique générale à l’annonce de l’attaque.

Même s’il ne pouvait le voir, Léo avait senti que Le professeur avait refait son geste avant de leur annoncer la nouvelle du mieux qu’il pouvait.

Léo raccrocha et remit de l’ordre dans l’agitation générale.

« Je vais aller prévenir Axel ! Rainbow, tu vas faire la même chose avec les autres et toi spike... » Continua-t-il en cherchant le dragonnet absent avant de l’apercevoir. « Euh... Et bien reste caché sous le lit si tu veux... »

« Quoi ? Non je ne me cachais pas du tout ! » Mentit le dragon rose avant que Rainbow ne le prenne sous le sabot et ne parte retrouver les autres.

« C’est compris Léo ! Bonne chance ! » Termina-t-elle par un salut militaire.

Le jeune cyborg activa ses réacteurs et ses patins avant de se lancer une nouvelle fois dans une course contre la montre afin d’arrêter leur ennemi, mais cette fois-ci...

Une bonne fois pour toute !