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La Tirek Inc

Une fiction écrite par REX.

La T.I

Chapitre 1:

La T.I (Tirek Incorporation)

L'immense tour de verre me faisait face: grande, impressionnante et surtout répugnante quand on était l'un rares à connaitre son secret. "The Tirek incorporation" aussi appelé "T.I" était le siège de LA plus grande entreprise industrielle du monde. Spécialisé dans la construction d'arme en tout genre ainsi qu'en science de l'ingénieure, cette tour abritait les plus grandes inventions de T.I. Mais je n'étais pas là pour visiter aujourd'hui.... bien au contraire.

Je sors les mains de mes poches de jeans, et commence enfin à avancé vers l'entrée du palais de verre. Alors que j'arrive à quelques mètres de la "gueule du loup", j'entends mon oreillette radio grésillé:

-Rappel toi Riley, tu entres, et tu fous le bordel. On se charge de reste. m'ordonna une voie masculine

-Je sais, et surtout "Ne viens pas vers nous sinon tu vas tout faire planté". répondis-je exacerber par Rex le chef cette opération et donc le mien, Vous êtes déjà dans leur labo ? demandai-je

-Presque... si Paul n'avait pas oublier la scie à laser et les deux 44. magnum dans le vanne on y serait déjà ! grogna-t-il

J'émis un petit rire, et arrêta ma course avant de faire semblant de refaire mon lacet. Pourquoi je faisais ça ? Parce que les deux hommes qui servaient de chien de garde me fixai telle un bon steak, et qu'un homme qui parlait tout seul était comme si je marchais avec la pancarte: "Homme louche à ne pas laisser entrer".

-Bonne chance... terminai-je en me relevant

-On dit "merde" plutôt. ricana Rex

Je continuai donc mon chemin vers l'entrée de la tour de verre, où les deux hommes qui me faisaient pensé à des agents secrets me fixaient du regard.

Malgré la situation paradoxale, j'étais habituer au "opération" de grande envergure, étant un mercenaire, je me fourrai dans des situations pas possible tout les jours en compagnie de mes deux autres camarades: Rex, et Paul. J'étais tomber d'ailleurs très jeune dans la face obscur du monde actuelle, à mes 14 ans, j'avais décrocher des études, et j'avais fuguer. J'étais atterrie dans un des quartiers "chaud" de ma ville, et j'y avais rencontrer Rex qui avait un ans de plus que moi, et dont les parents l'avaient abandonné. On avait survie ensemble en volant des maisons privée et des magasins, mais après trois ans, on s'était décidé à passer au "niveau" supérieur, et on se mit en tête de fonder une équipe de mercenaire. Après tout, il faut savoir s'adapter pour survivre ? Rex était devenu le meneur, et on avait recruté Paul lors d'un travail pour un chef de gang.

À 18 ans, j'avais eu une vie plus que mouvementer....

Je serrai mon pistolet Smith et Wesson qui se trouvait dans mon holster de poitrine, puis respirai un grand coup. J'étais à deux mètres de l'entrée, quand les deux molosses s'avancèrent vers moi.

-Votre carte d'identité s'il vous plait. demanda l'un des hommes que je décidai de surnommer "Bouledogue" à cause de sa tête ronde

Son copain que je surnommai "Patibulaire" à cause de ces muscles aussi gonflé qu'un ballon de football, se mit sur ma droite et mit sa main dans son beau costard cravate pour surement poser ces doigts sur la crosse de son arme.

"Ouhla ! y s'y vont pas mollo !" m'affolai-je. Heureusement, notre employeur avait tout prévu, et je sortis donc une fausse carte d'identité. Je l'a plaquai devant le nez de Bouledogue qui l'a pris et l'examina sous toute les coutures. Il fit pendant trente secondes un aller retour entre mon visage et ma fausse carte. "He ben, ils ne prennent pas les plus futé au service de sécurité..." ironisai-je.

-Mhhh.... vous avez la carte de laisser passer ? continua l'homme

Bien sûr que je l'avais ! Je sortais un papier plié en quatre de ma poche et le donnai également. Le bouledogue le prit et comme je m'y attendais me posa des questions sur ma venu:

-Monsieur David Delaney... vous venez pour un entretien d'embauche.

J'hochai la tête avec un sourire des plus innocent.

-Mhhh.... (décidément, arriverait-il à dire plus de deux phrase en même temps ?) pouvez passer.

Je le remerciai et entrai dans l'immeuble. Une fois à l'intérieur, j'entendis une nouvelle fois mon oreillette bourdonner:

-Bien jouer mec. Il te reste plus qu'a te mettre à dos tout les agents de sécurité de cette immeuble ! ricana Rex qui pouvait voir ma position exact grâce à une puce électronique, Bon et n'oublie pas, après mon signal, tu auras cinq minutes pour rappliquer à l'endroit prévu. Passer ce délai on te laisse sur place.

Aussi bizarre que ça puisse paraitre, je ne m'étonnais pas de cette mesure.... "radicale" car j'y avait été confronté à plusieurs reprise. Après tout, la survie de groupe primai sur l'individu. Au pire j'écoperai d'une faible condamnation et mon employeurs pourrait me faire sortir de l'enfer judiciaire en un rien de temps.

Je pris la direction de l'ascenseur et m'y engouffrai en toute hâte. Prochaine étape, l'étage où se trouvait les postes de sécurité (soit le 25ieme). Pendant la monté, je sifflotai sur la petite musique d'attente de tout les ascenseurs, avant de me remémorer l'objectif principale de cette mission: "Trouver une fille d'un lycée des environs qui à été kidnapper par l'entreprise, la libérée, la ramener à l'employeur, et ne pas poser de question."

Comment elle s'appelait déjà ? Fluttershy ? Ouaih c'était ça, elle s'appelait Fluttershy, et de ce que je savais sur elle, elle possédait une sorte d'énergie magique ou un truc du genre. Quand j'avais posé cette question à Rex, il avait dit que l'employeur nous payer pour exécuter et non pas pour réfléchir à sa place. Ah Rex... tellement accrocher aux règlements ! D'ailleurs, je ne savais même pas le nom de celui pour qui je travaillais.... mais comme je me le disais souvent: "Pas besoin de connaitre le nom d'une personne qui te file du fric."

La porte de l'ascenseur s'ouvrit sur le 25ieme étages dans un "gling" , et je sortis de la cage métallique avant de me diriger vers les salles de vidéos surveillance.

Ça pouvait paraitre de l'improvisation mais tout était parfaitement calculé, et chacun avait sa place dans ce plan: moi faire diversion, eux faire sortir la fille et prendre la poudre d'escampette. D'ailleurs, rien que le fait de savoir l'endroit de la salle de sécurité était un miracle, quand on savait qu'ils la changeaient de place quasiment tout le temps et dans la plus grande discrétion.

Sur ma gauche, je pouvais voir toute la ville, l'immeuble surplombait la plupart des habitations, et je pouvais sans mal discerner l'horizon. Je jetais un œil vers l'immeuble d'en face: dix étages pas plus. Peut-être une solution de sortie si j'arrivai à sauter sur son toit... (moi une tête brûler ? Non pas du tout !)

J'arrivai devant une porte blindée avec un code. Je me plaçai devant et sortis un petit boitier mécanique. Je pris un des files du boitier et le connecta aux boitier de sécurité. Je vis défiler des milliers de combinaison sur le petit écran, quand enfin une s'afficha correctement. D'un sourire triomphant, je rangeai mon boitier et tapai le code: 12-52-59-@-123. La porte se déverrouilla avec un "BIIP" bien audible qui me fis sursauter.Je m'empressai de refermer la lourde porte derrière moi, et m'engouffrai dans un couloir tout blanc et sans fenêtre ni porte (amis de la claustrophobie BONJOUR !).

Arriver au bout, une seconde porte sans système de défense cette fois-ci se dressa devant moi. "Bon c'est le moment des choses sérieuses...."

-On attend ton top... fit Rex

Cette phrase me fit sursauter, et je respirai un bon coup avant de dégainer mon arme et de poser la main sur la poignée de la porte. Je chargeai mon arme et tout en retenant mon souffle entra.

Dès que la porte fut ouverte, je criai tout en visant:

-Plus personne ne bouge ! Où je rends vos enfants orphelins de père ! (je sais j'ai l'âme d'un acteur de théâtre)

La pièce était comme dans les films: sombre, des dizaines d'écrans accrocher au mur, et enfin une dizaine d'hommes avec des micros et des boutons d'alarmes à porter de main. Je fis un tour de salle avec mon revolver et pris le premier type que je vis en otage.

-Pas d'entourloupe où vous perdrez un copain ! m'exclamai-je

La tension était à son comble, et je savais que la seule raison pour laquelle j'avais la situation en main était parce que les agents de sécurités étaient état de choc, mais malheureusement ce n'était que temporaire....

-Éteignez moi le système de vidéo surveillance ainsi que celui de communication ! ordonnai-je tout en me déplaçant avec l'arme sur le crâne de mon otage.

Vu que personne ne répondaient, je m'adressai à mon otage.

-C'est toi le chef ? Hein ? Peu importe, tu veux revoir ta famille ?

L'homme hocha la tête frénétiquement.

-Bien dans ce cas, fait sauter le système de sécurité !

-On... ne peut pas... c'est relié à un câble d'alimentation spéciale.... Si... si on le débranche, une alarme se déclenche automatiquement ! bredouilla-t-il

Justement, c'était le but d'une diversion...

-Est-ce que je t'ai demander si je voulais être discret ? demandai-je

Je relâchai l'homme qui avec des gestes saccadés tapota un code sur son ordinateur. Dès qu'il eut appuyer sur la touche "ENTER", une lumière rouge vint éclairer la salle, et tout les écrans s'éteignirent en même temps. Une sirène stridente se mit en route, et je dus me boucher les oreilles tellement le volume était élever. Il s'en suivit un message sonore: "Système d'alarmes hors-service, tous l'immeuble est prié d'évacuer."

PAR-FAIT

-Bien jouer ! On y est déjà, tu as dix minutes devant toi ! Fait pas le con ! m'ordonna Rex dans mon oreillette

Je tirai alors une rafale de trois coups vers le mur, et ordonnai aux hommes de la salle de se mettre à terre, puis je détalai de la pièce (niveaux lâcheté, personne ne fais mieux que moi)

*****

Huit minutes... voilà huit minutes que je courais comme un forcené dans les couloirs de l'immeuble de T.I, avec une quinzaine d'hommes à mes trousses. J'avais beau avoir 18 ans, j'étais quand même complètement épuisé. Il me restait que deux minutes pour rejoindre l'endroit prévu, et malheureusement, je savais que ce n'était pas suffisant...

-Riley magne toi le train ! La fille est dans le vanne on attend plus que toi ! Me dis pas que tu vas voler au paradis aujourd'hui ? hurla Rex dans mon oreillette

Je me retournai et envoyé une rafale dans les hommes qui me suivaient. J'en touchai deux qui tombèrent à terre. Grave erreur.... comme réponse, les agents de sécurités sortir leur fusils-mitrailleurs et m'aspergèrent de leurs balles. Je ne dus mon salut à un coin de couloir dans lequel je m'engouffrai la peur au ventre.

Mon cerveaux fulminai pour essayer de me sortir de là dans le temps imparti, mais c'était compliqué. Tirek incorporation n'était pas une entreprise d'armement et de sécurité pour rien... Soudain alors que mon regard croisa un immeuble à quelques mètres du mien, j'eu une idée: je n'allais pas voler vers le paradis, mais plutôt sauté vers la liberté... ou la mort. Je préférai largement la première option. Je me mis alors à évaluer la distance d'écart entre ma porte de sortie et ma prison de verre tout en tournant le plus possible pour éviter les tires de fusils mitrailleurs qui arrachaient le papier peint et projetaient du plâtre partout.

J'étais bien trop haut pour sauter, il fallait donc que je descende de plusieurs étages. Aussitôt dit, aussitôt fait, je dévalais cinq par cinq les marches d'escaliers en priant pour que mes poursuivants ne soient pas bon tireur. Arriver aux 15ieme étage, je me décidai à sauter par la première fenêtre. Enfin j'étais plutôt obliger. Mais comme tout n'est jamais simple, la seule vitre que je pouvais voir se situait dans un couloir assez long pour permettre aux agents de me tirer comme un lapin... "Merde..." J

e m'y engouffrai et accélérait de plus belle. Ma gorge était en feux, et mes jambes couraient d'elle même, je devais être en hypoglycémie, et je n'avais pas fini de courir ! Je me retournai à quelques mètres de la vitre et vidai le reste de mon chargeur vers l'entrée du couloir obligeant mes poursuivant à se mettre à couvert, puis je me retournai et sautait en boule dans la vitre qui se brisa en morceau.

La musique "I believe i can fly" aurait pu être d'une ironie total...

Par chance (car je ne sais vraiment pas comment j'ai fais), j'atterrissais sur le toit de béton de l'immeuble avec une roulade et les jambes en compotes. Sans prendre le temps de me féliciter de cet exploit, je me relevais et reprenais ma course folle. désormais, mes poumons me faisaient un mal de chien et mes jambes étaient encore sous le choc de l'impact. Pour couronner le tout, j'avais plusieurs morceau de verre plantés dans mes mains...

-Pas mal la ballerine ! Alors on s'improvise cascadeur professionnel maintenant ? gloussa Rex

-Écrase... et viens me chercher... grinçai-je de douleur et de fatigue

Arriver au bords du toit, je sautai dans les escaliers d'urgence en métal qui se trouvaient coller à la façade de l'immeuble sans ralentir ma course. Une fois sur le sol, je me calmai et repris mon souffle en crachant un peu de sang. J'avais vraiment forcé mon organisme aujourd'hui. Mais je n’eus pas le temps de me reposer, car j'entendis un crissement de pneu de voiture dans la rue qui m'avertit que mes "collègues" de travail seraient bientôt là.

Je me mis donc à tituber vers le bord de la route tout en reprenant mon souffle telle un animal. Au loin, je pouvais entendre les sirènes des voitures de police qui approchaient à pleine vitesse de la tour de verre qui n'était qu'a une centaine de mètres de ma position.

Enfin, je vis le vanne noir débouler à pleine vitesse et s'arrêter tout prêt de moi. J'entrai alors à l'intérieur sous les regards étonner des passants. J'étais sauvé...

*****

Elle était là, allongé sur la banquette arrière complètement endormie. Fluttershy avec ces cheveux rose et son visage parfait. Elle était plus fine que je ne l'avais imaginé, mais apparemment elle n'avait pas trop supporter son séjour dans les laboratoire de TCI car elle possédaient quelques égratignures et bleu.

-Arrête de la regarder où tu vas tomber amoureux. déclara Rex qui conduisait avec une cigarette à la bouche

Rex était impressionnant aux premiers abord: 1m95, brun aux yeux bleu et à la carrure d'athlète. Son style était... "mortel". Quand à moi je me débrouillai avec mon mètres quatre-vingt et ma carrure de.... d'ados normal.

Je détournai le regard du visage de la fille, et le reposai sur la route qui défilait devant nous.

-Fumer tue... taquinai-je Rex me toisa, et sourit

-Sauter d'un immeuble aussi.

-Tu l'a échapper belle... fit Paul assis sur le siège gauche arrière, Franchement j'aurai jamais pu faire la même chose...

Je fis un sourire au blondinet aux visage d'enfant. Il n'avait que 17 ans, et il était déjà entrain de se mettre dans des situations pas possible... (bon moi je pouvais pas dire mieux mais bon...), il avait le physique le moins avantageux de nous trois, avec un léger surpoids, les combats à mains nue et les armes n'étaient pas trop son truc. En revanche pour ce qui était de l'informatique et des vols de données... on trouvait pas mieux ! Ce mec était un génie de l'informatique !

-Bah, c'est les risques du métier ! ironisai-je tout en reportant mon regard malgré moi sur la fille endormie

Rex le vit, et grimaça.

-Qu'est-ce que je t'ai dis ? demanda-t-il

-Ouaih je sais, mais... bon sang ! Sa ne te fais ni chaud ni froid de livrer une fille comme ça ? Sans explications ? Sans motifs ? demandai-je de plus en plus curieux sur les objectifs de notre employeur

Le garçon ne répondit pas tout de suite, et laissa quelques minutes de silence. Puis il prit une carte de la région dans la boite à gants et me la donna.

-Cherche cette adresse et ferme là... m'ordonna-t-il en me donnant un bout de papier

Énerver par sa réaction, je continuai:

-Tu me réponds !? Cette fille était dans un laboratoire Rex ! Un LABORATOIRE ! Tu crois pas que c'est déjà un gros détails ça ?

-On a un job ! s'énerva-t-il, On la ramène point barre ! On est pas des justiciers Riley ! On est des mercenaires, alors agit en tant que tel !

Je ne trouvai rien à redire. D'un coter il avait raison, mais de l'autre ma conscience ne l'entendait pas de cette oreille. Braqué des banques, ok. Tuer des criminels pour de l'argent, ok. Voler des informations, ok. Mais enlever une fille d'un laboratoire pour la remettre dans des mains d'inconnus...

Après quelques minutes à chercher l'adresse sur la carte, je demandai finalement:

-C'est quoi le nom de notre employeur ?

-Sais plus... fit le garçon aux volant, Paul ? Le nom de notre boss ?

Le blondinet s'était tût jusqu’à présent, sortit un ordinateur portable et tapota quelques instants avant de répondre:

-Il s'appelle Mark Discord. C'est un... millionnaire qui à des antécédents criminel et qui est l'un des principaux donateurs lors des fêtes organisés par "Canterlot High Shcool". C'est tout ce que j'ai sur lui. répondit-il

J'indiquai alors l'adresse à Rex, puis laissai ma tête reposer contre le dossier de ma chaise.

Discord... drôle de nom. Enfin, dans le cas actuelle, plus rien n'était normal... "Allons donc poser quelques questions à ce DISCORD." pensai-je...

Prologue:

-Vous les avez retrouver ? demanda l'homme en costume noir assis derrière le bureau sombre

Le majordome trembla, et répondis en transpirant:

-N... non malheureusement mais tout les services de police sont à leur recherche ! déclara-t-il, Vous voulez que je prévienne votre tueur à gages personnel pour régler cette affaire ? demanda-t-il

-Évidemment ! Mettez le sur le coup ! Et ramener moi la fille ainsi que les personnes qui m'ont mis des battons dans les roues....

-Hum... et pour les autres filles que nous n'avons pas pu "convaincre". Nous continuons de les espionner ? demanda-t-il

-Oui mais dites au agent de se tenir près, désormais j'ai de quoi mettre mes plans à exécution.

L'imposant homme assis dans le fauteuil se leva et alla regarder la ville. Son bureau se trouvait tout en haut de T.I, et il en était d'ailleurs le patron, le "boss": Tirek Alèce. Il était l'un le plus puissant dans le monde du marché financier ainsi que tout le reste. Mais il avait quand même fallu qu'il se fasse rouler par des ravisseurs de bas niveau... ils lui avaient pris son bien le plus précieux.

Car cette fille n'était pas n'importe qui, elle contenait de la "magie", aussi fou que cela puisse paraitre, cette fille avait des pouvoirs qui dépassaient le naturel et la logique. C'était pourquoi il l'avait examiné sous tout les angles, il lui avait fait passer des centaines de test pour pouvoir voir et exploité ce qu'elle recelait, tel un fruit dont le nectar était à porter de mains. Mais ça n'avais rien donner... qu'importe, il avait trouver un moyen d'absorber ces pouvoirs. Bien sûr ce serait avec des dégâts collatéraux: la mort de la personne bien entendu... mais après cela, il aurait de quoi dominer tout le monde: les politicien, et tout le reste... il pourrait dominé... le MONDE !

Cette phrase le fit ricaner, si bien que le ricanement partit dans un rire sombre et gras. Un rire de dément...

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Note de l'auteur

Voilà voilà ! Première fiction ! Et aussi premier écris en ligne (que de stress !) Surtout pour les fautes d'orthographes ! (Vous m'en excuserez... ?)
J’espère que ça vous plaira, car comme dit le proverbe: "Tant qu'un mot n'a pas été prononcé, tu es son maitre. Mais dès l'instant où tu le prononces, tu deviens son esclave".
Dans mon cas je suis esclave de beaucoup de mot !!!!

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REX
REX : #9024
Pinkie00709 décembre 2014 - #9016
Wooooow
J'aime(7) Commenter(1)

Petite allusion à Facebook... NON NE ME TUEZ PAS!!!!!

Smile,
Sugar Blast
Merci ^^
Il y a 3 ans · Répondre
REX
REX : #9023
peposims5509 décembre 2014 - #9011
J'ADORE! J'ai hâte de lire la suite!^^
Merci beaucoup !!
Il y a 3 ans · Répondre
Pinkie007
Pinkie007 : #9016
Wooooow
J'aime(7) Commenter(1)

Petite allusion à Facebook... NON NE ME TUEZ PAS!!!!!

Smile,
Sugar Blast
Il y a 3 ans · Répondre
peposims55
peposims55 : #9011
J'ADORE! J'ai hâte de lire la suite!^^
Il y a 3 ans · Répondre

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