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Dubstep Dishwasher

Une fiction écrite par Toropicana.

Dubstep Dishwasher

Elle dort paisiblement dans son lit, la nuit est silencieuse et rien ne peut l’interrompre. Il n’y a pas un seul bruit dans le centre de Ponyville. Octavia respire avec une régularité aussi parfaite qu’un métronome au rythme le plus calme. Si cette nuit semble si paisible, pourquoi porte-t-elle des bouchons à chaque oreille ?


Ce n’est pas un lit à deux places pour rien, car une autre ponette dort à ses côtés avec laquelle elle s’est liée d’amitié, malgré leurs styles bien différents propre à elles-mêmes qu’elles exposent tels des caricatures. Une union paradoxale : de la douce musique classique portée uniquement par le son des cordes frottant les unes contres les autres pour émettre des notes dont la dextérité des mouvements est l’unique secret ; avec la régente de la musique artificielle portée par des ondes créées de toutes pièces à l’aide d’instruments pixelisés et générées par des logiciels à l’utilisation simple une fois comprise. Vinyl Scratch ronfle aussi puissamment que les infra-basses de ses enceintes, irrégulièrement comme le rythme de ses musiques chaotiques. Cette cacophonie nocturne oblige donc Octavia à se protéger les oreilles car sans ses bouchons impossible de dormir, elle s’est fait une raison malgré les exigences presque indéniables qu’elle demande quelquefois, toutes droit venues d’une éducation Manehattanienne.


C’est alors que le soleil se lève... subitement, trop vite pour que cela soit naturel puisque celui-ci a déjà atteint le zénith en un instant. Les rayons violents du soleil forcent Octavia à ouvrir les yeux doucement, et c’est avec étonnement qu’elle constate qu’il fait jour... déjà.


“Vinyl... réveille toi !” chuchote-t-elle doucement en donnant un léger coup de patte à son amie, tout en retirant ses bouchons.


“Mmh... boucle la ! Et éteins la lumière, il est pas l’heure punaise !” râle Vinyl en enfonçant la tête aussi profondément que possible dans son oreiller.


“L’heure je ne sais pas... mais il fait jour.”


“Quoi !?” s’exclame-t-elle du lit en regardant la fenêtre.


Elle tombe maladroitement sur le côté, s'emmêle dans ses draps, parvient à s’en défaire et se met à galoper précipitamment dans les escaliers. Quant à Octavia, elle est encore sur le lit, allongée sur le flanc droit, à émerger du sommeil. Elle jette un oeil à son réveil, qui indique 3H23.


Afin de se protéger de la fraîcheur matinale, même si dans le cas présent ce n’est plus vraiment le matin pour elle, Octavia a l’habitude d’enfiler un peignoir blanc. Contrairement à son amie, elle descend les escaliers en douceur pour arriver directement dans la cuisine, observant Vinyl dévorer son petit-déjeuner à une vitesse ahurissante.


“Il va rester du café ?” demande Octavia encore mal réveillée.


“Mmh ‘e chais ‘as, répond Vinyl la bouche pleine des crêpes qu’elle a gobées à s’en étouffer.


Une fois le tout avalé, elle se jette sans attendre dans la salle de bain avec un air affolé, tout cela sous le regard d’Octavia essayant de comprendre la cause de cette panique matinale.


“Puis-je savoir la raison de ce remue-ménage ?”


“Pourquoi cet abruti de réveil n’a pas sonné ? T’as oublié de le mettre ?” crie la licorne blanche depuis la salle de bain sous le bruit de l’eau qui coule.


“Je ne crois pas, mais de toute manière le réveil est bloqué sur 3H23, je crois qu’il n’a juste plus de pile” conclut Octavia de façon naturelle.


“Bordel ! Et il a fallu que ce soit ce matin !”


“Et pourquoi “ce matin” ?”


“La maison de disques m’a demandé de composer un nouveau morceau pour cet après-midi, et c’est à peine si j’ai commencé hier. Je vais les avoir sur le dos si je ne le finis pas tout de suite !”


Voilà donc la cause de cet affolement. Alors qu’elle n’a pas fini de sécher sa crinière aux multiples couleurs bleues, Vinyl remonte à l’étage pour la pièce voisine de la chambre : la salle de musique. Pendant ce temps, alors que l’on peut déjà entendre les basses frapper le plafond, Octavia boit sa tasse de café calmement tout en essayant d’oublier ce “bruit” qu’elle doit subir. Après cela, elle pénètre dans la salle de bain afin de se donner un brin de toilette à son tour, mais difficile de le faire quand une jument en retard y est passée. Il y a de l’eau partout, la brosse à dent est enfoncée dans le lavabo et celui-ci est donc bouché. Heureusement pour Octavia, un simple coup de brosse sur la crinière et la queue, sans oublier son ruban à son cou pour compléter sa robe grise, suffit à finir sa toilette. A son tour, elle monte les marches des escaliers en direction de la pièce où Vinyl prépare son nouveau morceau de “marteau piqueur”. Elle ouvre la porte et constate que la musique s’est arrêtée.


“Hé pourquoi tu viens ici ? Je bosse j’te signale !”


“Moi aussi je dois composer une nouvelle partition... ah pardon.. .tu ne sais pas ce que c’est” la charrie-t-elle en même temps qu’elle prend une feuille de papier avec sa bouche pour la poser sur une tablette verticale tenue par un trépied.


“Tu t’fiches de moi ? Je suis à la bourre ! Ce serait pas possible d’attendre que je finisse ?”


“Je suis en retard aussi.”


“Bah tiens donc ! Tu m’as l’air d’être super en retard pour quelqu’un qui prend tout son temps !”


“Contrairement à certaines, moi je garde mon self-control. Rien ne t’empêche de composer avec ton casque il me semble...”


“Ouais mais nan ! Je préfère créer avec le son à l’état brut, pourquoi tu branches pas un casque sur ton gros machin ?”


La réplique oblige Octavia à montrer une expression blasée à son amie. Entendre des absurdités pareilles aurait fait tomber par terre n’importe quel violoniste ou autre joueur d’instrument à corde sèche. Vinyl met du temps à réaliser le sens de sa phrase, et c’est avec une avalanche de ronchonnements qu’elle branche un casque MonsterMare by Dr. Hooves afin de travailler sans déranger sa colocataire.


Comme à son habitude, Octavia commence par accorder chacune de ses cordes avant de commencer à composer, son oreille est si fine qu’elle n’a pas besoin de diapason. Elle pince la corde la plus épaisse qui émet un son aigu... trop aigu. Elle veut alors la détendre mais ce n’est pas possible car sinon la corde serait si molle qu’elle ne pourrait plus émettre une seule note. D’après l’expression de son visage ceci semble étrange, elle passe alors à la corde la plus fine et la pince, le son est très grave... beaucoup trop. Par réflexe, elle la tend, mais à sa grande surprise la corde se casse. Tout est à refaire, alors c’est avec un long soupir qu’elle part prendre une nouvelle corde dans la grosse valise. S’il y a bien une chose qu’elle déteste faire c’est de remettre une corde à son instrument, de plus elle est en retard donc cela tombe très mal. Son pelage devient terne, enlevant le teint légèrement beige qu’elle portait.


Pendant ce temps, Vinyl cherche une multitude de sons, percussions et autres fréquences sonores à mettre sur son HoovePad, allume ensuite ses deux platines afin de jouer avec le son à sa guise. C’est alors que la magie commence.


Elle n’a même pas besoin de regarder ce qu’elle fait pour jouer la musique en utilisant la magie de sa corne, simplement un rapide coup d’œil pour de temps en temps changer la bande sonore et en joindre une autre. En même temps qu’elle joue, Vinyl regarde ce qu’Octavia fabrique. La ponette grise essaie difficilement de mettre une corde, tout en râlant à tout va. La ponette DJ ne peut pas s’empêcher de sourire et même plisser les yeux à travers ses lunettes violettes tintées à force de voir son amie s’énerver. C’est rare mais très distrayant pour elle. Mais Octavia se met ensuite à crier très fort, si bien que son hurlement est perceptible à travers le casque de la DJ, elle fait même valdinguer son violoncelle...


Il y a un problème.


Jamais Octavia ne ferait subir un tel châtiment à son instrument. Même si c’est en quelque sorte le rêve de Vinyl de voir ce violoncelle finir broyé, voir son amie se comporter ainsi l’oblige à intervenir.


“Hey Octavia calme toi ! C’est quoi le souci ?” dit-t-elle en s’approchant.


Mais elle oublie de poser son casque qui était autour de son cou. Il se débranche et laisse donc une furieuse musique électronique retentir dans toute la maison. Elles ne se sont pas rendues compte que la nuit est tombée.


“Raah ce machin me saoule ! J’en ai marre de devoir jouer de cette grosse guitare ! Je fais ce que je veux !” hurle la violoncelliste tout en arrachant son ruban, son teint de robe devenant encore plus pâle.


Elle est méconnaissable, ce n’est plus l’Octavia d’habitude très calme quoi qu’il arrive mais une Octavia furieuse, si bien que Vinyl hésite à l’approcher.


“Écoute... je... je suis désolée si je suis trop brutale avec toi, j’y peux rien je suis comme ça... On peut en parler si tu veux...”


“Toi la ferme ! Je me casse de cette baraque !”


“Non attends ! Excuse moi ! ... Octavia !” appelle Vinyl avec désespoir.


Elle comprend vite que son amie fait une crise de nerfs. Elle se sent en partie responsable car on ne peut pas dire que Vinyl soit souvent très tendre avec Octavia. Mais c’est son amie, et la contrarier c’est comme s’infliger la même sentence.


Octavia sort de la pièce en trombe, mais avant que Vinyl ne tente de la rejoindre, quelqu’un la coupe dans son élan.


“Non mais ça va pas la tête ou quoi !? Arrêtez ce bruit où ça va barder sévère pour vos fesses !” crie un vieux poney de la maison voisine, on peut l’entendre rouspéter par la fenêtre ouverte.


La ponette blanche se retourne lentement, révélant un regard tueur. Pendant que son pelage commence à tourner lui aussi au gris, elle retourne à ses platines et monte le son par provocation. Le vieux poney à la robe beige ne s’arrête pas là.


“Alors c’est comme ça ? Très bien ! J’irai dire deux mots à madame le maire après vous avoir botté l’arrière-train, vous allez voir !”


S’il y a bien une chose que Vinyl hait par dessus tout, c’est que l’on considère ses créations comme du bruit. Dans un mouvement de pure fureur, elle tourne ses platines vers la droite en direction de la maison du vieux poney. Elle appuie sur un bouton rouge avec étiqueté en dessous “WARNING DEATH POWERFULL BASSBOOSTER”. Une onde de choc surpuissante surgit des enceintes, si violente que le mur qui porte la fenêtre s'effondre, mais l’onde continue de s’étendre. Même les dix mètres qui séparent la maison des ponettes de celle du voisin ne suffisent pas à estomper la déferlante des basses, qui va jusqu’à toucher la maison et la faire tomber dans un nuage de poussière. Le vieux poney en sort mais titube sous le son anarchique.


Le jour se lève de nouveau mais Vinyl est si absorbée par l’envie de repousser les limites de la musique dubstep qu’elle ne voit rien. Avec le jour, on peut apercevoir la grande place depuis la maison, il est même possible de voir qu’un draconequus est assis sur un trône.

 

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Blackhoof
Blackhoof : #22918
@Toropicana -> Un peu tard pour parler de bêta-lecture ! Mais bref, essaye juste de bosser ta ponctuation et tes champs sémantiques et ça sera super.

Et ravi d'aider un collègue.
Il y a 3 ans · Répondre
Toropicana
Toropicana : #22911
@Blachoof sympa la beta lecture. Bon par contre je ne toucherai pas au texte car, comme précisé dans le résumé, j'ai écris ce texte pour un challenge (et pas un challenge d'une semaine mais de 4h...).

J'ai envie de montrer au gens ce que j'ai été capable de faire dans ce laps de temps tu vois ? Mais merci quand même, sur un autre texte j'aurai probablement prit mes erreurs en compte pour changer le texte.
Il y a 3 ans · Répondre
Blackhoof
Blackhoof : #22907
« Il n’y a pas un seul bruit dans le centre de Ponyville. » -> J’avoue que cette phrase me laisse mitigé. D’un côté je trouve qu’indiquer qu’on est au milieu du village est très optionnel car qu’on soit au centre-ville ou en-dehors, ce qui compte est d’être chez Octavia. Et puis aussi, tu dis clairement « au centre », du coup, on peut s’imaginer que les alentours de Ponyville sont bruyants. Mais d’un autre côté, ça permet de préciser les lieux et donc le contexte. Arf, je suis perplexe.

« Octavia respire avec une régularité aussi parfaite qu’un métronome au rythme le plus calme. » -> Yeaaah, nice… T’as calé « Octavia » et « métronome » dans la même phrase par le biais d’une métaphore, c’est tout bête, mais c’est le genre de petit détail que j’affectionne. Seul hic, indiquer qu’elle respire comme « un métronome au rythme le plus calme » est un peu trop selon moi. Grâce au début du texte, on sait déjà que l’ambiance est paisible et de plus, ça rallonge beaucoup ta phrase ; du coup j’ai l’impression que t’as pas mal étendu pour rien la phrase.

« Si cette nuit semble si paisible, pourquoi porte-t-elle des bouchons à chaque oreille ? » -> Là, tu piques ma curiosité… Cette phrase est vraiment accrocheuse, un bon point donc.

« Ce n’est pas un lit à deux places pour rien, car une autre ponette dort à ses côtés avec laquelle elle s’est liée d’amitié, malgré leurs styles bien différents propre à elles-mêmes qu’elles exposent tels des caricatures. » -> J’aurai plutôt séparé cette phrase en deux afin de l’alléger un peu, je me suis senti un peu perdu en la lisant et j’ai dû la relire pour comprendre.

« Ce n’est pas un lit à deux places pour rien, car une autre ponette dort à ses côtés. Et malgré leurs styles bien différents propres à elles-mêmes, les deux juments s’étaient liées d’amitié, tout en continuant à exposer leur genre telles des caricatures. »


« Une union paradoxale : de la douce musique classique portée uniquement par le son des cordes frottant les unes contres les autres pour émettre des notes dont la dextérité des mouvements est l’unique secret ; avec la régente de la musique artificielle portée par des ondes créées de toutes pièces à l’aide d’instruments pixelisés et générées par des logiciels à l’utilisation simple une fois comprise. » -> Il y a de l’idée, mais tl;dr. J’ai lu en diagonale.

« Vinyl Scratch ronfle aussi puissamment que les infra-basses de ses enceintes, irrégulièrement comme le rythme de ses musiques chaotiques. » -> Je trouve que le terme « infra-basses » rend super bien. Mais par contre, je n’aime pas trop l’adjectif « chaotiques » pour désigner la musique artificielle, je vois ce que tu veux dire, mais… je sais pas, ça passe pas pour moi. M’enfin, c’est subjectif.

« Cette cacophonie nocturne oblige donc Octavia à se protéger les oreilles car sans ses bouchons impossible de dormir, elle s’est fait une raison malgré les exigences presque indéniables qu’elle demande quelquefois, toutes droit venues d’une éducation Manehattanienne. » -> Il y avait largement moyen de rendre tout ceci plus compréhensible avec un simple point et une virgule :

« Cette cacophonie nocturne oblige donc Octavia à se protéger les oreilles car sans ses bouchons, impossible de dormir. Elle s’est fait une raison malgré les exigences presque indéniables qu’elle demande quelquefois, toutes droit venues d’une éducation Manehattanienne. »


« C’est alors que le soleil se lève... subitement, trop vite pour que cela soit naturel puisque celui-ci a déjà atteint le zénith en un instant. Les rayons violents du soleil forcent Octavia… » -> Répétition du mot « soleil », il y a facilement moyen de régler ça.

« Vinyl... réveille toi ! » -> Lorsque le verbe échange sa place avec son pronom, il y a un tiret entre les deux.

« Mmh... boucle la ! » -> Même remarque.

« Pendant ce temps, alors que l’on peut déjà entendre les basses frapper le plafond, Octavia boit sa tasse de café calmement tout en essayant d’oublier ce “bruit” qu’elle doit subir. » -> Le terme « musique » aurait sûrement mieux collé à la situation.

« …la charrie-t-elle en même temps qu’elle prend une feuille de papier avec sa bouche pour la poser sur une tablette verticale tenue par un trépied. » -> Une virgule aurait sûrement été la bienvenue.

« Ouais mais nan ! Je préfère créer avec le son à l’état brut, pourquoi tu branches pas un casque sur ton gros machin ? » -> Réplique fun, introduire de l’humour dans une ambiance tendue fait souffler le lecteur. Bonne idée donc..

{« calme toi » -> Verbe pronom inversés, etc.


« J’en ai marre de devoir jouer de cette grosse guitare ! » -> My Luna…Ah ouais, elle doit vraiment être énervée pour insulter un violoncelle de « grosse guitare »…

« Excuse moi ! » -> ykwim.

« Mais c’est son amie, et la contrarier c’est comme s’infliger la même sentence. » -> J’aurais plutôt placé la virgule après « contrarier ».
{« WARNING DEATH POWERFULL BASSBOOSTER » -> WTFFFF cette appellation de la mort of motherfuckin’ doom xDDD


« il est même possible de voir qu’un draconequus est assis sur un trône. » Oh well, à la fois prévisible et inattendu… Bien joué.

Mes impressions générales ?

Fais juste gaffe à la répartition et au choix des mots dans ton texte. Mais sinon, c’est court, ça se lit tout seul, il y a de l’humour et excepté quelques fautes de ponctuation/découpage, c’est du bon boulot.

Dans ce texte, je sens bien qu’il y a une certaine maitrise de l’écriture de ton côté, alors même si ce n’est pas parfait je t’encourage à continuer d’écrire pour t’améliorer.

Je vais suivre tes éventuelles parutions de OS courts avec attention.

Et puis tiens, ça me donne même envie de lire une autre fiction made by Toropicana, tiens…
Il y a 3 ans · Répondre
CompteSupprimé
CompteSupprimé : #11483
Une très bonne fic, on suit bien le quotidien et on sent bien la présence de notre méchant préféré avant même qu'il pointe le bout de son museau. Très agréable, on ressent bien tout ce qui se passe sans que ça ne soit trop surchargé. Un délice qu'il me fait plaisir de découvrir, bien que tardivement.
Il y a 3 ans · Répondre
Ashe23
Ashe23 : #4192
Ca m'a bien fait marrer. Surtout le passage où Vinyl pète un plomb et où elle démolit des baraques avec sa musique ^^
Il y a 4 ans · Répondre
La Furry
La Furry : #2464
très bien mais j'ai l'intréssion qui manque la fin de histoire. dsl
Il y a 4 ans · Répondre
Joheskiller
Joheskiller : #1191
Très bonne Fan-Fiction ! Juste une petite reproche si je peut me permettre, la fin est un peut rapide, "crue" je trouve, sinon, l'histoire est intéressante, ont y prend vite gout !
Il y a 4 ans · Répondre

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