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Une histoire d'amour

Une fiction écrite par La Furry.

Une histoire d'amour.

« Ma fille, aujourd’hui, tu vas me quitter, tu va commencer une autre aventure où la peur et la faim n'existent pas. Tu as trouvé l'amour avec une créature, et tu t'es épanouie.» Une grande jument aux yeux verts caresse du sabot l’encolure d’une autre, plus petite. Entre les pattes de la plus petite des deux juments se trouvent cinq petits, certains sont noirs, d’autres blancs et noirs, ils tètent leur mère pour la première fois et la dernière aussi. Une blessure au poitrail, trop profonde, la vide de son sang. De ses dernières forces. Le regard de la jeune jument est posé sur les petits êtres qui sont contre son ventre. D'un sabot tremblant, elle leur offre une caresse. « Sois sans crainte mon enfant, tes petits seront remis à ton étalon, il les élèvera, il prendra soins d’eux.». La jeune jument se met à pleurer, un dernier tremblement des pattes, ses yeux se ferment. La grande jument fait briller sa corne et soulève les cinq petits et les dépose dans un panier en osier. « Je vais aller lui remettre et lui dire ta vraie nature, il doit le savoir, pour élever vos petits, ils ont des besoins différents. Adieu mon enfant, je t'aimerai toujours. »



Mon pays se nomme Souafrica, et son peuple vit dans des petites maisons de terre appelées des huttes. Comparé aux poneys des autres pays, ma race est plutôt unique en son genre. Il n'y a pas de licornes ou de pégases et on peut dire que nous sommes des terrestres. Mais nous n'en sommes pas, nous sommes des zèbres. Nous sommes plutôt perçus comme des nomades et nous nous déplaçons régulièrement pour trouver des oasis de verdure et de l'eau. Mon pays n'est pas comme les autres, quand il fait chaud, la terre se craquelle et quand il pleut, les plaines sont inondées et deviennent des lacs immenses.

Je m’appelle Bafodé et j'ai 18 ans, j'ai perdu mes parents quand j’étais encore un petit zébreau. Les anciens m’ont raconté que c’était avant la grande saison des pluies. Mes parents étaient partis récupérer des herbes médicinales. Les grands plateaux n'abritent pas que des créatures douces et innocentes. Les anciens ne m’ont jamais donné le nom de ces créatures et encore aujourd’hui, ils me refusent ce droit. Un soir, j’étais sorti de ma hutte, échappant à la surveillance d'une vieille jument qui était endormie. Je me suis rapproché de la hutte du chef, il parlait avec les autres. Je fixais ses lèvres pour lire ce qu’il disait, il parlait de créatures dangereuses et rappelait qu’aucun zébreau ne devrait perdre ses parents. Il prononça le nom de cette créature, “Changelin”. C'est le nom de la créature qui m'avait privé de mes parents. Je désirais la retrouver et la tuer. Mais ça ne me les aurait pas ramené, et qui sait ? Je pourrais priver une mère de son enfant ou le contraire, d'un parent. Je pourrai aussi mourir bêtement pour faire vengeance. Surtout à mon âge, je ne suis pas un soldat et je ne connais rien dans cet art et qu’est-ce que ça me rapporterai ? Rien. J'ai juste continué à vivre et grandir.

Soit, ça ne m’a pas empêché de m épanouir et grandir dans un monde qui avance. De la perte de mes parents a découlé mon envie de partir et de visiter le monde auquel j'appartiens, j'ai vu tellement de choses et de créatures différentes en si peu de temps. J'ai quitté le village à l’âge de 11 ans, avec juste sur moi un sac autour de l'encolure ou j'avais placé quelques miches de pain. Maintenant ce sac est devenu comme un symbole pour moi, je l'ai plié et mis sur le front comme un bandana, sa couleur rouge est passée avec les années et le temps, de rouge foncé il n’est plus que rose pâle. J'ai visité des villes où je pense que je devais être le premier zèbre à y poser le sabot. J'ai parcouru de grandes plaines où les soirs je ne dormais que d'un œil. Combien de fois ou je me suis dit que ma dernière heure était arrivée, puis vient le moment où ces yeux qui vous observent, se trouvent n’être qu'une chouette et cette forme, qu'une simple branche. Des frayeurs, j’en ai eu et on peut dire que je me suis forgé un caractère d’aventurier. Mais cette vie d’aventurier est finie maintenant. J'ai rencontré une jument, elle a la robe grise et sa chevelure est noire et blanche comme moi. J'adore ce côté zèbre. Elle est d'une beauté, enfin moi qui suis un zèbre, je la trouve belle. Elle est douce et attentionnée. Comme moi, elle a un handicap. Je suis sourd et elle, elle est muette. On ne peut par dire que nous nous sommes conté fleurette pour tomber amoureux l’un de l'autre. Non, je pense que c’est a notre première rencontre que tout s’est scellé entre nous.

Je venais de quitter une plaine désertique et une forêt se trouvait devant moi. Je n'ai jamais réellement compris comment ça se pouvait de voir ce genre de chose. Un pas à gauche c’est le désert et un pas à droite vous êtes dans une forêt, une parfaite frontière. La chaleur d'un côté et l’humidité et la fraîcheur de l'autre. Enfin, je suis donc entré dans la foret et je la parcourais depuis deux petites heures, je m'étais mis à suivre un ruisseau qui me mènerait à un village ou une ville, c’était une chose que j’avais en moi, là où il y a de l'eau, il y a de la vie. C’est à ce moment là que je l'ai vue, elle était au bord du ruisseau, elle se désaltérait, ses lèvres effleuraient l'eau, ses yeux étaient fermés, et sa crinière lui recouvrait l’encolure, je trouvais ça magnifique, elle lançait sa queue de droite à gauche, quel magnifique spectacle à mes yeux. Pour ne pas l'effrayer je fis pareille et me suis mis à boire, gardant les yeux ouverts pour la regarder. Elle a relevé la tête, me dévisageant et fit un pas en arrière, je remarquais qu’elle n’appuyait pas sur son sabot arrière, quelque chose semblait la gêner. Je relevais la tête et lui offrit un sourire. Je voulais lui demander si elle voulait de l'aide pour son sabot, mais ça faisait si longtemps que je n'avais pas parler, bien que je sois sourd, j'avais appris à lire sur les lèvres et ça m’était bien utile des fois, je réfléchissais à ce que j’allais lui dire quand les seuls mots qui me sont venus sont sortis : « Belle croupe » Je relevais mon sabot plein de boue et me le collait au museau. Elle fronçait les sourcils et ses oreilles étaient bien dressées, mais ma gaffe lui avait mis le sourire aux lèvres. Je rabaissais mon sabot et le trempais dans le ruisseau pour le nettoyer et me débarbouiller le museau. Une fois fait, je me retournais, elle était partie un peu plus loin, elle boitait et ne semblait pas vouloir rester ici ou près moi. Je l'ai rattrapée en faisant un petit galop pour la rejoindre. Une fois à sa hauteur de plaçais mon sabot sur ma crinière « pardon, je voulais savoir si tu veux que je regarde ton sabot ». Elle s’arrêta, relevant son sabot avant opposé à celui qui la gênait avant de le reposer, elle me regardait, ses yeux gris mauve était envoûtants, elle se mit à sourire en me voyant la bouche ouverte avec un filet de bave qui coulait, elle posa son sabot contre sa lèvre en la tapotant légèrement. Je l'ai dévisagée ne comprenant pas ce qu’elle voulait me dire. Je regardais ses lèvres s’ouvrir dévoilant sa dentition, ça ne veut rien dire, je tille « Tu es muette ? » Elle baissa la tête et ses oreilles se couchèrent, elle se remit à avancer en tenant sa patte arrière relevée, elle me fuyait « Attends, s’il te plaît, je suis comme toi, je suis so....sourd » Je baissais la tête, j'avais envie qu’elle reste avec moi, je me sentais seul. Quand on est un peu différent, on est souvent mis de côté, et depuis que je suis parti de mon village, on m’a toujours fait comprendre que je n'étais pas le bienvenu dans les villages auxquels je m’arrêtais. « Reste un peu, s’il te plaît ». Sa patte se plaça sous mon menton et me releva la tête, elle me fit un sourire, elle se tourna pour se placer de travers et elle leva son sabot arrière gauche. Je lui soutint du mien pour qu’elle puisse s’y appuyer. Je penchais la tête et regardais de plus prés, une petite pierre était glissée entre la fourchette et l'appui et à chaque fois qu’elle le posait, il s’enfonçait plus profondément, je me couchais pour utiliser mon autre sabot et l’enlever, mais la pierre semblait être trop enfoncée et mon sabot n'arrivait pas à la retirer. J’approchais mon museau et réussis à retirer la pierre avec les dents. Elle retira son sabot sous la libération avant de le poser délicatement, elle se retourna et me sourit. Je me redressais et crachais la pierre au sol. «Voila, c’est mieux comme ça.» Un grognement se fit entendre, la jument se mit à regarder de chaque coté puis se mit à fixer mon ventre, elle leva son sabot et tapota mon ventre. Je la regardais, les gazouillis de mon estomac avaient dû être bruyant. Je commence à avoir faim. «Désolé, ça fait un petit moment que je n'ai pas manger. » Elle se retourna et m’invita à la suivre, désignant du sabot un chemin, qui semblait s’enfoncer dans le bois. J'ai répondu d'un sourire et je l'ai suivie.

Elle m’a conduit à une petite cabane en bois, accrochée à un arbre. Un escalier naturel de branches nous permettait de monter dans l’arbre pour atteindre la cabane qui se trouvait caché de la vue de tous, enfin sûrement pendant le printemps et l’été, ensuite, l’arbre perdait son feuillage et offrait une vue sur la cabane. Elle avait une corne sur le front, c’était donc une licorne, pourtant je ne l'avais jamais vu s’en servir, même pour retirer cette pierre pourtant cela aurait été facile pour elle. Peut-être qu'elle ne savait pas s’en servir ? Ou bien, elle voulait seulement que quelqu'un l'aide. Et à ce moment là, la seule chose qui m’intéressait, c’était elle, je ne désirais pas en savoir plus. Elle m’attire, comment expliquer cela. Ses gestes, sa façon de faire, tout n’était que douceur. Elle n'avait pas grand chose à me proposer à manger, une miche de pain et quelques biscuit, qui devaient avoir un petit moment d’existence. Une fois rassasié, je regardais autour de moi, hormis cette table et un buffet ou quelques aliments se trouvaient, il n'y avait rien. Un lit de paille sur le côté opposé de l'entrée, pas de miroir pour se coiffer ou d’autre bibelot qu’une jument de sa beauté aurait eu. Ce qu’elle avait enduré pour finir ici, je n’osais y penser. Elle a dû être rejetée. Elle est si douce, si belle. Pourquoi l’avoir rejetée ? Je ne pouvais m’empêcher de la regarder, elle était installée sur le côté de son lit, elle avait l'air songeuse et solitaire. À son flanc, une marque était dessinée. Elle représente une fleur d’érable. Je regardais mon flanc, malgré mon aventure dans les territoires inconnus, il était toujours vierge. Je me suis placé face à elle, même si elle ne me regardait pas, je voudrais la comprendre si elle disait ...Si ses lèvres bougeaient. Il commence à être tard et je vais devoir me remettre en marche, même si mon seul désir était qu’elle me retienne. Je me redressais et m’approchais d’elle « Merci, mais je vais devoir te laisser » je lui fis un sourire et me retournais vers la porte d’entrée. Elle ne ferait rien, c’était une solitaire, elle m’avait nourri pour me remercier. Mais elle me fuyait tout à l'heure et je pensais qu’elle reprendrait son habitude de fuir les autres après que la porte se sera refermée. Je posais mon sabot sur le loquet de la porte et l'abaissais, je l'ouvrais.

La vibration des sabots sur le sol de la cabane, la jument venait de se placer devant moi et refermait la porte d'un coup de sabot postérieur. Ses yeux gris mauve me fixaient. Elle me faisait face et me retenait, sans un bruit, sans une parole, elle passait ses pattes autour de mon l’encolure, quelque chose mouillait mon pelage au niveau de sa tête, elle pleurait. Que devrai-je faire, hormis lui rendre son étreinte, je ne pouvais rien faire d’autre. La repousser, serait stupide de ma part et pourquoi je le ferais ? Je voulais rester avec elle. La raison, je me sentais seul et elle était comme moi. Les mois ont passé et un lien s’était créé. Sans rien dire, sans tendre l’oreille, dans le silence, un amour est né. Je l’appelle feuille d’érable comme sa marque de beauté. Elle ne semble pas savoir écrire, je pensais qu'elle avait été abandonnée quand elle était encore toute petite pouliche ou j’imaginais des choses ? Nous sommes d'une race différente, peut-être qu’elle écrit dans une autre langue que moi ? Et c’était possible, je la surprenais souvent, elle dessinait sur le sol des symboles que je ne comprenais pas. Elle se contentait de me sourire et de m’embrasser. J'aimais quand, de sa patte elle me caressait la crinière en épi, quand elle mordillait l’oreille. Le soir quand elle me pensait endormi, elle s’en allait, elle sortait et disparaissait dans la forêt. Je l'avais suivi une nuit, elle s’en était rendu compte ou je faisais du bruit peut-être. Elle s’était arrêté, puis avait fait demi-tour en galopant dans ma direction et m’avait sauté dessus, sur le moment j'avais cru qu’elle m'attaquait. Mais cette nuit avait fini différemment. Les nuits d’après elle continuait à sortir et disparaissait, sans laisser de trace, comme volatilisée, j'avais cessé de la suivre, elle avait ses raisons et je lui faisais confiance.

Une année était passée puis une deuxième et ses escapades nocturnes continuaient, des fois le matin quand elle revenait, elle était fatiguée et d’autres fois elle était blessée. Rien de grave des écorchures, quelques griffures. Mais c’était vrai que je commençais à être inquiet. Elle venait de revenir de l'une de ces escapades nocturnes, elle avait une blessure à l’épaule, mais cette fois, sa blessure semblait ressembler à celle d’une arme. Je me tournais et récupérais une serviette et la trempais dans une bassine d'eau. Elle était assise, silencieuse, elle me faisait ses yeux doux comme à chaque fois qu’elle revenait avec ses écorchures. Je lui lançais un regard interrogateur, elle me répondait en clignant des yeux. « Que se passe-t-il mon amour? », elle baissa la tête évitant de me regarder. « Érable, je commence à m'inquiéter, cette blessure ? C'est une arme qui te l’a fait ? ». Elle se redressa et fronça les sourcils comme pour me dire de pas m’en mêler. Elle se déplaça, repoussant du sabot la serviette. Elle se tourna, elle me dévisageait poussant sur ses poumons pour sortir un son. Mais rien ne sortait, elle pleurait avant de passer la porte et me fuir. « Attend, Érable, reste avec moi, me laisse pas seul. » J’étais devant la porte, elle avait disparu sans laisser de trace. « Piter revient ».

Ça faisait maintenant 3 jours, qu’elle avait disparu, je la recherchais dans les bois et à la lisière, je savais qu'elle ne sortait pas de la forêt, peut-être les nuits, mais quand nous nous promenions dans les bois, elle refusait de s’en approcher. Elle semblait avoir peur de rencontrer d'autres poneys. Il y avait un village non loin de la lisière, serait-elle allée là-bas ? Peut-être étaient-ils mauvais, ils n'acceptaient pas ceux qui étaient différents. Je ne savais pas ? J'avais peur de sortir et me retrouver dans un village ou on me jugerai, et si Érable revenait à la maison ? Et qu’elle ne m’y trouvait pas ? Et si elle était encore blessée ? Je devais rentrer pour être là quand elle reviendrai et la recevoir. J'ai galopé si vite pour rentrer, comme si j’étais poursuivi par une créature qui me voulait. J'avais monté les marches, les 15 branches qui tournaient autour de l'arbre pour monter dans notre chez nous. Les jours passaient, bientôt une semaine, j'avais peur, peur qu'elle soit dans le besoin, peur que quelqu'un ne l'aide pas s’il passe à côté d'elle, si elle était dans un fossé ou une crevasse, elle ne pouvait appeler à l'aide, j'avais peur qu'elle ne revienne pas. J’attentais à côté de ce lit de paille roulé en boule, fixant la porte. Le soleil allait bientôt se lever et ça allait faire une semaine qu’elle n’était pas rentré. M’a-t-elle quitté, pourquoi m’a-t-elle quitté, j'avais fait quelque chose de mal, j’aurais dû la suivre le soir. Quelque chose était devant la porte, je voyais des ombres en dessous du seuil, elle était revenue ! Je me levais et ouvrit la porte, je levais mes oreilles et mes yeux ne rêvaient pas.

Cette créature n'était pas érable, son regard me terrifiait, il était froid et annonciateur de mauvaise nouvelle. Qui était-elle ?



Ça faisait maintenant 4 ans, 4 ans que tous les matins à mon réveil, je descendais les 15 marches de la maison et marchais en direction d'une petite prairie en plein milieu de la forêt. J'y allais, sans traîner les sabots, mais avec fierté. Je souriais aux créatures de cette forêt qui me craignaient, je marchais un sabot avisé sur ce sentier que j’empruntais tous les jours pour me rendre à cette stèle. Une simple pierre a la couleur gris foncé. Un dessin était inscrit dessus. Je m’approchais et offrit un baiser à la pierre froide, Je m'allongeais sur le côté et commençait à dessiner sur le sol. « Bonjour mon cœur. Aujourd’hui je vais aller à la lisère de la foret, je dois récupérer des champignons qui y poussent » Je me redressais et m’asseyais sur le flanc. « Tu me manques ma belle. Pourquoi tu ne me l’a pas fait comprendre que tu avais faim ». Je posais mon sabot sur le dessin de la stèle. « Feuille d'érable, ma belle. Je sais que je ne pouvais t’aider à te nourrir. Mais pourquoi ne m’avoir rien fait comprendre ?»

Je me mis à sourire et regardais la petite créature qui venait de poser son sabot sur mon flanc. Je la regardais et lui souriais. Je surveillais les mouvements de ses lèvres. « Papa, on va bientôt revoir tantine ? » Je posais mon sabot sur sa crête de couleur Noire et blanc, ses yeux sont ceux de sa mère.

À ma caresse elle laissait passer un petit sifflement. « Oui, elle va venir pour ce soir. » Ses frères et sœurs viennent prés de moi, Et me montent dessus.

Ils regardent la stèle. « Maman on t'aime. ». Je leur offre quelques caresses, ce qui a tendance à faire vibrer leurs ailes d'insectes.

« Mes petit changzébre, allez, on va aller cueillir quelques champignons » Mes 5 enfants se mettent à sauter sur leurs petites pattes, ils commencent à ce déplacer vers la foret. Je me retourne vers la stèle où une feuille d'érable est dessinée. « Mon cœur, je te dis à demain, à la même heure. »

Je regarde mon flanc, un cœur fendu par le haut où 3 vagues s’élèvent de couleur verte. Je sais à quoi je suis destiné maintenant. Offrir de l'amour à mes petits, les protéger. Ils doivent apprendre à récolter des sentiments sans se faire découvrir des poneys. Chrysalis leur apprend et bientôt, ils seront comme leur mère capable de tromper un poney ou un zèbre et de tomber amoureux de leur proie.



FIN.

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La Furry
La Furry : #37121
MoonSinger04 avril 2016 - #37114
Oh c'est trop mignon ! J'ai vraiment adoré et j'ai pris du plaisir à lire cette fanfiction.
merci. Ça me fait plasire que ça t'a plu
Il y a 2 ans · Répondre
MoonSinger
MoonSinger : #37114
Oh c'est trop mignon ! J'ai vraiment adoré et j'ai pris du plaisir à lire cette fanfiction.
Il y a 2 ans · Répondre
La Furry
La Furry : #28145
cedricc66620 septembre 2015 - #28143
Salut La Furry. De mon coté j'avais très bien compris ou tu voulais en venir. Les indices sont assez nombreux pour qui veux les voir. Elle est classique mais mignonne et un brin mélancolique dans l'ensemble cette histoire. J'ai bien apprécié.

PS: Je n'aurais rien contre avoir le point de vue de madame la changelin. Prochaine histoire, l'évolution des changzebres? ^^
merci. Oui je pense que je pourrais faire de chapitres supplémentaires. Un seras sûrement triste vie que sa sera le point de vue de la changeline. Quand au dernier avec les petits sera plus aventure avec en prime la chrychry qui fera quelque apparition pour les pits changzebres
Il y a 2 ans · Répondre
cedricc666
cedricc666 : #28143
Salut La Furry. De mon coté j'avais très bien compris ou tu voulais en venir. Les indices sont assez nombreux pour qui veux les voir. Elle est classique mais mignonne et un brin mélancolique dans l'ensemble cette histoire. J'ai bien apprécié.

PS: Je n'aurais rien contre avoir le point de vue de madame la changelin. Prochaine histoire, l'évolution des changzebres? ^^
Il y a 2 ans · Répondre
La Furry
La Furry : #28135
Especiel19 septembre 2015 - #28131
Je... je.. WHAAAAT oO j'ai completement perdu le fil là Oo, jai comprit qu'Erable etait morte, mais la raison jai pas comprit, j'ai pas comprit qui etais le zebre ou alors pk a la fin les gosses sont des Changzebre ou encore pk elle disparaissait la nuit Oo Je suis completement perdu Oo
Sinon j'ai adorer l'histoire :D meme si je la trouve trop triste :'(
comment est possible de par comprendre ??? Le zèbre est Bafode, est lui qui raconte l'histoire, sont histoire. Érable est morte, elle était une changeline. Et vue qu'elle était tombé amoureuse du zèbre, elle ne lui voiler aucun mal. Donc elle sortait les nuits pour ce nourrire et aussi les petits qu'elle avait en elle car lui elle était enceinte du zèbre. Mais un soir avec leur dispute elle est réprouvé face à un poney. Ce poney était un garde qui l'a attaqué et c'est pour sa qu'elle est morte. Voilà un brin d'explication. Vais devoirs faire un autre chapitre pour expliquer la version de la changeline?
Il y a 2 ans · Répondre
Especiel
Especiel : #28131
Je... je.. WHAAAAT oO j'ai completement perdu le fil là Oo, jai comprit qu'Erable etait morte, mais la raison jai pas comprit, j'ai pas comprit qui etais le zebre ou alors pk a la fin les gosses sont des Changzebre ou encore pk elle disparaissait la nuit Oo Je suis completement perdu Oo
Sinon j'ai adorer l'histoire :D meme si je la trouve trop triste :'(
Il y a 2 ans · Répondre

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