Prologue : La guerre noire !

[Dans un monde très différent du notre.]

-Laissez-moi vous raconter une légende… Il y a 3000 ans… Equestria n'était pas encore conquit et les deux sœurs n'étaient pas encore nées… Les poneys restaient à l'écart.
Un jour, le ciel devint sombre et le soleil fut hors de vue, une aura sombre absorba l'énergie de toutes les plantes et cultures qui finissaient par mourir. Les poneys terrestres, les pégases et les licornes se disputèrent alors entre eux pour trouver le responsable de tout ça.
Soudain, un tremblement de terre se fit et d'horribles monstres des ombres sortirent des fissures former par le tremblement. L'aura sombre était plus forte qu'avant. Elle supprima alors toutes les forces des poneys. Les monstres les mirent en esclavages pour construire une sorte d'arme, une arme assez puissante pour dominer le monde. Ils l'appelèrent : l'arme ultime.
Les monstres étaient sous les ordres d'un grand tyran surnommé Darkness, un être rempli de ténèbres. Tous les poneys étaient piégés, tous à part le Dr Blade, une licorne qui travaillait sur la haute technologique. Il se mit à l'abri dans son laboratoire avec les poneys qui l'avait sauvé, des sortes de "poneys venus du ciel", selon eux. Blade construit alors des armures et des armes qui pouvaient rivaliser contre leurs ennemis. Une fois prêtes, Blade et les autres suivirent le plan et sauvèrent leurs alliés de l'esclavage, maintenant libres ils se battirent contre l'armée des ténèbres, mais, Darkness était trop puissant et personne ne pouvait le vaincre.
Blade l'attira dans un piège où un portail absorba Darkness et ses sbires dans une autre dimension. Ce passage ce transforma en gigantesque cristal, les poneys l'enfermèrent dans un donjon où personne ne pouvait le trouver. Blade, leur demanda de ne jamais parler de cette histoire, ni de Darkness, ni de l'arme.
Mais pour l'arme ultime des ténèbres, elle avait mystérieusement disparue....
C'est depuis ce moment qu'on appela plus tard cette guerre : la guerre noire. Quant à Darkness, il recherche toujours un moyen de s'échapper de sa prison éternelle, une fois libre il pourra terminer ce qui devrait être terminé, et personne ne pourra l'arrêter…. personne .... sauf un être humain.

[Quelque part dans le monde des humains]

-Zzzz…

Je suis dans mon lit en train de m'endormir, puis une sonnerie me fit sursauter, c'était mon réveil. Je me lève et je l'étain avant de bailler un grand coup.

-Bon sang...

-Hey ! Bien dormit ?!

Je fis un sursaut, encore plus grand que celui de tout à l'heure.

-Carlos...

Il était aussi en pyjama comme moi. Il est là parce que qu'on avait prévus de faire une journée pyjama.

-Désoler vieux, mais je suis plein d'énergie !

-Je vois ça...

-Sa fait aussi du bien de pas avoir Angela à nos pieds !

Un cousin heurte la tète de Carlos.

-Qui a fait ça ?!

Il se tourne et voit Angela qui est elle aussi en pyjama et un peu en furie.

-Angela... Héhé... Depuis quand t'es là ?

Carlos commence à avaler sa salive comme si il aller mourir.

-Content hein ? Attend un peu que je vais te purifier à coût de cousin !

Angela prend un cousin juste devant Carlos et moi j'observe la scène avec un léger rire.

Avant de continuer, je vais vous présentez. Carlos, celui qu'il se fait dominer par Angela, est un très vieux ami d'enfance depuis que je suis en primaire, j'étais seule à cette époque et je me sens comme une victime à cause des élèves qui se croient tout permis. J'étais sans défense, mais, c'est là où il est arrivé, Carlos est venu et ma protéger contre ses costaux. A la fin, il est un peu blesser, mais, il sent fiche tant que je vais bien, c'est là où est devenus ami.

Pour Angela, on s'est rencontrer dans un petit parc près d'un arbre entrain de pleurer pour cause que sa mère est morte. Moi et Carlos l'avons accueilli comme un de la famille et c'est là où elle a rejoint le trio.

Vous connaissez tout et c'est comme ça qu'on ne s'ennuie jamais.

-Aie aie ! Ok j'ai compris, dit Carlos qui ce fait abattue par un cousin.

Je ris en éclat rien de voir ce pauvre Carlos dans cette état.

-Sa t'apprendra de me sous-estimer, dit Angela un peu fière.

-Ok les amis, je crois que sa suffira pour aujourd'hui, dit en calmant un peu le groupe.

-Je suis d'accord, répond Angela. Je me dis Andrew... Ta famille travaille ?

-Travaille ? Non c'est le week-end de grandes vacances... Ils ne travaillent pas pour l'instant.

-Ah ! Parce que ta famille n'est plus dans la maison.

J'étais étonné et je descends vite en bas pour voir et elle a raison, ma famille n'est plus à la maison et mon chien aussi. Sa devient trop étrange.

-Il y même personne dehors, dit Carlos qui regarde par la fenêtre.

D'habitude, la rue est très animé et on entend beaucoup les bruits des voitures depuis l'autoroute, et voilà que tout reste silencieux comme si tout le monde à disparut. Angela allume la télé, mais, aucune image n'apparait et il n'a plus de connexion. Les choses deviennent de plus en plus étranges. Ensuite, quelqu'un sonne à la porte. On ouvre, mais, personne.

-Sa doit être des gosses qui s'amusent à faire des portes à portes, conclus Carlos.

Je regarde à mes pieds et je vois une boîte de carton qui est destiné pour moi. Je le prends, je le regarde et j'entre avec en le posant sur la table à manger.

-Tu es sûre que s'est pas un piège Andrew, ce posse Angela.

-C'est sûre, cette boîte sent le piège en plein nez, dit Carlos méfiant.

-La seule solution de le savoir, c'est de l'ouvrir.

J'ouvre le paquet et je découvre une lettre et une clé. Carlos et Angela ce visse plus la clé, et moi, j'ouvre la lettre et commence à lire.

-« Jeune gens, si vous lissez cette lettre c'est pour vous dire que vous êtes en grand danger et que l'heure est conter. La clé va vous ouvrir une porte que vous devrez absolument rentrer. Il ce trouve près d'une rivière sous un pont.

-Sous un pont ? Sa doit être quelque pat après l'ascenseur à bateau, dit Angela un peu méfiant quand même.

-On n'a pas le choix... Si on doit savoir ce qu'il se passe... On doit suivre ce qu'il est écrit sur la lettre...

Je m'habille avec mes compagnons et on se prépare à sortir sans savoir ce qu'il nous attend.