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Le Dévoreur de chance

Une fiction écrite par Yffrit.

Chapitre 1 : La cutie mark et l'étrange pouvoir - Partie 1

Hum ?

Qui êtes-vous ? Pourquoi venez-vous me déranger ? Une histoire ? Maintenant !? Mais c’est bientôt l’heure de ma sieste…

Bon… D’accord, mais alors juste une. Quelle histoire souhaitez-vous écouter ? La création de Tricorne ? L’invocation de Memory Stealer ?... N’importe ?

Bien… Prenez place et laissez-moi alors vous compter l’histoire d’Half Chance, une licorne qui a existé il y a longtemps. À une époque où je n’étais encore qu’un poulain et qu’Equestria n’était pas menacée par des désastres tous les ans. De quoi ? Je n’ai pas dit de mal, je constate juste des faits.

***

Half Chance, le héros de cette histoire, était né dans la famille Chance, une famille de marchands très puissante et riche de Manehattan, et comme leur nom l’indique, on pouvait dire que leur vie était littéralement guidée par la chance, basant leur fortune sur ça. Half Chance était différent, troisième né de la famille, cette licorne était dénuée de toute chance et à chaque fois qu’il faisait quelque chose, on pouvait être sûr que ça allait tourner au drame. Ne serait-ce que sortir dans la rue était une épreuve pour lui. C’est généralement pour cela qu’il ne sortait que très rarement et qu’il devait suivre des cours particuliers à domicile tandis que ses frères se pavanaient dans des écoles privées réputées. Pauvre Half… Saviez-vous qu’une année, il avait été touché huit fois par la foudre dont deux fois le même jour ? Le fait qu’il soit toujours en vie relevait du miracle… ou de la chance mais lui considérait ça plutôt comme une malédiction. Malheureusement, aucune magie ne pouvait contrer ce genre de malédiction… ou tout du moins on le croyait mais nous verrons ça plus tard.

Ses parents s’amusaient à dire que ses deux frères avaient pris toute la chance disponible lors de leur naissance et qu’il n’y en avait plus pour le petit dernier. Il faut dire ce qu’il en est, Half n’était qu’une honte et un désastre ambulant à leurs yeux. Un Chance, qui n’avait pas de chance, quelle ironie.

Et sur « le désastre », ils n’avaient pas vraiment tort. La preuve en était que lors de son onzième Hearth’s Warming Eve, alors qu’il n’était encore qu’un poulain au flanc vierge, il s’était pris les sabots dans le magnifique tapis du salon de ses parents et avait renversé une table sur laquelle une demi-douzaine de bougies trônaient en voulant se rattraper. Résultat ? L’appartement de ses parents brûla. Un magnifique appartement donnant sur le parc de Manehattan rempli des nombreuses richesses amassées par les Chance au cours des siècles, tout ça partit en fumée. La moralité ? Ne jamais faire brûler de bougies près d’un tapis.

À partir de cet instant, ses parents cessèrent de rire sur son manque de chance et commencèrent à l’écarter de leur vie, allant jusqu’à penser que sa malchance était contagieuse. Les Chance avaient beau ne pas manquer d’argent, la perte de ce bien les avait profondément attristés. Il me semble surtout que le père Chance était plus attristé par la perte du portrait de sa grand-tante Astrid, la fierté de la famille d’après eux, que par le reste. J’ai justement vu quelques-unes de ses anciennes photos et j’avoue que c’était une bien jolie pouliche quand elle était jeune si vous voulez mon avis. Elle avait eu la chance de rencontrer plusieurs fois la princesse Célestia quand elle commerçait entre Canterlot et Manehattan. Je me rappelle de cette histoire que me racontait mon grand-père sur la fois où… Quoi ? Je m’égare ? On parlait de quoi déjà ? … Half Chance ? C’est qui ça ? Un gars sans chance ? Hahaha, j’aimerais bien l’entendre. Quoi ? C’est moi qui racontais ? Vous êtes sûr ? Hum… Aaaah ! Half Chance ! Oui, oui, c’est bon, je m’en souviens.

Je disais donc qu’Half Chance avait combattu la… Quoi encore ? Je n’en étais pas là ? Mais je suis sûr que… Half avait brûlé l’appartement de ses parents ? Vous êtes sûr de ça ? J’en arrivais au passage le plus intéressant pourtant… Bon d’accord, je reprends là où vous pensez que j’en étais.

***

Donc… À cause de cet incident, la tension chez lui était très lourde, ses propres parents l’ignoraient et ses frères le fuyaient comme la maladie. Pour un jeune poulain, c’était très dur comme ambiance. Half le supportait tant bien que mal et attendait impatiemment le moment où il pourrait partir de chez lui. Il souhaitait sortir dehors, pour oublier ses soucis et aussi découvrir la ville qui l’avait vu naître mais rien que le fait de sortir de chez lui annonçait le chaos dans les rues de Manehattan, et un séjour à l’hôpital pour lui. Il se souvenait encore douloureusement des fois où il avait pris la foudre.

Tous les soirs, il se prenait à rêver en train de parcourir Equestria sans qu’une catastrophe due à sa malchance ne viennent tout gâcher. Il s’imaginait des terres encore inexplorées, des empires perdus à sauver ou de puissants artefacts à récupérer. Et chaque soir, il priait dans l’espoir de recevoir sa cutie mark qu’il imaginait en forme de boussole ou de carte. Il espérait ainsi qu’elle annulerait sa malchance afin qu’il puisse fuir cette horrible famille.

Les rêves d’Half Chance étaient ce qui lui permettait de tenir chaque jour et le fait que sa famille l’ignorait n’était pas si mal tout compte fait. Il n’était pas dérangé et il pouvait donc se plonger dans son imagination en toute tranquillité. Mais un jour, cette « tranquillité » prit fin et c’est à ce moment qu’Half devint ce qu’il était.

Cela faisait déjà plusieurs semaines que l’appartement avait brûlé et la rumeur comme quoi les Chance avaient perdu leur légendaire chance commençait à circuler. Les affaires des parents en subissaient les conséquences et les deux frères d’Half recevaient des brimades à l’école. Aucun poney ne souhaitait être mêlé à une famille aussi malchanceuse qu’eux. Ce soir-là, le temps du silence et de la tranquillité pris fin. En rentrant de leur école, les frères cassèrent l’ambiance lourde qui pesait depuis l’incendie et firent porter le chapeau de leur malheur à leur jeune frère. Les parents ne mirent pas longtemps avant de rejoindre ce concert de plaintes et d’accusations et brimèrent eux aussi leur poulain.

- C’est de ta faute si notre entreprise va aussi mal, tu n’aurais jamais dû naître !

- Mes amis croient que ta malchance m’a contaminé, ils ne veulent plus me voir pour ne pas l’attraper ! Tout ça c’est de ta faute ! Papa et maman auraient dû t’abandonner à la naissance !

Les phrases de ce genre continuèrent de fuser tout au long de la soirée. Half Chance ne put le supporter et alla se réfugier dans sa chambre. Il s’affala sur son lit et se couvrit les oreilles avec son coussin pour ne plus les entendre. Si le reste de sa vie allait être comme ça, il préférait encore affronter sa malchance et fuir. « Ça ne pourrait pas être pire qu’ici » se disait-il. Plus tard dans la nuit, quand les voix se turent et que les bruits de sabots indiquaient que tout le monde était parti se coucher, Half Chance se décida à faire le mur. Il avait noué ses draps pour en faire une sorte de corde comme il l’avait lu dans de nombreux romans et il descendit le long de la façade de l’immeuble de leur nouvel appartement. Arrivé à quelques centimètres du sol, la corde de drap lâcha. Apparemment, un des nœuds avait été mal fait et avait fini par se défaire sous le poids du poulain. La chute ne fut pas très haute mais assez pour qu’il se blesse à la patte. C’est donc en boitant qu’il s’éloigna pour la première fois de sa vie de la maison familiale sans être sous la surveillance de ses parents. Il ressentait une certaine excitation et un sentiment de liberté que même ses rêves les plus fous ne lui avaient jamais procuré. Il galopa, en boitant bien sûr, dans une direction totalement aléatoire, il verra où le mène sa malchance. Il écouta le bruit de son galop incertain dans les petites rues silencieuses de la ville somnolente. Il sentit les fumées s’échappant du chariot d’un vendeur ambulant qui venait de finir sa longue journée pour rentrer chez lui. Et il observa le manège des grandes avenues dans lesquelles poneys, taxis et chauffeurs se croisent sans jamais s’emmêler. Il avait beau avoir appris tout ça lors de ses ennuyants cours particuliers mais le voir de ses propres yeux était bien plus intéressant. Pour le moment Half Chance était heureux, en évitant les grandes avenues et en observant de loin, sa malchance ne s’était pas encore manifestée.

Son doux rêve éveillé fut soudain brisé par une odeur particulièrement forte et désagréable. Bien qu’elle le répugnait, il décida d’aller voir d’où cela pouvait bien provenir et, au tournant d’une allée sombre et inquiétante où il était sûr que sa famille n’aurait jamais mis un sabot, il trouva là un poney habillé d’une redingote sale et trouée ainsi que d’un haut-de-forme qui avait beaucoup trop vécu. Il faisait face à d’autres poneys et semblait jouer avec eux à l’aide de trois cartes alignées sur un carton. Half était très intéressé par ce jeu, il ne le connaissait pas et aucun poney ne lui en avait parlé. Il observa le poney en redingote montrer une carte au poney en face de lui, mélanger les cartes et les réaligner ensuite sur le carton. Il se tournait de nouveau vers son opposant et lui demandait : « Où se trouve la princesse de la lune ? ». Ensuite l’opposant au poney en redingote choisissait une des trois cartes mais bizarrement la princesse de la lune ne semblait pas vouloir être trouvée. Mécontent, le poney qui perdait donnait alors des pièces au poney en redingote, qui semblait fier de son nouveau butin.

À force de perdre, les joueurs ne semblaient plus vouloir tenter leur chance avec lui et beaucoup partirent. En scrutant la foule à la recherche d’un nouvel adversaire, il remarqua Half Chance. Il devait sans doute se dire que c’était une aubaine. Faire gagner un poulain remettrait les autres en confiance et ils continueraient de dépenser leur argent en jouant. Cette stratégie allait sans doute lui coûter quelques pièces, mais les bénéfices qui en découleraient seraient bien plus intéressants. Il s’adressa alors à Half Chance :

- Dis-moi petit, est-ce que ce jeu t’intéresse ? Je peux te l’apprendre si tu veux. Il est si simple que même toi peux y jouer.

Half Chance était content, aucun poney ne jouait jamais avec lui ou ne l’avait invité à jouer, les autres poulains l’évitaient habituellement. Il prit sans hésitation la place du joueur, celle face au poney à la redingote.

- C’est vrai, je peux jouer ?

- Bien sûr. Je te fais même cadeau de cette pièce pour que tu puisses jouer comme les grands poneys, rassura le poney en redingote en tendant une pièce à Half Chance. Tu la poses ici et tu pourras jouer avec moi, dit-il en montrant un coin du carton.

Le poulain la prit et fit donc son premier pari en la posant sur le carton. Des murmures venant de derrière lui se faisaient entendre :

- Il va vraiment faire ça à un poulain ?

- Il faut vraiment être tombé bien bas pour jouer contre un enfant.

Mais Half Chance était concentré sur les pattes du poney à redingote qui avait déjà commencé à mélanger les cartes. Pendant qu’il faisait ça, une chose bien particulière le déconcentra et attira son attention. Une aura verdâtre semblait être émise par le poney en redingote et l’odeur qui l’avait conduit ici était bien plus forte, comme si elle venait de l’aura. Il se tourna vers les spectateurs mais aucun d’eux ne semblaient l’avoir remarquée. Il regarda ensuite le poney en redingote mais lui non plus ne donnait pas l’impression d’y faire attention. « Il n’y a que moi qui la voit ? » pensa-t-il.

- Où est la princesse de la lune ? demanda le poney en redingote.

La question le sortit de ses pensées et il leva la tête vers lui. Il avait un visage bienveillant comme pour le rassurer et lui faire comprendre que tout allait bien se passer. Half Chance hésita puis finit par choisir la carte du milieu après quelques minutes d’hésitation. Quelle chance, la princesse de la lune s’était montrée pour une fois ! Il n’avait jamais été aussi heureux de toute sa vie, il venait de gagner sa première pièce et il en avait maintenant deux. Il pouvait entendre les murmures surpris des poneys derrière lui qui semblait discuter de l’énorme chance du petit. La magouille commençait à faire effet, les joueurs pensaient qu’ils pouvaient gagner.

- Tu veux continuer ? lui demanda en souriant le poney à redingote après lui avoir donné sa récompense.

Half Chance hocha la tête énergétiquement. Il laissa la pièce qu’il avait eu en cadeau sur le carton et mit celle qu’il avait gagnée à côté de lui. Le poney à redingote refit son manège : montrer la carte, mélanger et poser la fatidique question. Et bien que l’aura verdâtre le dérangeait quelque peu, Half Chance essaya de suivre les mouvements rapides et assurés du poney.

Une fois les cartes posées et la question posée, le poulain recommença à hésiter, mais cette fois-ci, il n’arriva pas à choisir. Il ne voulait pas perdre.

- Petit, ne sois pas si inquiet, ce n’est qu’un jeu, lui dit le poney à la redingote.

Half Chance reprit ses esprits, il avait raison après tout, et puis la pièce qu’il jouait n’était pas vraiment à lui. Il voulut se donner du courage en respirant un bon coup et en se tapant les joues avec ses sabots mais ce fut une mauvaise idée sur le coup. Il finit par tousser à cause de l’odeur désagréable qui traînait et de l’arrière-goût de pomme pourrie qu’il avait maintenant dans la bouche. Pendant deux bonnes minutes, le poulain ne pouvait s’arrêter de tousser et le poney à la redingote failli perdre patience. Quand il eut enfin repris son souffle, il remarqua deux choses : la première était que l’aura autour de son adversaire avait beaucoup diminué et la deuxième était qu’une aura lumineuse se trouvait maintenant sur les trois cartes face à lui. Half Chance était surpris et toujours aucun poney ne semblait les voir.

- Fait un choix petit, on n'a pas toute la nuit !

Au ton de la voix du poney à la redingote, Half comprenait qu’il commençait à être agacé d’attendre. Le poulain choisi alors une carte au hasard. Encore une fois, la carte était la princesse de la lune, mais cette fois quelque chose n’allait pas.

- Quelle chance petit ! Tu as gagné deux fois d’affilé ! Continue comme ça et tu vas me ruiner, s’acclama-t-il tout en riant et donnant une nouvelle pièce à Half Chance.

Cette fois-ci, le poulain ne posa pas la pièce à côté de lui mais la posa directement en jeu, il voulait vérifier une chose sur ces étranges lumières qu’il voyait.

- Une autre, dit-il en frappant du sabot sur le carton.

Toujours le sourire aux lèvres, le poney à la redingote s’exécuta. Il y avait quelque chose de malsain dans son expression et Half Chance comprit pourquoi quand les cartes furent alignées devant lui. L’aura des cartes devant lui avait changé, elle n’était plus lumineuse mais sombre, comme pour le prévenir d’un malheur. Par contre, une aura lumineuse venait d’une manche de la redingote. Sans nul doute, son adversaire trichait mais il devait vérifier avant de l’accuser.

- Où est la princesse de la lune ?

Half Chance fit mine d’hésiter et choisit une carte au hasard. Comme il s’en doutait, ce n’était pas la carte gagnante et il perdit les deux pièces qu’il avait mis en jeu.

- Dommage petit ! Apparemment, ta chance t’a abandonné. Rentre chez toi te coucher maintenant et laisse les adultes entre eux, lui dit le poney à la redingote en lui faisant un geste du sabot comme pour le faire partir.

- Non, une dernière, je veux regagner la pièce que j’ai mise sur le carton, insista Half Chance.

- Bien…

Le poney à la redingote poussa un soupir et commença à mélanger les cartes pendant qu’Half regarda tristement sa première pièce gagnée avant de la poser en jeu. Une fois le manège accompli, les auras des cartes étaient les mêmes : celles des trois alignées étaient toujours sombres et celle dans la manche était toujours présente. Cette fois-ci, il allait prouver qu’il trichait.

- Tu connais la chanson à présent petit, où est la princesse de la lune ?

Half Chance le regarda dans les yeux avec le même regard sévère que ses parents lui avaient fait quelques heures auparavant lorsqu’ils l’avaient accusé de tous leurs maux et lui dit :

- Sur vous.

Le poney à la redingote fut très surpris par ces mots et rétorqua sévèrement :

- Voyons petit, je n’ai aucune carte dans ma manche alors joue et choisit une carte sur le carton.

- Je n’ai jamais dit que vous l’aviez dans la manche monsieur, dit Half avec un petit air de satisfaction, le tricheur venait de se trahir lui-même.

- Je… C’est une expression de joueur, il ne faut pas le prendre au mot.

Le mal était fait. Les murmures devenaient plus forts et on pouvait sentir la colère montait parmi les spectateurs. Le poney à la redingote fit un geste brusque, en essayant de s’expliquer, qui renversa le carton où se trouvaient toujours les cartes faces cachées. Elles atterrirent aux sabots d’Half Chance et comme prévu, la princesse de la lune n’était pas parmi elles. À cet instant-là, le poney à la redingote comprit que ça ne servait à rien de s’expliquer et s’enfuit au galop avec le butin qu’il avait amassé aujourd’hui. Il était poursuivi de très près par les joueurs mécontents qui souhaitaient récupérer leur argent. Half était à la fois triste et content. Triste que la seule personne qui ait joué avec lui l’ait fait par intérêt et content d’avoir démasqué un tricheur grâce à son nouveau pouvoir étrange.

Alors qu’il ramassa sa première pièce au sol parmi les cartes, il sentit une drôle de sensation sur son flanc et il remarqua très vite qu’il commençait à briller, ce qui ne signifiait qu’une seule chose : sa cutie mark allait apparaître ! Sa cutie mark allait apparaître ? Non, non, ce n’était pas possible, Half Chance voulait une cutie mark en rapport avec l’exploration ou le voyage comme il en a toujours rêvé et… il ne pensait pas avoir accompli quoi que ce soit pour en recevoir une de ce genre.

La lumière faiblit enfin et l’ancien poulain au flanc vierge put voir sa toute nouvelle cutie mark : deux cartes en éventail qui représente un joker et un as de pique.

***

Oh ! Regardez l’heure qu’il est ! J’ai même raté ma sieste par votre faute ! Ça sera tout pour aujourd’hui. Vous n’avez qu’à revenir un autre jour pour la suite. Quand ? Je ne sais pas moi… Mais évitez la semaine… Et le week-end aussi. Ce n’est pas possible ? Débrouillez-vous alors !

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Note de l'auteur

Cela fait maintenant 8 ans que j'ai arrêté l’écriture littéraire pour me consacrer à celle des scénarios de BD et je peux vous dire que ça fait bizarre de pondre un chapitre en seulement quelques jours après tout ce temps.
J'espère que cette longue pause ne se ressentira pas dans mon écriture et que vous apprécierez quand même cette petite histoire qui devrait être en 7 chapitres environ.

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Brocco
Brocco : #31300
Une histoire prometteuse avec une écriture de qualité sachant rester suffisamment simple et fluide pour rendre concrète cette ambiance d’histoire racontée directement de la bouche d’un vieux poney (une idée certes classique mais par ailleurs bien efficace). Le synopsis semble lui aussi intéressant et je suis curieux de voir la suite.

Ainsi, même si cela faisait un petit moment que tu n’avais pas écrit de manière littéraire, on sent bien une certaine expérience derrière cette fiction. Si je n’ai qu’un reproche à faire, ce serait l’utilisation parois trop récurrente du terme "poney". Pour le reste, bien joué et bonne chance pour la suite.
Il y a 2 ans · Répondre
yanster2000
yanster2000 : #31153
J'aime beaucoup cette histoire
Il y a 2 ans · Répondre

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