« Oh merde, oh merde ! Elle arrive ! »
Tu l’entendais arriver alors qu’elle chantonnait une chanson avec sa voix angélique. Ses pas furent lents en brisant délicatement le plancher. Ses petits rires ne disaient rien de bon. Tu te cachais rapidement dans un de ses placards. Quel idiot ! Tu étais tellement paniqué que tu ne savais même plus quoi faire ! Puis se cacher dans la propre maison de la folle, quelle idée ! En même temps, tu as été idiot d’aller voir sa cave secrète en découvrant plein de cadavres … tu avais du mal à les identifier. Ces cadavres appartenaient-ils à ses amies ? Non, tu n’arrivais pas du tout à y croire.
Ce cottage, tu ne l’aimais pas. Il était aussi vide et noir qu’une caverne même si les étoiles éclairaient. Il n’y avait pas ses animaux et Discord. Comme son, il n’y avait que le bruit des criquets et le vent. Aussi, cette baraque sentait à la fois la rosée du printemps mais aussi une odeur de rat mort. C’était une sorte de mélange en fin de compte avec l’innocence et la bestialité. Tout comme la personnalité de cette ponette. Elle avait bien caché son jeu en faisant le petit ange timide. Tu avais honte de toi mais tu ne pouvais plus revenir en arrière.
Soudainement, Fluttershy toqua à la porte avec une voix douce, comme à son habitude. Elle savait que tu étais là-dedans, tu sentis alors le danger monter.
« Mon chéri, pourquoi t’enfuis-tu loin de moi ? Je veux dire, ce n’est pas comme si j'allais te faire quelque chose d’horrible maintenant, n’est-ce pas ? Ehehe … »
Bizarrement, elle resta calme. Peut-être qu’elle ne voulait pas te faire du mal ? Tu préféras alors laisser un silence. Pour le moment, tu devais être comme elle : calme, en cherchant une tactique.
« Hey … Ai-je vraiment dit quelque chose au point que tu trouves cela troublant ? Si c’est vraiment le cas, pourquoi ne prétends-tu pas que tu n’as juste rien entendu, c’est tout simple non ? »
« Oh mon dieu … mais que veut-elle de moi ?! » pensais-tu tout en tremblant. Et puis, comment pouvais-tu oublier cette ambiance malsaine qui se dégageait autour de toi ?! C’était très étouffant. Mais tu devais résister jusqu’à la fin. Tu étais obligé de l’écouter, tant pis. Dans ta tête, ce fut le chaos total. Tu ne savais pas quoi faire, tu ne voulais plus bouger, tu n’avais aucune idée de stratégie pour partir d’ici tellement ta « chérie » te donnait de la pression.
Fluttershy se rapprocha un peu plus vers son armoire, voulant sûrement entendre plus tes respirations saccadées. Une odeur de sang séché transmettait des frissons vers ton museau. Bon sang, il ne manquait plus que ce drôle de parfum à renifler. Tu essayas de boucher tes narines avec tes sabots. La pégase continua alors à te parler.
« Hey, ne t’inquiète pas. Je te promets que je ne dirais rien à personne que je t’aidais. Et puis, je me trouve plutôt bonne à nettoyer maintenant. »
Dans ces phrases, tu ne savais pas de quoi elle parlait. Valait mieux essayer de ne pas comprendre. Il fallait vite que tu trouves une solution. Alors tu bafouillas des mots.
« Uh ? »
Mais tes recherches qui se fabriquaient dans ton cerveau se faisaient interrompre par des rires effrayants de Fluttershy qui te répondait ensuite.
« Mec, qu’est-ce que tu racontes ? Certes je suis un peu maladroite pour le ménage mais je l'avais pourtant bien fait nettement. Je veux dire, elle était déjà la quatrième ponette. »
« Mais qu’est-ce qu’elle raconte ?! Elle a perdu la tête ou quoi ? Et de quelle ponette elle parle ? » jugeas-tu dans ta tête.
Après avoir soupirer, Fluttershy reprit la conversation aussitôt.
« Eh bien la première était … la madame je-sais-tout qui attendait toujours la chance de pouvoir t’inviter dans son château ! Elle m’avait dit que tant que je serais là, je te causerais des problèmes ou quelque chose dans le genre. Elle n’avait pas arrêté d’utiliser toutes ces sortes de magies sur moi, c’était énervant ! »
Ah oui, tu te souvenais de cette alicorne qui voulait toujours essayer de te protéger, te prévenant du danger de Fluttershy même si tu ne la croyais pas. Avant même le temps de réfléchir quoi que ce soit, la pégase continua.
« En tout cas, que tout le monde le veuille ou non… cette jument était vraiment étrange, hein ? Ehehe .. »
Encore un silence. Tu allais pouvoir essayer de comprendre ce que Twilight Sparkle avait voulu t’expliquer. Evidemment, Fluttershy possédait un comportement étrange mais elle ne t’enquiquinait pas vraiment au début ! Non ce n’était pas le moment pour repenser à cela, c’était du passé, tu devais maintenant prendre garde de ta « petite amie ». Et puis à partir de ce silence, tu sentis que quelque chose allait se produire, mais une chose non rassurante … La voix crispée de la pégase prit la parole alors qu’elle reculait petit à petit …
« Elle n’avait vraiment pas réalisé qu’ELLE était la personne qui causait le plus de problèmes … CETTE SALOPE ! »
… avant qu’elle ne fasse tomber tous les objets qui se trouvaient autour d’elle. En entendant ces bruits fracassants, tu résistas à sortir comme un taré. Ce n’était vraiment pas le bon moment alors, tu te raidis en te disant « Oh mon dieu sa mère, je dois VRAIMENT me casser d’ici … »
Fluttershy se rapprochait vers l’armoire après avoir soufflé doucement pour se calmer, reprenant sa douce voix. A chaque fois que tu entendais cette voix, tu avais du mal à t’imaginer que c’était elle la tueuse …
« Donc tu vois … c’est pour cela que je l’ai punis. Comme ça, elle ne pourra plus jamais intervenir entre nous deux. Elle a été envoyé dans un meilleur endroit maintenant … elle pourra lire autant de livres qu’elle voudra sans nous déranger. »
Elle ria cyniquement. Toi tu ne voulais pas rire mais simplement pleurer. Pleurer pour cette pauvre alicorne, tu commençais à te haïr, tu te disais que tu avais été trop gentil avec cette maudite pégase. Tu aurais dû y croire à Twilight Sparkle mais rien. Donc un de ces cadavres appartenait bien à l’alicorne. Fluttershy essaya alors de se souvenir quelle était sa deuxième victime. Tu ne pouvais plus rien dire, il n’y avait juste qu’à écouter à ses sordides histoires. Mais tu continuais toujours à chercher la solution mais cela disposait un problème : sortir de ce placard n'était pas la bonne chose à faire car vu le comportement de la pégase ... Puis soudainement, Fluttershy raconta la suite.
« Ah oui, la ponette rose ennuyeuse ! Elle n’arrêtait pas de dire ‘Joue avec moi !’ et s’en fichait de tes envies ! Elle devenait pénible. » grogna-t-elle en prononçant ses mots.
Tu affirmais mais tu la trouvais fort sympathique cette pâtissière. Tu t’amusais bien avec cette amie. Et puis, il n’y avait pas vraiment de gros problèmes !
« C’est donc pourquoi, un jour, je l’avais emmené dans mon cottage et j’en avais fini avec elle une bonne fois pour toute ! »
Elle parla ainsi avec fierté mais toi, tu en avais vraiment marre d’entendre les morts de ses amies. Tu voulais encore pleurer mais tu t’obstinas à t’interdire. Surtout pas devant cette folle dingue ! C’est alors que Fluttershy soupira machinalement.
« Ugh. Elle avait agi sérieusement comme un disque rayé, tu sais ? Elle fut plutôt insistante, je l’avoue, mais il n’y avait pas de raison pour elle de gagner contre moi, n’est-ce pas ? »
Un deuxième silence. Tu enfouis ta tête au creux de tes genoux, essayant de ne plus écouter de ces mots ignobles. Mais encore une fois tu sentis un mauvais pressentiment, tu te préparais à ne pas sursauter. Tu pariais qu’elle allait faire une crise.
« Je l’ai poignardé et … POIGNARDE SON PUTAIN DE VISAGE ROSE MAIS ELLE A CONTINUE A SE BATTRE ! C’EST POURQUOI JE HAIS LES FÊTES QUI N’ONT RIEN A FAIRE AVEC NOUS DEUX ! »
Bingo. Continuant à faire tomber tous les objets, elle respira fortement en s’énervant mais elle essaya de se calmer. Là, tu ne savais pas si tu devais rire maintenant pour oublier ça ou pleurer. Tu aimais pourtant les parties de Pinkie Pie. Mais petit à petit, tu comprenais que la jument jaune faisait tout cela car elle était jalouse de ses amies. Un horrible monstre donc. Ses paroles violentes, son comportement très étrange … Puis, en parlant du loup, la pégase se retourna proche de toi, en se rappelant de sa troisième victime.
« Oh ! Et l’autre fille … elle qui pensait que la mode pouvait résoudre tout problème. Je me rappelle aussi qu’elle avait voulu t’emmener loin de moi. Quelle stupide jument … Mais, comme d’habitude, j’avais préparé un plan pour l’emmener dans un coin secret pour que tu ne doutes pas qu’elle ait disparue. Mais c’est étrange, je ne pensais pas que tu entrerais dans mon cottage et … Heh. C’était une surprise pour moi. »
Non, pas revoir ces corps … morts. Plus jamais ça. Tu ne voulais plus rien voir, plus rien entendre et plus bouger. Tu marmonnais sous cape « Fluttershy … pourquoi ? » et des choses incompréhensibles, des mots qui étaient rempli à la fois de la colère, de la tristesse et de la peur. Tu t’interdisais de secouer le placard en priant ton Dieu et en laissant tes larmes couler. Tu étais un étalon, un vrai. Les étalons ne doivent pas pleurer, même en étant dans un danger critique.
« Ah ! Je ne voulais vraiment pas t’effrayer, chéri ! Je veux dire, ce n’est pas comme si je t’avais causé des cauchemars durant toutes ces années, hein ? Depuis que ta famille a disparu, je n’ai pas arrêté de faire les ménages et t’aider, tu sais ? Même ma cuisine était parfaite, tu ne te plaignais jamais. Donc … c’est pour cela que tu es mon petit copain qui m’aime, n'est-ce pas ? Mon chéri n’a aucune raison de me détester. »
« C’est … c’est une blague ? Je ne rêve pas ? » chuchotais-tu commençant à sentir la colère qui prenait le dessus sur tes émotions. Pour toi, ce fut la goutte d’eau qui fit déborder le vase. Maintenant, tu ne la détestais pas, mais tu la haïssais. Oui tu l’as rencontré lors de ton enfance, perdu à Cloudsdale sans ta famille. Mais tout de même ! Fluttershy avait en même temps toqué encore une fois à la porte.
« N’est-ce pas vrai ? Tu ne voudrais jamais être effrayé ou t’enfuir devant moi, mon cœur ?» prononça-t-elle toute contente.
C’est bon, tu ne pouvais pas t’en empêcher, tu devais sortir ce que tu avais dans ton cœur. Tu hurlas à travers la porte, en évitant quand même de briser l’armoire.
« Tu plaisantes j’espère ?! Laisse-moi tranquille, espèce de sorcière effrayante ! »
« … Uh ? Qu’est-ce que tu viens de dire sur moi ? Est-ce que tu viens de me traiter … d’effrayante ? » parla-t-elle curieuse.
Wow … tu méritais vraiment un oscar pour ton action si utile … maintenant tu regrettais. Tu avalais ta salive sentant cette pression qui se dégageait autour de toi. Maintenant, elle allait s’exciter sur toi. Serait-ce la fin ?
« Qui appelles-tu effrayante … ? »
Silence. 3 … 2 … 1 …
« EH ! QUI APPELLES-TU EFFRAYANTE ?! »
Fluttershy avait alors fracassé la porte du placard, plusieurs vacarmes se firent entendre et vous toussiez ensemble. Tu pouvais voir son visage maintenant, et elle aussi qui cette dernière, se sentait très satisfaite même si toi, tu étais mort de peur. Tu voulais qu’elle s’en aille loin de toi, immédiatement.
« Uhm … j’ai cassé la porte … ehehe … Finalement, tu montres enfin ton visage, mon beau ! »
Tu devinais ce visage innocent qui cache derrière, une vrai psychopathe. Tu aimerais la pousser, la battre mais rien … ton corps semblait complètement paralysé. Tu n’avais pas de grandes issues. Tu savais qu’elle était capable de tout. Tout se mélangea dans ton cerveau.
« Eh chéri, je vais te poser une question encore une fois. »
Quelle question ? Non, de toute façon, tu n’avais pas envie d’y répondre, voulant te barrer de cet enfer et en vitesse mais bizarrement, son regard transperçait toutes tes zones les plus sensibles qui pouvaient faire bouger ton corps.
« Suis-je effrayante ? »
Tu tremblais comme une feuille morte, tu ne lâchais même pas un mot, de peur de dire une connerie. Enfin si tu parlais mais d’une façon complètement aléatoire et incompréhensible.
« Donc je suis vraiment effrayante … Moi, effrayante ?! Celle qui ferait tout pourtant pour toi ! IL N’Y A PAS DE PUTAIN DE RAISON QUE CE SOIT VRAI ! »
Fluttershy recula violemment de toi pour briser encore une fois tous ses précieux objets. Tu voyais un immense bazar dans son cottage, tout avait été presque détruit. Tu ne pensais vraiment pas qu’une si jolie jument pouvait faire autant de dégâts. Cette dernière continua à hurler.
« MON CHÉRI EST A MOI ET SEULEMENT A MOI ET IL SERA TOUJOURS A MOI ! TU AS INTÉRÊT A M’AIMER ET TU NE POURRAS JAMAIS T’ENFUIR LOIN DE MOI ! »
La jument haleta avant de se tourner vers toi avec un sourire en coin.
« Comprends-tu ? Tu comprends, hein ? »
Tous tes mots ne voulurent plus sortir, comme si eux aussi avaient peur d’elle. Et justement, Fluttershy perdit patience.
« Hmm … POURQUOI NE RÉPONDS-TU PAS A MA PUTAIN DE QUESTION ?! »
Elle cria de toutes ses forces. Ses cris perçants t’obligèrent alors à reprendre conscience. Tu essayas de t’approcher doucement vers elle, parlant calmement.
« Fluttershy, arrête ça … stop… »
Tu ne savais pas pourquoi tu agissais de cette façon. Tu pensais qu’en fin de compte, cette pégase était simplement perdue et que tous ces « bêtises » étaient des signaux d’alertes pour manque d’affection. Mais tu reculas encore plus car tu voyais Fluttershy qui trouva une paire de ciseaux non loin de là.
« Oh, des ciseaux, celles-ci font des coupes très profondes. Je suppose que si mon amoureux continue à se moquer de moi comme cela … »
Elle fit joujou avec ces ciseaux en faisant du bruit terriblement stressant pendant que toi, tu essayas de t’enfuir mais la porte d’entrée était fermée et en plus cela tu n’avais plus de force pour quoi que ce soit. Tu te disais que tu étais vraiment trop vieux pour ces conneries. Tu n’en pouvais vraiment plus. Fluttershy se tourna vers toi avec un regard noir.
« Je pourrais juste te poignarder accidentellement avec cette paire … Ces ciseaux pourraient vraaaiiiment te faire mal si je les utilise sur toi, n’est-ce pas ? TU AURAIS TELLEMENT MAAAAL ! ET SI JE LES TORDAIS, TU AURAIS ENCORE PLUS MAL ET TU CRIERAIS DE LA SOUFFRANCE DANS LAQUELLE TU SERAIS ! »
Fluttershy délira en faisant son plus beau rire de fou furieux. En entendant ces paroles tu vomissais, tu ne pouvais plus te tenir. Ce qui fit encore plus rire la sale jument alors qu’elle continua à faire du bruit avec son jouet favori. Tu eus envie de t’écrouler par terre tellement que cette ambiance oppressante t’emprisonnait. Fluttershy s’approcha de toi pour faire lever ton menton avec un de ses sabots, se forçant à ne plus rire.
« Ne t’inquiète pas, tu ne dois pas être effrayé en me voyant. Et puis, je ne poignarderais jamais un si joli étalon, hein ? »
Tu bougeas lentement de haut en bas ta tête.
« En tout cas … Si tu continues à faire l’imbécile … Mon sabot pourrait glisser en utilisant avec les ciseaux vers toi … »
Soudainement, tu reculas rapidement, te plaquant complètement contre la porte debout. Fluttershy s’approcha vers toi avec un sourire en coin, se collant à ton corps qui était trempé de sueur depuis cette soirée.
« Eh écoute, est-ce que je peux encore te poser la même question encore une fois ? »
« Oh non, pas encore cette maudite question ! Je suis complètement K.O. … » pensais-tu en te faisant un facehoof.
« Chéri, penses-tu vraiment que je suis un monstre ? »
Elle plaqua bestialement ton sabot contre la porte avec la sienne en maniant avec brio sa paire de ciseaux qui s’approchait dangereusement vers toi. En fin de compte, il n’y avait que comme solution que de lui obéir naïvement pour qu’elle te laisse en paix.
« N-non, bien sûr que non Fluttershy, t-t-tu es belle … »
Cette dernière fit apparaître son plus beau sourire en bavant alors qu’elle reculait doucement de toi.
« Ah, tu as raison ! Je me disais bien que je n'étais pas du tout effrayante ! Parce que, mon petit copain m’aime vraiment … tu m’aimes toujours hein ? »
La pégase haussa un sourcil avant que tu hoches la tête rapidement. Alors elle te prit dans ses sabots pour te faire des câlins, te berçant un peu violemment. L’ambiance devint de plus en plus sombre, tu étais maintenant SON jouet, un vulgaire animal domestique.
« Aaah ! J’aime t’entendre dire ça ! Cela me donne des frissons … je t’aime aussi ! Tu me fais trop craquer ! Eh bien, nous pourrons donc vivre ici, ensemble et toujours … Aaah, ce serait merveilleux ! Comme dans les contes de fées ! Nous serons TOUJOURS ENSEMBLE ! Toujours là pour nous. Nous mangerions ensemble, nous sortirons ensemble … TOUT ensemble ! Personne nous ne fera du mal, personne n’interviendra dans notre amour .. C’est donc pourquoi, mon chéri ne pourra jamais s’enfuir. Je veux dire, tu ne t’enfuiras JAMAIS, hein ? Parce que si tu le fais … »
Elle serra tes joues avant que ses lèvres s’approchèrent vers les tiennes. Elle te regarda froidement, laissant une dernière phrase.
« Je ne te pardonnerai jamais. »
THE [BAD] END.
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Pour cette fiction, certes c'est adapté d'une vidéo et c'est agréable à lire. Mais pour une personne qui ne supporte pas le OOC, ça sent mauvais. Manque de chance, je supporte les OOC's avec tous les personnages, sauf Fluttershy. Je ne peut me résoudre à voir se personnage autrement qu'une petite pégase timide et adorable qui ne ferait aucun mal, ne serait-ce qu'à une mouche.
Je rejoins @PonyDash pour le format. 3000 mots c'est agréable à lire et pas spécialement long donc on peu se prendre à l'histoire facilement. Mais il y a un mais. Quand on se prend à une histoire, on en veut toujours plus ^^
Pour les quelques défauts : J'ai souvent été interrompu par le manque d'accent sur certain "A" majuscule et même certains "a" minuscule. Dans la littérature les majuscules ont un accent (d'ailleurs c'est dommage puisque tu as pensé à mettre des e majuscule avec les accents. Pourquoi ne pas avoir continué ?)
En bref : la fiction est bien mais personnellement je me suis pris à la lecture et pas au jeu de me mettre à la place de la (plus ou moins) victime. J'aime le style fiction à la deuxième personne mais pas en OOC avec Fluttershy, qui devient une psycho en puissance.
C'était le meta toujours là pour embêter alors qu'au final, je ne fais vraiment pas mieux ^^. Mais on me la tout le temps répété, le site prône la critique dans la joie et la bonne humeur.
Bonne continuation ;)
Bon, c'est très sympa, tu sens bien l'ambiance glauque et malsaine, même si les morts des amies de Fluttershy sont un peu rapides, et le fait qu'elle ait un petit ami, bah, une ponette comme elle, timide, tout ça... Mais conte tenu du contenu (lol) de la fiction, ça va. Au fait, ça :
ET TU CRIERAIS DE LA SOUFFRANCE DANS LAQUELLE TU SERAIS ! »
Il aurait fallu remplacer crierais par criera et serais par sera, cela aurait été plus joli, plus cohérent et français.
Bref, à lire !